Pierre Ginestet
Flux RSS 161 messages · 10.468 lectures · Premier message par derladiner · Dernier message par fuchsi
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iuliu68Oki on arrête avec le football mondialisé, on joue entre alsaciens... avec une mentalité comme ça, faut pas s'étonner d'avoir des matchs de boxe à la Suisse Turquie...
Bien sur que nous sommes fiers de notre culture, de notre idendité, bien sur on supporte pas que les Parisiens racontent des conneries sur nous, mais on est pas l'ETA ou le FLNC, ça reste du sport avec la loi du sport... alors faire joueur Ehret parce qu'il est alsacien, ça reste une chèvre voilà tout...
moi je te dis une chose, voyage, rencontre des gens et voilà -
Le off-topic a suffisamment duré.
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Est-ce qu'on peut affirmer que Pierre Ginestet va prendre la tête de la cellule de non-recrutement ? :D
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Citation: Est-ce qu'on peut affirmer que Pierre Ginestet va prendre la tête de la cellule de non-recrutement ?
Moi je dis pas sûr.
En fait cet info pourrait être une intox. Je pense que cette rumeur peut etre favorabla à certains dirigeants du racing pour destabiliser Gineschtett. -
Si tel etait le cas, laissons lui un peu de temps...
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Peut-être même que ce sera un emploi fictif. Alors chut !
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Ce frère existe il seulement ? Il va s'inventer tout une famille pour avoir les pleins pouvoirs
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Pagis en attaque, c'est pas un emploi fictif???
et comme dit, cela n'est qu'une rumeur.... -
Pierre Ginestet en conseiller
L'affaire n'est pas vraiment nouvelle, puisque le président du Racing Philippe Ginestet l'avait déjà évoquée à quelques minutes du coup d'envoi contre Marseille le 17 décembre : son frère cadet Pierre (38 ans), dont l'arrivée avait déjà été envisagée au premier semestre 2005, lui sert désormais de conseiller en recrutement.
Rugbyman à la base
« Il me conseille, oui, mais n'est pas salarié du Racing », tient à préciser l'investisseur immobilier, « c'est grâce à lui notamment que nous avons failli faire venir le Toulousain Santos. Ça n'a finalement pas été possible, car ce dernier était blessé. Pierre apporte un oeil extérieur, mais aussi sa connaissance du milieu. C'est un regard neuf intéressant pour moi. » Rugbyman à la base, Pierre Ginestet n'est pas tout à fait inconnu dans le monde du football. Il a ainsi collaboré dans le passé avec l'ex-pro Jean-Luc Sassus, devenu agent. « Il a par exemple aussi passé des vacances l'an dernier au Brésil chez Ricardo, l'actuel entraîneur de Bordeaux, et a pu regarder à droite et à gauche ce qu'il y avait d'intéressant là-bas. Cette semaine, il a suivi un match de Ligue 2 pour moi. Mais je le répète : il est payé non par le Racing, mais par la société que j'ai créée pour prendre le contrôle du club, « Racing investissements ». En clair, je le rémunère et ça relève du domaine privé. Ceux qui font courir le bruit selon lequel il serait salarié du club surfent à la limite de la malveillance. »
source : l'Alsace -
samh a écrit : Pierre Ginestet en conseiller
L'affaire n'est pas vraiment nouvelle, puisque le président du Racing Philippe Ginestet l'avait déjà évoquée à quelques minutes du coup d'envoi contre Marseille le 17 décembre : son frère cadet Pierre (38 ans), dont l'arrivée avait déjà été envisagée au premier semestre 2005, lui sert désormais de conseiller en recrutement.
