Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

FC Saint-Louis Neuweg

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Flux RSS 134 messages · 20.394 lectures · Premier message par samh · Dernier message par pepito

  • Ce qui serait vraiment la moindre des choses [-o
  • Jean-Paul Pfertzel, actuel secrétaire général du FC Saint-Louis Neuweg, prendra la présidence du club dès la saison prochaine. D'ailleurs, peut-être que son fils Marc sera tenté de le rejoindre et de terminer sa carrière dans le Haut-Rhin à la fin de son contrat actuel qui court jusqu'en juin 2014. Ce n'est qu'une hypothèse mais je ne manquerais pas de lui poser la question quand je croiserais son père.
  • Si sa première mesure pouvait être de supprimer les vuvuzelas, il aurait toute notre gratitude :D
  • Possible, car c'est le président actuel, M. Pierre Fichter, qui a mis ça en place sur les gros matchs en Coupe de France. La première fois cela devait être en 2009-2010 lors de la victoire contre le BRC si mes souvenirs sont justes.
  • Grosse surprise ce matin à la lecture de l'Alsace:

    Pierre Fichter reste à la présidence

    À la demande express des joueurs de l'équipe première du FC Saint-Louis/Neuweg (CFA2), le président Pierre Fichter a finalement décidé de conserver ses fonctions. Jean-Paul Pfertzel, qui n'est pas parvenu à faire passer son message auprès du groupe, a d'ores et déjà quitté le club.

    Coup de théâtre au FC Saint-Louis/Neuweg ! Trois mois après avoir annoncé son propre départ de la présidence du club et quelques jours seulement après avoir lui-même officialisé le nom de son successeur Jean-Paul Pfertzel, Pierre Fichter a finalement décidé de faire machine arrière et de rester aux commandes du navire ludovicien. La raison d'un tel revirement ? De nombreuses et lourdes incompréhensions entre les joueurs de l'effectif seniors et le nouveau président. « Visiblement, les entretiens individuels ne se sont pas très bien déroulés, explique Pierre Fichter. Je suis un peu tombé des nues, toujours est-il que trois joueurs désignés comme les porte-parole du groupe sont venus me voir vendredi dernier et m'ont demandé de rester président. Parce que j'aime ce club, que je suis un passionné et que je ne voulais pas lâcher les garçons comme ça, j'ai accepté leur demande. »

    Au mois de février dernier, le chef d'entreprise ludovicien, à la tête du club depuis quatre ans, avait pris la décision de quitter le FC Saint-Louis suite à « de gros pépins de santé. » « Ce n'est pas encore la grande forme, mais ça reviendra » , poursuit celui qui devra désormais se passer des services de son ancien directeur sportif Jean-Pierre Pfertzel, lequel a préféré cesser toutes ses fonctions au sein du club.
  • Défaites sur tapis vert ?

    L'affaire risque de faire grand bruit. Le FC Saint-Louis/Neuweg pourrait perdre sur tapis vert le match de Coupe de France face au FC Mulhouse, ainsi que le bénéfice de sa victoire en championnat à Morteau. La raison : Liridon Limanaj a écopé d'un match de suspension, par révocation du sursis, comme c'est indiqué sur le bulletin officiel de la Fédération française publié dans la semaine du 23 au 29 septembre. Le hic est que le défenseur a été aligné à Morteau le 5 octobre, puis face au FCM le 12 octobre, sans qu'il ne purge ce match de suspension. Hier soir, Limanaj a été rayé de la feuille de match quelques minutes avant le coup d'envoi.

