Frédéric Sitterlé
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goeftà mon avis le truc "je risque de partir", c'est pour mobiliser ceux qui le soutiennent -
Sitterlé a le mérite de dire clairement ce qu'il réclame qu'on soit d'accord ou pas après si l'environnement répond à sa demande et lui donne le pouvoir ce sera à lui d'assumer (il semble vouloir le faire). Moi ce que j'aimerais avoir en face c'est la réponse de Speilmann ou des fameux historiques pour dire soit ok on se barre soit nous on veut ca, ca et ca !
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Frédéric Sitterlé : le pouvoir ou le départ
Dans une longue lettre publiée hier soir, Frédéric Sitterlé annonce qu'il a mandaté une banque d'affaires pour vendre le RCS. Il affirme lui avoir transmis la dernière offre de rachat en date et demande, pour rester, à disposer des pleins pouvoirs.
Bien sûr, écrire aujourd'hui, 13 avril 2012, que Frédéric Sitterlé n'a encore pas investi le moindre centime dans le Racing et que l'équipe qui caracole en tête du groupe C de CFA 2, construite de toutes pièces par François Keller, a vécu depuis le début de saison grâce aux subsides de l'association amateur, donc en grande partie à l'argent public, fera dresser les cheveux sur la tête de l'homme d'affaires haut-rhinois.
Le patron de myskreen.com s'estime depuis des mois victime « d'un traitement impartial par une certaine presse », comme il l'a indiqué hier par erreur dans un long communiqué. Les lecteurs rectifieront d'eux-mêmes : c'est évidemment de « traitement partial » dont il voulait parler. En réaction, l'homme d'affaires consent cet aveu à l'intention des supporters dans le message facebook qui accompagne ledit communiqué : « On me reproche de vous utiliser : je l'assume. »
La vérité selon Claude-Maxime Weil
Impossible ici de détailler, pour un club de 5 e division qui, tout bien considéré, ne mérite sûrement pas tout ce battage, les trois pages du communiqué. Tout juste peut-on en relever certains points. On ne reviendra pas non plus sur les termes d'un autre communiqué, publié par F. Sitterlé le 18 juillet 2011, quelques minutes après l'annonce du dépôt de bilan : « J'ai décidé d'apporter dès à présent à l'association les moyens financiers nécessaires pour préparer au mieux la saison qui s'annonce. » Une profession de foi qui fait qu'aujourd'hui, 13 avril 2012, beaucoup se demandent toujours pourquoi l'investisseur n'a rien... investi.
Ces dernières semaines et dans son plaidoyer d'hier encore, il a indiqué que « la convention de gestion a toujours été un préalable » à son investissement. Désormais, la signature - effective - de cette convention (jusqu'en juin 2016), qui n'attend plus que la validation de la Préfecture, ne lui suffit plus. Il exige « les pleins pouvoirs. » Il affirme avoir apporté mardi matin lors de son audition devant les élus « les attestations de surface financière demandées par la Ville, à hauteur de 5 millions d'euros. » Le hic, c'est qu'à la sortie de cette audience, toutes les personnes présentes - lui excepté donc - ont assuré que personne ne les lui avait demandées (*). « Je rappelle aussi que j'ai versé 150 000 euros et apporté une garantie bancaire de 400 000 euros au tribunal pour sauver le club l'été dernier », poursuit-il. Une assertion démentie hier soir par Claude-Maxime Weil, administrateur judiciaire assermenté en charge du dossier Racing, dont la parole ne saurait être mise en doute. « Une fois un club en liquidation, on vend un actif. Frédéric Sitterlé a effectivement acheté cash la marque RCS et le mobilier de la Meinau pour 156 000 euros. Mais il n'y a pas eu d'autres garanties. C'est ça, la vérité. »
On passera ici sur la thèse du complot développée par le Haut-Rhinois. Complot bizarrement ourdi, sans raisons valables à l'entendre, par tous ceux qui lui avaient déroulé le tapis rouge l'été dernier.
