Strasbourg est-elle une ville de foot ?
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rachmaninovC'est vrai que j'ai l'impression que le public meinauvien, vient surtout des alentours de Strasbourg et de toute l'Alsace plutôt que de Strasbourg-centre. Peut-être parce qu'il y a moins d'Alsaciens à Strasbourg ?
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c'est normal car dans les petits villages le foot est implanté dans les coutumes, car souvent c'est la seule activité; à strasbourg, il y a bcp d'autres activités.
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je suis totalement d'accord avec racha et les autres la majorité des spectateurs vient des villages; et celà qd on est 12000 ou 27000.
je sais pas pour les autres villes mais je crois qu'une bonne partie du Sud supporte marseille et encore plus les villes les plus proches ( exemple avec Istres dont la majorité de la population supporte l''om)
je ne sais pas si il ya en France un club qui fédère vraimment une ville et non pas un région ou un département. -
guigues a écrit : je suis totalement d'accord avec racha et les autres la majorité des spectateurs vient des villages; et celà qd on est 12000 ou 27000.
je sais pas pour les autres villes mais je crois qu'une bonne partie du Sud supporte marseille et encore plus les villes les plus proches ( exemple avec Istres dont la majorité de la population supporte l''om)
je ne sais pas si il ya en France un club qui fédère vraimment une ville et non pas un région ou un département.
St-Etienne...
sinon heu... Angers? 
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Je suis bien d'accord avec Rachma. La majorité du public Meinauvien vient de la campagne , pas de Strasbourg même.
IL n'y a qu'a voir les bouchons sur l'A35 pour s'en persuader.
J'ai aussi constaté ça lors de ma scolarité "Strasbourgeoise" ou peu de mes camarades étaient pour le RCS, comparé a ma pèriode "campagnarde" ou bons nombre des mes camarades allaient a la Meinau de façon récurrente. -
Bon... ben jcrois que pour le retour de la ferveur et du public c'est rater pour cette saison... Encore une saison qui va faire du mal pour les deux suivantes point de vu public... Et une désilusion une! Même quand les ambitions sont modestes, le Racing arrive à nous faire pire...
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Dans "on refait le match" et "prolongation" de ce soir:
Bon pour les journalistes sportifs de RTL ( loin d'être de brillants spécialistes
) Strasbourg semble être une ville de foot...
Quelques citations qui méritent quand même réflexion:
" Strasbourg est une de ces villes de foot où la pression sur les résultats est énorme" " le public alsacien est très impatient"
" Strasbourg fait partie de ces vielles villes de foot comme St Etienne où l'on se réfugie dans le passé pour trouver des solutions (...)" -
J'entends rarement les medias papiers et télés parler du titre de 79 et des coupes 97et 2001... Par contre St-etienne c du réchauffé ts les jours a ttes les sauces!
Au passage je me permets aussi de rajouter qu'il y a aussi bcp d'allemands qui viennent a Strasbourg le week-end juste pour le grand racing ;p -
kknd a écrit : J'entends rarement les medias papiers et télés parler du titre de 79 et des coupes 97et 2001... Par contre St-etienne c du réchauffé ts les jours a ttes les sauces!
Au passage je me permets aussi de rajouter qu'il y a aussi bcp d'allemands qui viennent a Strasbourg le week-end juste pour le grand racing ;p
Ben oui c'est plutot rare, la dernière fois qu'ils en ont parlé c'était.... le 18 octobre 2003... Mais aussi que le palmarès de l'ASSE et du Racing ne sont pas vraiment comparable et peut être aussi que les exploits de l'ASSE ont bien plus marqué la France dite de "l'intérieur" que ceux du Racing, club du fin fond de l'est et d'une région à forte identité...
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N'empêche depuis le retour de Duguépéroux et la victoire contre Nice, on nous le ressort en peu plus... Petites alusion à 79 ça et là, au Racing des années 90 par ci... Dans le dernier France Football du 26/10:
" Duguépéroux ne cherche même pas à se raccrocher à un signe quelquonque, lui qui, un peu par superstition, a enmené ses joueurs en mise au vert dans l'hôtel où il se rendait avec le Racing des années glorieuses, celui du titre de champion en 79." Plusieures anecdotes sur le match du titre (0-3) par la suite....
