Thierry Laurey
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il-vecchioDire qu'il a encore le recrutement à faire alors qu'il doit être nerveusement épuisé par cette saison. Dur, dur! -
@father-tom AH ok je comprend mieux "Quand je dis que t'es cramé, oui, parce qu'à mes yeux tu racontes n'importe quoi quand tu dis qu'il n'y avait pas un seul bon match en 6 mois (c'est totalement faux, sauf si faire un bon match c'est uniquement prendre 3 points... Saint-Etienne avait fait un bon match dans le contenu chez nous?)."
Quand je lis des trucs comme ça , tu regrettes surement Furlan aussi. C'est beau de croire les déclarations de Laurey depuis 6mois "les garçons se battent et c'est injuste
" 11 matchs sans victoire et y a aucun problème de coaching, par contre a la phase aller on gagne plusieurs fois et on termine la première partie de saison assez haut par rapport a ce qu'on a espéré et Laurey avait vraiment géré sur le coup par contre dire le contraire après 11 matchs sans victoire c'est interdit. Je répondrai pas a tes attaques perso parce que mon opinion est différente de la tienne donc te donne pas trop de mal a poster des gifs et tout le tralala
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Toujours cette manie chez certains de voir tout blanc ou tout noir, d'être totalement pour ou totalement contre, de prendre parti ou de rejeter. Peut-on parfois aller plus loin que cela et être moins dans l'analyse subjective, l'émotion et le rejet de la contre argumentation ? Bon le maintien vient d'être acquis sur un exploit alors ça se comprend. Je pense qu'il faut maintenant faire redescendre la pression et essayer d'analyser calmement cette saison, et celle de Laurey puisqu'on est sur son topic.
Premièrement, il ne faut pas oublier ces 11 matchs sans victoire, cette dynamique négative qui s'était installée et ce sentiment d'un manque de solution et d'inspiration pour contrarier l'inéluctable sentence avec une infirmerie qui se remplissait, des joueurs fatigués et des choix tactiques selon moi de plus en plus étranges. Le plus problématique c'est qu'on n'y arrivait plus contre des clubs pourtant davantage à notre portée que PSG, Lyon, etc. Le fait de ne pas avoir pu assurer le maintien avant cette avant-dernière journée fut quand même pour moi une déception vue l'avance acquise à la moitié de championnat. Finalement les deux incroyables exploits face à PSG et Lyon nous permettent de sortir indemne.
Ensuite, je lis que le recrutement a été fait dans l'urgence, je ne comprends pas bien ? Le Racing a eu le temps d'analyser les besoins et de chercher des joueurs comme tous nos clubs concurrents cette saison. Les joueurs ont été choisi par le staff qui était déjà là la saison passée. Donc à ce niveau on ne peut pas dire que la période de recrutement fut chaotique et non maitrisée comme cela a déjà pu être le cas dans le passé.
Maintenant, pour moi Laurey doit rester coach de Strasbourg, il est légitime et il mérite d'y rester. Il a eu une période sans inspiration certes. Mais on a trop attendu de sa part, quand les joueurs ont montré leurs limites, vu les miracles qu'il avait fait la saison passée en L2 et vu le moins de décembre euphorique. Il n'a pas une très grande expérience de la L1 et avec cet effectif, deux montées consécutives, il n'était pas dit qu'il sortirait des recettes magiques une nouvelle fois. Il l'a fait contre les gros clubs (PSG, Lyon, Marseille, Nice, Bordeaux) avec des tactiques spécialement étudiées pour faire déjouer l'adversaire, et on peut le remercier vu que cela nous sauve. Il grandit avec le Racing et on peut espérer que le plus dur est fait (se maintenir après une montée en L1) et qu'il trouvera des solutions (ou des joueurs) pour être plus performants contre les petites équipes la saison prochaine, et qu'on se fasse moins peur. -
Il faut aussi, je pense, aussi remercier Marc Keller pour sa discrétion et son intelligence. Qu'on me corrige si je me trompe, mais le président, même pendant la période de crise pendant 5 mois en 2018, a foutu la paix à l'entraineur, n'a pas proféré d'ultimatum, l'a laissé travailler sans déclencher une table rase histoire de tenter un hypothétique coup de poker psychologique, n'a pas fait du spectacle dans les media, etc.
Pour moi la plus belle réussite de ces dernières années c'est la complémentarité de ces deux hommes (trois, si on compte François Keller) et l'envie d'avancer ensemble en tournant la page du Marseille de l'Est. -
Entièrement d’accord, et c’est important de le souligner et de le garder à l’esprit par chacun et en permanence. L’histoire des clubs, et comme celle des entreprises, commence et perdure d’abord par une histoire d’hommes avant d’être celle des gros sous. Le match du Racing contre Lyon peut d’ailleurs aussi être vu sous cet angle là.
J’ai toujours pensé que le titre de 79 était autant du à la présence discrète et efficace du président Léopold qu’à celle de l’autre partie du binôme qu’il constituait avec un Gress attirant projecteurs et micros. On retrouve un peu le même partage des rôles avec Laurey d’ailleurs.
