Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

USJA Carquefou

Chargement...

Flux RSS 91 messages · 15.832 lectures · Premier message par superdou · Dernier message par tomifan

  • Le point sur une autre équipe de National:

    DÉPARTS - 15 joueurs :
    Christian BEKAMENGA (Stade Lavallois - Ligue 2), Thomas DELANOE (Luçon VF - National), Florian MARTIN (Chamois Niortais - Ligue 2), Christopher MAYULU (US Quevilly - CFA), Matthias JOUAN (Libre), Guy N'GOSSO (Luzenac - National), Romain THOMAS (SCO Angers - Ligue 2), Paul BAUDIN (Tarbes - CFA), J-M DAVID (Libre), Hassan AHAMADA (Libre/Arrêt), Omar WADE (Libre - prêt retour LOSC), Vincent CRÉHIN (Avranches - CFA), David MARTOT (Libre), Loutfi ZEBIDI (Libre), Irélé APO (Libre), Guillaume MOULLEC (Libre).

    ARRIVÉS - 9 joueurs :
    Damien FACHAN (Le Poiré Sur Vie - National), Sacha CLÉMENCE (St Colomban Locminé - CFA2), Aurélien GAZEAU (Le Poiré Sur Vie - National), Steven PINTO BORGES (Cherbourg - National), Lassana DOUCOURÉ (Berrichonne Chateauroux - Ligue 2 prêt), Florian JÉGU (Cherbourg - National), Jean-Pierre N'SAME (SCO Angers - Ligue 2 prêt), Hamza HAFIDI (SCO Angers - CFA2 prêt), Rahavi KIFOUETI (Le Poiré S/Vie - National).
  • Un article bien documenté et fondamental :

    "Football nantais : son identité est bretonne

    A l'heure où des capitales ou métropoles comme Bratislava, Copenhague, Genève, Montréal, Strasbourg ou Vienne assument leur rôle transfrontalier, Nantes, capitale historique du Duché de Bretagne, et son club mythique, le FC Nantes, veulent eux aussi avoir leur destin en main.

    La Loire-Atlantique est bretonne depuis plus de mille ans et l'UNESCO – institution spécialisée de l'ONU – a plusieurs fois certifié l'évidence, la dernière fois en 2011, à savoir que le château des Ducs de Bretagne fait partie de l'entité éponyme. La Ville de Nantes a adhéré à la charte « Oui au breton » le 6 avril 2013. Le destin de Nantes et de son football est donc enraciné dans l'identité bretonne et la continuité historique, lesquelles sont aussi profondes et respectables que l'unité de la Bretagne est inaliénable dans une démocratie."

    Continue sous le lien : http://www.anamzer.com/?p=4446

    *** "Pour Mickaël Landreau, ex-gardien du FC Nantes originaire du Pays de Retz, jouer en équipe de Bretagne est une occasion de « ne pas oublier d'où on vient. Ce qui me plait dans le discours [des organisateurs], c'est qu'il n'y a pas de forme de revendication, simplement le fait d'appartenir à une identité. Il y a une certaine fierté » déclarait-il lors de la rencontre Bretagne v. Mali du 28 mai 2013 à Carquefou / Kerc'hfaoù (Loire-Atlantique). Source : terristoires.info."
  • "Le destin de Nantes et de son football est donc enraciné dans l'identité bretonne et la continuité historique, lesquelles sont aussi profondes et respectables que l'unité de la Bretagne est inaliénable dans une démocratie".

    Méwé. Le jeu à la nantaise, on le pratiquait avant la codification du football. Et l'unité de la Bretagne n'a pas de lien avec une quelconque démocratie, si on peut m'établir le coefficient de corrélation entre les deux notions, je suis intéressé. Pas pu lire le reste car le site est bloqué mais je ne vois là déjà rien de documenté de quelque manière que ce soit.
  • Le lien est vérifié et il n'est pas bloqué. Le paragraphe cité entre guillemets n'est que l'introduction générale, i.e. une très infirme partie du texte. Cet article ne concerne de surcroît en aucun cas le "jeu à la nantaise".