On a reparlé aussi du titre dans " on refait le match"... -
Trouvé dans les archives de l'Alsace ( 14 Avril 1997)
"HISTORIQUE pour le Racing. Dix-huit ans que le club n'avait pas gagné un titre national. La victoire contre Bordeaux en finale de la Coupe de la Ligue met donc fin à une longue traversée du désert. Une traversée qui n'était pas passée par les oasis, pour reprendre une expression d'un ancien maire... de Bordeaux, Jacques Chaban-Delmas. Descente en deuxième division, comptes criblés de dettes, erreurs de gestion, succcessions successives et difficiles... Le feuilleton Racing a plus que souvent déçu ses supporters. La finale de la coupe de France 1995 et la campagne européenne 1995-1996 sont les deux seules lueurs dans un ciel marqué par la grisaille. Enfin, le Racing étoffe son palmarès d'un quatrième trophée. Enfin, le Racing va entamer une campagne européenne - la huitième - par la grande porte. L'attente est à l'image inverse du Racing. Strasbourg est historiquement une place forte du football français. Chacun se plaît à observer que la fréquentation y est bonne, que le public y est chaleureux et dévoué. « Si je ne m'étais pas installé à Marseille, je serais venu à Strasbourg », clamait Bernard Tapie, il y a quelques années. Strasbourg qui figure parmi les clubs qui comptent le plus de saisons en première division doit donner un avenir à son passé. Il faut impérativement confirmer demain l'exploit d'hier. La victoire en finale de la Coupe de la Ligue n'est pas une fin en soi. Elle doit être la première pierre d'un édifice solide. Les bases d'un grand club qui sait se maintenir au sommet. Le maire de Strasbourg a lancé le mouvement en faisant passer le club d'une société d'économie mixte à une société anonyme à objet sportif. Roland Weller, un des principaux artisans de la renaissance du club, y a laissé ses illusions mais, beau joueur, affirme qu'il « ne sera pas une gêne » pour le nouveau président Patrick Proisy, représentant de McCormack. Aujourd'hui même, le conseil municipal doit entériner la cession des parts de la Ville à McCormack. Tout n'est pas conclu alors que le temps presse. Il faut notamment règler l'épineux problème de la société omnisports. Elle doit obligatoirement hériter de 33 % des parts. Reste à les trouver et surtout à les payer. Les tractations entre Proisy, la mairie, et Andre Bord, le président du Racing Omnisports se poursuivent. Pierre Rapin, détenteur de 21 % des parts, est, comme l'ensemble des actionnaires privés, encore dans l'expectative : « Je reste sur ma position. Je vendrai mes parts à leur valeur nominale à la Ville ou l'omnisports mais si je dois les vendre à McCormack, même par l'intermédiaire de l'omnisports, ce sera le prix fort : 8 millions ». Soit huit fois la valeur nominale. La situation du club est encore loin d'être claire. Chaque jour passé est un retard accumulé. Chaque tergiversation, un manque à gagner sur les dividendes de la victoire contre Bordeaux. -
chris68 a écrit : « Si je ne m'étais pas installé à Marseille, je serais venu à Strasbourg », clamait Bernard Tapie, il y a quelques années.
Ouffff, on l'a échappé bel alors
:))
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Oui c'est sûr, on a eu Proisy à la place :))
Entre la peste et le choléra... -
Mais celà prouve bien que Strasbourg a bien quelque chose que beaucoup d'autres n'ont pas...
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aragon a écrit : Oui c'est sûr, on a eu Proisy à la place :))
Entre la peste et le choléra...
enfin quand on compare les palmares des 2 hommes...j'aurais prefere avoir tapie... -
chris68 a écrit : Mais celà prouve bien que Strasbourg a bien quelque chose que beaucoup d'autres n'ont pas...
Ouais, à Strasbourg y a des "si", c'est vachement glorifiant... -
kibitz a écrit : chris68 a écrit : Mais celà prouve bien que Strasbourg a bien quelque chose que beaucoup d'autres n'ont pas...
Ouais, à Strasbourg y a des "si", c'est vachement glorifiant...
Ben c'est déjà pas si mal! :p
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Je remonte un ancien sujet, car il y a un article fort intéressant sur ce sujet surspiegel.de
Je vous mets l'article : (encore en allemand, le Stub est un site multilingue :p )
FUSSBALL-TRISTESSE IN FRANKREICH
Mein Abend mit den EM-Miesepetern
Der Fußball hat in Straßburg einen schweren Stand: Der örtliche Club ist abgestiegen, sogar die Europameisterschaft lässt die Einwohner kalt. Christoph Ruf hat sich die Tristesse angesehen - und doch noch die letzten wahren Fans der Stadt entdeckt.
Straßburg - Kein Public Viewing in Straßburg. Nicht in der Innenstadt, und nirgendwo sonst. Davor kann man spätestens am Quai des trippiers ("Kuttelgasse" besagt das zweisprachige Straßenschild) nicht mehr die Augen verschließen. Schon der dritte Einheimische in Fanklamotten verkündet die gleiche traurige Wahrheit: Fast keine Kneipe hätte zur EM einen Fernseher aufgestellt, und die Stunde der Großbildleinwand werde hier so bald nicht schlagen. "Wenn wir Glück haben, stellt die Stadt beim Viertelfinale etwas auf die Beine", meint Julien, "Sie müssen verstehen, Straßburg und der Fußball stehen zur Zeit auf Kriegsfuß. "Wegen Racing?" "Et oui."
