Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

[Euro 2016] Euro 2016 en France

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  • Fait pour ma part (+)
  • Surtout n'hésitez-pas à faire partager le groupe en invitant vos amis à le rejoindre ;)
    Le groupe a été créé il y a moins d'une semaine, nul doute que le nombre de ces membres va bien augmenter encore.
    Les villes seront sélectionnées en Novembre, d'ici là de nombreuses actions auront lieu.
    Tous ensemble pour Strasbourg, ville candidate à l'Euro 2016!
  • Le soutien financier de l'Etat attendu

    La candidature de la France à l'organisation de l'Euro 2016 constitue le chantier prioritaire de la rentrée pour la secrétaire d'Etat aux Sports Rama Yade, les dirigeants du football français attendant des pouvoirs publics une caution financière pour lancer leur dossier.

    En première ligne sur ce projet, la Fédération française de football (FFF) et la Ligue de football professionnel (LFP) espèrent que l'implication du ministère donnera l'élan nécessaire à six mois de la remise de la candidature à l'Union européenne de football (UEFA), le 15 février 2010.
    Frédéric Thiriez, le président de la (LFP), avait ainsi réclamé « 150 millions d'euros, ce qui est à peine 10% du montant total des investissements » en matière de construction et de rénovation des stades. « On attend une décision au plus haut niveau, rapidement. Il y a des promesses, elles doivent maintenant être actées .»

    Rama Yade « souhaite que l'Etat s'engage »

    Le principe de cette aide a été validé par Rama Yade qui « souhaite que l'Etat s'engage à contribuer à la rénovation des stades à hauteur de 5% afin de crédibiliser la candidature ». Ce dossier a un caractère « urgent », selon la secrétaire d'Etat, la France devant choisir d'ici décembre douze enceintes sur les seize candidates. Cette contribution financière doit encore être inscrite au budget 2009-10.
    La somme envisagée peut paraître dérisoire mais constitue le gage dont ont besoin les partenaires éventuels pour s'assurer que le dossier est bien soutenu par l'Etat. Au total, 1 milliard et demi d'euros environ sont nécessaires d'ici à 2014 pour la construction de nouvelles enceintes (Lille, Lyon, Nice), la rénovation des stades de Strasbourg, Lens, Marseille, Saint-Etienne et Nancy, sans compter les aménagements possibles directement liés au dépôt d'une candidature française à l'Euro.

    « Faire naître un vrai élan porteur»

    L'adoption par le Parlement, début juin, de l'article dit « grands stades » dans le cadre du projet de loi de développement et de modernisation des services touristiques, était également réclamée par les instances dirigeantes du football français. Les grands stades - à partir de 30.000 à 40.000 personnes - peuvent ainsi être reconnus « d'intérêt général » par arrêté du ministre des Sports, « quelle que soit la propriété privée ou publique de ces installations ».
    Cette disposition figurait dans le rapport remis en novembre 2008 par la commission Grands stades Euro 2016 présidée par Philippe Séguin, premier président de la Cour des Comptes. Outre l'aspect financier, les responsables du football français veulent un signal fort sous la forme d'« une grande campagne de mobilisation ». « Il faut que l'UEFA sente que c'est le pays tout entier qui est candidat », avait expliqué M. Thiriez.
    « Le souci c'est de faire naître un vrai élan porteur pour cette candidature. Je ne veux pas personnaliser, mais si (le président de l'UEFA) Michel Platini, tous les trois jours, lit dans les journaux français des critiques, des moqueries, des campagnes "anti-stade bidule", soyons clairs, ça ne donne pas envie », avait indiqué en mai Jacques Lambert, le directeur général de la FFF.


    DNA
  • 2052 membres pour le soutien à Strasbourg sur le groupe Facebook
    Soutien candidature de Strasbourg

    Contre 7188 membres pour le groupe Metz, ville candidate Euro2016 et 1871 membres pour L'euro 2016 à Metz

    Et contre 7016 membres pour Pour que Nancy soit retenu pour accueillir l'EURO 2016 et 546 membres pour Nancy candidat à L'euro 2016

    On est largué, quand on sait que la candidature repose également sur le soutien populaire, il faut se bouger.

    De plus il y une Action de soutien pour la candidature de Strasbourg à l'Euro 2016

    Le dimanche 30 août, tous au Jardin des Deux Rives !
    Une action de soutien pour la candidature de Strasbourg à l'Euro 2016 aura lieu à 16h. La Ville a fait peindre au sol le nom "EURO 2016" et le but est de regrouper un maximum de personnes pour recouvrir ces lettres et poser pour une somptueuse photo qui sera prise depuis un avion.

    Pour que la fête soit réussie, nous attendons au moins 2000 personnes ! Une simple formalité pour une ville comme Strasbourg ? Prouvez le !

    Mobilisez-vous pour votre ville, faites partager cette informations à toutes vos connaissances, nous comptons sur votre présence ce dimanche à 16h au Jardin des Deux Rives.

