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Arbitrage, quelles solutions ?

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Flux RSS 3698 messages · 306.224 lectures · Premier message par nicofanrcs68 · Dernier message par chrisneudorf

  • Je viens de regarde le documentaire "Les arbitres" (ou encore titré officieusement "Kill the referee").
    http://farm4.static.flickr.com/3209/3966732225_4003d68a5e_o.jpg

    Reportage tourné à l'Euro 2008, on y suit plusieurs arbitres pendant le tournoi. Pas de voix Off, juste les images. Super reportage qui, je l'espère, va provoquer une prise de conscience sur la difficulté de l'exercice d'arbitrage. A voir de toute urgence (+)

    Le DVD était livré avec l'Equipe de samedi dernier.
  • Vazy , je l'ai cherché partout sur internet et je l'ai pas trouvé .
    J'ai aussi beaucoup envie de le voir (+)
  • Sacré Bordel hier soir en Champion's League. Va falloir accorder nos violons entre arbitres européens.

    La main bordelaise, personne ne l'a vue donc tant mieux

    La main madrilène, c'est du 50-50 (bon ça a été compensé avec le but refusé à Pato)

    Quant à l'objet du scandale, ne pas estimer que les 3 marseillais en position de hors-jeu n'influencent pas l'adversaire, c'est juste du foutage de gueule. Le 1er but c'est déjà très limite de l'accorder mais alors le 2e c'est du vol qualifié contre les suisses!
  • Alors, toujours contre la vidéo ?

    Là on ne peut pas dire que ça aurait été antisportif (dans le sens où ça hache le jeu).
  • Toujours contre la vidéo et le match d'hier soir me conforte dans mon opinion.
    Cela peut paraitre paradoxal, mais j'ai remarqué qu'hier, le ralenti n'a été diffusé qu'à partir du moment ou le but a été validé, sans doute pour ne pas montrer d'images sur les écrans géants du stade avant la prise de décision de l'arbitre (c'est d'ailleurs sans doute une consigne qui leur est donnée). Les réalisateurs montrent ainsi l'attention qu'ils peuvent porter à l'interprétation qui peut être faite de leurs images.
    L'arbitrage vidéo pose le problème de l'indépendance de la réalisation de ces images. Non seulement il faut que l'arbitre visionneur soit indépendant, ce qui ne pose sans doute pas de problème, mais il faut également que ceux qui fournissent les images et bien sûr les sélectionnent le soient aussi. Dans certains cas, suivant les angles de prises, ces images peuvent êtres trompeuses. On peut ainsi essayer de duper l'arbitre dans le but de favoriser une équipe nationale par exemple. La présence d'arbitres de surface me semble bien plus efficace, même si elle ne s'appuie que sur des hommes.
    La vidéo, malgré son habillage technologique n'élimine pas les erreurs liées au facteur humain, mais au contraire peut les multiplier.
  • Tout pareil (+)

    D'ailleurs, avec les arbitres de but, le but aurait été logiquement refusé, et sans appel à la vidéo.
  • Est-ce que l'arbitre aurait pu, comme l'a dit Wenger, demander à Henry s'il a fait main avant de valider le but ? :-/
  • Il aurait pu, tout comme Henry aurait pu mentir ...
  • sedna a écrit, le 2009-11-19 08:17:28 :
    Toujours contre la vidéo et le match d'hier soir me conforte dans mon opinion.
    Cela peut paraitre paradoxal, mais j'ai remarqué qu'hier, le ralenti n'a été diffusé qu'à partir du moment ou le but a été validé, sans doute pour ne pas montrer d'images sur les écrans géants du stade avant la prise de décision de l'arbitre (c'est d'ailleurs sans doute une consigne qui leur est donnée). Les réalisateurs montrent ainsi l'attention qu'ils peuvent porter à l'interprétation qui peut être faite de leurs images.
    L'arbitrage vidéo pose le problème de l'indépendance de la réalisation de ces images. Non seulement il faut que l'arbitre visionneur soit indépendant, ce qui ne pose sans doute pas de problème, mais il faut également que ceux qui fournissent les images et bien sûr les sélectionnent le soient aussi. Dans certains cas, suivant les angles de prises, ces images peuvent êtres trompeuses. On peut ainsi essayer de duper l'arbitre dans le but de favoriser une équipe nationale par exemple. La présence d'arbitres de surface me semble bien plus efficace, même si elle ne s'appuie que sur des hommes.
    La vidéo, malgré son habillage technologique n'élimine pas les erreurs liées au facteur humain, mais au contraire peut les multiplier.

