La SIG
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rcsforeverJe pense tout de même qu'Athènes était plus fort, comme Galatasaray dans un récent passé, même si ça ne se joue pas à grand chose en effet. Il y a quelques joueurs de grande classe dans cette équipe car mettre 100 points à Monaco comme tu dis si bien, ce n'est pas donné à tout le monde et ça prouve une fois encore sa valeur. Il y avait tout dans cette finale, niveau intensité, adresse et ambiance avec au bout un titre mérité pour l'AEK à mes yeux. -
Je le pense également, et je te contredit pas sur le fait que Athénes était plus fort en revanche les scénarios sont "assez frustrants" c'est tout. Mais Athénes et la SIG étant des équipes assez inconstantes on peut quand même se dire, comme vs Galatasaray qu'avec un panier en plus de notre, côté et un en moins de l'autre côté (exemple le 3 de campbel qui aurait pu faire 10 vs Galata est qui les ramène à 4 car eux derrière le mettent) ou alors les 2-3 paniers loupés à +7 au Rhénus contre Athénes car si a ce moment la tu passe devant pour la 1er fois c'est pas la même.
Bien sûr que Gala et Athénes était légèrement plus fort cependant dans les 2 cas tu peut réécrire l'histoire pour 2 centimètres -
Le sport de haut niveau est souvent une histoire de détails, de secondes, de centimètres.. Ces quelques centimètres qui auront manqué à un certain Baggio par exemple, tout proche de briser le rêve de tout un pays en 98. Parfois même il suffit d'un pied en touche non vu côté chalonnais pour changer l'histoire..
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Ce qu'il y a de bien avec la SIG, on en connaît un rayon sur les détails, les peccadilles, les "pas de chance", les bannières en tissu recyclé ou les trophées en carton.
Je ne comprends pas ton état d'esprit bipolaire au possible, d'une mièvrerie confondante pour atténuer les échecs continuels et ressemblants de la SIG d'une part, et d'autre part, avec le club de football de la région, ta propension à balancer des rumeurs, des "statistiques" se voulant intelligentes, des obsessions maladives, bref du bullshit pour parler comme les Ricains.
Désolé, je suis à bout. J'en viens presque à espérer une poursuite de la série ouverte en 2013. Il y a aussi la solution de ne plus te lire, mais c'est difficile. -
Je suis un irréductible sup de la SIG mais faut reconnaître que c'est quand même un sommet de la loose cette équipe (avec Clermont en Rugby, ou Chambéry et ses 40 saisons vice-champions en hand derrière Montpellier, peut-être ..).
Ce n'est pas une coupe de France (trophée qui n'a pas le même prestige qu'en foot..) qui changera la donne.
Un titre 2018, par contre... mais on en est loin! Monaco faudra les sortir, surtout en finale si on y arrive. Villeurbanne qui va s'acheter une belle équipe toute neuve pour un mois, avec le pognon de TP et de l'Euroligue (scandale!). Le Mans, qu'on ne va pas tarder à jauger. Et il y aura la surprise habituelle. Bref - pas fait quoi. -
Ou alors c'est toi qui ne fait pas la part des choses, qui n'essaye pas de comprendre le sens de certains messages, préférant l'arrogance comme seule réponse visiblement.
Au départ on parlait de Monaco donc ce n'était peut-être pas le moment idéal pour balancer ta sauce mais bon.. Sinon en tant que supporter du Racing et de la SIG depuis tout gamin, j'ai vu mon club de foot passer de l'Europe au niveau amateur, enchaîner les montées et relégations donc au bout d'un moment ça offre une certaine expérience et d'ailleurs les stats que tu aimes critiquer, ne font que se confirmer au fil du temps. Et d'un autre côté j'au vu mon club de basket passer de la Pro B à l'Europe et au sommet de l'hexagone, ce qui permet de relativiser certains "échecs".
La SIG d'avant-Collet c'est 3 finales en plus de 80 ans, 1500 abonnés, 3500 spectateurs en moyenne, certaines saisons à jouer le maintien. La SIG actuelle c'est 11 finales depuis 2013, 3500 personnes à l'année, 6000 spectateurs de moyenne, une présence régulière dans le Top 4 de Pro A et sur la scène européenne.