Der Racing Club de Strasbourg, seit Menschengedenken fußballerisches Aushängeschild des Elsass, hat es in der vergangenen Saison geschafft, seine Fans gründlich zu enttäuschen. Nach einer starken Hinrunde verlor das Team in der Rückrunde fast jedes Spiel. Und stieg konsequenterweise ab. "Fait chier", sagt Julien.
Während man in Deutschland behauptet, dass einen etwas ankotze, fühlt sich der Franzose bei vergleichbaren Anlässen "zum Scheißen" veranlasst - gemeint ist das Gleiche. Julien ist tief enttäuscht von seinem Lieblingsclub, der Nationalmannschaft traut er jedoch einiges zu. Auch wenn er vom Trainer, Raymond Domenech, so rein gar nichts hält. Auch der regt offenbar die Verdauung an.
Kein Poldi weit und breit
Wo es in Deutschland gelang, aus einem dritten Platz bei der WM ein "Sommermärchen" und aus Spielern wie Podolski und Schweinsteiger Werbe-Ikonen zu machen, fehlen in Frankreich seit Jahren Identifikationsfiguren. Kein "Poldi" oder "Schweini" weit und breit. Seit "Zizou", der offiziell Zinedine Zidane hieß, abtrat, bekam auch kein Nationalspieler mehr einen Kosenamen verpasst.
MEHR ÜBER...
Racing Straßburg Raymond Domenech Zinedine Zidane Kléberplatz (Straßburg)
zu SPIEGEL WISSEN Wie auch, wo doch ein aseptischer Miesepeter als Nationaltrainer darüber wacht, dass bloß kein Spieler einmal mehr als drei Floskeln absondert. Identifikation mit einer Mannschaft kann so nur schwerlich entstehen. Kein Wunder, dass Beobachter landauf, landab vergeblich nach der EM-Begeisterung in Frankreich fahnden.
An der Place Kléber, dem zentralen Platz in der pittoresken Innenstadt, scharen sich die Passanten um eine Gruppe von Musikern, die Klezmer-Musik spielt. Touristen legen in den Cafés ein Päuschen ein und stöhnen über die Hitze - ein Café hat sogar im Freien einen Ventilator aufgestellt. In Marseille, dieser einzig fußballverrückten französischen Stadt, würden die Menschen jetzt den dritten Pastis mit Eiswasser bestellen. Vor allem aber wären sie seit einer halben Stunde im Bistro um die Ecke.
Lähmende Stille
Hier in Straßburg findet man noch bequem einen Sitzplatz, wenn man pünktlich zum Anpfiff in einer der Bars erscheint, die mit einem "écran géant" (Riesenbildschirm) werben. Gegenüber vom historischen Stadtmuseum, am "Quai des bières", hat der Wirt ein Frankreich-Trikot angezogen - er ist der Einzige, der sich auf den ersten Blick als Fußballfan zu erkennen gibt.
Doch auch an den anderen Tischen wird mitgefiebert - ein bisschen immerhin. Leider bietet das seltsam uninspirierte Spiel nicht den geringsten Anlass zu Gefühlsausbrüchen. Die rumänische Mannschaft träumt schon 90 Minuten vor dem Abpfiff vom 0:0, die französische agiert so ideenreich wie ein Komapatient - da legt sich nach 20 Minuten lähmende Stille über die Bar.
Umso lauter fällt eine Gruppe Studenten auf, die den fatalen Fehler macht, amerikanischen Kommilitoninnen den Soccer näher bringen zu wollen. Deren angeregtes Geschnatter stört einen übel gelaunten Mittzwanziger am Nachbartisch. Doch auch er behält seinen Unmut für sich. Konsequenterweise - schließlich hat er sich in Frakturschrift "Il Silencio" auf den Unterarm tätowieren lassen. Halbzeit.
Im "Molly Malone's" weiß man, was sich gehört. Auch zur EM wird die Happy Hour nicht außer Kraft gesetzt. Wegen des deutlich erhöhten Publikumsverkehrs fließt das Pint Guinness aber in Plastikbecher. Marc-Kevin hat sich ein Trikot der Verteidiger-Ikone Lilian Thuram übergezogen - er ist einer von dreien, die ihr Bier in Fanutensilien trinken. Auch Marc Kevin ist gelernter Racingfan und hat sich eigentlich heute Abend auf ansehnlichen Fußball gefreut: "Endlich mal, habe ich gedacht. Wissen Sie, ich wohne zwei Minuten neben dem Stadion. Aber selbst ich bin am Schluss nicht mehr zu den Racing-Spielen gegangen. Trotz Dauerkarte." Und die Nationalmannschaft? "Die spielen genau so weiter", sagt er, "Domenech hat denen jeden Esprit abtrainiert."