    C'est bien vu, et le post le plus intelligent depuis le match d'hier (+), qui en a pourtant vu d'autres (des posts intelligents: je suis plus content des réactions du Stub que de l'EDF ce matin :D )
  • sedna a écrit, le 2009-11-19 08:17:28 :
    Toujours contre la vidéo et le match d'hier soir me conforte dans mon opinion.
    Cela peut paraitre paradoxal, mais j'ai remarqué qu'hier, le ralenti n'a été diffusé qu'à partir du moment ou le but a été validé, sans doute pour ne pas montrer d'images sur les écrans géants du stade avant la prise de décision de l'arbitre (c'est d'ailleurs sans doute une consigne qui leur est donnée). Les réalisateurs montrent ainsi l'attention qu'ils peuvent porter à l'interprétation qui peut être faite de leurs images.
    L'arbitrage vidéo pose le problème de l'indépendance de la réalisation de ces images. Non seulement il faut que l'arbitre visionneur soit indépendant, ce qui ne pose sans doute pas de problème, mais il faut également que ceux qui fournissent les images et bien sûr les sélectionnent le soient aussi. Dans certains cas, suivant les angles de prises, ces images peuvent êtres trompeuses. On peut ainsi essayer de duper l'arbitre dans le but de favoriser une équipe nationale par exemple. La présence d'arbitres de surface me semble bien plus efficace, même si elle ne s'appuie que sur des hommes.
    La vidéo, malgré son habillage technologique n'élimine pas les erreurs liées au facteur humain, mais au contraire peut les multiplier.



    Je suis d'accord avec toi... Moi j'auri tendance à avoir 2 arbitres supplémentaire sur les lignes de sortie de but...
  • Vous voyer vraiment de la corruption partout !

    Regarder en Rugby ou au foot US on n'a jamais utilisé la vidéo pour corrompre l'arbitre ( enfin je pense j'en est jamais entendu parlé ! )
  • Toujours pas d'articles de fond dans la presse sur l'expérimentation (fructueuse ou non) des 2 arbitres de lignes de but en Europa Cup ?
  • Non moi je veux pas parler de corruption, mais plus de fluidité du jeu...
    Quant tu prend le rugby il y a quand même plus de temps mort qu'au foot, le jeu est plus haché...
    Je crois que la vidéo au foot nuierai à la fluidité du jeu...
  • Y en a qui n'ont toujours pas compris dans quelle mesure la vidéo devrait être intoduite dans le foot. I-)
  • sedna a écrit, le 2009-11-19 08:17:28 :
    Toujours contre la vidéo et le match d'hier soir me conforte dans mon opinion.
    Cela peut paraitre paradoxal, mais j'ai remarqué qu'hier, le ralenti n'a été diffusé qu'à partir du moment ou le but a été validé, sans doute pour ne pas montrer d'images sur les écrans géants du stade avant la prise de décision de l'arbitre (c'est d'ailleurs sans doute une consigne qui leur est donnée). Les réalisateurs montrent ainsi l'attention qu'ils peuvent porter à l'interprétation qui peut être faite de leurs images.
    L'arbitrage vidéo pose le problème de l'indépendance de la réalisation de ces images. Non seulement il faut que l'arbitre visionneur soit indépendant, ce qui ne pose sans doute pas de problème, mais il faut également que ceux qui fournissent les images et bien sûr les sélectionnent le soient aussi. Dans certains cas, suivant les angles de prises, ces images peuvent êtres trompeuses. On peut ainsi essayer de duper l'arbitre dans le but de favoriser une équipe nationale par exemple. La présence d'arbitres de surface me semble bien plus efficace, même si elle ne s'appuie que sur des hommes.
    La vidéo, malgré son habillage technologique n'élimine pas les erreurs liées au facteur humain, mais au contraire peut les multiplier.