    Cette action sera précédée par Passion Sport à 15h, qui a lieu chaque été et qui vous permettra, du 26 au 30 août, de participer à des animations foot (entièrement gratuites) !
  • Ce message est une brève publiée sur le portail.
    La candidature strasbourgeoise à l'Euro 2016 sera présentée le vendredi 4 septembre 2009, en marge de l'inauguration de la Foire Européenne.
    Source: DNA
  • Strasbourg / Candidature à l'Euro 2016 et rénovation de la Meinau
    Dix jours pour devenir une capitale de l'Euro


    La capitale de l'Europe a-t-elle l'étoffe d'une capitale de l'Euro 2016 de football ? Si, à la Ville, personne ne pense une seule seconde le contraire, personne n'est dupe non plus du degré d'importance de ce dossier, à la convergence des intérêts sportifs, politiques et économiques.

    Les techniciens sont à l'oeuvre pour finaliser la candidature strasbourgeoise. Un crédit de quelque 800 000 € a été voté en conseil de CUS, le 10 juin, pour ce projet à forte charge symbolique : dans une ville à l'identité européenne ancrée dans sa culture, son histoire et son patrimoine, nul ne souhaite se passer des retombées médiatiques et économiques de l'événement sportif majeur en Europe.

    Les enjeux

    LA DIMENSION INTERNATIONALE.
    – Eu égard aux institutions qu'elle abrite, la ville de Strasbourg revendique un rôle particulier sur la scène internationale. Cette dimension est bien perçue par les élus municipaux et communautaires : des décisions dans ce sens (comme l'adoption de crédits avant la tenue du sommet de l'OTAN) sont généralement approuvées à l'unanimité. Et pour acquérir une telle dimension, cela ne s'improvise pas, il faut ne pas manquer les rendez-vous cruciaux. Pour ne rappeler que l'histoire très récente, la ville peut se targuer d'avoir connu son instant de célébrité mondiale cette année, lors du sommet de l'OTAN et la venue des 30 chefs d'Etat, et notamment le président des Etats-Unis, considéré comme l'homme le plus puissant du monde, Barak Obama, au faîte de sa popularité. Vu la manière dont la Ville a repris en main de dossier du nouveau stade (lire ci-dessous), on est tenté de croire qu'elle a pris... goût à cette reconnaissance internationale ou plutôt qu'elle entend poursuivre la promotion de sa stature de capitale de l'Europe.

    RÉPARER UNE « ERREUR».
    – D'autant que, en matière d'événements sportifs, une plaie reste ouverte chez les amateurs de football de la région : le refus de se porter candidat à la Coupe du monde 1998 (remportée par la France). Le reproche avait longtemps été fait à Catherine Trautmann, maire de Strasbourg en ce temps-là, d'avoir opposé une fin de non-recevoir en 1993 à la sollicitation de Michel Platini – qui faisait alors le tour des villes candidates. Pour replacer les choses dans leur contexte, les présidents des deux conseils régional (Marcel Rudloff) et général (Daniel Hoeffel) l'avait un peu poussée dans ce sens. Mais les faits sont têtus, beaucoup – bien au-delà des amateurs de football – se sont accordés, dans la foulée de la victoire de l'équipe de France, à fustiger ce rendez-vous manqué comme une erreur stratégique « historique ».

    PLACE FORTE DU FOOTBALL.
    – La Ville a dix jours aussi – en réalité elle doit déposer son dossier complet le 15 septembre –, pour convaincre les instances nationales du football en France (Fédération et Ligue) qu'elle se donne les moyens de pouvoir accueillir de grands événements internationaux (rencontres de football ou de rugby). Cela passe par la construction ou la restructuration d'une enceinte sportive moderne, aux normes UEFA. Et ce, indépendamment des résultats – pour le moins mitigés aujourd'hui– de son club local, le Racing club de Strasbourg. Un détail qui a son importance, et que confirme le maire de Strasbourg (lire ci-dessous).

    Philippe Dossmann


    Campagne «Euro 2016»

    A partir du vendredi 28 août
    • Activation des réseaux sociaux sur Internet.
    - Plus de 2.000 personnes sont déjà membre du groupe de soutien de cette candidature sur Facebook, alors que la campagne officielle n'a pas démarré officiellement.
    • Près de 2.000 bulletins de soutien et d'adhésion ont été renvoyés à la CUS.
    • Mise en place d'une signalétique événementielle (déjà vue pour l'Euro de handball et les premiers matches du Racing à la Meinau).


    Dimanche 30 août
    Rassemblement au jardin des Deux-Rives à 16h, dans le cadre de Passion Sport, semaine «spéciale foot», pour une photo aérienne. Près de 2.000 personnes seront rassemblées afin de remplir le logo «Euro 2016» et soutenir la candidature de Strasbourg.
    • Reprise des matches de football amateurs, avec la photo des équipes et le logo «Euro 2016».


    Vendredi 4 septembre
    Inauguration de la foire européenne et révélation au grand public de l'option retenue pour la reconstruction de la Meinau, avant le dépôt officiel de candidature du dossier de Strasbourg (le 15 septembre).
    • Animations autour du stand de la Ville à la foire européenne.
    • Campagne d'affichage à travers la ville et dans les mairies de quartier.


    Roland Ries : « 160 millions pour reconstruire la Meinau »

    OPÉRATION SÉDUCTION.