« Mais il les a, les pleins pouvoirs ! »
Du coup, F. Sitterlé se dit prêt à partir s'il n'obtient pas les pleins pouvoirs, avec contrôle absolu sur l'association. « Mais avec la convention signée jusqu'en 2016, il les a, les pleins pouvoirs ! », s'agace un dirigeant historique du club, « puisqu'il obtient la gestion de l'équipe première, comme il l'a toujours souhaité, qu'il pourra diriger avec ses hommes. C'est à se demander s'il ne pose pas cette nouvelle condition - une de plus - pour ne pas avoir à passer à la caisse. »
Une thèse à laquelle Frédéric Sitterlé donne lui-même un certain crédit en annonçant avoir confié un mandat de vente du RCS à une banque d'affaires. « Si je n'arrive pas à imposer ma gestion et mes équipes, je céderai le club au plus offrant en prenant le soin qu'il soit en mesure de finir le travail qu'on ne m'aura pas laissé terminer. »
L'heure viendra peut-être alors de dresser un bilan et revenir sur quelques dossiers chauds qui n'ont pas été évoqués jusqu'ici. Pourquoi, comme aux plus « belles » heures de l'ère Hilali, le Racing a-t-il été assigné en janvier en justice par un prestataire, « L'Alsacienne de restauration », qui réclamait les 100 000 euros d'impayés (environ) que Frédéric Sitterlé et son équipe refusaient de lui verser depuis septembre ? Pourquoi le traiteur a-t-il, après intervention de Patrick Spielmann, le président de l'association, accepté non seulement d'étaler le paiement - contractuel - de la dette jusqu'en août, mais aussi de retirer sa procédure en référé au tribunal ? Quelles ont été les conditions réelles, moins idylliques que celles décrites ça et là par Sitterlé et son auditeur financier Philippe Chauveau, de la renégociation de certains contrats, celui de Racing Espace Vert, en charge de l'entretien de la Meinau, en tête ? Sans parler des frais impayés des éducateurs et des factures en souffrance des mois durant avant le retour de Spielmann aux affaires. Ni d'autres sujets plus gratinés encore.
L'Alsace -
Et bien voila, la réponse ne s'est pas faite attendre et FS s'y attendait (cf le dernier paragraphe de son communiqué) Si certains attendaient une réponse de Spielmann ils doivent etre rassurés. Pour ma part je suis dégouté de ce lynchage médiatique orchestré par SG. Je reste sur ma position, je soutiens FS qui je suis persuadé est un amoureux de ce club et qui ne veut que son bien.
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mais quel merdier ! Au secours
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L'affirmation de Me Weil (qu'on ne peut pas vraiment accuser de collusion) au sujet de la supposée garantie faite au tribunal cet été va quand même à l'encontre de ce qu'avait déclaré Sitterlé ("j'ai apporté une garantie bancaire de 400K€ au tribunal pour sauver le club l'été dernier"). Et si le reste de l'article de Godin est vraiment excessivement à charge, il n'en demeure pas moins qu'il est légitime d'avoir des doutes sur Sitterlé.
Personnellement, cela ne fait aucun doute, il ne s'est pas rendu compte de la montagne d'emmerdes que constitue le Racing, même en CFA2, et s'apprête à revendre à un investisseur aux reins plus solides, et pas seulement financièrement. -
ferrarifan a écrit, le 2012-04-13 00:16:38 : Sitterlé a le mérite de dire clairement ce qu'il réclame
Je ne trouve pas, justement. Il voulait une convention pour investir. Il l'a. Si elle ne lui convient pas, il ne fallait pas la signer. Maintenant il veut les pleins pouvoirs. OK, ça ne me choque pas. Mais concrètement, il veut quoi pour avoir les pleins pouvoirs?
Il ne réclame aucun départ, il ne réclame aucun engagement ferme, il ne détaille rien. Par contre il a des offres. Et manifestement pas via la Mairie ou la 5e colonne.
Bref, il nous sort une soupe qui ressemble de plus en plus à une com' pour partir en mettant la faute sur les autres
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Je me repose toujours cette éternelle question: pourquoi Hilali a t'il préféré tout perdre que de revendre à FS ???? Peut-être tout simplement parce que FS n'avait pas de sous et qu'il ne les a toujours pas.
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et cette soupe, malheureusement, comporte quelques contrevérités notamment celles que souligne SG.
au delà des incohérences, qui commencent à être très nombreuses, et qui laissent une ambiguïté croissante sur les intentions de FS, le fait qu'il admette être en train de vendre "au plus offrant" alors qu'il n'a rien mis et pas fait grand chose me laisse vraiment perplexe.
etait-ce simplement un coup pour une plus value CT ?
cela me paraît, aujourd'hui, la seule explication cohérente. -
Hilali voulait récupérer un max , Sitterlé a refusé .
Pour la convention elle doit être validée par la préfecture . J'espère que cela va se faire . -
frollo a écrit, le 2012-04-13 08:26:59 : Je me repose toujours cette éternelle question: pourquoi Hilali a t'il préféré tout perdre que de revendre à FS ???? Peut-être tout simplement parce que FS n'avait pas de sous et qu'il ne les a toujours pas.
C'est très juste.