    La documentation de l'article est la suivante :

    Témoignages ou écrits de : Mickaël Landreau (joueur de Nantes), Eugène Bocqueho (dirigeant), André Maussion (journaliste), Hervé Laudrin (dirigeant et député), François Château (Maire de Rennes), Pierre Lautrey (journaliste et membre fondateur du FC Nantes), Thierry Roland (journaliste), Yves Boutet (joueur de Rennes), Bernard Blanchet (joueur de Nantes), Albert Heil (dirigeant du FC Nantes), Henri Michel (joueur du FC Nantes), Enzo Trossero (joueur du FC Nantes), Robert Budzynski (dirigeant du FC Nantes), Marcel Mao (CTR de la Ligue Atlantique), Jean Prouff (joueur de la St-Pierre de Nantes, entraîneur de Rennes), Christian Gourcuff (entraîneur de Lorient) et Michel Tronson (président de la Ligue Atlantique).

    Sources écrites : Procès verbaux de la FFF, Football (Rossini), L'Ouest Eclair, Le Phare de la Loire, l'ORTF, Ouest France, Presse Océan, Miroir Sprint, Football Magazine, France Football, But, Le Miroir du Football, Le Foot Nantes, livre "FC Nantes : Une équipe, une légende", Armor Magazine, site de la St-Pierre de Nantes, site du FC Nantes, site terristoires.
  • Extrait :

    "DIVISER SANS CONSULTER LES BRETONS

    Le football breton existe bien sûr dans le cadre de cette société civile. Distante de 55 km de la Mayenne pour l'une, de 25 km de l'Anjou pour l'autre, Rennes et Nantes forment la diagonale haute-bretonne. Lorsqu'en 1902 est créé le Comité de Bretagne de Football, le Stade Rennais et le FC Nantais participent au premier championnat de Bretagne de l'histoire, dans une unité que l'Etat français va déconstruire.

    La première séparation du football breton par l'Etat français, suivant un ordre de réorganisation régionale française dictée par l'autorité allemande, intervient en 1942. La Fédération Française de Football (FFF) (3) est même mise devant le fait accompli dès 1941 (4). Pour Eugène Bocqueho, secrétaire général de la Saint-Pierre de Nantes, meilleur club nantais de l'époque et dont naîtra le FC Nantes, « cette décision est un non-sens tant la Bretagne sud est facile d'accès. La Saint-Pierre, seul club nantais de division d'honneur, était assurée de faire de bonnes recettes avec les clubs bretons (5) » ajoute t'il. « On s'est fort ému à Rennes de la décision qui sépare la Loire-Inférieure de la Bretagne » écrit le journaliste de ''L'Ouest Eclair'' André Maussion dans ''Football'', « A Nantes elle a soulevé d'unanimes et véhémentes protestations (6). »

    Hervé Laudrin, directeur du CEP de Lorient, alors aussi en division d'honneur, qualifie cette décision de « malheureuse et qui, espérons-le, n'est pas définitive (7). » François Château, Maire de Rennes, plaide pour sa part que « la Bretagne est une réalité vivante. Vous ne la mutilerez pas sans la blesser (8). » La ''une'' de ''L'Ouest Eclair'' du 1er août 1941 est sans équivoque lors de la division civile : « Bretagne indivisible ». Alors, en l'espace de quelques semaines se forme un ''Comité d'Amis de la Bretagne'', lequel entraîne bientôt plus d'une centaine de conseils municipaux à travers toute la Bretagne à adopter un voeu d'unification renouvelé : La société civile bretonne refuse la séparation. Tout cela en vain. Celle du football ne durera qu'entre l'été 1942 et l'automne 1944.

    Le FC Nantes, fondé en 1943, connaîtra ses premiers pas professionnels avec dix bretons dans son effectif. Il montera au plus haut niveau en 1963 avec sept joueurs bretons, y rejoignant le Stade Rennais qui en compte presque autant cette saison là. Pour le journaliste Pierre Lautrey, l'un des fondateurs du club professionnel nantais, Nantes v. Rennes au stade Malakoff de Nantes est la « première manche du derby breton (9) » 1963-64 en Division 1.