    – A l'occasion de la visite des présidents de la Ligue (LFP), Frédéric Thiriez, et de la Fédération de football (FFF), Jean-Pierre Escalettes, le 19 juin dernier, Roland Ries et Jacques Bigot ont donné le sentiment d'avoir repris le dossier en main, en déclarant sans retenue leur flamme pour ce rendez-vous footballistique européen. Le maire de Strasbourg et le président de la CUS ont alors dévoilé le plan B, qui a fait suite au mirage du projet EuroStadium – et son chiffre pharaonique de surfaces commerciales – porté par l'investisseur britannique Hammerson et son avocat à Strasbourg, Philippe Ginestet.

    « Un engagement ferme »

    Joint hier au téléphone, Roland Ries considère que les instances nationales du football, « sensibles à la vocation européenne et internationale de Strasbourg » ont besoin « d'un engagement ferme » de la part des collectivités « pour nourrir leur propre dossier destiné à l'UEFA ». Et l'engagement aujourd'hui est de « reconstruire le stade de la Meinau sur site, aux normes UEFA, pour un montant de 160 millions d'euros », précise le maire de Strasbourg. « Ce serait déraisonnable de le faire pour seulement une vingtaine de soirées par an. Donc il faudra l'ouvrir plus largement à d'autres événements, divertissements ou activités (hôtel, salles de conférences... », ajoute Roland Ries.

    MOTIVATION ET MOBILISATION.
    – Outre la motivation des décideurs politiques, les dirigeants du foot français « souhaitent par ailleurs mesurer le degré de mobilisation populaire » autour de cet événement, souligne le maire. D'où l'idée de lancer une grande campagne de communication et de mobilisation, en activant notamment les réseaux sociaux via Internet (lire notre infographie) et le site de la Ville. Et de mettre en avant aussi le soutien des autres « collectivités », des « partenaires économiques », et bien sûr des « milieux du football avec la Lafa ».

    SOUTIEN D'ARSÈNE WENGER.
    – La candidature de Strasbourg à l'Euro 2016 a reçu le soutien du manager général des « Gunners » d'Arsenal, sur arsenal.tv, la chaîne du club anglais, souligne-t-on à la Ville. Dans une interview accordée à cette chaîne, le charismatique entraîneur (qui n'a pu répondre à notre sollicitation hier soir) a déclaré qu'il ne concevait pas, « si la France était retenue pour l'organisation de l'Euro 2016 », qu'« aucun match ne se déroule à Strasbourg ». Il n'est manifestement pas le seul à le penser.

    DNA
  • TRAVAUX. Les discussions s'intensifient pour ce projet estimé à 230 millions d'euros. L'aide de l'État, décisive, sera connue en septembre

    Grand Stade à Bordeaux : une équation complexe

    La Ville investira 10 millions d'euros dans des travaux de rénovation du stade Chaban-Delmas cette année. (ph. Archives « so »)
    «Elle est sympa Rama Yade, mais il faudrait qu'elle nous dise combien l'État est prêt à investir dans le grand stade. » Yves Lecaudey, le grand argentier du conseil général reflète le sentiment général des élus suite aux déclarations de la secrétaire d'État aux sports dimanche soir.

    Le dossier du grand stade refait surface. Il a fait l'objet de nombreuses discussions tout au long de l'été, entre les dirigeants du club et les principaux élus de Gironde, entre le maire de Bordeaux et les instances gouvernementales, entre les porteurs du projet et les financeurs privés potentiels. Le projet est complexe sur le plan juridique et lourd sur le plan financier. Il est aujourd'hui estimé à 230 millions d'euros pour une enceinte de 40 000 places.

    Public-privé

    Nicolas de Tavernost, le patron de M6, la chaîne propriétaire des Girondins de Bordeaux, l'a dit et redit à ses interlocuteurs : aucun investisseur privé seul ne trouvera une banque prête à le suivre dans une telle aventure.

    Comme aucun budget public ne peut aujourd'hui assumer un investissement de cette ampleur, les acteurs privés et publics doivent s'entendre sur un partenariat que la législation a largement favorisé ces dernières années, cédant au lobbying efficace des majors du BTP.

    Dimanche dernier, Rama Yade a indiqué que les arbitrages sur l'enveloppe financière que l'État mettrait au pot pour préparer ses stades à la candidature de l'Euro 2016 de football seraient rendus début septembre. Elle pourrait être portée à 150 millions d'euros, soit un peu moins de 20 millions d'euros de subvention de l'État par stade : « À moins de 50 millions de subvention, le projet bordelais ne passe pas », tempère le maire de Bordeaux. Alain Juppé n'est pas certain non plus de rallier à son projet toutes les collectivités locales. La CUB est prête à s'engager à hauteur de 10 ou de 12 millions d'euros, mais s'inquiète déjà des coûts d'infrastructures, induits par la construction du grand stade au Lac.

    Réserves départementales

    La Région suivra la Ville de Bordeaux sur les mêmes bases financières. « J'ai défendu ce projet lors de la dernière campagne, je ne change pas de ligne à son sujet », assure Alain Rousset, le président du conseil régional. Le conseil général est lui plus que réticent. « On nous demande d'aller très vite alors que nos budgets sont plus que jamais incertains », explique Yves Lecaudey. En fait, Philippe Madrelle, le président du conseil général, est déjà engagé dans le bras de fer de la prochaine réforme territoriale, en débat à l'automne au Parlement, qui met l'institution départementale sérieusement sur la sellette, au profit de la métropole notamment.