Tu vois la différence entre un club qui n'a fait que grandir et un autre qui reproduit encore et toujours les mêmes erreurs ? Et pour info je suis abonné depuis une vingtaine d'années au stade comme à la salle donc tu m'epargneras le "mauvais supporter" stp car ce serait encore plus mal connaître. Mon seul souhait est de voir mes deux clubs briller ou au moins remplir leurs objectifs ensemble, ni plus ni moins. Et d'ailleurs 2005 restera ma plus belle année en tant que supporter strasbourgeois.
Enfin libre à toi de faire ce que bon te semble, je n'ai jamais rien demandé jusqu'à preuve du contraire mais souhaiter du mal à un club, simplement par mépris d'un membre, ça manque un peu de recul et de maturité si tu veux mon avis. Tu peux zapper maintenant. -
eken a écrit, le 08/05/2018 19:54 : Je suis un irréductible sup de la SIG mais faut reconnaître que c'est quand même un sommet de la loose cette équipe
Comme indiqué dans mon message précédent, il faut savoir faire la part des choses. Beaucoup de personnes ont connu la SIG grâce à sa montée en puissance des dernières années mais perso je peux dire qu'à l'époque du Tivoli (petite touche de nostalgie qui plaira à mon grand ami..) , personne ne se battait pour aller voir des matchs de Pro B. Historiquement la SIG est un club modeste dans l'hexagone, qui a changé de dimension depuis peu, qui grandit au fil du temps avec un agrandissement de sa salle à venir, ect. Si on m'avait dit à l'époque ou le MBC dominait le basket alsacien et disputait une 1/2 en Coupe d'Europe, qu'un jour la SIG enchaînerait les finales de Pro A et brillerait sur la scène européenne, ça m'aurait certainement fait sourire. L'histoire d'un club ne s’arrête pas au palmarès et en prenant le temps d'analyser son parcours, on se rend compte que sa progression est juste incroyable sur une si courte période. Après je ne dis pas non à un titre de champion de France, pour récompenser le travail de ces dernières années. -
J’allais aussi au tivoli et j’avoue que cette évolution n’etait même pas envisageable.
On aimerait avoir d’autres looters de ce niveau dans bien d’autres sports à Strasbourg. -
La SIG était au départ le club d'Illkirch où les ambiances étaient d'ailleurs souvent très chaudes dans la salle de la Rue de la Poste.
Il a aussi fallu un peu de temps pour que la ville et les habitants de Strasbourg et des environs s'approprient le club comme étant le leur. -
C’est le leur.
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SIG = Sportive (Strasbourg de nos jours) Illkirch Graffenstaden pour les nostalgiques. Et d'ailleurs l'équipe féminine et les jeunes jouent toujours dans l'ancienne salle, Rue de la Poste, chaque week-end. Enfin pour en revenir au Tivoli, je garde en tête le concours de prono où il fallait donner le score exact , ce qui n'est pas évident en basket, avant un tirage au sort au milieu du parquet ou encore la table à sandwichs.. que l'on pouvait parfois partager avec certains joueurs en fin de match. Une autre époque, moins ambitieuse avec 500 spectateurs certains soirs de Pro B mais ayant laissé beaucoup de bons souvenirs malgré tout. Aujourd'hui Doug Wallace.. n'est plus, le Tivoli a été détruit, une page s'est tournée. Bref, soyons ambitieux mais n'oublions pas d'où l'on vient.
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J-2 avant Le Mans – SIG Strasbourg
Publié le 10/05/2018
Samedi 11 mai à 18h30 la SIG Strasbourg affrontera Le Mans, sur ses terres, afin de tenter de ramener la victoire mais aussi et surtout de remonter le panier average, aussi petit soit-il, pour verrouiller la 2ème place de Jeep® ÉLITE.
