Le Racing et la DNCG
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athorUn chômeur et un joker sont autorisés, mais il est peu probable que la DNCG nous autorise à recruter. -
Ce que l'on appelle un joker médical? En cas de grosse blessure d'un gardien par exemple, si le club en fait la demande?
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l'économie faite sur les salaires de Bah et othon représente le salaire net mensuel de Plessis ( 20000 euros par mois d'après la presse) ! il a beau faire de grand discours lui touche son salaire fin de mois. Non seulement ils ont licenciés des salariés du club, mais en plus ils laissent de jeunes joueurs sur le carreau. Comment voulez vous a l'avenir que le racing recrute un joueur valable. le racing et gangréné et malheureusement j'ai peur qu'il faille l'amputer. J'ai aussi une grosse peur que fournier nous claque la porte au nez avant la fin de la saison, il ne doit pas apprécier du tous la situation, surtout pour les joueurs qu'il a emmenés avec lui.
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deadwing a écrit, le 2010-09-01 21:08:30 : Petite question : Un club a le droit d'effectuer un transfert entre août et janvier (le joker), mais combien a t'il le droit de recruter de chômeur ? Il me semblait que ce nombre n'était pas limité, mais je n'ai pas trouvé grand chose à ce sujet. Si quelqu'un avait des infos...
Le problème reste toujours le même "encadrement de la masse salariale". Les joueurs chômeurs il faudra les rémunérer une fois le contrat signé. -
Faudra quand même m'expliquer comment à 13 pros ils bouffent toute la masse salariale du racing. Sachant que les nouveaux sont pas super payés que je sache.
Là j'avoue que j'ai vraiment l'impression que la DNGC nous fait un coup de pute pour virer des patrons " hors sérail".
C'est tout. -
C claire ! Bon 16 Pros (faut pas oublier les blessés qui sont quand même salariés)...
Mais c tout de même hallucinant !!!
A Bastia, y a combien de contrat Pro ? Je me demande bien combien représente leur masse salariale ???
Apparemment demain Conférence de Presse à la Meinau, j'ai hâte dans savoir d'avantage...
A coup sûr les dirigeants vont faire les pleureuses :(
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Avec Plessis nous promettant qu'on ne descendra pas en national...
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On clairement pas tous les éléments du dossier pour comprendre les tenants et aboutissants de cette décision, car avec le départ de Bah Othon, on aurait au moins pu en qualifier un ou deux a minima. Il nous manque un élément d'explication.
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j 'ai tendance à rejoindre Hammerfitz quand il dit que la décision de la DNCG "vise" à faire partir les "londoniens"....de là à imaginer qu'il s'agit d'un coup monté.....moi j'y crois
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en plus quel silence de la mairie depuis quelque temps....étrange quand même
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gigi2 a écrit, le 2010-09-01 16:55:58 : on savait que la DNCG nous louperait pas, qu'on avait grillé nos jokers, l'an dernier à faire les malins
on sait que Thiriez souhaite le départ de nos dirigeaunts, tout comme une grande partie du monde du foot
Ok avec toi, mais en attendant la dncg pénalise surtout des joueurs qui n'ont rien à faire des querelles anglo féderation et qui se retrouvent aujourd'hui au chômage, et surtout un entraineur et des supporters qui paient l'incompétence et la connerie à l'état pure de nos dirigeants !!! -
N'y a t'il aucun recours contre cette décision funeste de la DNCG ?
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probablement devant le cnosf
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question d'éthique
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j'espere qu'ils vont rejouer le tube de l'hiver dernier, après la mafia alsacienne, la mafia nationale ....
du vent les Fontenla, Plessis, Hillali ... franchement faut en finir, c'est plus possible -
DNCG, DNCG, ON T'ENCULE
EDIT DE MODERATION: Ca vire à l'obsession là... -
A mon avis la DNCG n'a pas apprécié que le Racing, placé sous recrutement contrôlé, continue de recruter et de mettre des jouerus à l'essais de manière... incontrôlée justement. La stupidité et l'inconséquence des Fontenla, Hilali, Plessis et Witzel est d'avoir cru que cela passerait. (et on ne m'enlèvera pas de l'dée que le Ralphy est encore derrière toutes ces "arrivées" avrotées).
Il est plus que temps maintenant que cette bande de charlots débarassent le plancher. -
Inqualifiable !