    En 1967, après deux titres de champion de France et une coupe de la Ligue, le FC Nantes est à son zénith. Mais alors que le régime politique français a changé en 1940, 1944 puis ensuite 1958, sa volonté de diviser est restée intacte. Toujours sans consulter la population bretonne au sujet de sa propre unité territoriale, l'Etat français va encore forcer la FFF à séparer la Loire-Atlantique du reste de la Bretagne.

    Ainsi, en 1967, La FFF décrit elle-même la décision de l'Etat français comme un véritable coup de force : « Il est décidé de faire savoir à la direction des sports [du Ministère] que la Fédération est prête à tenir compte des mesures qui lui sont ainsi imposées et qu'en conséquence le Bureau Fédéral proposera au Conseil National de mai de voter ces changements importants dans la délimitation des Ligues régionales (10). »"
  • schlesier a écrit, le 2013-11-05 19:54:22 :
    Le lien est vérifié et il n'est pas bloqué. Le paragraphe cité entre guillemets n'est que l'introduction générale, i.e. une très infirme partie du texte. Cet article ne concerne de surcroît en aucun cas le "jeu à la nantaise".

    La documentation de l'article est la suivante :

    Témoignages ou écrits de : Mickaël Landreau (joueur de Nantes), Eugène Bocqueho (dirigeant), André Maussion (journaliste), Hervé Laudrin (dirigeant et député), François Château (Maire de Rennes), Pierre Lautrey (journaliste et membre fondateur du FC Nantes), Thierry Roland (journaliste), Yves Boutet (joueur de Rennes), Bernard Blanchet (joueur de Nantes), Albert Heil (dirigeant du FC Nantes), Henri Michel (joueur du FC Nantes), Enzo Trossero (joueur du FC Nantes), Robert Budzynski (dirigeant du FC Nantes), Marcel Mao (CTR de la Ligue Atlantique), Jean Prouff (joueur de la St-Pierre de Nantes, entraîneur de Rennes), Christian Gourcuff (entraîneur de Lorient) et Michel Tronson (président de la Ligue Atlantique).

    Sources écrites : Procès verbaux de la FFF, Football (Rossini), L'Ouest Eclair, Le Phare de la Loire, l'ORTF, Ouest France, Presse Océan, Miroir Sprint, Football Magazine, France Football, But, Le Miroir du Football, Le Foot Nantes, livre "FC Nantes : Une équipe, une légende", Armor Magazine, site de la St-Pierre de Nantes, site du FC Nantes, site terristoires.


    Le site est bloqué par mon employeur. Précision utile en effet.

    Et rien sur les activités de Louis Fonteneau pendant l'Occupation. C'est fort dommage. De même qu'il est fort regrettable d'oublier tous ces nationalistes bretons qui ont activement collaboré en comptant sur la disparition de la France dans le IIIe Reich. Ca ne concerne pas tous les nationalistes bretons mais ça entache irrémédiablement le mouvement régional, contrairement à d'autres mouvements régionaux.

    Quant au fond et aux questions relatives à la séparation de Nantes d'avec la Bretagne, on peut aussi voir le problème différemment : Nantes a été en Bretagne à une époque (et il y a eu des habitants sur le site de l'actuelle ville avant même que la Bretagne devînt Bretagne), mais Nantes a toujours été sur la Loire, Bretagne ou pas. En bon jacobin attaché à la Révolution, j'ai beaucoup de mal avec les revendications de retour aux provinces de l'Ancien Régime. Y compris quand on explique ces revendications par des considérations géographiques de type "Nantes est facilement accessible depuis la Haute-Bretagne". Certes. La Loire-Atlantique doit être le département le plus plat du pays, rien ne l'isole des départements et régions voisines. La Loire la relie directement à Tours et indirectement à Angers, mais Nantes est aussi très facilement accessible depuis le Poitou (auquel le département de Vendée se rattacherait selon la même logique).