    Comprends pas. Là tu ne parles pas de vidéo, mais tu déplaces le problème à la bidouille et à la corruption. Je vois pas trop le rapport en fait.
  • Je n'ai pas parlé de corruption, j'ai dit simplement que l'arbitre pouvait être abusé (et non corrompu) par une présentation partisane (tout à fait envisageable si les producteurs d'image ne sont pas indépendants) des images vidéo.
    Je parle bien évidemment de vidéo, même si je n'ai pas développé ce qui dans les défauts inhérents à cette technique peut permettre d'abuser le jugement d'un arbitre. (angles de prises de vue, champ de vision restreint de l'oeil de la caméra, montage des images ou simple transition entre plusieurs caméras, altération de la chronologie etc.)
  • Pour vincenet, je re-poste ce super article des CdF qui date de janvier 2009, mais qui nous présente les premières expériences d'arbitrage à 5 comme étant probantes.

    ludo2607 a écrit, le 2009-01-13 15:03:05 :
    En complément de l'article publié par le tabloîd ( :-& ) cité ci-dessus par la vache, voici un article très interessant qui fleure bon le vrai journalisme d'expertise:

    Source: CdF

    QUINTETTE AU CARRÉ
    Jérôme Latta - lundi 12 janvier 2009

    Les tests de l'arbitrage à cinq sont probants, et accueillis avec enthousiasme. Il était temps.
    Peut-être que l'hystérie anti-arbitrale, à force de tourner en rond, laissait finalement des boulevards aux bonnes volontés... Il fallait juste que la FIFA et l'UEFA sortent de leur torpeur: à défaut de daigner produire une argumentation contre la vidéo, la confédération de Platini a relancé les expérimentations avec l'aval de celle de Sepp Blatter. L'accueil très favorable fait à "l'arbitrage à cinq", testé à l'occasion du championnat d'Europe des moins de dix-neuf ans (après deux pré-tests lors des tournois qualificatifs en Slovénie et en Hongrie), montre en effet qu'il était plus que temps...


    À Chypre, en plus de l'arbitre central et de ses deux assistants, deux arbitres "additionnels", de même statut que le central, ont évolué chacun derrière une ligne de but (entre le poteau de corner et la cage), avec la possibilité d'empiéter brièvement dans le champ de jeu. Tous sont reliés par micros et oreillettes afin d'accélérer la communication.

    http://www.cahiersdufootball.net/images2/2009_01/arbitrage_cinq.jpg
    Photo UEFA.


    Bilan déjà positif
    Les arbitres français qui ont participé à l'expérience en ont souligné les avantages en termes très positifs: une meilleure supervision des actions, un effet manifestement dissuasif sur les joueurs, une plus grande sérénité pour l'arbitre central, l'avantage aux attaquants... Dans le champ, détenteur du sifflet, Tony Chapron a ainsi ressenti l'utilité du système pour deux actions décisives dans la surface géorgienne du match Danemark-Géorgie, correctement jugées: un penalty non sifflé et un but accordé (rapporté par L'Équipe).

    Pour Saïd Ennjimi, "les difficultés actuelles sont plus du niveau technique" (Aujourd'hui Sport), s'agissant par exemple de trouver la juste position (1 et voir les schémas des deux options), tandis que son collègue Olivier Thual remarque la gêne suscitée par une attitude statique inhabituelle. Les joueurs ont insisté sur l'efficacité des avertissements verbaux (par exemple sur les coups de pied arrêtés) et sur l'impression que les fautes ne pouvaient plus être impunies dans la surface. Responsable des arbitres de l'UEFA, Yvan Cornu se montre optimiste: "À ce jour, nous n'avons pas encore constaté d'aspect négatif, qui aurait pu créer des complications ou des problèmes" (uefa.com).


    Couverture mutuelle
    Au vu de retours d'expérience aussi encourageants, et sans omettre les difficultés de cette réforme (lire plus bas), une évidence s'impose tardivement: un seul arbitre de champ ne peut couvrir à lui seul une aire de jeu sur laquelle les joueurs courent de plus en plus vite et de plus en plus longtemps. Surtout en comparaison de sports collectifs dont le terrain, bien plus petit, est pourtant supervisé par un collège arbitral entier.