    Côté privé, deux sources de financement peuvent en théorie se cumuler. Le club des Girondins dit être prêt à payer sur 30 ans un loyer « équivalent à une dotation en capital de 90 millions d'euros », précise Jean-Louis Triaud, son président. Une somme sans doute encore négociable. Il manque encore, en fonction de la confirmation des engagements des différents acteurs, entre 60 et 80 millions d'euros pour boucler le projet.

    Les majors du BTP, pour qui la construction et la maintenance d'un tel équipement sont source de revenus, sont bien sûr sur le coup.

    Pas d'Arena bis

    Clément Fayat et sa nouvelle filiale dédiée, la Somifa, étudie sérieusement le dossier. Le groupe Eiffage, très offensif, et Vinci, sont à l'affût. Ces groupes ont l'équation financière pour apporter le complément de l'investissement. Mais ce sera en échange de recettes, en loyer et maintenance. Elles négocieront aussi la possibilité de créer des surfaces commerciales. Mais elles ne manquent pas, ni dans le quartier du Lac, ni sur l'agglomération.

    Une chose est sûre toutefois : la Ville de Bordeaux et les Girondins se sont entendus sur le principe d'un stade multifonctions qui ne concurrencerait pas directement l'Arena. Les quinze premiers jours de septembre ne seront pas de trop pour boucler le financement du grand stade, qui s'avère délicat. L'équation comporte encore en effet de nombreuses inconnues. Mais le projet est toujours bien vivant.

    Bordeaux n'est pas seule confr ontée aux problèmes
    La justice a ordonné début juillet l'arrêt des travaux du stade de Valenciennes pour « insuffisance d'étude d'impact ». (photo dr)
    Pourquoi Bordeaux n'arriverait pas à concrétiser ce que d'autres villes vont faire ? Dans les travées de Chaban-Delmas, le raccourci est vite fait. Certes, d'autres agglomérations sont plus en avance dans la réflexion, mais elles ne sont pas dans la réalisation. Loin de là !

    L'argent qui manque cruellement à Bordeaux fait aussi défaut à d'autres. Deux projets majeurs ont déjà capoté. Saint-Etienne ne fera pas son grand stade à 200 millions d'euros : les élus vont réhabiliter Geoffroy-Guichard pour 70 millions. Strasbourg n'aura pas non plus son Eurostadium de 42 000 places et 90 000 m² de surfaces commerciales. La Ville et la communauté urbaine ont refusé cet été d'apporter les 100 millions d'euros nécessaires pour boucler le budget de 400 millions. Ils ont voté la réhabilitation du stade de la Meinau sans pour autant retirer la candidature de la ville à l'Euro 2016.

    Gros retard à Lyon

    Les deux projets les plus avancés à ce jour sont ceux de Lille et Lyon. À Lille-Villeneuve d'Ascq, des bulldozers se sont déjà mis en action cet été pour nettoyer le terrain retenu. Provocation ou précipitation ? Le permis de construire n'est pas encore attribué. Martine Aubry réclame toujours 45 millions d'euros à l'État pour boucler le budget, et les écologistes indiquent que la zone est inutilisable car bourrée d'amiante. « Ça se fera quand même ! », affirment les plus optimistes, qui prévoient un début de chantier à la fin de l'année.

    « C'est parti pour se faire ! », dit-on aussi à Lyon où, après bien des mois d'inquiétudes, le budget nécessaire vient d'être bouclé. 300 millions pour un stade de 60 000 places, 150 millions d'euros pour ses voies d'accès et aménagements extérieurs sur le site du Grand Montout, à Décines. Le dossier est encore plus en retard toutefois que celui de Lille. L'enquête publique n'a pas eu lieu (elle pourrait se dérouler cet automne) et le permis de construire ne pourra pas être déposé avant le milieu de l'année prochaine, pour une fin de travaux probable en 2013. Probable car là aussi, on veut vraiment voir la fin du chantier pour le croire.

    Coup dur à Valenciennes

    Un événement de taille vient en effet de démontrer qu'il ne faut pas crier victoire avant le coup de sifflet final. La construction du stade de Valenciennes (25 000 places) vient d'être stoppée sur décision du tribunal administratif de Lille : les études d'impact n'ont pas été menées selon les règles.

    Un coup dur qui peut avoir de lourdes conséquences. À Valenciennes, toutes les parties béton du stade sont réalisées. Les ouvriers devaient procéder à la pose des charpentes. Le chantier est bloqué pour plusieurs mois et beaucoup se demandent s'il pourra reprendre. Et à quel prix ?

    Ces risques et ces surcoûts n'ont cependant pas l'air de décourager les téméraires. Exemples : le maire de Nice vient de confirmer la création d'un grand stade de 35 à 40 000 places. Celui du Havre la construction d'une enceinte de 25 000 places. Bref, la saga des grands stades se poursuit !