Le 9 octobre dernier les Manceaux venaient s’imposer sur le parquet du Rhenus, 76-78, lors d’un début de saison tonitruant pour les coéquipiers de Justin Cobbs. Finaliste perdant de la Leaders Cup en février, Le Mans signe une belle saison et sera un redoutable adversaire pour les SIGmen. Un match difficile et à l’enjeu fort.
En effet, aujourd’hui 2ème de Jeep® ÉLITE, la SIG Strasbourg est talonnée par Le Mans, actuel 3ème mais qui ne compte qu’une victoire de retard sur les Alsaciens. Ainsi l’enjeu de ce match est simple. Si les hommes de Vincent Collet veulent assoir définitivement leur place de dauphin de la saison régulière, il faudra gagner et gagner de plus de deux points.
A 48h de ce match découvrez un comparatif des statistiques des deux équipes ainsi qu’un face à face chiffré entre les deux meneurs : Justin Cobbs et Dee Bost.
Ereur du SITe car si la SIG s'impose de 1 pts avec deux victoires d'avances a un match de la fin,le pointaverage n'est pas important ! -
Il y a des soirs comme ça, c'est que du bonheur..
Deuxième place verrouillée !
La donne en amont de ce match face au Mans était simple. Le vainqueur de ce choc mettrait la main sur la 2ème place de Jeep® ÉLITE. Mais, au-delà de cet objectif, Vincent Collet, le coach strasbourgeois, souhaitait se servir de cette rencontre pour continuer à monter en régime en vue des playoffs. Et la victoire obtenue au final sur le parquet d’Antarès 70-80, permettait de valider l’objectif en suivant le chemin de la progression attendue pour le grand huit à venir.
Le Mans démarrait fort cette partie sous l’impulsion d’un Mykal Riley très incisif. Mais le collectif strasbourgeois était en place en attaque et offrait de belles séquences. Avec Zack Wright à la baguette et un Miro Bilan qui n’avait que faire de la taille de Fall, les Strasbourgeois imposaient leur jeu en plantant la bagatelle de 15 points en 4’ aux locaux (9-15, 4’). Un écart de six points qui n’était pas du tout du goût du coach du Mans qui prenait un temps mort pour remobiliser son équipe. Un petit électrochoc qui amenait deux primés pour égaliser dans la foulée. Mais qu’importe, avec la sortie pour deux fautes de Fall, les SIGmen maintenaient la pression. Très adroit dans cette première période (71,4%) et hyper dominant aux rebonds (11 à 3), Strasbourg reprenait les rênes (16-22, 8’) pour finir les 10 premières minutes en tête. Fin du premier quart-temps : 18-25 (évaluation 15-35).
Le Mans revenait avec une grosse envie. L’agressivité se mettait alors à pencher du côté des locaux qui muselaient les Alsaciens en leur passant cinq points de rang pour revenir à quatre longueurs (23-27, 12’). Mais Vincent Collet remettait ses cadres et directement la sentence tombait. Avec deux paniers de Damien Inglis et en provoquant deux pertes de balles des oranges, Strasbourg faisait un break en infligeant un 8-0 à la bande à Romeo Travis : 23-35, 15’. Vincent Collet faisait tourner son effectif et, à 4’08 de la mi-temps, tout le monde avait le plaisir de voir le retour de Pape Sy sur les parquets de Jeep® ÉLITE. Le Mans ne s’avouait pas vaincu pour autant et finissait la période en construisant leur jeu sur une bonne défense. Avec l’appui du public et grâce à un duo Riley/Travis, le MSB inversait la tendance pour recoller à la mi-temps à seulement trois petits points en ponctuant les 20 premières minutes par un 7-0. Mi-temps : 34-37 (évaluation 28-44).