    L'examen des situations qui favorisent les mauvaises interprétations de l'arbitre montre qu'il faut être placé face aux joueurs pour mieux apprécier les actions offensives, en particulier celles qui se déroulent dans la surface. Dans le même ordre d'idée, s'il convient de "faire le ménage" dans les seize mètres sur les coups de pied arrêtés, une paire d'yeux n'y suffira jamais. Les assistants qui ont officié à Chypre ont convenu qu'ils ont pu se consacrer beaucoup plus efficacement à la gestion des hors-jeu et des lignes. Infiniment mieux quadrillée, la pelouse présentera en tout cas beaucoup moins d'angles morts et de zones de non-droit.

    Oublier les arbitres
    La principale objection émise contre ce système (2) concerne la difficulté de concilier deux façons d'arbitrer. L'idée selon laquelle les arbitres devraient avoir chacun leur style perdure inexplicablement, alors que tout le monde convient par ailleurs qu'il s'agit d'harmoniser l'arbitrage afin d'assurer l'équité des décisions, de donner des repères clairs aux joueurs et de donner moins prise à la polémique. Le but est bien que les arbitres se fassent enfin oublier, sur le terrain et dans la tribune de presse.

    Toutefois, la difficulté est bien réelle: "Le système pose le problème de la coopération de l'équipe arbitrale. Il s'agit de bien se coordonner pour savoir qui fait quoi et à quel moment, car l'arbitre additionnel peut souvent avoir une influence décisive sur le résultat d'un match", résume Olivier Thual, tandis que Bertrand Layec évoque "de nouvelles formations pour les arbitres" et des "protocoles précis pour définir les interventions de chacun et la communication entre eux" (La Croix). Malgré tout, des arbitres professionnels devraient parvenir à intégrer cette nouvelle donne qui facilite en grande partie leur tâche, et à composer des quintettes complémentaires.

    Médecine douce
    L'enthousiasme ambiant (il est même question d'un essai en finale de la Coupe de la Ligue) contraste avec l'indifférence qui avait accueilli les tests du "double arbitrage" (deux arbitres de champ), au début des années 2000. Leur abandon en catimini avait confirmé que la FIFA ne s'intéressait pas vraiment à la question. Les médias spécialisés avaient entretenu l'idée que l'expérience n'avait pas été probante, alors que les conclusions étaient plutôt encourageantes. Mais les arbitres eux-mêmes, peu enclins à partager leur paradoxal vedettariat, et alors soumis à une pression moindre, n'avaient pas plus défendu cette solution.

    On a donc toutes les raisons de penser que la mesure permettrait d'éviter la majorité des erreurs patentes et de faire chuter le taux de bourdes à scandale (3). Avant même de commencer à envisager la "solution" vidéo – qui pose des problèmes inextricables dès que l'on se penche sur ses conditions d'application, et qui aurait des conséquences profondes sur le jeu lui-même – le simple bon sens recommandait de faire progresser l'arbitrage "humain".
    Le Board décidera en février de la poursuite d'une expérience soutenue politiquement par Michel Platini. En espérant que les bonnes volontés seront encore au rendez-vous, car comme le souligne Bertrand Layec: "Plusieurs saisons me semblent nécessaires pour une mise en place correcte, avec pourquoi pas l'Euro 2012 pour horizon"...



    (1) Deux options doivent être comparées: l'arbitre additionnel se tient du côté de l'assistant, ou bien du côté opposé à celui-ci (voir les schémas ci-dessous).
    (2) Comme on l'a toujours dit ici, l'autre argument du "football à deux vitesses" (du fait de l'impossibilité pour le football amateur de bénéficier de cette mesure, faute de moyens) ne tient pas devant les innombrables différences entre les deux mondes. Le meilleur service que les professionnels peuvent rendre aux arbitres amateurs, c'est de cesser d'en faire systématiquement des cibles de vindicte populaire.
    (3) Malheureusement, il restera à gérer toutes les "erreurs" fantasmées, à chaque fois qu'un spécialiste présumé refuse de comprendre que la plupart des controverses résultent inutilement d'actions que l'on peut interpréter de différentes manières. C'est-à-dire toutes ces actions que l'arbitrage vidéo sera particulièrement incapable de gérer sans susciter des "scandales" démultipliés.