    Auteur : Jean-Bernard gilles

    SUD OUEST
  • Le Parc est bien candidat

    Le futur président du Paris SG, Robin Leproux, était mercredi matin au Camp des Loges, le centre d'entraînement du club parisien, pour accueillir Bertrand Delanoë venu saluer les joueurs. Ce fut l'occasion pour le maire de Paris d'évoquer la candidature de la capitale, propriétaire du Parc des Princes, à l'Euro 2016, dont la condition sine qua non est la rénovation de l'enceinte sportive. Des travaux que l'actionnaire majoritaire, Colony Capital, ne veut pas supporter financièrement à lui seul (on parle d'un coût global compris entre 50 et 75 millions d'euros).

    Robin Leproux a voulu néanmoins se montrer optimiste quant au montage économique du dossier. «On est à l'unisson avec la Mairie de Paris (ndlr : propriétaire du Parc) pour faire un trés très beau stade pour les cinquante ans à venir. Le cahier des charges de l'UEFA est ce qu'il est (sièges VIP, loges, éclairage etc..) mais le Parc fera partie des stades pour l'Euro 2016, on ne peut pas l'imaginer autrement. C'est trop tôt pour savoir qui paiera mais notre projet sera crédible».

    lequipe.fr
  • Dimanche 30 août, au Jardin des Deux Rives

    Strasbourg déclare sa passion pour l'euro de football 2016

    Dimanche 30 août, la Ville de Strasbourg organise au Jardin des deux Rives une après-midi de " Passion sport ", à partir de 15h pour soutenir la candidature de Strasbourg à l'accueil de matchs de l'Euro de football.

    Chacun pourra participer à de multiples activités sportives gratuites : escalade, trampoline, badminton, speed ball. Un tournoi de football ainsi qu'un jeu de babyfoot géant seront également proposés. Un atelier monté en association avec la Maison des jeux accueillera spécifiquement les plus petits, tandis que les sportifs cérébraux pourront jouer aux échecs avec le Cercle d'échecs de Strasbourg.
    A partir de 16h, une chaîne humaine sera formée autour de l'inscription " Euro 2016 " et une photo aérienne sera prise afin d'appuyer la candidature de Strasbourg auprès de la Fédération Française de Football qui doit choisir les villes où pourront se tenir les matchs.
    Au-delà des sportifs qui seront sur place pour participer aux animations de " Passion sport ", toutes les personnes désireuses de soutenir la candidature de Strasbourg et de manifester leur engouement à cet égard, sont cordialement invitées à prendre part à ce rassemblement populaire.

    La mobilisation populaire peut faire la différence en faveur de Strasbourg

    Candidate à l'accueil de l'euro 2016, la France doit choisir avant la fin de l'année les 9 villes dans lesquelles elle proposera d'organiser la compétition si elle est retenue.
    Strasbourg, ville siège du Conseil de l'Europe et du Parlement européen, souhaite en faire partie. Pour atteindre ce but, elle a besoin du soutien de l'ensemble des Strasbourgeois, mais également des Alsaciens et des habitants du Bade-Wurtemberg. En effet, si Strasbourg est retenue, le grand-est français, tout comme la région frontalière allemande et suisse, auront non seulement le plaisir de pouvoir accéder facilement à plusieurs rencontres, mais bénéficieront également des retombées positives de l'immense fête populaire qui accompagnera les matchs dans la capitale alsacienne, indique la Ville de Strasbourg dans un communiqué.
    Pour soutenir cette candidature, il est possible de remplir un formulaire de soutien ou de déposer un simple message, sur Internet, dès la page d'accueil du site de la CUS : à l'adresse suivante (cliquer).
    De même, il est possible sur Facebook de rejoindre le groupe " tous ensemble pour Strasbourg " qui a déjà réuni plus de 3 000 soutiens en deux semaines. Cela se passe à l'adresse suivante sur Facebook (cliquer).

    DNA
  • Strasbourg / Candidature à l'accueil de l'Euro 2016

    La motivation va s'écrire en lettres capitales

    La campagne de la capitale de l'Europe, candidate à l'accueil de matches de l'Euro 2016 de football, s'accélère sur tous les terrains. Avec un principe : la visibilité. Si elle est virtuelle sur Internet (lire ci-dessous), pour la Ville, la mobilisation humaine doit pouvoir être « vue du ciel ». A J - 2 de la photo aérienne au jardin des Deux-Rives, le décor est planté.

    Le championnat d'Europe de football 2016, la Ville de Strasbourg y tient. Et elle le fait savoir − avant le 15 septembre, date de la remise officielle de son dossier de candidature, via des actions de lobbying. Pour faire pencher la balance en sa faveur, outre l'annonce de la reconstruction du stade de la Meinau − qui passerait à « 36 000 places, jauge nécessaire pour décrocher une rencontre de huitièmes de finale », dixit le maire, Roland Ries− elle compte aussi sur la ferveur populaire.

