"Lycée.
1/ Ecole antique où l'on s'entretenait de philosophie.
2/ Ecole moderne où l'on discute de football"
"Tous les mecs se déchainent
Devant la télé
Saint-Etienne, Bourg-la-Reine
Tous des enculés !
Dans les gradins c'est l'enfer !
Ecoutez les supporters :
Football, football, football
Allez, allez, allez !
Courrez ! courrez ! courrez !
Allez, allez, allez !
Tapez ! Dans le ballon !
Tapez ! Sur le voisin !
Football football football..."
Et une partie de jambes en l'air pour finir sur un ton plus léger...
En l'espèce ils doivent être plutôt verts, limite rouge cramoisi......
Le Tours de la souf-france strasbourgeoise...
"Une des figures marquantes de l'histoire de la ville fut saint Martin, deuxième évêque (Gatien est un évêque mythique) qui partagea son manteau avec un démuni à Amiens. Cette histoire et l'importance de Martin dans l'Occident chrétien médiéval firent de Tours une ville de pèlerinage majeur au Moyen Âge, et notamment une étape vers Saint-Jacques de Compostelle."
Le monde est fou, et c'est pas près de s'arranger...
"Oh I wish I was a punk rocker with flowers in my hair
In '77 and '69 revolution was in the air
I was born too late into a world that doesn't care
Oh I wish I was a punk rocker with flowers in my hair
When the head of state didn't play guitar
Not everybody drove a car
When music really mattered and when radio was king
When accountants didn't have control
And the media couldn't buy your soul
And computers were still scary and we didn't know everything
[Chorus]
When pop stars still remained a myth
And ignorance could still be bliss
And when god saved the queen she turned a whiter shade of pale
My mom and dad were in their teens
And anarchy was still a dream
And the only way to stay in touch was a letter in the mail
[Chorus]
When record shops were still on top
And vinyl was all that they stocked
And the super info highway was still drifting out in space
Kids were wearing hand me downs
And playing games meant kick arounds
And footballers still had long hair and dirt across their face
[Chorus]
I was born too late into a world that doesn't care
Oh I wish I was a punk rocker with flowers in my hair" (source)
"Exposez-vous à vos peurs les plus profondes ; après cela, la peur ne pourra plus vous atteindre" (Jim Morrison ?)
La voilà, cette fameuse semaine... En espérant qu'elle finira mieux qu'elle ne débutera...
En attendant, pour ceux qui ont le temps, faites donc un tour à l'expo sur l'histoire du Racing. Cela fera plaisir aux stubistes qui se sont impliqués dans ce projet, et c'est assez instructif...
"Ex-fan des sixties
petite Baby Doll
comme tu dansais bien le Rock 'n 'Roll
ex-fan des sixties
où sont tes années folles
que sont devenues toutes tes idoles -
où est l'ombre des Shadows
des Byrds, des Doors
des Animals
des Moo-
dy Blues
séparés Mac Cartney
Georges Harrison
et Ringo Starr
et John Lennon - ex-fan des sixties
petite Baby Doll
comme tu dansais bien le Rock 'n 'Roll
ex-fan des sixties
où sont tes années folles
que sont devenues toutes tes idoles -
Disparus Brian Jones
Jim Morrison
Eddy Cochran
Buddy
Holly
idem Jimi Hendrix
Otis Redding
Janis Joplin
T.Rex
Elvis" (source)
"Il n'y pas cinquante manières de combattre, il n'y a en qu'une, c'est d'être vainqueur" (Malraux)
Ah... vrai ?
Fighting spirit and victory !
"J'abandonne sur une chaise le journal du matin
Les nouvelles sont mauvaises d'où qu'elles viennent
J'attends qu'elle se réveille et qu'elle se lève enfin
Je souffle sur les braises pour qu'elles prennent
Cette fois je ne lui annoncerai pas
La dernière hécatombe
Je garderai pour moi ce que m'inspire le monde
Elle m'a dit qu'elle voulait si je le permettais
Déjeuner en paix, déjeuner en paix
Je vais à la fenêtre et le ciel ce matin
N'est ni rose ni honnête pour la peine
" Est-ce que tout va si mal ? Est-ce que rien ne va bien ?