    L'Alsace
  • Le FC Saint-Louis perd quatre points en championnat sur tapis vert

    http://www.lalsace.fr/fr/images/18d80496-d441-4dc8-8d97-fa87a3c21...
    Liridon Limanaj lors d'un match face à Belfort Sud. Archives Vincent Voegtlin
    Comme cela était prévisible, le FC Saint-Louis Neuweg s'est vu sanctionné aujourd'hui par la commission des règlements de la Fédération française de football. Coupable d'avoir aligné le défenseur Liridon Limanaj le 5 octobre dernier face à Morteau en championnat de CFA2, alors que celui-ci était sous le coup d'une suspension par révocation du sursis.
    Le club frontalier a donc perdu le bénéfice de son succès initial (0-3), soit quatre points au total. De fait, battu 3-0 sur tapis vert, le club du président Pierre Fichter recule au 6e rang du classement général avec 15 unités à son compteur. Reste désormais à savoir si Saint-Louis conservera sa qualification pour le 6e tour de la Coupe de France (le FC Mulhouse, éliminé par les Frontaliers au 5e tour, a lancé une procédure compte tenu de la participation de ce même joueur à la rencontre). C'est cette fois la commission régionale des règlements et discipline (CRRD) qui tranchera ce jeudi. Sauf énorme surprise, le FCM devrait être débouté de sa demande.
    L'Alsace
  • Du mouvement à Saint-Louis Neuweg
    4/01/2014

    Toujours bien placé dans le groupe C mais déjà à dix points à mi-championnat sur le leader nancéien, le FC Saint-Louis Neuweg chamboule son effectif. Richard Da Sylva et David Pathinvo, arrivés cet été, quittent le Haut-Rhin. Sofiane Jennane (Belfort Sud) débarque chez le 5ème de CFA2. Le milieu de terrain offensif de 23 ans est notamment passé par Vannes et la réserve du Bétis de Séville.
    total sport
  • Lahcen Mounass quatrième recrue pour Saint-Louis
    Le recrutement se poursuit du côté du FC Saint-Louis Neuweg qui prépare sa première saison en CFA. Après les signatures de Axel Bidouzo (Jura Sud), Reda Bellahcene (Schiltigheim) et de Siegfried Aissi-Kede (FCM), c’est un autre Mulhousien qui s’engage avec le club frontalier.
    Il s’agit de Lahcen Mounass, défenseur (25ans) de nationalité marocaine. Passé par Jarville et Troyes B, Mounass portera les couleurs d’un troisième club alsacien après Sarre-Union et le FC Mulhouse.
    total sport
  • Saint-Louis Passé à tabac, le président du Football club démissionne
    Pierre Fichter, président du FCSL, passé à tabac mardi dernier par des joueurs et anciens joueurs, a décidé de démissionner de ses fonctions. L'ensemble de son comité fait de même, pour protester contre ces actes inqualifiables, qui ont fait l'objet d'une plainte.
    Alsace
  • Eh bien, pas la meilleure façon de débuter leur saison de CFA... :(

    Quand même étonnant, un passage à tabac ! Je me demande ce qui peut en être la cause ?

    Quelle qu'elle soit, c'est inadmissible.
  • Le président de Saint-Louis/Neuweg agressé par plusieurs de ses joueurs Le président lynché
    Pierre Fichter venait de boucler budget et recrutement pour la saison à venir, celle de la montée en CFA. Il a démissionné après s’être fait agresser par des joueurs.

    La scène restera longtemps gravée. Cette soirée de mardi aurait dû être festive, amicale, familiale même. Pierre Fichter, président de Saint-Louis/Neuweg, avait convié les joueurs des équipes 2, 3 et 4 du club – « ceux de la Une sont en vacances depuis fin mai » – dans un restaurant de la Ville, histoire de leur dire « merci et à la saison prochaine ».
    « À douze ou quinze »

    Puis, contre toute attente, le repas a viré au cauchemar, à l’inexplicable. Un joueur exclu du club plus tôt dans la saison était présent. « Je lui ai demandé de quitter les lieux, il n’était pas convié. » Ce n’est pas apprécié, les coups partent, ils visent le seul président.

    « J’ai esquivé un premier coup-de-poing, puis ils me sont tombés dessus à douze ou quinze, comme un essaim d’abeilles. J’en ai pris partout, dans le ventre, sur la tempe aussi. J’ai vu flou un moment. C’était de la folie. On aurait dit des bêtes, il ne leur manquait plus que la bave. »
    Ils ne sont pas nombreux à tenter de calmer les choses. Les autres joueurs, ceux qui ne sont pas dans le lynchage, les dirigeants présents, n’interviennent pas. « Le directeur du restaurant, ainsi qu’un ami, m’ont aidé. Sinon, je ne serais pas là aujourd’hui pour en parler. »

    Plainte a été déposée, Pierre Fichter a trois jours d’ITT (Incapacité temporaire de travail). Après réflexions, le président a décidé de remettre sa démission, le comité l’a suivi « par solidarité ». « J’arrête définitivement le foot, ce qui vient d’arriver ne correspond pas du tout aux valeurs humaines et sociales que je me fais du sport. C’est fini. »

    L’homme ne se voit pas revenir sur sa décision. « C’est allé trop loin, c’est trop grave. J’ai des enfants, une famille, une société (Capi sécurité, partenaire du club).