Non, je ne dis rien d’autre, sauf : wait and drink a cup of amer-bière
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Faut dire qu'au niveau instabilité du staff et de la direction on a pris de l'avance pour les 3 siècles à venir. On a eu le tremblement de terre Gress qui nous a mené très haut, mais avec des répliques sur presque 30 ans qui ont fini par tout détruire. On part vraiment sur autre chose maintenant...on l'a payé cher mais c'est vraiment agréable et très encourageant pour la suite. Le nouveau Racing vient de boucler sa première saison dans la ligue ou il doit être...
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Bravo !
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Mais quel imposant entre-jambe M. Laurey! J'ai pleuré 2x hier soir, à la vue de la composition, à laquelle je ne croyais mais alors pas du tout, et après le coup-franc de Liénard. Merci TL pour cette belle saison!
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Merci coach pour ce maintien-Champagne !
Une étape importante pour la reconstruction du club a été franchie.
C'est vraiment très dur d'entraîner et convaincre à Strasbourg, un nouvelle fois, les objectifs ont été atteints, ce fut dur, mais palpitant.
En plus, en produisant du jeu, les matches du Racing sont plutôt agréablement suivis; même hors France.
J'espère que Laurey va entraîner Strasbourg un moment, pour continuer la montée en grade de notre équipe 1.
Et merci à tout le staff !! -
magellan a écrit, le 13/05/2018 19:53 :
J’ai toujours pensé que le titre de 79 était autant du à la présence discrète et efficace du président Léopold qu’à celle de l’autre partie du binôme qu’il constituait avec un Gress attirant projecteurs et micros. On retrouve un peu le même partage des rôles avec Laurey d’ailleurs.
Il est évident que l'entente et la complémentarité du binôme président-entraîneur est fondamentale. On a eu Léopold-Gress, Kientz-Gress, Weller-Duguépéroux. ce sont à peu près les seuls duos qui ont emmené le Racing vers les hauteurs. Nous verrons jusqu'où nous emmènera l'équipe Keller-Laurey... -
En tout cas un immense bravo pour la compo folle et la tactique parfaite d'hier soir. C'était très couillu et les joueurs ont adhéré.
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Je suis d’accord avec vous il a fait un bon coaching contre Lyon. Mais pourquoi il a pas essayé de faire ça tous le temps. Il a eu une longue période sans inspiration et le racing de la chance que les autre équipes perde aussi. Se sera peut êtres pas le cas la prochaine saison.
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Peut être tout simplement parce qu’il ne s’appelle pas guardiola ou kloepp, peut être qu’il apprends en même temps que son équipe.
Il a sûrement fait des erreurs comme nos joueurs en ont tous fait.
Mais ce qui compte, c’est qu’il n’a jamais baissé les bras et que ses joueurs continuent d’être avec lui.
Pour moi c’est pas le meilleur entraîneur du monde mais c’est l’entraineur qu’il nous faut, tout comme le Racing n’est pas la meilleure équipe du monde mais c’est la seule qui me fait vibrer.
Merci Mr Laurey -
rcsforever a écrit, le 08/05/2018 12:19 : On dit souvent qu'une équipe est à l'image de son coach, or si ce dernier donne parfois l'impression d'avoir un mégaphone.. sur le banc, c'est peut-être aussi par crainte ne pas être écouté. Après je ne sais pas quelle est l'ambiance dans le vestiaire mais je trouve que ce Racing manque de caractère en baissant régulièrement la tête après avoir encaissé un but, se montrant presque fataliste, acceptant son sort. J'ose espérer que Laurey et ses hommes ont conscience du danger mais avec de telles erreurs de concentration et des visages rapidement baissés, on peut se demander si tout le monde va dans le même sens.. Plus d'agressivité, même mauvaise si nécessaire, avant qu'il ne soit trop tard, plus d'efforts tel un Pouliquen aux 3 poumons. Plus de tout et de Grinta surtout pour compenser certaines lacunes dans le jeu.
C'est marrant parce que je trouvais au contraire qu'on avait pas mal de ressources de ce côté-là.
Je n'ai pas forcément d'exemple en tête mais ils ont souvent bien réagi après avoir encaissé. Bien sûr pas à chaque fois, sinon on ne serait pas que 17èmes.
En vrac je pense au match à Toulouse, contre l'OM, contre le PSG, contre Lyon... -
Un peu facile de prendre cette citation après l'exploit lyonnais.. mais le Racing a gagné combien de matchs cette saison après avoir été mené au score ? Ce retournement de situation face à l'OL reste exceptionnel et il est arrivé au meilleur moment avec 5 minutes de folie.
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rcsforever a écrit, le 04/02/2018 10:47 : Il n'y a que le Racing de Furlan, Ajaccio et Laurey qui ont été relégués en comptant 24 points après la phase aller.. Tu peux vérifier et encore une fois je ne faisais que répondre à un message.
Comme quoi les stats et comparaisons de merde c'est de la littérature.
Mais je m inquiète pas , tu vas t en sortir avec une de tes pirouettes habituelles . -
J'ai cité d'autres matches que celui contre Lyon.