L'homme est un animal " me dit-elle
Elle prend son café en riant
Elle me regarde à peine
Plus rien ne la surprend sur la nature humaine
C'est pourquoi elle voudrait enfin si je le permets
Déjeuner en paix, déjeuner en paix
Je regarde sur la chaise le journal du matin
Les nouvelles sont mauvaises d'où qu'elles viennent
" Crois-tu qu'il va neiger ? " me demande-t-elle soudain
" Me feras-tu un bébé pour Noël ? "
Et elle prend son café en riant
Elle me regarde à peine
Plus rien ne la surprend sur la nature humaine
C'est pourquoi elle voudrait enfin si je le permets
Déjeuner en paix, déjeuner en paix" (source)
On a tous notre Amérique, notre Nouveau Monde auquel on rêve...
C'est juste que c'est pas tous les jours le Racing. L'Eldorado du foot alsacien, il est plus plombé que dorado en ce moment...
Pour le reste, c'est pas tout d'avoir le filon et la pelle, encore faut-il vouloir creuser et risquer de trouver quelque chose. Finalement, la grisaille est tellement plus rassurante...
"Mes amis, je dois m'en aller
Je n'ai plus qu'à jeter mes clés
Car elle m'attend depuis que je suis né
L'Amérique
J'abandonne sur mon chemin
Tant de choses que j'aimais bien
Cela commence par un peu de chagrin
L'Amérique
L'Amérique, l'Amérique, je veux l'avoir et je l'aurai
L'Amérique, l'Amérique, si c'est un rêve, je le saurai
Tous les sifflets des trains, toutes les sirènes des bateaux
M'ont chanté cent fois la chanson de l'Eldorado
De l'Amérique
Mes amis, je vous dis adieu
Je devrais vous pleurer un peu
Pardonnez-moi si je n'ai dans mes yeux
Que l'Amérique
Je reviendrai je ne sais pas quand
Cousu d'or et brodé d'argent
Ou sans un sou, mais plus riche qu'avant
De l'Amérique
L'Amérique, l'Amérique, je veux l'avoir et je l'aurai
L'Amérique, l'Amérique, si c'est un rêve, je le saurai
Tous les sifflets des trains, toutes les sirènes des bateaux
M'ont chanté cent fois la chanson de l'Eldorado
De l'Amérique
L'Amérique, l'Amérique, si c'est un rêve, je rêverai
L'Amérique, l'Amérique, si c'est un rêve, je veux rêver" (source)
Où il est question de ressemblances entre l'amour, la femme et le Racing...
« L'amour est aveugle et sa canne est rose »
« La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité »
« Femme : Rose qui prend parfois deux "s" » (hi hi... han)
Le Racing, c'est pareil finalement, et moi cette écharpe, je l'aime...
"Some say love, it is a river
that drowns the tender reed.
Some say love, it is a razor
that leaves your soul to bleed.
Some say love, it is a hunger,
an endless aching need.
I say love, it is a flower,
and you it's only seed.
It's the heart afraid of breaking
that never learns to dance.
It's the dream afraid of waking
that never takes the chance.
It's the one who won't be taken,
who cannot seem to give,
and the sould afraid of dyin'
that never learns to live.
When the night has been too lonely
and the road has been to long,
and you think that love is only
for the lucky and the strong,
just remember in the winter
far beneath the bitter snows
lies the seed that with the sun's love
in the spring becomes the rose" (source)
Ah ça fait du bien de retrouver les copains (fussent-ils norinois !!), l'apéro, l'excitation d'avant match et les premiers frissons à l'entrée des joueurs...
Cette fois ça y est, c'est vraiment reparti...
A chaque fois c'est pareil : loin de toute rationalité, on est là, excités et impatients, à espérer, comme des gamins. Que la magie jaillisse du ballon, que les stars en short viennent hurler leur joie au bas de la tribune et que tous se congratulent pour un dérisoire franchissement de ligne... Joie aussi primaire qu'élémentaire... Bouffée d'oxygène quand on vous a privé d'air...
Allez Racing, fighting spirit !
On a le droit de ne pas réussir, mais pas celui de ne pas essayer...
Melun, 40 000 habitants, ville connue pour... heu...
« C'est en l'an 52 avant J.C que la cité qui prendra au VIème siècle le nom de Melun, a connu son premier développement. Depuis quatre siècles, la devise de Melun est inchangée "Fidèle à ses murs jusqu'à manger des rats" mais depuis, on préfère le Brie ! Et c'est à la Révolution, que la "Lutèce briarde" devient une préfecture » (Ville de Melun)
Son fromage, donc, le Brie... Bon allez, les bords de Seine et les châteaux non loin, également...