    « C’est arrivé mardi, j’ai envoyé les courriers à la Ville et à la Ligue hier (jeudi). Je ne voulais pas me précipiter pour me décider. »
    Le président s’en va, les joueurs incriminés restent… « Je sais, mais ça peut se reproduire à n’importe quel moment. On n’est pas à l’abri. Il suffit d’une personne, puis il y a effet de masse. C’est incompréhensible. Je suis habitué à me faire agresser verbalement, et c’est déjà dur. Mais là… »

    Son collège et voisin de l’ASIM, Roger Schirck, est vent debout : « Une chose pareille, c’est triste, inadmissible, impensable, inconcevable. Ça me dépasse. C’est quand même le patron du club. »

    Lui compte trente ans de présidence et constate, sans insister : « Ça devient de plus en plus dur. » Au-delà de l’acte, qu’il condamne, l’Illzachois s’agace des conséquences.
    « Pierre Fichter, c’est un homme solide, il faut qu’il passe ce cap. Ce n’est pas à lui de démissionner, c’est aux joueurs de dégager. Qu’il fasse le ménage. »
    Gemmrich : « S’il s’avère qu’il y a des gens licenciés chez nous, ils ne rejoueront plus »
    Le discours est le même dans la bouche d’Albert Gemmrich, président de la Ligue.

    « Je n’accepterai jamais qu’un dirigeant, un arbitre ou qui que ce soit se fasse tabasser. Ça n’existe pas, c’est du sport, ça doit rester un jeu et un plaisir. »

    Rendez-vous a été pris ce mardi 7 avec Pierre Fichter.

    « J’attends le résultat de l’enquête. S’il s’avère qu’il y a des gens licenciés chez nous, ils ne rejoueront plus. C’est évident. Il ne faut pas donner raison à de tels actes ! »
    DNA

    C'est quand même honteux .
  • Le Président de St-Louis souhaitait vendre le club depuis un bon moment ... Sans excuser les auteurs, cette affaire tombe au bon moment ...
  • Hormis qu'ici c'est également le prix du club qui tombe.
  • Vendre quoi ? C'est une association...
  • FC Saint-Louis, l'agression de la discorde

    Il y a deux semaines, Pierre Fichter, le président du FC Saint-Louis Neuweg, s'est fait agresser par ses propres joueurs lors du dîner de fin d'année. C'est en tout cas ce qu'il clame haut et fort. Que s'est-il vraiment passé ? Enquête.

    Le long de la D66 en direction de Mulhouse, impossible de rater « Le Stelle », restaurant italien planté au nord de Saint-Louis, petite ville d'Alsace accoudée à la frontière suisse. Une arche fait office d'entrée pour accéder sur le parking. Les murs sont rosés. À droite, posée sur un petit cabanon, une voiture vert-blanc-rouge achève la déco kitsch du lieu. Qu'importe, ce mardi 30 juin 2015, la scène se joue à l'intérieur de l'établissement. « Je suis arrivé à 21h15, pose Djibril*. À exactement 21h35, nous allions passer à table. Je m'en souviens, car c'était l'heure de rompre le jeûne du Ramadan. » Ce soir-là, c'est Pierre Fichter, président du club de foot de la ville, qui invite. Joueurs, nouvelles recrues, entraîneurs, dirigeants, proches, ils sont une quarantaine attablés pour ce repas de fin d'année. Manque à l'appel l'équipe première, tout juste promue en CFA ; ceux-là sont en vacances. « Ce devait être une fête », situe Pierre Fichter. Jusqu'à ce que le président du FC Saint-Louis Neuweg aperçoive Djibril.
    Dix minutes d'exclusion, une engueulade et une licence retirée

