[2008-2009] Montpellier - RCS | Avant-match
Flux RSS 778 messages · 41.194 lectures · Premier message par bluefever67 · Dernier message par garkham
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deadwingCourbis: "On a l'avantage de recevoir, mais celui qui est en meilleure position pour retrouver la Ligue 1, c'est Strasbourg puisqu'un nul lui suffit"
Courbis, un loooossseerrr ?
Ps : Dédicasse aux anti-Furlan
:D
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Soit on va à montpellier pour gagner et être champion, soit on reste en L2... tout autre résultat ne serait que demi mesure.
Et puis la L2 c'est bien avec avec Eurosport et Cie non? :D
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Moi perso j'me fou qu'on soit champion ou pas! L'objectif est la montée, le titre serait bien mais c'est qu'un bonus, en + la champion à l'habitude de redescendre l'année qui suit!
Pour Eurosport malheureusement le Racing ne sera plus prioritaire étant donné que Nantes voir St Etienne vont retrouver la L2.
C'est pour ça qu'il faut monter cette année parce que si on doit rester en L2 ça va être dur avec Nantes, St-Etienne La havre Metz... qui voudront retrouver la L1 et ce sera sans doute plus compliquer d'autant qu'on perdrait de la thune et nos meilleurs éléments -
Paisley OK
L'ex-capitaine du Racing a participé à la séance d'hier, mais s'est un peu plaint de son genou gauche, celui-là même qui le fait souffrir régulièrement. Mais Gregory Paisley tiendra sa place. L'équipe de départ sera rigoureusement la même que celle qui a dominé Reims vendredi dernier. Jean-Marc Furlan a emmené 18 joueurs dans l'Hérault. Quentin Othon, qui s'est entraîné ce jeudi par erreur avec la réserve fait partie du groupe. Magaye Gueye et Zoltan Szelesi ne devraient pas figurer sur la feuille de match. Le Bresilien Rômulo n'a pas fait le voyage..
L'Alsace -
Oh ! Hisse !
Dans la terrible tempête annoncée ce soir à la Mosson, le Racing est invité à hisser la grand-voile, histoire de rallier les douces rives de la Ligue 1 tout au bout d'une saison de galères. Un point, juste un petit point, suffira à son immense bonheur. Prenez-le et n'en parlons plus...
C'est un défi grisant, angoissant, terriblement excitant. Tout à l'heure, au moment de fouler d'un pas assuré la pelouse d'une Mosson hostile, un maelström de sentiments violents se bousculera assurément dans les boîtes crâniennes alsaciennes.
Jouer sa saison, son honneur, celui de toute une région, une partie de l'avenir du club aussi, sur quatre-vingt dix minutes et des brouettes est une responsabilité infiniment lourde à porter. A l'image d'un enfant qui s'élance pour la première fois à vélo sans les petites roues porteuses, ou d'un joueur de poker dont l'intuition le pousse à "faire tapis" sans savoir s'il sera nanti ou sur la paille, la prise de risques s'annonce vertigineuse.
« Un contexte qui permettra aux gars d'arracher le nul »
Même s'ils n'en laissent rien paraître, les hommes de Jean-Marc Furlan sont conscients du danger. Dans un stade chaud-bouillant qui a fini par oublier, en cinq longues saisons de Ligue 2, les lumières de l'élite, Lacour et les siens peuvent tout perdre.
D'un coup d'un seul, le chantier de onze mois, bâti sur le socle de la « camaraderie et de l'entraide » tant louées par le technicien strasbourgeois, peut s'effondrer comme un château de cartes. Et engloutir les Bleus sous un nuage de stupeur et d'affliction, celui-là même qui a drapé les ambitions du voisin messin d'un linceul de honte voilà une semaine.
Encore en position de force ce matin, avec deux points d'avance sur Montpellier et Boulogne, le Racing devra donc s'échiner coûte que coûte à ne pas mordre la poussière. A moins de s'en remettre à la bonne fortune d'Amiens, un allié de circonstances qui cherchera à sauver sa peau dans le Pas-de-Calais. Mieux vaut quand même ne pas trop croire en un exploit des Picards, sous la forme d'un partage des points au stade de la Libération.
« Tout est possible à l'extérieur », se convainc Furlan, parlant là plus de la capacité des siens à briser une spirale infernale chez les concurrents directs - cinq défaites - que d'un miracle amiénois. Le Girondin est pourtant bien en peine de rassembler quelques éléments concrets qui tendraient à inverser la tendance ce soir.
« Je n'ai aucune certitude, ajoute-t-il avec sincérité. Certaines choses qui n'ont pas trait au terrain peuvent faire pencher la balance en notre faveur. L'esprit de groupe, l'aspect exceptionnel, le côté mort subite, tout ce contexte permettra aux gars de trouver les ressources pour arracher le nul. »
Il faudra aussi un peu de talent et beaucoup d'envie, celle que parviennent généralement à diffuser Gargorov et Shereni, tous deux forfaits. Il faudra surtout que les fantômes furtivement entraperçus du côté de Lens (4-1) ou de Boulogne (1-0), à l'image de James Fanchone ou de Grégory Paisley, se muent en guerriers insatiables.
Ne pas basculer dans le cauchemar le plus noir
Il faudra, enfin, un allant offensif affirmé que Furlan invoque à travers « l'audace et la réussite » incarnées par Bezzaz, Marcos ou Traoré. Si tous ces éléments sont réunis, le Racing pourra seulement espérer traiter d'égal à égal avec les hommes de Rolland Courbis, chauffés à blanc à l'idée de remporter la mise et leur pari.