Et aussi, en l'occurrence, accessoirement, sa demi-finale de Coupe Gambardella, à laquelle on s'est mis en tête d'assister...
Nous sommes donc quelques uns... La campagne française défile à travers le pare-brise...
Ils courent vers nous... Misère, va-t-on encore se faire insulter ? Non, non, ils sont hilares et respirent une joie sincère et spontanée. Ils traversent le terrain pour venir saluer cette douzaine de supporters inconnus venus les soutenir aussi loin. Mais ils ne se contentent pas d'un geste lointain et craintif. Non, non, ils s'approchent jusqu'au grillage, viennent taper dans les mains et remercier les présents pour le déplacement... On a beau regarder leur maillot, il s'agit bien de celui du Racing. Incroyable, il y a donc encore des joueurs strasbourgeois qui prennent du plaisir... et qui en donnent... Et même pas à contrecoeur !
Que valent les promesses ? On peut être là pour l'autre, mais l'autre le veut-il vraiment ?
"If you wait for me then I'll come for you
Although I've traveled far
I always hold a place for you in my heart
If you think of me If you miss me once in awhile
Then I'll return to you
I'll return and fill that space in your heart
Remembering
Your touch
Your kiss
Your warm embrace
I'll find my way back to you
If you'll be waiting
If you dream of me like I dream of you
In a place that's warm and dark
In a place where I can feel the beating of your heart
Remembering
Your touch
Your kiss
Your warm embrace
I'll find my way back to you
If you'll be waiting
I've longed for you and I have desired
To see your face your smile
To be with you wherever you are
Remembering
Your touch
Your kiss
Your warm embrace
I'll find my way back to you
If you'll be waiting
I've longed for you and I have desired
To see your face, your smile
To be with you wherever you are
Remembering
Your touch
Your kiss
Your warm embrace
I'll find my way back to you
Please say you'll be waiting
Together again
It would feel so good to be
In your arms
Where all my journeys end
If you can make a promise If it's one that you can keep, I vow to come for you
If you wait for me and say you'll hold
A place for me in your heart." (source)
"Je suis pendu à votre cou dans les plus beaux de mes rêves mais je ne me réveille jamais près de vous et j'en crève" (Cali)
"Hold on to me love
you know I can't stay long
all I wanted to say was I love you and I'm not afraid, Oh!
can you hear me?
can you feel me in your arms?
Holding my last breath
safe inside myself
are all my thoughts of you
sweet raptured light it ends here tonight
I'll miss the winter
a world of fragile things
look for me in the white forest
hiding in a hollow tree(come find me)
I know you hear me
I can taste it in your tears
Holding my last breath
safe inside myself
are all my thoughts of you
sweet raptured light it ends here tonight
Closing your eyes to disappear
you pray your dreams will leave you here
but still you wake and know the truth
no one's there
Say goodnight
don't be afraid
calling me calling me as you fade to black
(Say goodnight...)
Holding my last breath
(don't be afraid...)
safe inside myself
(calling me calling me as you fade to black)
are all my thoughts of you
(sweet raptured light) it ends here tonight
Holding my last breath...
safe inside myself...
are all my thoughts of you...
sweet raptured light it ends here tonight...
On aimerait bien... pouvoir continuer à jouer. Mais là, c'est game over... Fair plaie, oui...
Bref, on n'a pas perdu, mais on n'a pas gagné et on ne s'est pas qualifié. Sinon... Des dossiers à craquer, des mecs qui se tapent, des jeunes futurs chômeurs, des Iraniens, des pyromanes, l'actu quoi !
"Une raya de bambins livre aux flammes leurs landaux
Une ribambelle de nains foutent le feu dans l'métro
Une armée de gamins qui brûle les magasins
Trois millions de lycéens carbonisent leurs bouquins
Une concierge allumée fout le feu au quartier
Le président fêlé enflamme l'Elysée
Trois secrétaires en chaleur calcinent leur directeur
Une tribu de bonnes soeurs incendie l'Sacré-Coeur !
Laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï...
Un trio d'grands brûlés fait exploser l'hosto
Et 5000 chimpanzés dynamitent le zoo
Des rastas éclatés, c'est chaud dans le ghetto
Les feux dans la cité brûlent pour Géronimo
Des soldats cannibales rôtissent leur général
300 patrons qui craquent font sauter la baraque
Et un vieux bonze chinois se pétrole le minois
Le froid tue la fillette qui n'a plus d'allumettes
Laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï...