Le jeu était un peu poussif des deux côtés au retour des vestiaires. Les échecs se succédaient et le score avait peine à évoluer avec un petit 3 à 2 en faveur de la SIG Strasbourg en 2’30 (36-40, 22’30). La SIG Strasbourg se montrait en difficulté mais Louis Labeyrie se muait une nouvelle fois en sniper pour planter derrière l’arc avant de voir David Logan ponctuer joliment une contre-attaque pour un 7-2 pour les rouges et reprendre ainsi sept points d’avance : 40-47, 26’. Tout ceci permettait aux Alsaciens de reprendre les commandes de ce match. Ils se mettaient à dérouler en attaque en profitant des nombreuses pertes de balles qu’ils provoquaient chez les Manceaux. En transformant le 7 à 2 en 18 à 4, Vincent Collet et ses hommes montraient leur mainmise sur le match : 42-58, 28’30. Un avantage qui était alors criant à l’évaluation puisque les SIGmen avaient tout simplement le double de leur hôtes (36-72). Fin troisième quart-temps : 46-58 (évaluation 36-72).
La défense de Strasbourg montait encore d’un cran et tout devenait encore plus difficile pour Le Mans. Le temps passant l’écart entre les deux équipes augmentait pour atteindre 15 points à 8’ du terme (48-63). Avec un Youssoupha Fall complétement éteint face aux Alsaciens (4 points et 5 fautes), Le Mans était dans le dur et subissait les rafales rouges par l’intermédiaire d’un David Logan froid de réalisme : 52-69, 34’. Et comme à son habitude, le couteau suisse Zack Wright nourrissait la feuille de match en étant présent dans tous les secteurs de jeu (9pts/8rbs/7pds/20 d’évaluation) poussant l’équipe vers une victoire de plus en plus probable… Surtout avec 16 points d’avance à 3’30 de la fin (58-74). Romeo Travis entretenait l’espoir en étant au four et au moulin et en ramenant son équipe à 10 points à 2’ du buzzer mais, malgré un dernier baroud d’honneur, Le Mans devait reconnaitre la supériorité de l’équipe de Vincent Collet qui s’imposait finalement 70-80 (évaluation 64-100).
Belle victoire des Strasbourgeois à l’extérieur, en terrain hostile qui permet à l’équipe alsacienne de verrouiller définitivement la 2ème place de Jeep® ÉLITE. Vincent Collet voulait voir son équipe continuer à monter en régime avec les Playoffs en ligne de mire. Et, ce soir, il pouvait s’estimer heureux sur la globalité de ce match, car, même si tout n’a pas été parfait et notamment les 17 pertes de balles, le visage montré par son équipe était dans l’ensemble positif et pouvait servir de bonne étape de travail en vue des Playoffs.
http://sigstrasbourg.fr/2018/05/deuxieme-place-verrouillee -
Réception de Dijon ce mardi dans un match sans réel enjeu pour la SIG, après avoir assuré sa 2e place au classement. Par contre, l'intérêt de cette dernière journée de saison régulière sera de désigner notre futur adversaire lors du premier tour des PO :
http://sigstrasbourg.fr/2018/05/playoffs-ce-sera-pau-nanterre-limoges-ou-l-asvel -
Si on pouvait éviter le vert des 3 derniers cités...
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C'est vrai que Pau semble être l'adversaire le plus abordable mais pour autant et sous prétexte d'être un club habitué aux finales ces dernières années, ce serait une erreur de penser que c'est quelque chose de banal.. Au départ d'une saison ils sont 18 puis 8 à l'arrivée des PO et en consultant l'historique de la SIG, depuis une vingtaine d'années et sa présence régulière dans l'élite (sauf rechute fin 90), on constate que ça reste un gros défi :
1998 : Non qualifiée
1999 : Pro B
2000 : 1/2
2001 : 1/2
2002 : Non qualifiée
2003 : Non qualifiée (dernière mais repêchée en Pro A..)
2004 : 1/4
2005 : Championne (sur un match sec à Bercy)
2006 : 1/2
2007 : 1/4
2008 : Non qualifiée
2009 : 1/4
2010 : Non qualifiée
2011 : Non qualifiée
2012 : Non qualifiée
2013 : Finaliste
2014 : Finaliste
2015 : Finaliste
2016 : Finaliste
2017 : Finaliste
2018 : Qualifiée (à suivre..)