Rugbyman à la base
« Il me conseille, oui, mais n'est pas salarié du Racing », tient à préciser l'investisseur immobilier, « c'est grâce à lui notamment que nous avons failli faire venir le Toulousain Santos. Ça n'a finalement pas été possible, car ce dernier était blessé. Pierre apporte un oeil extérieur, mais aussi sa connaissance du milieu. C'est un regard neuf intéressant pour moi. » Rugbyman à la base, Pierre Ginestet n'est pas tout à fait inconnu dans le monde du football. Il a ainsi collaboré dans le passé avec l'ex-pro Jean-Luc Sassus, devenu agent. « Il a par exemple aussi passé des vacances l'an dernier au Brésil chez Ricardo, l'actuel entraîneur de Bordeaux, et a pu regarder à droite et à gauche ce qu'il y avait d'intéressant là-bas. Cette semaine, il a suivi un match de Ligue 2 pour moi. Mais je le répète : il est payé non par le Racing, mais par la société que j'ai créée pour prendre le contrôle du club, « Racing investissements ». En clair, je le rémunère et ça relève du domaine privé. Ceux qui font courir le bruit selon lequel il serait salarié du club surfent à la limite de la malveillance. »
source : l'Alsace
Je suis un peu déçu, je croyais que "Monsieur la science infuse" le Philippe, il connaissait tout du foot et qu'il n'avait pas besoin de s'entourer :(
on va débaptiser le conseil de surveillance, désormais on l'appellera le conseil de malveillance
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ouais enfin d'un autre coté, je ne connais pas bcp de president qui ne se fassent pas conseiller...
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spaetzlemann a écrit : On va débaptiser le conseil de surveillance, désormais on l'appellera le conseil de malveillance
Ben tiens, je vais proposer que tu en deviennes le président, avec superdou comme trésorier... :D -
Ils iront pas loin avec moi en tant que trésorier :))
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boogie a écrit : spaetzlemann a écrit : On va débaptiser le conseil de surveillance, désormais on l'appellera le conseil de malveillance
Ben tiens, je vais proposer que tu en deviennes le président, avec superdou comme trésorier... :D
Boogie, change de pseudo!
"lèche-bottes Blues" t'irait tellement mieux :)) -
Désolé, ce pseudo est déjà pris par quelqu'un d'autre... O:)
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je me demande bien qui...
serait-ce un ardent défenseur de Marco Keller? -
moi j comprend plus rien au foot on galere pour marquer et on prend des milieux magnifique j pense on peu bientot faire un onze que de milieu de terrains
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STRASBOURG / PIERRE GINESTET :
« Recruteur, un métier exigent »
dimanche 30 mars 2008 - 14 h 02 - Ignazio GENUARDI
Sur le chemin de la République tchèque, le Strasbourgeois Pierre Ginestet a pris le temps de répondre à nos questions. Il est revenu sur son métier de recruteur au service du club alsacien. Entre bons coups et bides, tout y passe.
Pierre Ginestet, vous êtes recruteur au Racing Club de Strasbourg. Comment se passe votre vie au quotidien ?
C'est beaucoup de voyages, de matchs à regarder, de nuits à l'hôtel et de dîner seul au restaurant. C'et un métier exigent. Les gens croient souvent qu'on passe notre vie en Argentine, au Brésil et en Italie mais on va aussi en République Tchèque, en Roumanie ou à Beauvais.
Comment vous êtes-vous retrouvé à ce poste ?
C'est la passion du foot. J'ai pratiqué à un niveau modeste. Ensuite, j'ai été agent pendant quelques années et, ensuite, j'ai eu l'opportunité de travailler avec un club. Il y a les deux facettes du métier : l'approche officielle de la profession mais aussi la roublardise des agents.
Expliquez-nous un peu votre mode de fonctionnement...
Avant de faire signer un joueur, on le regarde au moins une quinzaine de fois. En même temps, on procède à une étude psychologique, toutes proportions gardées. On se déplace notamment pour discuter avec le joueur, et son entourage, afin de se faire l'idée la plus large.
Et au niveau des jeunes ?
Déjà, on ne rentre pas dans la surenchère. Certains clubs payent gros mais pas nous. Après, on essaye surtout de miser sur nos propres jeunes. On reste sur deux finales de la Coupe Gambardella en trois ans. Et nous sommes toujours en course cette année. Il ne faut pas oublier que le Racing reste un club formateur.
Comment êtes-vous alertés des pistes à suivre ?
On a des recruteurs basés sur toute la France, notamment au niveau de la formation, qui nous remontent les informations.
Comment fonctionne votre cellule de recrutement ?
On travaille en étroite collaboration avec Jacky Canosi (Ndlr : ancien joueur du Racing Club de Lens, notamment, et entraîneur) et Laurent Busser (Ndlr : ex-collaborateur de Jeannot Woerth) qui a une grande expérience du terrain. On est sur la même longueur d'onde.