    En mars dernier, Djibril, 20 ans, joueur de l'équipe 3 à Saint-Louis (dans l'avant-dernier échelon du foot français), s'emporte auprès de l'arbitre en plein match : dix minutes d'exclusion pour lui. Sur le bord du terrain, Pierre Fichter, 53 ans, à la tête du club depuis six ans, fait la leçon au jeune homme : « T'es pas digne du club ! », avant que celui-ci ne lui rétorque « T'as rien à m'dire ! » Les décibels montent et le président enjambe la barrière pour s'expliquer en tête à tête. Littéralement front contre front. Une engueulade musclée qui ne s'arrête pas là : le président file au vestiaire confisquer la licence de Djibril. Ce dernier est exclu du club sur le champ, deux saisons et demi après son arrivée.

    Alors, quand Pierre Fichter entrevoit Djibril à l'autre bout du restaurant, avec ses anciens coéquipiers, il a deux mots à lui dire : « Je lui ai demandé gentiment de partir, il n'était pas invité » - selon d'autres sources, c'était sur un ton autrement moins cordial : « Qu'est-ce que tu fous ici ? Dégage ! » Djibril ne bouge pas de sa chaise : « Comme j'ai participé à la montée de l'équipe 3, le bras droit du président m'avait proposé de venir au dîner. » Pierre Fichter va alors chercher le témoin en question, Michel Peter… qui nie en bloc. Les proches de Djibril proposent de régler la note, en vain. « À ce moment-là, le ton est monté, le président lui a crié dessus », assure un joueur présent aux premières loges. Les autres tables ne prêtent pas encore attention à la dispute, avant le casus belli de la soirée : une assiette volante.
    De la salade, du Coca et des pâtes à la sauce tomate

    Le président reçoit de la salade en pleine figure. Ensuite, ce sont des récits discordants. Pierre Fichter, version une, sur le site du journal Dernières Nouvelles d'Alsace : « J'ai esquivé un premier coup de poing, puis ils me sont tombés dessus à douze ou quinze, comme un essaim d'abeilles. J'en ai pris partout, dans le ventre, sur la tempe aussi. J'ai vu flou un moment ; c'était de la folie. On aurait dit des bêtes, il ne leur manquait plus que la bave. » Pierre Fichter, version deux, pour So Foot : « [Djibril] m'a dit : "On vous tuera tous. Connard, je fais ce que je veux." (…) J'ai reçu un coup de poing, il m'ont roué de coup à dix ou douze. Mais c'était très rapide, ça a duré peut-être deux secondes. Michel Peter et le directeur du restaurant sont intervenus. J'ai quand même pris un coup de pied dans l'œil et un hématome à la tête, ce qui m'a valu trois jours d'ITT (incapacité temporaire de travail). »

    « Poussé au sol » auparavant par Pierre Fichter, Djibril prétend qu'il n'a rien vu à cause de la foule amassée devant lui. Mais il réfute radicalement les mots que lui prête le patron du club. « Quand ça a dégénéré, je n'ai pas cherché à comprendre, je suis sorti de la pizzeria rejoindre la voiture, rembobine l'étudiant. On est reparti avec mon frère et mon cousin. J'avais juste eu le temps de boire un verre de Coca, on est rentrés pour manger. (…) Le pire c'est que je m'étais excusé auprès de lui il y a quelques mois quand on s'était croisés dans une épicerie de la ville. On s'était même serrés la main. » La police arrive au restaurant, le soufflé est retombé. Comme la majorités des convives, Fabian* a finalement pu s'attaquer aux pâtes à la sauce tomate cuisinées par le chef. Mais lui aussi dément les propos de Pierre Fichter, retranscris dans la presse locale : « Des jeunes ont bousculé le président, il y a eu des échanges de coups avec les dirigeants, mais ça ne concernait pas plus de deux ou trois joueurs. » « Dans ces cas-là, difficile de savoir qui essaye de séparer ou d'envenimer les choses », synthétise une autre source interne au club.
    « Autoritaire », « dictatorial », « il ne connaît rien au ballon »