    Troisième événement sportif le plus médiatisé

    Pour prendre le pouls de la mobilisation des Strasbourgeois, elle mise gros sur le rassemblement dimanche, à 16 h, dans le cadre bucolique −mais aussi symbolique, entre les peuples des deux grandes nations du football− du jardin des Deux-Rives. « La mobilisation populaire peut faire la différence en faveur de Strasbourg, ville siège du conseil de l'Europe et du Parlement européen », considère- t-on à la Ville, où l'on se donne les moyens de figurer parmi les neuf agglomérations retenues par le comité d'organisation français pour cette compétition. Car il ne s'agit pas simplement de football : il s'agit du « troisième événement sportif le plus médiatisé du monde ». Les retombées en termes d'images − sans parler des intérêts économiques (DNA de mardi dernier)− sont donc conséquentes.

    Donner une âme à son dossier de candidature

    « Pour atteindre ce but, souligne- t-on à la Ville, nous avons besoin du soutien de l'ensemble des Strasbourgeois, mais également des Alsaciens et des habitants du Bade-Würtemberg.» En effet, poursuit la Ville, « si Strasbourg est retenue, le Grand Est français, tout comme la région frontalière allemande et suisse, auront non seulement le plaisir de pouvoir accéder facilement à plusieurs rencontres, mais bénéficieront également des retombées positives de l'immense fête populaire qui accompagnera les matches dans la capitale alsacienne ». Consciente de tous ces enjeux, mais aussi de ses atouts et de ses charmes, la Ville a besoin de donner une âme à son dossier de candidature. Un cliché qui puisse traduire un peu l'élan populaire autour de la candidature. Du coup, la sympathique photo aérienne prévue dimanche prend une toute autre dimension : elle sera comme une photo d'une grande famille, dans un écrin de verdure, à côté de la passerelle qui rassemble les deux rives de deux grandes nations européennes. De football, bien entendu, aussi.

    Philippe Dossmann


    Déjà 3 000 supporters virtuels

    Pour mobiliser plus largement, la Ville s'est tournée vers Internet. Elle a mis en place une véritable stratégie d'occupation de l'espace virtuel, en particulier via les réseaux sociaux comme Facebook. Avant de mettre en ligne un site dédié, lors de la foire européenne.

    Le groupe « Tous ensemble pour Strasbourg, ville candidate à l'Euro 2016 » sur Facebook comptait hier soir, à 19 h, 2 982 membres. Il est fort à parier que la barre des 3 000 personnes − qui affichent virtuellement leur soutien à cette candidature− a été atteinte dans la soirée. « Il y a un effet boule de neige permanent », explique Jean-Sébastien Bartos, du service multimédia de la Ville. Traduction: un membre du groupe informe tout son réseau d'amis virtuels, qui informent leurs propres réseaux. Les quatre « mousquetaires » du Net et leur chef, Pierre Bergmiller, de cette équipe multimédia dédiée à la campagne de l'Euro 2016, ont donc du pain sur la planche ces derniers jours. Depuis deux semaines, ils ont pris en main la gestion de ce groupe sur Facebook − créé à l'origine par Stéphane Sorel, supporter de la première heure de cette candidature.

    Site dédié à la candidature

    Pour les réfractaires à Facebook, l'équipe propose aujourd'hui sur le site Internet de la Ville (www.strasbourg. eu) de remplir un formulaire en ligne: quelque « 400 personnes se sont déjà inscrites par ce biais et ont laissé des messages de soutien », indique Pierre Bergmiller. Mais un grand coup d'accélérateur sera donné à cette campagne à partir du 4 septembre, date de l'inauguration de la Foire européenne : un site Internet dédié spécialement à cette candidature de Strasbourg démarrera. On y trouvera: «le projet» strasbourgeois ; « les atouts » spécifiques de Strasbourg (terre de football, une région forte, une grande capacité hôtelière, la vie possible en-dehors du football); les ambassadeurs connus sous la rubrique « Ils sont avec nous » ; « un mur d'expression » sur lequel on pourra poster ses messages, ses vidéos ou ses photos ; les « téléchargements» de fonds d'écran, de bannières (petits éléments à insérer
    dans son blog ou son site pour afficher son soutien), ou encore ses signatures mails.

    Coeur du dispositif à la Foire européenne

    Enfin, sur ce site dédié à l'Euro 2016, une rubrique « jeu» sera proposée : conçu spécialement pour cet événement, il s'agira de tirer un maximum de penalties (tirs au but) en 30 secondes. Un classement final déterminera les gagnants et des cadeaux viendront récompenser les meilleurs tireurs. Le coeur du dispositif, avec le matériel de la campagne de mobilisation, se tiendra au stand de la Ville à la Foire européenne. Il sera possible de jouer en tirant de vrais penalties avec un ballon muni d'un capteur électronique.

    Ph.D.

    DNA
  • Youyou (+)

    Les lettres capitales, c'était même pas un demi terrain de foot, et y avait tellement peu de monde que les présents ont servi de cadre à ce bout de pelouse. Même pas de quoi remplir le lettrage b-(
    Avec une banderole limite faite à la main (?!) et des animateurs sono qui nous bassinaient avec leurs fautes de langage et la présence des élus strasbourgeois, youpi b-(

    Bref, pas mal d'animations sympas pour les enfants, mais pour moi un gros bide (600-700 personnes pour la chaîne humaine ?). Un peu plus et on se serait cru à la journée des supporters du Racing, eh.