« L'ensemble de notre recrutement à coûté 1,3 millions d'euros »
Concrètement, comment s'est déroulé le recrutement d'un joueur comme Wason Renteria, prêté par le FC Porto ?
Jacky Canosi le connaissait. Il l'avait déjà vu à l'oeuvre lors de la Coupe du Monde des moins de vingt ans au Pays-Bas. Après, il y a eu beaucoup de vidéo. On a également pris des renseignements, moi-même et Laurent Busser. On s'est aussi déplacé pour le voir. Mais c'est l'exemple type du joueur qu'on n'a pas vraiment observé. Néanmoins, toutes les informations à son sujet concordaient. Après, Jean-Marc Furlan nous a fait confiance parce qu'il avait le sentiment de connaître le joueur.
Comment avez-vous fait pour le convaincre de rejoindre le Racing ?
Il avait besoin d'avoir du temps de jeu. Il savait qu'il aurait forcément sa chance chez nous. Le joueur avait d'autres opportunités mais on s'est rapidement positionné sur le dossier. Après, on doit également remercier ses agents qui ont facilité sa venue en Alsace. En plus, on avait déjà des contacts avec le FC Porto depuis la venue du Colombien Jesus Pena (Ndlr : saison 2002-03). Après, il y a eu d'autres propositions que la notre mais les dirigeants portugais nous avaient donné leur parole. Et ils l'ont tenu.
Globalement, vous portez quel regard sur le recrutement du Racing, alors que vous retrouviez la Ligue 1 ?
C'est un constat très positif compte tenu des moyens que nous avions à disposition. L'ensemble de notre recrutement à coûté 1,3 millions d'euros (Ndlr : arrivées de Paisley, Ducrocq, Dos Santos, Fanchone, Szelesi et Rodrigo). L'été dernier, on a également pris deux autres joueurs (Ndlr : Alvaro Santos et Mulenga) mais ce n'étaient que des prêts.
On est bien loin de l'époque où Strasbourg recrutait à tout va. N'avez-vous pas le sentiment que votre travail passe inaperçu aux yeux du grand public ?
Quand tout va bien, les gens ne disent rien. A l'inverse, quand tout va mal... (sourire).
« Aujourd'hui, tout le monde est partout »
Dans l'autre sens, comment avez-vous faut pour conserver des éléments très sollicités comme Habib Bellaïd et Eric Mouloungui ?
Ça montre que l'on peut conserver nos meilleurs joueurs. Et il le fallait. Et puis, par exemple, Habib voulait connaitre la Ligue 1 avec le Racing Club de Strasbourg avant de partir, éventuellement l'été prochain ou celui encore après. Il a eu l'intelligence de ne pas faire comme l'un de ses amis Ricardo Faty, qui est parti trop tôt de Strasbourg. Il a eu deux maillots sur les épaules (Ndlr : ceux de l'AS Rome et du Bayer Leverkusen), et deux beaux contrats, mais il ne les a pas portés. Habib ne voulait pas vivre une telle expérience. Il a préféré faire une saison supplémentaire, voire deux, afin de s'aguerrir au plus haut niveau. Et partir dans la peau d'un titulaire potentiel dans un gros club.
A contrario, vous avez également connu quelques déconvenues avec notamment la vraie-fausse venue du Rémois Julien Féret...
Ça ne se passe pas toujours comme on le souhaite. De temps en temps, on peut ne pas être d'accord entre nous, ou d'autre petites choses. Mais, là, c'était avant tout un problème financier. On sait que les clubs de l'élite réclament souvent des prix prohibitifs pour leurs joueurs. Mais en Ligue 2, on n'est jamais sûr de rien. Regardez cette année, des joueurs comme Didier Digard et Jean-Michel Lesage ont connu des difficultés. On regarde aussi en National, mais le niveau est très homogène cette année. Personne ne se dégage réellement.
Aujourd'hui, le Racing n'est pas encore assuré de se maintenir parmi l'élite. Votre travail doit s'en retrouver affecté, non ?
On prend un petit peu de retard. On entretient le relationnel avec certains joueurs, et leurs proches, mais ça freine effectivement la prise de décision. Mais on a, tout de même, quelques dossiers avancés.