La DNCG (1) d'appel de la Fédération a refusé hier de qualifier les cinq joueurs dont les contrats n'avaient pas été validés par son homologue de la Ligue de Football Professionnel. Le RCS saisira le CNOSF (2) dès aujourd'hui pour tenter d'inverser ce jugement.
C'était hier midi après l'entraînement. Alors que le Racing attendait encore le verdict de la DNCG d'appel de la Fédération, Laurent Fournier lâchait ce commentaire prémonitoire : « Il ne faut pas mentir aux gens. Si le groupe reste aussi restreint, je ne vois pas comment nous pourrions continuer à annoncer que nous jouons la montée. »
Deux bonnes heures plus tard, ses propos ont pris une tout autre résonance. La DNCG a confirmé la décision prise un mois plus tôt par son homologue de la Ligue de Football Professionnel : aucun nouveau contrat du RCS n'a été validé, malgré les départs en dernière minute, mardi, de Mamadou Bah (transféré pour 600000 euros à Stuttgart) et Quentin Othon (prêté sans option d'achat à Châteauroux). En clair, les cinq joueurs dans l'attente de leur qualification (Jérémy Abadie, Marcio, Anicet Eyanga, Jocelin Ahoueya et Yohan Betsch) sont désormais chômeurs. Le Mans et Besançon, eux aussi reçus avant-hier par le gendarme financier de la FFF, ont été pareillement sanctionnés.
A la Meinau, l'incompréhension est totale. D'abord chez Laurent Fournier, remonté comme une pendule. L'entraîneur se retrouve à la tête d'un groupe de 16 pros, dont seulement 13 valides (2) avant le périlleux déplacement de samedi (20h) à Bastia. « J'ai les boules pour ceux qui ne sont pas qualifiés. Je suis solidaire du club. Le budget présenté tenait la route. Le léger dépassement de masse salariale était rattrapable sur la saison. La DNCG se fout de la gueule du monde. C'est un scandale de mettre ainsi des joueurs au chômage. Une aberration. Le Mans (Ndlr : qui, selon le directeur sportif Jean-Luc Witzel, « possède 9 millions de fonds propres ») et Besançon ont eux aussi été sanctionnés. Je vais tout faire pour que le Racing remonte en L2. Même si l'effectif est juste en quantité, je vais me battre pour qu'il ne soit pas lâché à Noël, qu'il soit même dans les cinq premiers à la trêve et que grâce à un nouveau budget, nous puissions recruter au mercato d'hiver. Nous allons nous accrocher et ne pas lâcher. »
Dès aujourd'hui, l'avocat du RCS va saisir le CNOSF, chargé de missions de conciliation, mais dont les Fédérations ne sont pas tenues de suivre les recommandations. A 11h30, Jean-Claude Plessis, Jean-Luc Witzel et Laurent Fournier détailleront leur stratégie, chiffres à l'appui, en conférence de presse à la Meinau. Passablement abattu, le président accuse le coup (voir ci-contre). Pour lui, le verdict de la DNCG est inique. « Nous avons baissé la masse salariale de plus de 5 millions à 1,7 million. Désolé, je n'ai pas pu faire mieux. A quoi bon avoir fait partir Bah et Othon si c'était pour ne qualifier aucun joueur à leur place ? En intégrant leurs salaires de juillet et août et les quatre joueurs en attente de qualification, Betsch, Abadie, Marcio et Ahoueya (Ndlr : à l'évidence, le RCS ne compte pas sur Anicet Eyanga), nous dépassons la masse salariale autorisée de 7 %. Ça représente 150000 euros sur l'année. La masse salariale annuelle brute des quatre représente 165000 euros et le départ de Bah et Othon, une économie de 216000. Si nous ne sauvons aucun des quatre, nous serons même en dessous du plafond autorisé. Je ne comprends vraiment pas pourquoi la DNCG a été aussi sévère. »
Difficile de ne pas lier cette sévérité au comportement des nouveaux propriétaires londoniens lors de leurs précédents passages devant la DNCG de la Ligue de Football Professionnel. Pour les institutions du foot, l'arrogance semble avoir un prix. Malheureusement, ce sont les joueurs qui le paient.
Stéphane Godin
(1) Direction nationale du contrôle de gestion.
(2) Comité national olympique et sportif français.