    Entre la farce du stade, maintenant celle de la candidature. Mais bon, paraît qu'on a 3000 signataires sur FaceBook...

    Franchement, c'est navrant et ça fait mal de le dire : on ne mérite pas cet Euro, la Ville prend des cours sur le Racing pour bricoler :((
  • Sur ce coup là, je ne vois pas pourquoi s'en prendre à la ville. La communication avait été faite pour cette mobilisation, si les gens préfèrent rester devant leur tv, on ne peut rien y faire.

    Egalement déçu par le dénouement concernant l'Eurostadium, qui nous aurait permis d'accueillir à coup sûr l'Euro, mais il faut continuer à y croire. D'autant que d'autres actions vont encore avoir lieu prochainement.
  • Drug is Football but no more in Strasbourg... Il faut croire :s

    C'est dommage que les gens ne se sentent pas plus concernés que cela...
  • En même temps pas très intelligent d'organiser ça, exactement à la même heure que la plus part des matches de foot amateur...
  • Oui, ça aurait surement été plus intelligent de l'organiser en semaine, quand tous les gens travaillent... :-B
  • Il y a peut-être d'autres pistes : samedi, avant ou après-match...

    Ensuite il y a effectivement la question du public cible : là visiblement, il n'y en a pas, on fait juste une pub grand public. Peut-être qu'on aurait pu commencer par les footeux : clubs de foot, enfants, supporters.

    Niveau internet, le portail de la CUS, c'est un peu limite. Quid des sites du RCS ? Des ultras ? Du KCB ? Du stub ?
    Il s'agit de faire le service minimum pour avoir bonne conscience ou vraiment s'y mettre ? Se féliciter d'un FaceBook ou quelques signatures, ce n'est juste pas digne d'une capitale européenne prétendant accueillir un Euro.

    La banderole accrochée en vrac à la passerelle était assez symptomatique. Une bâche de supporters aurait eu meilleur effet b-(

    Et puis un événement, ça ne se prépare pas comme ça. Ce n'est pas comme si l'idée d'être candidat datait de l'abandon de l'Eurostadium ! Là on voit que rien n'avait été pensé jusque là et qu'à présent il faut reprendre la main en catastrophe et faire plein de mini-animations pour qu'on ne puisse pas leur reprocher de n'avoir rien fait.
  • L'Inter aura son stade

    L'Inter Milan va lancer la phase décisive de son projet de nouveau stade. D'une capacité de 60.000 places, cette nouvelle enceinte devrait être inaugurée en 2014 et figurera dans le dossier de candidature de l'Italie pour l'Euro 2016.

    Eurosport.fr


    Un atout de choix pour la candidature italienne. (+)
    On a tendance à l'oublier mais l'accueil de l'Euro par la France n'est en rien acquis pour le moment, d'où la nécéssité de l'avancée de projets de stade concrets (Lyon, Bordeaux, Strasbourg...).
  • Petit reportage sur STRAS TV
    Stras TV

    http://i84.servimg.com/u/f84/11/44/27/29/6296_111.jpg
    http://i84.servimg.com/u/f84/11/44/27/29/6296_110.jpg
  • C'est mignon...
  • http://img268.imageshack.us/img268/8679/ries.jpg

    :)

    (DNA du 30 août)
  • kibitz a écrit, le 2009-08-30 20:29:06 :
    Il y a peut-être d'autres pistes : samedi, avant ou après-match...

    Ensuite il y a effectivement la question du public cible : là visiblement, il n'y en a pas, on fait juste une pub grand public. Peut-être qu'on aurait pu commencer par les footeux : clubs de foot, enfants, supporters.

    Niveau internet, le portail de la CUS, c'est un peu limite. Quid des sites du RCS ? Des ultras ? Du KCB ? Du stub ?
    Il s'agit de faire le service minimum pour avoir bonne conscience ou vraiment s'y mettre ? Se féliciter d'un FaceBook ou quelques signatures, ce n'est juste pas digne d'une capitale européenne prétendant accueillir un Euro.

    La banderole accrochée en vrac à la passerelle était assez symptomatique. Une bâche de supporters aurait eu meilleur effet b-(

    Et puis un événement, ça ne se prépare pas comme ça. Ce n'est pas comme si l'idée d'être candidat datait de l'abandon de l'Eurostadium ! Là on voit que rien n'avait été pensé jusque là et qu'à présent il faut reprendre la main en catastrophe et faire plein de mini-animations pour qu'on ne puisse pas leur reprocher de n'avoir rien fait.


    Je trouve assez gros de critiquer les actions de la Ville quand on compare tout ça aux restes des villes françaises...
    Effectivement ils se sont réveillés un peu tard mais démolir une action après l'autre, comme tu le fais, maintenant que la ville se bouge, c'est nul.

    Facebook ? C'est le 4ème site le plus fréquenté dans le monde. C'est indispensable de communiquer dessus de nos jours. Pour toi c'est peut-être une broutille et ca ne te touche pas mais je peux te dire - pour avoir un compte facebook - que y'a de l'animation et que ce genre de critères (mobilisation et nombre de personnes dans les groupes facebook) ca peut jouer !