Les hooligans des stades préparent les jerrycans
Les jeunes chômeurs s'la donnent aux cocktails molotov
Des Iraniens enflamment le corps de l'oncle Sam
Des squatters s'tapent un boeuf autour d'un grand feu d'keufs
Un gang de pyromanes se croit au paradis
Les pompiers en ont marre c'est la grève aujourd'hui
Il y a le feu partout c'est la fête des fous
Il y a le feu partout viv' le feu viv' les fous!"
Laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï...
Un gang de pyromanes se croit au paradis
Les pompiers en ont marre c'est la grève aujourd'hui
Il y a le feu partout c'est la fête des fous
Il y a le feu partout viv' le feu viv' les fous!"
Bérurier Noir, Vive le feu
Sinon, pour la première fois depuis une bonne dizaine d'années, je me suis acheté une merguez au stade. A 4 euros les quatre petites saucisses dans un bout de pain, je sais pourquoi j'avais attendu aussi longtemps. En plus je n'étais même pas ivre, je n'ai aucune excuse...
"When you walk through a storm,
Hold your head up high,
And don't be afraid of the dark,
At the end of a storm, there's a golden sky,
And the sweet silver song of a lark.
Walk on through the wind,
Walk on through the rain,
Though your dreams be tossed and blown...
Walk on, walk on, with hope in your heart,
And you'll never walk alone,
You'll never walk alone...
Walk on, walk on, with hope in your heart,
And you'll never walk alone,
You'll never walk alone..." (Source)
Eh ben faudrait peut-être vous bouger le cul si vous ne voulez pas que ça change !
Remarque, ils s'en tapent...
Taper, taper...
"Tous les mecs se déchainent
Devant la Télé
St Etienne, Bourg La Reine
Tous des enculés!
Dans les gradins c'est l'enfer!
Ecoutez les supporters:
Football, football, football
Allez allez allez!
Courrez! courrez! courrez!
Allez, allez, allez!
Tapez! dans le ballon
Tapez! sur le voisin
Football football football
Football football footbal" (source)
Quelques heures après le spectacle des imbéciles en short, il fait donc à nouveau beau. Jusqu'au prochain match ?
On essaie bien de me pourrir la journée en réunion, mais ils n'y arrivent pas. Les nuages n'existent pas, seul compte l'horizon, dégagé...
On a voulu y croire. On a eu tort...
Conquis ? Cons qui ? Nous. La conquête ? La quête des cons, oui...
45 minutes de mépris et de dépit. Allez tous vous faire foutre...
"[...] Notre première motivation a surtout été de faire partager à tous cette formidable aventure humaine que sont les Ultra Boys 90, en rappelant les origines, les débuts chaotiques dans le virage, l'apparition de la mentalité ultra, les crises, les joies, les peines, ou comment un groupe parti de rien est devenu l'incontestable leader des gradins de la Meinau. C'est pour que chacun puisse aussi se rappeler que nous n'avons pas toujours été aussi nombreux, aussi bien organisés, ni aussi bien compris. Bien sûr, l'autre leçon à tirer est que rien n'est jamais acquis, beaucoup sont conscients de tout ce qu'il reste à faire, ne serait-ce que pour faire tourner le groupe au quotidien. Chacun en tirera donc ce qu'il veut au gré des souvenirs qu'il pourra y puiser, en se rappelant de tel match, tel déplacement ou tel tifo."
Ultra Boys 90, 1990-2005
"T'as grandi près des docks
Et dès ton plus jeune âge
L'alcool et le pub rock
Cotoyaient le chômage
Debout sur la tribune
Tu clames les chants de guerre
Comme tu n'as pas une thune
Tu oublies la misère
Tout l'espoir de la ville
Repose sur ce ballon
Qui va taper dans le mille
Comme une révolution
Journalistes et médias
Disent n'importe quoi
Hooligan ou Ultra
Ils ne te connaissent pas
Les caméras se braquent
Car sur le front des stades
T'es passé à l'attaque
Comme tous tes camarades
Debout dans le virage
Il n'y a plus de chômage
Il n'y a que des supporters
Qui chantent et qui sont fiers !