    Quand nous contactons le restaurant, quelques jours plus tard, le patron est parti en vacances ; l'employée, quant à elle, ne veut pas « remuer l'affaire ». L'entraîneur de l'équipe assure poliment que « la situation devrait bientôt s'éclaircir ». La secrétaire du club n'est pas plus loquace : « La vérité est dans les Dernières Nouvelles d'Alsace ». Le fait est que, depuis, le président a décidé de démissionner de son poste : « Je suis tombé sur le cul. Ma décision est irrévocable. Après tout, je ne suis qu'un simple paysan. » Un paysan ? En fait, Pierre Fichter dirige Capi, une entreprise de sécurité, sponsor du FC Saint-Louis. Si, à l'image de l'ensemble du comité démissionnaire, les membres de ce club « sans tension » selon un ancien de la maison sont solidaires de leur patron, ce n'est pas l'opinion générale. « Autoritaire », « dictatorial », « il ne connaît rien au ballon » : voilà pour les tacles bien appuyés envers l'ancien libéro.

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    « C'est un bosseur, mais cela arrive qu'il empiète sur le travail des coachs, note Fabian. Avant les matchs, à la mi-temps, à la fin, il est tout le temps dans le vestiaire. » Est-ce que les entraîneurs laissent faire ? « Ils n'ont pas le choix. » De son côté, un des éducateurs regrette « un manque de considération » quand il ne s'agit pas de l'équipe première - qui pousse de nombreux licenciés à mettre les voiles vers Hégenheim, le club voisin. A contrario, Pierre Fichter souligne « un travail de fond. En six ans, on est passé d'un budget de 200 000 à 900 000 euros. » La CFA, il l'avait en ligne de mire depuis longtemps, mais ce sera finalement sans lui. Si les neuf membres du comité sont, eux, revenus sur leur décision initiale, Robert Schnerberger, ex-responsable partenariats au sein du club, a été nommé à la présidence en intérim jusqu'en novembre. Paradoxe, alors que celui qui l'avait exclu du FC Saint-Louis n'est plus là, Djibril veut également tourner la page. « Je n'ai pas envie de revenir, c'est trop pesant », explique-t-il. En attendant les résultats de l'enquête, il se murmure que deux personnes se présenteront au tribunal à partir de novembre prochain, sous la menace d'une amende à trois chiffres. Ce serait donc loin des « douze ou quinze personnes », à qui il ne « manquait plus que la bave ».

    Tous propos recueillis par FL, sauf mention
    * Sur demande des intéressés, les prénoms ont été modifiés.

    So Foot
  • Tiens 'est la pizzeria où je mange parfois quand je suis sur Saint-Louis, je me méfierai des assiettes volantes :D

    Je me demande si l'horrible @jpdarky ne traine pas ses guêtres, ça lui ressemble bien ce genre d'endroit.. :p
  • Disons qu'elle a bonne réputation mais ce n'est pas la meilleure sur Saint-Louis.
  • Même si le Président peut être autoritaire (encore heureux), rien ne justifie autant de violence. Le foot peut se passer de ces "Djibril" qui n'ont ni le niveau ni la mentalité pour vivre dans un club de bon niveau.
    J'ai du mal à comprendre les médias qui semblent en faire une affaire d'une personne à égal contre une autre. Un joueur (aussi mauvais) n'est rien dans un club, mais si St-Louis en est là, c'est surtout grâce à sa direction...
  • déplacement des supporters grenoblois interdit par la préfecture du Haut Rhin pour la rencontre du 30/01!!!!
    (-)(-)
  • L'arrêté en question, qui laisse entendre que les supporters sont alcooliques et bagarreurs (ils ont omis le fait qu'ils mangent des enfants d'ailleurs).
  • LOLLLL....moi qui avait faim:)):))
  • Ça va ont eu 11 jours d'avance pour prévenir , quand tu vois certains match il font l’arrêter 72h avant rien que pour faire encore plus ch... les supporters. Toutes façon vu comment ils ont peur de supporters en France j'imagine pas ce qu'un préfet va inventer à l'euro (restriction d'un centre ville,couvre feu?).
  • (+)(+)
    si st louis neuweg n'est pas capable d'empecher des gars de mulhouse de venir au stade, qu'est ce qu'il font en cfa???? , c'est pas une mégapole!!!!
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