    Le Jardin des 2 rives ? Ouai y'a les amateurs qui jouaient le même jour et le lieu n'était peut-être pas super pertinent (au centre ca aurait attiré plus de monde sans doute). Le samedi ? Y'a plus de gens qui bossent et les jeunes ont aussi des matchs. La ville a pas mal communiqué là-dessus et beaucoup de monde étaient au courant. Pourquoi ne pas simplement s'avouer que les strasbourgeois n'avaient pas envie de s'y rendre ?

    Enfin concernant la communication globale, je suppose qu'ils communiqueront beaucoup plus au moment de la foire européenne. A ce que j'ai lu dans le journal l'Alsace, on est encore à la phase où la ville commence à communiquer et tout va s'accélérer durant la foire européenne. C'est sur, là faudra que le projet avance, que y'ait des maquettes sinon ce sera inquiétant !

    Voilà donc au lieu de descendre en flèche, attends un peu et juge après, et regarde aussi ce qui se fait ailleurs.
  • Depuis l'Eurostadium, ça fait plus d'un an qu'on sait que Strasbourg sera candidate. Or rien n'a jamais été fait jusque là, et multiplier les actions estivales ne va pas effacer le temps perdu.

    Je ne vois pas l'intérêt de se comparer aux autres villes, puisque par définition on doit être meilleur. Encore plus en raison de l'imbroglio de l'ex nouveau stade maintenant rénové. Et puis Strasbourg, capitale de l'Europe, c'est quand même un certain standing, je ne vois pas l'intérêt de vouloir regarder ce que font Nancy ou Metz, par exemple.

    Pourquoi j'ai cité FaceBook ? Parce que tu avais un joli article des DNA montrant 5 personnes du service multimédia de la CUS se targuant d'avoir presque 3 000 signatures. Désolé, mais je maintiens qu'un tel résultat, pour une telle équipe, avec de tels moyens, c'est ridicule, qui plus est en se contentant d'avoir repris un groupe FaceBook déjà existant.

    Pour la banderole officielle, je n'y reviens pas b-(

    Tant mieux si tout démarre enfin. Mais là ces derniers temps ils nous bombardent dans les DN pour faire croire qu'ils ont bossé comme des fous sur le net et aux Deux Rives. En un an, jusque là je ne trouve pas ça terrible.
    Comme fan et Strasbourgeois, j'espère que le résultat sera à la hauteur. Mais si en attendant on pouvait arrêter d'être pris pour des cons, ça serait déjà pas mal...
  • Citation:
    Le calendrier
    30 juillet 2009 : Le tour de France de Jean-Pierre Escalettes et Frédéric Thieriez s'achève à Rennes. Neuf stades seront retenus parmi les seize candidats (stade de France et Parc des Princes à Paris, Rennes, Nantes, Bordeaux, Toulouse, Montpellier, Marseille, Nice, St-Etienne, Lyon, Strasbourg, Nancy, Metz, Lille, Lens).

    15 février 2010 : Dépôt définitif du dossier de candidature auprès de l'UEFA, avec les noms des neuf stades retenus (plus éventuellement trois de réserve).

    27 mai 2010 : Désignation du pays organisateur


    issu du SO de Nancy qui présente déjà qq clichés mais bon rien de transcendant.

    En feuilletant la page, j'ai lu que Martine réclamait 45 m d'€ pour financer son stade ? Plus les 6 ou 9 m de location annuel ? Le stade de Lille est bien parti pour être un échec financier :-$
  • Tiens, pour ceux qui ont la chance (immense) de travailler avec les services de la Ville de Strasbourg, on a pu constater qu'un petit logo "Euro 2016" a été ajouté à la signature des collaborateurs de la Ville dans les e-mails.

    Y a pas à dire, tout le monde se mobilise (+)
  • guigues a écrit, le 2009-09-03 17:30:19 :
    Le stade de Lille est bien parti pour être un échec financier :-$


    Pas pour le constructeur-mainteneur. $-)
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Stammtisch
  • strohteam difference de but, pas goal average.
  • arthas ce point peut jouer en faveur du HAC à la 34e
  • arthas Ils ont un meilleur goal average, ce soir ça leur suffit pour repasser devant Metz
  • islay Marseille ???@ewolfo...
  • arthas Il n'empêche que c'est un point important pour le maintien
  • arthas La physionomie fait mal pour les Havrais, même si Paris a archi dominé quand même
  • fouxy Le déroulé du match c’est une claque pour Le Havre
  • fanta une victoire demain et on est maintenu officiellement
  • fouxy Avant le match oui @tenseur
  • arthas L'arbitre qui laisse le match se poursuivre mdr
  • tenseur Bon ça aurait pu être pire. Mais le PSG faire un nul vs Le Havre....
  • fouxy Vu la physionomie
  • fouxy Ce match nul va faire mal à la tête aux havrais
  • elwolfo68 (nous, nice puis marseille)
  • elwolfo68 le havre doit prendre 7 points sur ses 3 derniers matchs pour nous dépasser (
  • arthas Et voilà, l'enfilade comme d'hab' :p
  • tenseur Oufff
  • islay Psg sérieux ;))
  • tenseur Et Strasbourg va jouer chez Le Havre a la prochaine journee
  • athor 3-3

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