    Donc j'entends bien que le pays nantais était l'un des neuf pays bretons et tout un tas de choses avoisinantes. Mais quant on explique qu'une division administrative, même ne tenant pas compte des réalités historiques (et là encore j'insiste, on voudrait faire porter à des réalités historiques un caractère de vérités immuables, ce qui est à la fois une absurdité du point de vue de la logique et un mensonge d'un point de vue dialectique) "mutile" une région entendue comme ensemble culturel homogène, je rigole. Comme je ris quand j'entends Patrick le Lay parler de "génocide culturel" contre la Bretagne. Sans doute le côté vindicatif de la démarche (et les manifestations actuelles du nationalisme breton) pose-t-il problème : il n'est plus aujourd'hui question d'interdire l'usage du breton (et des autres langues régionales, on en compte quelques-unes rien qu'en métropole) ou de réduire les possibilités d'expressions folkloriques de la culture locale (toujours la même opposition entre la tension à l'universel et la tension au particulier, charge à vous de placer le curseur là où bon vous semble).

    Enfin pour répondre à la dernière phrase, l'article parle du FC Nantes, ce qui est logique, du football nantais. Hormis une couleur de maillot insolite et un joli stade, ce qui caractérise le football nantais pour pas mal d'observateurs extérieurs je crois, c'est une manière de pratiquer le football dans un club donné, qui lui a permis de gagner quelques titres il me semble. Parler du football nantais sans jamais évoquer le jeu à la nantaise, ça me semble accepter un manque conséquent dans l'article.
  • USJA Carquefou - conférence de presse du 20-05-2014

  • Pour faire rapide, ils vont soit recevoir la subvention, soit un repreneur dans les 15 jours qui viennent, et vont rester en National.
  • Au delà du petit foot a la nantaise le topic est consacré a CARQUEFOU
    Il n est pas facile de trouver un repreneur argenté en National.
  • J'ai du mal à comprendre comment ce président peut vouloir foutre en l'air des années de travail, quand bien même il s'agit d'un club de national. Ils ne font pas de budget prévisionnel tout au long de la saison pour se rendre compte qu'il y a un trou dans le budget ? C'est quoi ce chantage aux finances publiques ? La subvention allouée par les collectivités est déjà énorme pour un club, et c'était bien au président de bien les gérer non ?

    Bref, machintruc démission :p
  • Ouais exact [login=Mediasoc ] cela fait un moment que l'on ne demande pas une tête sur le stub !
    donc trucmuch démission !!

    PS: si ça se trouve le président magouillait avec ses petits copains ( qui avait droit au parking gratuit devant l'enceinte sportive de Carquefou !!) ;) donc démission !
  • Football : Carquefou se maintient en National, mais repartira en DH

    Confronté à un déficit de 180 000 euros, le club de Carquefou a décidé de jeter l'éponge et de commencer la saison prochaine au niveau régional

    Le club de football de Carquefou, l'USJA, a renoncé à participer au championnat de National (3e division) la saison prochaine alors qu'il avait décroché son maintien grâce à sa 8e place, en raison d'un problème de financement.

    "Je ne veux pas faire la saison de trop, aller dans une impasse. Nous avons donc décidé de supprimer le National et de ne pas réengager cette équipe auprès de la fédération", a indiqué Michel Auray, président de l'USJA. "L'équipe réserve, aujourd'hui en division d'honneur, deviendra donc l'équipe première de notre club", a-t-il ajouté.

    "Le 3 juin, le conseil d'administration se réunira pour acter tout ça. Un repreneur s'était dit intéressé mais depuis, on n'a plus de nouvelles", a affirmé le dirigeant.

    Le club, qui évolue depuis deux saisons en National et qui a fini le championnat à la 8e place cette année, va terminer la saison avec un déficit estimé à 180 000 euros.

    Pour le combler, Michel Auray comptait sur une aide exceptionnelle de 230 000 euros, promise selon lui par l'ancienne municipalité et qui devait être pérennisée pour la saison prochaine, en plus des 480 000 euros versés habituellement.