Un club comme Strasbourg est quasiment dans l'obligation d'avoir une longueur d'avance sur les autres. Sentez-vous une grosse pression sur vos épaules ?
Il faut qu'on soit plus malin que les clubs ayant plus de moyens que nous. On doit aussi être plus rapide dans nos prises de décision. Et dans notre jugement. Tout le monde est partout. Quand la nouvelle merveille pointe le bout de son nez, vous êtes rarement seuls. D'ailleurs, quand on se croise avec Metz, Sochaux et Valenciennes, on sait que l'on doit suivre le même joueur. Par contre, avec Marseille, Monaco et Paris, ce n'est pas forcément pour la même chose.
Au final, comment se passe la prise de décision ?
C'est Jean-Marc Furlan (Ndlr : l'ancien Troyen occupe le rôle d'entraîneur-général) qui tranche. Rien ne lui est imposé. Tout se passe bien avec lui. Après l'expérience engrangée au cours des deux dernières saisons, la cellule de recrutement aimerait passer directement par lui ...
source : www.football365.fr -
En attendant, ce qui est intéressant dans le discours de Pierre, c'est qu'il veut que Furlan soit la pièce angulaire du recrutement. Et ça, je trouve cela positif (+)
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Citation: on va devoir vendre cet intersaison, alors qu'on a au contraire un énorme besoin de se renforcer.
Flippant, ça, on va devoir vendre qui ? On a déjà bien écrémé et on tourne au "minimum syndical" au niveau des cadres, se renforcer devrait être vital.
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superdou a écrit, le 2008-03-30 19:56:31 : +1
Je n'ai jamais trouvé que la nomination de Pierre Ginestet soit bonne pour le club, et je ne l'ai jamais caché.
Tout comme je n'ai jamais caché mes doutes sur la compétence de Philippe Ginestet, et cela ne va d'ailleurs pas en s'améliorant quand on me parle de construire un nouveau stade alors que dans le même temps on me sort qu'on va devoir vendre cet intersaison, alors qu'on a au contraire un énorme besoin de se renforcer.
Mais jamais, on ne m'entendra dénigrer sur leur vie privée (c'est à dire sans rapport avec le club), ou manquer de respect aux personnes comme tu l'as fait, pr3tty-princ3ss.
Mouai enfin ca dépend qui on vend...je te rappelle qu'il y a des retours de pret ( joao paulo, tum, carlier, kantari yachir...). Je met pas ekobo furlan compte surement le garder -
Sinon, il y a ce lien pour aider si ce n'est pas trop tard.
Moi elle me fait plaisir cette interview de Pierre Ginestet. On a tellement tiré à boulet rouge sur lui, comme quoi c'était le frère du président et que ça suffisaient à avérer son incompétence.
N'empêche, la méthode de détection semble bonne, le processus décisionnel aussi. Et cette année, le recrutement n'était pas si mal. Quelques très bons coups (Rodrigo, Paisley, Renteria), des joueurs de rotation utiles (Szelesi, Fanchone, Dos Santos) et quelques castings ratés (Alvaro Santos, Mulenga). Le tout pour 1,3 M€... pas si mal.
Ne pas oublier l'an dernier Cohade, et les bulgares n'étaient pas si mal bien qu'ils n'ont jamais vraiment pu s'imposer ici. -
stivou a écrit, le 2008-03-30 20:51:43 : Mouai enfin ca dépend qui on vend...je te rappelle qu'il y a des retours de pret ( joao paulo, tum, carlier, kantari yachir...). Je met pas ekobo furlan compte surement le garder
Bien entendu.
Maintenant, si le club doit vendre pour avoir des liquidités, ce n'est pas sur ces joueurs qu'il faut compter :( -
Joao Paolo ne nous appartient pas, pourquoi reviendrait il ?
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J'ai eu récemment une conversation avec un agent de joueur (je préfère taire son nom pour des impératifs de discrétion).
Il soulignait la qualité remarquable du travail de la cellule recrutement du Racing, l'une des plus professionnelles et les plus consciencieuses de France selon lui. Il me disait que Pierre Ginestet, Jacky Canosi et Laurent Busser étaient véritablement des éléments précieux au sein du club.
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