    Deux options

    Système classique
    L'arbitre de champ se déplace en diagonale afin de rester en opposition avec les assistants. Inconvénient: les arbitres additionnels se retrouvent du côté des assistants pour les actions dans la surface.

    http://www.cahiersdufootball.net/images2/2009_01/arbitrage_cinq_s...

    Système triangulaire
    Cette fois, les additionnels sont placés en opposition avec les assistants. L'arbitre central, lui, doit se déplacer de façon plus complexe (suivant une "ondulation") afin d'optimiser sa position par rapport au jeu. Cette solution a eu la préférence des arbitres français: plus exigeante physiquement, elle permet de mieux réduire les angles morts.

    http://www.cahiersdufootball.net/images2/2009_01/arbitrage_cinq_s...

    Ndludo: Personnellement, il me semble vraiment que la deuxième option soit la plus efficace.
  • Bon, ben si ca marche (en fait j'avais déjà lu cet article, j'aurais aimé avoir un retour sur l'application des 5 arbitres en Europa League, mais merci quand même !), pourquoi on ne le met pas en place de suite ?

    Ce serait cool si ca pouvait être fait pour la coupe du monde, je ne sais pas si c'est à l'ordre du jour :-/
  • Vu les pénuries d'arbitre en France, je crois qu'on est pas prêt de le voir débarquer. ;)
  • Je suis favorable à la vidéo mais pour les actions les plus litigieuses.
    Il est évident qu'on ne va pas s'en servir pour la moindre touche et une simple faute dans le jeu,mais par contre elle serait nécessaire pour valider ou non un but si le doute existe au sujet d'un éventuel hors jeu,d'une faute de main ou pour savoir si la balle a franchi entièrement la ligne.
    Il est totalement incompréhensible que le sport le plus populaire au monde,soit un des seuls qui ne s'aide pas de la vidéo,alors qu'on la trouve dans le rugby,le tennis,ect..
    On ne peut pas continuer ainsi car le football va de plus en plus vite et que les hommes en noir ont parfois du mal à suivre,mais attention je ne mets pas tout sur le dos de ces derniers non plus car il est humain de faire des erreurs,mais par contre une aide semble nécessaire à présent pour le bien de tous et l'avenir de ce sport.
  • Avant de se lancer dans un arbitrage coûteux et inégalitaire, qu'ils continuent le développement de l'arbitrage à 5, et il y aura déja pas mal de contestations en moins.

    Un tel arbitrage aurait pu éviter ce but illégal de Gallas.
  • Les CDF sont partisans et à des années-lumières de l'objectivité. Ils sont contre la video, pour des raisons purement idéologiques. Et concernant le résumé du match, ils ont osé se servir de l'oubli de la main pour faire passer les irlandais pour des partisans de l'arbitrage à 5, pour éviter de venter les mérites de la vidéo.

    C'est comme demander à Greenpeace de faire un rapport conjoint sur les bienfaits du vélo et de la voiture.
  • murphy a écrit, le 2009-11-19 16:34:43 :
    Les CDF sont partisans et à des années-lumières de l'objectivité.

    Et toi, t'es objectif en disant ça ? O:)
  • En même temps, ils sont pas du genre à changer d'avis comme de chemise...

    Evidemment qu'ils sont partisans, ils le revendiquent. Et je suis partisan d'un arbitrage à 5. Comme je ne suis pas obligé d'être objectif, ça ne me pose pas de problèmes... :p
  • rachmaninov a écrit, le 2009-11-19 16:35:59 :
    murphy a écrit, le 2009-11-19 16:34:43 :
    Les CDF sont partisans et à des années-lumières de l'objectivité.

    Et toi, t'es objectif en disant ça ? O:)


    Je suis objectif en disant qu'ils ne le sont pas. Ils n'ont jamais fait un article ventant les mérites de la vidéo et passent leur temps au contraire à critiquer tout ceux qui osent se prononcer pour dès que l'un d'entre eux le dit ouvertement.
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