Marc-Kevin behält Recht. Auch der Kommentator auf "M6" ist hörbar froh, dass er immer wieder auf ein Gewinnspiel hinweisen kann. In der 80. Minute reißt auch ihm der Geduldsfaden: "Ich hatte Sie gewarnt, liebe Zuschauer, dass Sie bei diesem Spiel Geduld brauchen werden."
Atempause. "Sie brauchen sogar sehr viel Geduld." -
Oui mais moi j'ai "un peu"( ) de mal avec l'allemand, pourtant cet article a vraiment l'air interressant.
Donc si quelqu'un pouvait traduire l'essentiel, ce serait vraiment sympa.
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Je vais essayer de vous traduire ce qui est en gras, ça doit être le plus important :
arbo a écrit, le 2008-06-10 17:23:47 : Der Fußball hat in Straßburg einen schweren Stand: Der örtliche Club ist abgestiegen, sogar die Europameisterschaft lässt die Einwohner kalt. Christoph Ruf hat sich die Tristesse angesehen - und doch noch die letzten wahren Fans der Stadt entdeckt.
traduction : Le Football à Strasbourg vit un moment difficile : le club local est descendu, et l'Euro 2008 laisse les habitants indifférents. Christoph Ruf a pu voir cette tristesse, et a pu rencontré les derniers vrais fans de la ville.
Der Racing Club de Strasbourg, seit Menschengedenken fußballerisches Aushängeschild des Elsass, hat es in der vergangenen Saison geschafft, seine Fans gründlich zu enttäuschen. Nach einer starken Hinrunde verlor das Team in der Rückrunde fast jedes Spiel. Und stieg konsequenterweise ab. "Fait chier", sagt Julien.
traduction: Le Racing Club de Strasbourg (j'arrive pas à traduire les détails) a réussi durant la dernière saison à décevoir ses fans (en réalité, c'est plus que ça :( ). Après un bon premier cycle aller, le Racing a perdu presque tous ses matchs durant la phase retour. Et en conséquent descent. "Fait chier", dit Julien.
der Wirt ein Frankreich-Trikot angezogen - er ist der Einzige, der sich auf den ersten Blick als Fußballfan zu erkennen gibt.
traduction : Il a mis un maillot de l'Equipe de France - il est le seul, qui se reconnaît immédiatement comme un fan de football.
Pour le reste, je le ferai un autre jour si j'ai le temps, à moins que quelqu'un ne le fasse à ma place. (En fait, y'a google traduction, mais je doute que la traduction soit française :D ) -
Merci beaucoup rcstrasbourg67. (+)
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klaus a écrit, le 2004-10-30 16:42:58 : chris68 a écrit : « Si je ne m'étais pas installé à Marseille, je serais venu à Strasbourg », clamait Bernard Tapie, il y a quelques années.
Ouffff, on l'a échappé bel alors :))
On aurait peut être gagné une coupe d'Europe mais cela ne nous intéresse pas .
Sinon je pense que Strasbourg est plus piscine que foot . -
Voire volley ou basket!!! :)) :))
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Strasbourg est-elle une ville de foot -> c'est une excellente question !
Hier soir je suis parti du boulot un peu avant 18h. Donc plutôt que de rentrer chez moi et louper une partie du match france - roumanie, j'ai donc cherché un endroit en ville pour voir le match et j'ai été halluciné par l'indifférence générale qui régnait à strasbourg... pas de vitrines au couleur de l'équipe de france, quelques timides drapeaux par ci par là sur les balcons, aucun engouement, et rien d'organisé de la part de la ville (bon ca commence à etre une habitude et le changement de municipalité ne change quedalle la dessus).
C'est fou quand on pense à la ferveur qui règne à Kehl, qui diffuse plein de matchs sur écran géant et d'ailleurs c'est le cas partout en allemagne ! et en France, à Paris, y'a même eu la diffusion de la finale de roland garros et ca a eu un grand succès !
bref je comprends pas, moi je trouve ça génial de se retrouver avec plein de monde devant un écran géant pour partager le match... apparement à strasbourg en tout cas, et vu le peu de monde dans les bars, les gens préfèrent regarder pépère chez eux... décidemment je trouve, une fois de plus, que ca bouge pas autant que ca le devrait à strasbourg !
D'ailleurs cette article allemand a bien remarqué ce manque de ferveur et cette sorte d'apathie à Stras... -
Je pense qu'ailleurs en France c'est pareil pour l'euro , très calme . Ils pensent qu'on a aucune chance.
Sinon c'est le tempérament alsacien , on s'excite moins .
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