Et les mensonges successifs sur cet aspect (attestation bancaire au tribunal, j'injecterai ce qu'il faudra dans l'asso, j'injecte tous les mois, j'ai mis en Janvier, on me demande une garantie de 5 M€...) plaident en ce sens puisqu'ils ont permis pendant les derniers mois de masquer cet éventuel problème de manque d'argent. -
J'ai validé trop vite .
Donc j'espère que la validation de cette convention va se faire afin qu'on voit ce que FS va faire , car il attend cela .
Si Me WEILL dit cela , je pense qu'on ne peut pas mettre sa parole en doute , faut pas vouloir jouer les autruches . -
greg a écrit, le 2012-04-13 08:22:47 : Mais concrètement, il veut quoi pour avoir les pleins pouvoirs?
Cette notion de "pleins pouvoirs" est d'ailleurs assez ambiguë. Si par là, il entend être le seul décisionnaire pour l'équipe première, pour le choix des fournisseurs et des sponsors et de tous les autres contrats, c'est ce qui est prévu par la convention, d'autant plus que celle-ci est sur le modèle d'une convention classique. C'était d'ailleurs l'un des reproche que l'on a fait à Ginestet du temps où il était président, celui d'être le seul décisionnaire, que ce soit pour la SASP, et même pour l'Association (c'est Herzog qui signait les contrats pour cette dernière).
Du coup, une fois la convention signée (pour une durée de 4 ans en plus, largement de quoi voir venir), le propriétaire de la SAS aura largement les coudées franches pour diriger le club à sa guise, et les dirigeants de l'Asso reviendront à leur fonction principale: ne servir à rien. Si ça, ce n'est pas avoir les pleins pouvoirs ... -
FS est loin d'être un novice dans le business, s'il a confié un mandat de vente à une banque d'affaires c'est bien que l'envie n'y est plus et qu'il a déjà pris sa décision! Après, il arrive qu'on change d'avis au dernier moment mais je n'y crois pas trop...
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"Impossible ici de détailler, pour un club de 5 e division qui, tout bien considéré, ne mérite sûrement pas tout ce battage, les trois pages du communiqué."
Sous la plume de S.G., cette phrase a une certaine saveur. Lui-même qui nous fourni plusieurs articles par semaine sur le sujet.
Je ne suis pas encore intervenu sur le sujet, tant cette histoire me fatigue et me désespère.
Tout bien considéré, c'est gestion calamiteuse du monde professionnel qui a mené le Racing où il est et c'est une mauvaise gestion du monde amateur ou l'argent prend de plus en plus de place qui risque de nous mener à l'impasse.
Le Racing n'est plus pro, mais n'est pas vraiment non plus un club amateur. Les collectivités retrouvent une certaine influence et le risque est encore plus grand pour le propriétaire (de quoi au juste ?) qui est amené par la force des choses à travailler à fond perdu.
Le patron amateur du club (association) redevient puissant grâce aux subsides de la municipalité, le patron "pro" ne trouvera une légitimité et une autonomie financière que par le retour au monde professionnel et les rentrées d'argent qui en découlent. S'il veut exister aujourd'hui, il est condamné à accepter une certaine tutelle de l'association et des collectivités, mais on comprend très bien qu'il ne peut financer sur ses fonds propre s'il n'a aucunes garanties et aucunes marges de manoeuvre.
Cette situation est inextricable et demande de la part des acteurs un réelle volonté d'aller dans la même direction, au delà des querelles d'égos. -
Le dernier paragraphe, quant il parle du Racing, c'est bien le Racing version association de Spielmann, la SAS n'existant pas ?
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C'est le Racing version association, mais quand Sitterlé était aux commandes de celle-ci.
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Vendre au plus offrant c'est un peu gonflé non alors qu'il n'a rien mis? ca prouve encore une fois que lui aussi voulait juste se faire du fric sur le dos du racing
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Mais y a un truc que je pige pas, lors de la liquidation, le tribunal a quand même jugé le projet Sitterlé de plus crédible que les autres. Et le fait que le club lui ai été cédé plutôt qu'à un thomas fritz, c'est quand même que j'ose croire que le tribunal a obtenu des preuves de sa crédibilité et notamment de sa surface financière. Si le tribunal n'a rien demandé, heuuu il servirait à quoi au juste? C'est peut être pas passé par Weil, il faudrait demander à la juge qui avait prononcer la liquidation/reprise.
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On peut d'ailleurs se demander pourquoi il ne l'est pas resté, aux commandes.
Sa réponse est qu'il ne pouvait pas cautionner ce qu'il s'y passait, et qu'il ne pouvait pas être président des 2 côtés.