    Mais la maire de Carquefou, Véronique Dubettier-Grenier, élue en mars dernier, a accordé une aide exceptionnelle de 100 000 euros, uniquement pour cette saison. "C'est fort de café de nous faire porter la responsabilité. Ce club touche 75% des subventions de la ville destinées aux sportifs", a-t-elle déclaré à l'AFP.

    "Je ne fais pas de procès d'intention à la municipalité, je dis simplement que je suis incapable de faire un prévisionnel avec cette nouvelle donne", a affirmé pour sa part Michel Auray.

    Cette décision pourrait permettre à Colomiers, relégué en CFA (4e division) après avoir terminé 14e, de conserver sa place en National. Strasbourg, Vannes et Uzès ont été les autres relégués en CFA à l'issue de la saison qui s'est achevée vendredi soir.

    Source: Sud-Ouest
  • "Je ne veux pas faire la saison de trop"
    Il n'a qu'à démissionner et laisser la place de président à quelqu'un qui a des ambitions pour le club...
    Le club ce n'est pas lui, non ?
  • Je suis désolé mais je ne comprends toujours pas : dans les règlements balancés sur le stub pour les repêchages, il y est notifié qu'un refus de se réengager dans la division où on s'est maintenu est sanctionné d'une rétrogradation d'une division. Pourquoi DH ?
  • Parce qu'il va déposer le bilan, et liquider le club.
  • Ok, mais quand je dis pourquoi, je veux dire pourquoi se choix de sa part ? C'est débile. A moins que ce soit pour augmenter la pression sur la municipalité, sinon je ne comprends pas l'intérêt
  • Tant que la décision n'est pas entérinée officiellement par les instances, il faut rester prudent car j'ai quand même vraiment le sentiment que cette histoire CARQUEFOU n'est pas encore finie...
  • Je pense mediasoc qu il n a pas trouve de successeur pour un club de banlieue avec un déficit de 100000 euros
    Les mécènes ne s intéressent qu a ce qui brille et c est d ailleurs normal.
    Un sponsor attend quant a lui un retour médiatique au moins équivalent a son investissement.
    Cela fait vraisemblablement des mous que la recherche de fonds et de repreneur sûre.
    Après si CARQUEFOU trouve tant mieux pour eux.
  • Source : Carquefou : Le communiqué des joueurs
    Follow us: @footnational on Twitter | footnational on Facebook


    Les joueurs de Carquefou nous ont fait parvenir un communiqué pour alerter sur la situation de leur club.

    "NOUS JOUEURS DE L'U.S.J.A CARQUEFOU


    Nous avons tous en mémoire l'épopée de l'USJA Carquefou lors de la coupe de France 2007-2008 qui avait permis au club d'inscrire son nom dans l'histoire de cette prestigieuse compétition.

    L'exploit (1/4 de finale) avait constitué un acte fondateur pour le club, une reconnaissance de notre ville et ainsi franchir différents paliers jusqu'au 3ème échelon de la hiérarchie française de football atteint aujourd'hui.


    Or, ce glorieux héritage est aujourd'hui menacé, non pas pour des raisons sportives puisque le club a longtemps lutté pour la montée en ligue 2 cette saison, mais pour des raisons purement financières.


    Nous, joueurs, prenons acte des difficultés économiques que connaît notre club ; nous en comprenons parfaitement les ressorts : des recettes en baisse, des dépenses constantes : l'équation est simple et s'impose à nous comme elle s'impose à de nombreuses entreprises du pays.

    Mais nous nous ne pouvons nous résoudre à sa rétrogradation financière.


    Nous voulons dire ici notre attachement aux couleurs de l'USJA, et faisons nôtres les valeurs qu'elles portent : combativité, la solidarité et abnégation.

    Nous sommes donc joueurs disposés à faire tous les efforts nécessaires pour assurer la pérennité du club tout en le maintenant à ce niveau de compétition.