Victoire ! Mais non, pas les gars en short courant après un ballon, mais bien celle de la lumière sur l'obscurantisme, celle du bien sur le mal, de l'homme sur la femme, de... heu.. oui.. non... enfin... Bref, je m'égare, j'ai de nouveau mon ordi, et toutes mes données, qui plus est ! Fin du complot informatico-windowsien et retour à la "normalité"...
Autre mystère technologique, cette photo... Du flou, oui, mais un flou peu banal, aussi inexplicable qu'un tir cadré de Loué ou une frappe de Pontus ! Si, si....
"T'es beau
T'es beau parce que t'es courageux
De regarder dans le fond des yeux
Celui qui te défie d'être heureux
T'es beau
T'es beau comme un cri silencieux
Vaillant comme un métal précieux
Qui se bat pour guérrir de ses bleus
C'est comme une rengaine
Quelques notes à peine
Qui forçent mon coeur
Qui forçent ma joie
A présent...
J'ai beau
J'ai beau me dire qu'au fond c'est mieux
Même si c'est encore douloureux
Je n'ai pas de recoin silencieux
C'est beau
C'est beau parce que c'est orageux
Avec ce temps je connais peu
Les mots qui trainent au coin de mes yeux
C'est comme une rengaine
Quelques notes en peine
Qui forçent mon coeur
Qui forçent ma joie
Quand je pense à toi
Toi qui sort de scène
Sans arme et sans haine
J'ai peur d'oublier
J'ai peur d'accepter
J'ai peur des vivants
A présent...
C'est comme une rengaine
Quelques notes en peine
Qui forçent mon coeur
Qui forçent ma joie
Quand je pense à toi
Toi qui sort de scéne
Sans arme et sans haine
J'ai peur d'oublier
J'ai peur des vivants
A présent
T'es beau
"I see trees of green........ red roses too
I see 'em bloom..... for me and for you
And I think to myself.... what a wonderful world.
I see skies of blue..... clouds of white
Bright blessed days....dark sacred nights
And I think to myself .....what a wonderful world.
The colors of a rainbow.....so pretty ..in the sky
Are also on the faces.....of people ..going by
I see friends shaking hands.....sayin'.. how do you do
They're really sayin'......i love you.
I hear babies cry...... I watch them grow
They'll learn much more.....than I'll never know
And I think to myself .....what a wonderful world
(instrumental break)
The colors of a rainbow.....so pretty ..in the sky
Are there on the faces.....of people ..going by
I see friends shaking hands.....sayin'.. how do you do
They're really sayin'...*spoken*(I ....love....you).
I hear babies cry...... I watch them grow
*spoken*(you know their gonna learn
A whole lot more than I'll never know)
And I think to myself .....what a wonderful world
Yes I think to myself .......what a wonderful world" (source)
Ce soir, l'important, c'est le rose... Prochaine étape, en espérant ne pas encore se taper seulement les épines...
"Des yeux qui font baisser les miens
Un rire qui se perd sur sa bouche
Voilà le portrait sans retouche
De l'homme auquel j'appartiens
{Refrain:}
Quand il me prend dans ses bras,
Il me parle tout bas
Je vois la vie en rose,
Il me dit des mots d'amour
Des mots de tous les jours,
Et ça me fait quelque chose
Il est entré dans mon coeur,
Une part de bonheur
Dont je connais la cause,
C'est lui pour moi,
Moi pour lui dans la vie
Il me l'a dit, l'a juré
Pour la vie.
Et dès que je l'aperçois
Alors je sens en moi
Mon coeur qui bat.
Des nuits d'amour à plus finir
Un grand bonheur qui prend sa place
Des ennuis, des chagrins s'effacent
Heureux, heureux à en mourir
Misère, encore un déménagement... Heureusement qu'il y a l'apéro... A peine le temps de rentrer, que déjà il faut repartir. L'ambiance est morose, on s'en rend compte en entrant dans la pièce. La discussion n'est pas plus joyeuse... Heureusement qu'il y a l'apéro... Le timing est serré, me revoilà à traverser la ville. A bout de souffle, le premier comme toujours... Heureusement qu'il y a l'apéro... Puis un autre... Bientôt il n'y en aura plus avec lui. Je suis un peu triste, même si je ne le montre pas, et les apéros à répétition m'insufflent une certaine légèreté... C'est l'heure, il faut repartir. Il fait froid, humide. Ils ont du retard. Je suis gelé... Heureusement qu'il y a l'apéro. Ils n'en sont pas à leur premier non plus. Sacrée bande de soiffards... Le timing, encore. Je cours, mais n'arrive pas à l'heure malgré tout, la banderole a déjà disparu. Heureusement, il y en a une deuxième peu après. Je ne rate pas cette seconde chance... 20h05, ouf, fini de courir. Le reste est habituel : joie, puis déception. Au coup de sifflet final, la classique gueule de bois. Mes apéros n'y sont pour rien... Heureusement, je vais me réchauffer physiquement et moralement...