Il faut tout lire, pas seulement ce qui t'arrange. -
C'est la seule victoire de la saison après avoir été mené au score, pour me répondre à ma fausse.. question. Sinon, on se rend surtout compte qu'une saison ne tient pas à grand chose, à quelques minutes, à un coup franc d'un joueur qui n'avait pas le niveau pour l'élite.. C'est quoi 3 points en plus ou en moins sur une saison ? Beaucoup et peu à la fois..
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Je suis complètement d'accord avec @Samh.
L'équipe arrache le nul un paquet de fois cette saison à la gnaque justement (à Sainté, contre Toulouse, contre Metz, victoire aussi arrachée malgré 2 égalisations contre Dijon...).
Ils ont clairement montré du caractère (dans l'ensemble). Là où ça pèche, c'est plus dans la rigueur et dans la gestion (on prend un paquet de buts crétins, on se fait reprendre sur des matchs qu'on devait plier, jurisprudence Toulouse par exemple une nouvelle fois).
Le recrutement d'un aboyeur, d'un vrai "patron", pour recadrer tout ça surtout derrière, serait une bonne idée pour l'an prochain. Laurey a besoin d'un relais sur le terrain. Il y a un peu Martinez et Goncalves mais c'est plus par à coups, j'ai l'impression -
Pour reprendre tes exemples, face à Metz, Toulouse et Dijon au retour, on menait également au score. On peut refaire 10 fois le match contre Lyon, comme celui face à Paris mais on aura jamais le même résultat, car ça reste des performances exceptionnelles dans une saison et qui au final nous offrent en partie le maintien. Malgré tout il faudra certainement se montrer encore plus performant face aux concurrents directs à l'avenir pour espérer se stabiliser dans l'élite.
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Un championnat se joue sur 38 matchs, peu importe d'ou viennent les points. On a fait la saison prévue, elle a été difficile avec un effectif très faible, mais Laurey et tout le groupe a reussi l'exploit. Les rabats joie qui nous ont envoyé en L2 tout au long de la saison devraient avoir un profil bien bas et éviter de la ramener jusqu'à la première contre performance de la saison prochaine...ils se reconnaîtront.
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On s’en fiche des stars
Ce qui restera c’est l’objectif atteint ainsi que les 4 points contre Nice , les 3 contre PSG LYON RENNES BORDEAUX , le point pris à Sainte où Marseille. -
ericcantona a écrit, le 15/05/2018 12:10 : rcsforever a écrit, le 04/02/2018 10:47 : Il n'y a que le Racing de Furlan, Ajaccio et Laurey qui ont été relégués en comptant 24 points après la phase aller.. Tu peux vérifier et encore une fois je ne faisais que répondre à un message.
Comme quoi les stats et comparaisons de merde c'est de la littérature.
Mais je m inquiète pas , tu vas t en sortir avec une de tes pirouettes habituelles .
Je suis entièrement d'accord.
Ça faisait des semaines et des semaines qu'on nous cassait les pieds avec des statistiques et comparaisons sans queue ni tête...
Ça mériterait presque un bannissement d'une semaine du stub pour que nous puissions savourer le maintien en paix ! -
Carrément.. Heureux d'avoir à faire à des Saints, n'ayant jamais été dans l'erreur. Sinon, c'est faux de dire que l'on ne pourra pas compter chaque année sur de tels exploits, que c'est moins glorieux mais peut-être plus rassurant de gagner face à la concurrence directe ? Ce même Racing prend 3-0 à Metz, n'avait plus gagné depuis 11 journées, donc ce n'était pas non plus choquant de douter de sa capacité à relever la tête, à la 88e minute du 37e match..
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spiterman67 a écrit, le 15/05/2018 13:00 : Un championnat se joue sur 38 matchs, peu importe d'ou viennent les points. On a fait la saison prévue, elle a été difficile avec un effectif très faible, mais Laurey et tout le groupe a reussi l'exploit. Les rabats joie qui nous ont envoyé en L2 tout au long de la saison devraient avoir un profil bien bas et éviter de la ramener jusqu'à la première contre performance de la saison prochaine...ils se reconnaîtront.
Je n'ai aucune raison de me sentir viser, mais chacun peut avoir un avis sur ce que fera le Racing, avec le risque d'avoir tort au final.
C'est toujours plus facile de parler après sans avoir pris le moindre risque de se tromper.
Moi, je doutais de la capacité du Racing à se maintenir.
Après tout, l'effectif est bien faible à la base, et, il aura fallu un exploit improbable mais réel pour assurer un maintien que beau croyait mal engagé.
Et, je persiste et signe que tu ne referas pas une deuxième saison comme celle-là, et, qu'il faut regarder la saison dans sa globalité.
Avant Lyon, il y avait 11 matchs sans victoire, et c'était pas par hasard.
Les exploits obtenus cette année contre les gros, ne doit pas effacer les désillusions contre les petits.
Pour avancer, il faudra donc tout analyser dans sa globalité.
Les bonheurs éphémères, suivis de longues périodes de disettes et de désillusions, j'en ai connu un paquet depuis 79, et si certains s'en satisfont, moi, c'est pas mon cas.
Et, depuis 2008, je prends les choses avec passion, mais réalisme et recul.
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