Le plus tard possible mais arrivera bien un jour où notre série de finales prendra fin, les autres clubs engagés ayant également de l'appétit. Enfin pour info, la dernière équipe à s'être qualifiée au moins 6 fois consécutivement en finale du championnat de France, c'était Limoges entre la fin des années 80 et début 90, à savoir la formation ayant remporté l'unique C1 de l'histoire du basket français, la même année que Marseille en foot.. Bref, un (vrai) défi qui se présente à nous. -
Oui mais Limoges a un vrai palmares
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Ce n'est pas "banal", mais des formations comme Le Mans et l'ASVEL n'ont pas non plus manqué souvent les playoffs. Et n'ont pas toujours été coachées par Vincent Collet O:)
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Limoges c'est un peu l'équivalent de Marseille en football, personne ne dit le contraire. Et niveau palmarès, Villeurbanne et ses 18 sacres est évidemment sur une autre planète. Il ne s'agit pas de comparer l'histoire de la SIG avec celle des dinosaures.. de l'hexagone, mais à notre niveau ça reste une période exceptionnelle sur le plan sportif.
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Mais personne ne la compare dans sa globalité. On ne s'intéresse pas aux années 50 à 70 de l'ASVEL qui ont donné les 3-4 de leurs 18 titres. Tu mentionnes une période, eh bien sur la même période le bilan de l'ASVEL est presque identique, comparable, comme le MSB.
Ce n'est pas parce que les grands-pères villeurbannais se sont régalés dans les années 50 à 70 que ce club est au-dessus aujourd'hui. D'ailleurs, ils ont aussi perdu un paquet de finales à un moment sous Greg Beugnot, et c'était clairement un problème mental.
Tu veux nous faire croire que la SIG est le junior de la Pro A, désolé ce n'est plus le cas. -
En partie grâce aux dirigeants actuels. J'ai simplement précisé que si la SIG n'était pas en mesure de rivaliser au niveau du palmarès, surtout en réponse au message concernant Limoges, ça n'en restait pas moins une période historique pour nous. Évidemment qu'il manque quelques trophées majeurs mais en prenant notre bilan depuis 2013, on ne peut nier le fait que le club a changé de dimension :
2013 : 2e en saison régulière / finaliste des PO / finaliste LeadersCup
2014 : 1er en SR / finaliste des PO
2015 : 1er en SR / finaliste des PO / vainqueur Coupe de France / vainqueur Leaders Cup
2016 : 2e en SR / finaliste PO / finaliste EuroCoupe
2017 : 4e en SR / finaliste PO
2018 : 2e en SR / vainqueur Coupe de France / à suivre..
Et d'ailleurs il me semble avoir lu que la SIG possède le meilleur taux de victoires dans l'hexagone sur cette période. Il y a quelques années personne n'aurait pu rêver d'un tel bilan, malgré notre fragilité mentale lors des finales de PO, en étant honnête. Sans oublier des succès de prestige face au Real alors champion d'Europe ou encore le Fener par exemple qui restent exceptionnels pour le basket français de nos jours. -
Les quarts de finale pour les playoff après la 34ème journée :
Monaco - Élan Béarnais
Strasbourg - Nanterre
Le Mans - ASVEL
Limoges - Dijon -
Et pour les demis , tirage au sort où pas ??????
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La SIG qui termine la saison régulière par un succès face à Dijon (93-77)
1 Monaco 25v - 9d 2 Strasbourg 24v - 10d 3 Le Mans 21v - 13d 4 Limoges 20v - 14d 5 Dijon 20v - 14d 6 Lyon-Villeurbanne 19v - 15d 7 Nanterre 19v - 15d 8 Pau-Lacq-Orthez 18v - 16d 9 Bourg-en-Bresse 17v - 17d 10 Levallois 16v - 18d 11 Le Portel 16v - 18d 12 Chalon/Saône 15v - 19d 13 Gravelines-Dunkerque 15v - 19d 14 Châlons-Reims 15v - 19d 15 Cholet 14v - 20d 16 Antibes 13v - 21d 17 Boulazac 12v - 22d 18 Hyères-Toulon 6v - 28d -
alainh68 a écrit, le 15/05/2018 22:52 : Et pour les demis , tirage au sort où pas ??????
En cas de qualif la SIG rencontrera le vainqueur du duel Le Mans - ASVEL.
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