"I heard there was a secret chord
That david played and it pleased the lord
But you don't really care for music, do you?
Well it goes like this:
The fourth, the fifth, the minor fall and the major lift
The baffled king composing hallelujah
Hallelujah, hallelujah, hallelujah, hallelujah
Well your faith was strong but you needed proof
You saw her bathing on the roof
Her beauty and the moonlight overthrough ya
She tied you to her kitchen chair
She broke your throne and she cut your hair
And from your lips she drew the hallelujah
Hallelujah, hallelujah, hallelujah, hallelujah
Well, maybe I've been here before
I've seen this room and I've walked this floor
I used to live with leonard before I knew ya
I've seen your flag on the marble arch
But love is not a victory march
It's a cold and it's a broken hallelujah
Hallelujah, hallelujah, hallelujah, hallelujah
There was a time when you let me know
What's really going on below
But now you never show that to me do ya
But remember when I moved in you
And the holy dove was moving too
And every breath you drew was hallelujah
Hallelujah, hallelujah, hallelujah, hallelujah
And maybe there's a God above
But all I've ever learned from love
Was how to shoot somebody who outdrew ya
Well it's not a cry that you hear at night
It's not somebody who's seen the light
It's a cold and it's a broken hallelujah
Hallelujah, hallelujah, hallelujah, hallelujah
Hallelujah, hallelujah, hallelujah, halle...
It's not what you're told
It's not her face
It's not his touch
In the room you both share
Where he's gone when he loved
When your time and your memory fills your dreams
When you're honest and together
Together no more
No more
Hallelujah, until you're nothing
Hallelujah, baby, until she's everywhere
Hallelujah, until together you are somewhere I'd lost
Hallelujah, hallelujah." (source)
Danger : ce qui menace la sûreté, l'existence d'une personne ou d'une chose. Le danger, c'est donc de rester à étouffer, ou de se dégager ? Sortir la tête de l'eau ne devrait pas pouvoir constituer un risque donc... Et pourtant...
Nous marchons dans l'obscurité. Le frottement de la roue, les pneus sur la neige, le bruit de mon souffle dans la nuit froide... Nous marchons, encore... Certains parlent, d'autres sont silencieux, tendus... Nous marchons, toujours...
Ils courent... La foule les acclame... Tout le monde s'enlace... La trajectoire du petit ballon vient de faire basculer la soirée... Les méprisés redeviennent adulés... Le feu est en nous, nous sommes invincibles...
"Je m'étais abonné, et rapidement, au fil des matchs, mon attention avait commencé à se déplacer du spectacle du terrain à celui des tribunes. Car c'en est un ! On a tendance à opposer les joueurs, acteurs, et les supporters, spectateurs, mais il est indéniable que souvent ces derniers se mettent en scène, captent l'attention et inversent les rôles. Je ne sais à combien de personnes elle fait cet effet, mais la tribune des supporters, le Kop, avait peu à peu totalement monopolisé mon attention. J'aimais le foot, mais cet intérêt pour les vedettes en short se battant pour récupérer le ballon avait été supplanté par cette foule électrisante et l'ambiance qu'elle générait. Une relation passionnelle était en train de naître, sirène terriblement séduisante dont les appels étaient irrésistibles. Je m'étais donc naturellement jeté à l'eau, allant me noyer parmi cette masse grondante et rugissante, tantôt de plaisir et de dépit. La première fois fut éprouvante, perdu dans la tempête de cris et de chants, petit anonyme calme au milieu de centaines d'inconnus à première vue hystériques..."
Eh oui, cette saison on bande drôle aussi... Fucking irony... Alors, heureux ?
Un peu d'avance dans la publication aujourd'hui, histoire d'anticiper. On boira pour se consoler, ou pour enrager, mais quel que soit le résultat, il nous laissera un goût amer. Ironie d'une passion...
Photo souvenir d'une époque où on ne rasait plus les murs...
Si les à-côtés ne vont pas, et le Racing non plus, il nous reste quoi bordel ?