    Les joueurs sont attachés au club, se sont battus et ont été solidaires tout au long de cette saison,


    Nous comprenons que le Président ce soit beaucoup investi et ait beaucoup fait pour ce club mais nous ne comprenons pas pourquoi se retirer en faisant descendre le club en D.H (division de Ligue), et non pas en le laissant en NATIONAL.


    Laisser le temps pour la saison à venir, à un repreneur de se manifester.


    Parce que la logique financière ne prévaut pas sur tout, parce que l'aventure collective est belle, donnons au club le temps d'envisager d'autres solutions que celle de la rétrogradation.


    Pour que l'USJA Carquefou puisse renouer le fil de son glorieux passé.


    Les joueurs
  • ricalewis67 a écrit, le 2014-05-29 12:31:54 :

    ...L'’exploit (1/4 de finale)....
    ...ce glorieux héritage...
    ...son glorieux passé...


    :))
  • Sans un budget équilibre c est la DNCG qui les mettra d office en DH
  • Les autres clubs de Carquefou montent au créneau (basket, hand...)
    car ils trouvent qu'on en fait trop pour le foot. Pas bon pour eux, ça !
  • Oui, mais eux n'ont pas fait d'exploit, ni connu d'heures glorieuses [-(
  • Ce qui est un étrange avec Carquefou, c'est que le déficit de 100000 € n'est pas énorme pour un budget d'1.9 M€. C'est curieux ce sabordage. 65% de leurs dépenses sont les joueurs, avec 5 joueurs en moins, leurs comptes sont à l'équilibre même si sportivement l'équipe perd en qualité.
  • Il y a une "chance" que tout ce ramdam sur le thème de "je refuse le National" ne soit fait que dans le but de mettre la pression sur les politiques et trouver des partenaires. Si ça se trouve il vont repartir de plus belle et ce ne sera pas eux les relégués administratifs que le Racing espère tant.
Il faut être inscrit et connecté pour ajouter un commentaire. Déjà inscrit ? Connectez-vous ! Sinon, inscrivez-vous.
Connectés

Voir toute la liste


Stammtisch
  • lamazonienbleu En plus pour un dernier hommage à Gameiro et à la Meinau version 1984, il faut une victoire !
  • lamazonienbleu Bizarre tous les stubistes qui espèrent une victoire de Metz... Perso je n'y arrive pas
  • nicolesse68 Hopla un dernier match avant les vacances.
  • hoernel Il faudra rendre un grand hommage a kevin dimanche prochain
  • rutchi35 1.67 buts/match sur la phase retour
  • rutchi35 C'est pas honteux, vu qu'elles sont européennes cette saison et/ou en phase de l'être la saison prochaine
  • rutchi35 Le Racing n'a pris aucun point sur la saison contre seulement 4 équipes (PSG;Lens;Monaco;Nice)
  • fabsgugu Depuis le départ de Sels, on se prend 2 buts par match, avant on était à environ 1.2...
  • arthas Mais ça en dit long quand même
  • arthas Certes il suffirait d'une victoire pour que ce ne soit plus le cas
  • arthas On est relégable sur la base des matchs retour
  • arthas Elle a même été mauvaise en général
  • rutchi35 Le Racing a marqué 7% de buts/m en plus mais a encaissé 29% de buts/match en +
  • rutchi35 La phase retour a été laborieuse pour le Racing, surtout en défense
  • innomine même si on visait le top 10 (desfois qu'on ait des joueurs potables qui arrivent)
  • innomine il apporte de la hargne, de l'expérience et il est polyvalent. Il a largement sa place dans le groupe l'année prochaine
  • innomine même si Guilbert est globalement mauvais cette saison (à l'exception de 2-3 matchs en central)
  • arthas Le jour où ils seront surpassés, Perrin et Guilbert partiront déjà d'eux-mêmes
  • arthas Qu'on s'occupe de celui du latéral gauche, ailier, gardien ...
  • arthas Et surtout on a de vrais soucis sur d'autres postes

Mode fenêtre Archives