(3) Gurtner, Donzelot, Outrebon, Sikimic, Pichot, Damour, Peuget, Genghini, Mbongo, Ketkeophomphone, Correia, Mathlouthi, Hadji. Brahmia, Ledy et Kébé sont blessés.
L'Alsace -
tout est dit dans l'article, arrogance contre pouvoir absolu d'emmerder, et boum dans le mur.....
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Les jours se suivent et se se ressemblent pas au Racing...
En espérant que les joueurs en place ne vont pas se démobiliser ! -
Il y a trois semaines, la DNCG avait validé un certain nombre de contrats jugeant qu'ils cadraient dans l'encadrement de masse salariale fixé.
Depuis, le Racing s'est séparé de deux joueurs. Cette masse salariale a donc diminué d'autant.
Il est incompréhensible que suivant la même logique, au moins deux des contrats en attente ne soient pas validé.
Que s'est-il passé entre temps pour que la DNCG revoit les règles qu'elle avait imposé de façon plus sévère.
Changer les règles au cours du jeu, c'est ce qui s'apparente le plus à un abus de pouvoir.
Aujourd'hui le Racing doit se mordre les doigts d'avoir fait partir Bah et Othon. Il se retrouve affaibli et dans une situation plus délicate qu'au début août. Heureusement encore qu'on ait gardé Pichot, son transfert n'aurait visiblement rien changé à la position de la DNCG.
Si on avait voulu tuer le club, on ne s'y serait pas pris autrement.
Le Racing est visé pour faire un exemple, ce n'est pas le première fois que ça lui arrive. Il fait sans doute une cible parfaite. Assez gros pour marquer l'attention, trop insignifiant pour que sa mort soit regretté.
Au delà des dirigeants actuels, quelque soient leur arrogance et leur incompétence, il y a derrière des joueurs, des jeunes, toute une région de football.
Punir les dirigeants, certes. Mais tuer le club pour cela, c'est honteux.
Mes pensée vont aux joueurs privés de contrat en particulier à J. Abadie, jeune issu de la formation à qui on avait promis de longue date le statut professionnel. Je pense aussi aux salariés ceux qui vont devoir partir et ceux qui restent encore. Ils sont les premières victimes de ce combat de Titan qui les dépassent. -
sedna a écrit, le 2010-09-02 08:26:29 :
Depuis, le Racing s'est séparé de deux joueurs. Cette masse salariale a donc diminué d'autant.
Il est incompréhensible que suivant la même logique, au moins deux des contrats en attente ne soient pas validé.
Que s'est-il passé entre temps pour que la DNCG revoit les règles qu'elle avait imposé de façon plus sévère.
Changer les règles au cours du jeu, c'est ce qui s'apparente le plus à un abus de pouvoir.
Au moment où Plessis s'est pointé devant la DNCG le 31 dans la journée, les deux départs n'étaient pas actés. Othon a du foncer depuis Châteauroux jusqu'à la poste du Louvre à Paris pour poster son contrat avant minuit. Bah, ça s'est fait un peu plus tôt mais le temps que les papiers transitent de Stuttgart au DFB puis à la FFF, le document n'était certainement pas sur la table au moment où la DNCG a pris sa décision. Pas de départs = pas d'homologation, la règle n'a pas changé.
Si Bah avait été transféré à Stuttgart le 29 ou le 30 au lieu de s'enliser dans la piste Blackpool et si le club s'était rendu compte que ça ne servait à rien de se séparer gratos de notre meilleur joueur in extremis, notre effectif aurait une autre gueule aujourd'hui. Ah oui, mais notre directeur sportif est un véritable champion du monde (+) -
Ce qui est emmerdant dans cette histoire, c'est que le Racing perd sur les deux tableaux, celui ou il perd deux joueurs dont la vente et le prêt n'était pas une obligation ordonnée par la DNCG et celui où il ne peut pas les remplacer par deux autres joueurs si on se place d'un point de vue purement comptable en nombre de joueurs, voir plus si on se base sur un point de vue comptable en masse salariale.....
Partant de ce point de vue, il n'y aura pas de miracle à attendre pour une éventuelle montée en L2... -
kibitz a écrit, le 2010-09-02 07:12:33 : Les jours se suivent et se se ressemblent pas au Racing...
Ouais enfin non, t'as pas lu le show de Jaffar sur la Stamm hier soir...
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