Mais en tant que président de l'association, il avait la légitimité de changer les choses.
Et sa démission pour passer la présidence à quelqu'un d'autre avec qui contractualiser la convention pouvait attendre. -
Pour info, au niveau du tribunal les 2 projets de reprise ont été refusés.
Pour celui de Sitterlé, c'est parce qu'il se basait sur une saison en CFA, mais 2 jours avant le club s'est auto-rétrogradé en CFA2.
Il n'a donc pas eu à tenir ses engagements pris dans son projet de reprise.
Simplement le tribunal lui a octroyé une préférence pour le rachat de la marque par la suite. -
Nouvel article à charge de la part de Godin. Dommage que "mon ami François" ne soit pas l'ami de Sitterlé parce que grâce à cette propagande, l'opinion ne va pas tarder à se retourner contre Sitterlé.
M.A.F.I.A., Fontenla avait donc raison!
Sitterlé serait donc le diable pour que selon l'investigateur n°1 en Alsace ne trouve rien de bon dans son projet?
Allons allons, un petit effort, jeune reporter!
Il n'est jamais venu à l'idée de personne de laisser bosser Sitterlé et son équipe et de juger après?
Ce qui n'a jamais été démenti c'est que l'équipe Sitterlé a réduit de manière considérable le déficit de la saison en cours. Du pipi de chat sans doute...
Une gestion correcte des rencontres à la Meinau pour le moment, un acceuil des plus sympathiques à chaque fois....
Que Sitterlé n'ai encore rien injecté ne me choque pas plus que ça non plus.
L'association avait de l'argent, Sitterlé n'avait pas de pouvoir, comme il aime à le répéter, il n'investit pas s'il ne peut pas gérer son argent, logique.
Donc les désidérata des partenaires qui demandent leur l'argent sont à retourner à l'association, pas à Sitterlé.
Je faisais le parrallèle entre la gestion Hilali et la gestion Sitterlé sur un autre topic.
Je ne pensais pas avoir raison à ce point. La fin de l'histoire va être semblable. Soit une vente, soit un on continue au niveau amateur sans projet d'avenir, ce qui convenons en ressemblerait à un dépôt de bilan.
Ce n'est pas étonnant que personne ne veuille investir dans ce club. C'est vraiment une torture morale et financière, qu'elle que soit la passion qu'on veuille y mettre.
Je sais pas, hormis quelques détails (qui doivent être éclairés par Mr Sitterlé), le travail global est plutôt positif non?
On semble oublier que sans Sitterlé et ses sbires, cette saison on serait entrain de jouer au billes et la saison prochaine on supporterait un club de DH au mieux.
La dernière carte carte que pourra utiliser Sitterlé est de donner un pouvoir de décision aux supporters histoire de couper l'herbe sous le pied à la mairie et tous les tordus qui l'entoure.
J'espère que Sitterlé ne vendra la marque à personne, parce que le pantin suivant ne fera qu'allonger l'agonie que nous croyons à tort finie au mois d'aout 2011.
Il n'aurait jamais dû reprendre ce club, cette marque, ça aurait évité un tas d'emmerdes à tout le monde.
Dire qu'on est en CFA2... -
bou a écrit, le 2012-04-13 09:38:50 : Pour info, au niveau du tribunal les 2 projets de reprise ont été refusés.
Pour celui de Sitterlé, c'est parce qu'il se basait sur une saison en CFA, mais 2 jours avant le club s'est auto-rétrogradé en CFA2.
Il n'a donc pas eu à tenir ses engagements pris dans son projet de reprise.
Simplement le tribunal lui a octroyé une préférence pour le rachat de la marque par la suite.
Donc en gros un tribunal de commerce ça balance les sociétés à n'importe qui sans vérifications. -
Moi ce qui me gêne c'est qu'on voit clairement que Godin peut pas piffer Sitterlé et que la rédac de l'Alsace a tellement confiance en lui qu'elle lui laisse carte Blanche. Alors que ça ne fait que jeter de l'huile sur le feu...
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sedna a écrit, le 2012-04-13 09:21:18 : "Impossible ici de détailler, pour un club de 5 e division qui, tout bien considéré, ne mérite sûrement pas tout ce battage, les trois pages du communiqué."
Sous la plume de S.G., cette phrase a une certaine saveur. Lui-même qui nous fourni plusieurs articles par semaine sur le sujet.
Je partage le même sentiment. C'est lui qui en a fait tout un pataquès pendant 3 mois. Je doute vraiment de la véracité des propos de Godin et des personnes qu'il cite.
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