On l'a dit, les Bleus risquent de tout perdre. Mais ils peuvent aussi se payer une immense tranche de bonheur. Un peu à l'image de leurs prédécesseurs, ramenés vers les sommets sous la coupe de Hasek (2002) et de Papin (2007). Eu égard au contexte, la comparaison avec la troupe de Gress, sortie vainqueur d'un barrage - épique et historique dans l'esprit des supporteurs - contre Rennes en 1992, pourrait même être avancée.
A quatre-vingt dix minutes du verdict, tous les rêves de grandeur sont encore permis. Il ne tient désormais qu'aux Bleus de ne pas basculer dans le cauchemar le plus noir, en voyant filer Boulogne et Montpellier au paradis.
DNA -
À guichets fermés
Inutile pour ceux qui n'auraient pas pris leurs précautions de se déplacer à la Mosson. Les guichets du stade héraultais seront clos. Les seuls qui auront encore une chance de décrocher ce soir un sésame pour cette véritable finale de la L 2 sont les supporters... du Racing. Le quota de 1500 places allouées au club visiteur n'a en effet pas été épuisé. Sept bus (l'équivalent de 550 supporters si l'on intègre ceux qui se déplaceront en voiture ou en train) sont partis cette nuit ou partiront ce matin pour l'Hérault. « Il nous reste plusieurs centaines de billets », précise le responsable de la sécurité du RCS Christophe Krebs. « Au guichet visiteurs, nos supporters trouveront encore des places à 5 euros. »
En comptabilisant les 1500 tickets réservés aux Bas-Rhinois, le club héraultais a annoncé un nouveau record de fréquentation à la Mosson pour un match de championnat. Le précédent date du 28 juillet 2001, pour un Montpellier-Marseille joué devant 29 507 spectateurs. Pour le choc de ce 29 mai, 30 428 billets auraient, selon le MHSC, trouvé preneur. Mais en retranchant les 800 à 900 places non utilisées par le RCS, ce record n'est pas sûr de tomber (1).
Ils seront donc un peu moins de 30 000 à attendre que les troupes d'un Rolland Courbis sur le départ récoltent à la Mosson la moisson vers la Ligue 1 dont ils sont privés depuis cinq ans. À 1 000 km de là, sur les bords de la Manche, ils seront près de 9000 pour aider l'US Boulogne Côte d'Opale à faire de son stade - lui aussi à guichets fermés - celui de la libération vers une élite qu'elle n'a jamais fréquentée. La municipalité boulonnaise a même installé un écran géant sur la place Dalton. Comme un clin d'oeil au « Lucky Luke » local, Grégory Thil, gâchette la plus rapide de L 2 (17 buts), et à ses comparses, prêts à dévaliser les « nantis » montpelliérains et strasbourgeois de leurs billets siglés L 1.
(1) Le record absolu date du match amical France Côte d'Ivoire (3-0) le 17 août 2005 (31457 spectateurs) dans une configuration désormais interdite par les mesures de sécurité. Cette rencontre marquait le retour de Zinedine Zidane chez les Bleus.
L'Alsace -
Le jour le plus long
Vers 22 h 30, le RCS saura enfin s'il remonte en Ligue 1 un an après sa relégation. Pour atteindre son objectif, il va devoir résister, dans une Mosson en ébullition, à un Montpellier HSC qui rêve d'effacer cinq ans de purgatoire par une accession. Un nul lui suffit.
Hier après-midi, à l'issue de l'entraînement, véritable veillée d'armes avant le duel à la loyale que se livreront Montpellier et Strasbourg ce soir (20 h 45) dans une Mosson en fusion, Jean-Marc Furlan a lancé à ses joueurs, à la cantonade : « Qui a peur d'aller à Montpellier ? »
Guillaume Lacour et ses coéquipiers n'ont pas bronché. Seul le bravache Renaud Cohade a rétorqué : « Moi, coach, je ne veux pas. » Évidemment, le Nîmois de l'effectif, régional de l'étape en soirée, n'est pas le dernier à attendre ce 38e et dernier match 2009-2010. Plus avec gourmandise et appétit qu'avec l'estomac noué par l'angoisse.
Montpellier, relégué en 2004, Strasbourg, descendu en 2008, et Boulogne, jamais monté en L 1, sont pourtant encore trois pour deux billets en L 1, Lens étant déjà assuré de l'accession (1).
On connaît les données. Montpellier montera s'il bat Strasbourg ou fait match nul pendant que Boulogne ne bat pas Amiens. L'US Boulogne CO accédera à l'élite si elle s'impose face aux Picards. Mais un nul peut lui suffire si le Racing gagne à la Mosson. Enfin, Strasbourg n'a besoin que d'un nul pour valider sa montée. Même battu, il retrouvera la L 1 si les Boulonnais ne matent pas les Amiénois.
Le décor est planté. Les acteurs se préparent à entrer en scène. Hier à Montpellier, Rolland Courbis, qui a annoncé son départ - montée ou pas -, assurait « n'être pas du tout perturbé par le stress. » Au même moment ou presque, son homologue Jean-Marc Furlan reconnaissait être « un peu nerveux. » Plus que d'ordinaire avant un déplacement. « Je suis généralement beaucoup plus stressé avant un match à la Meinau, parce que mon ambition est toujours de satisfaire notre public. Mais là, j'avoue que je le suis aussi, parce que c'est notre dernier match et que nous sommes dans l'obligation de réussir une performance. »
« Échouer d'un point, serait-ce un échec ? »
Vers 22 h 30, Furlan sera, aux yeux de l'Alsace du foot, le héros de la remontée immédiate ou le zéro d'un 2e échec consécutif à Strasbourg, après la relégation de l'an passé. C'est la dure loi du genre. Le coach en accepte l'augure : « C'est le propre de notre métier. Mais échouer d'un point, serait-ce un échec ? On nous juge, nous les entraîneurs, pour un point, un demi-point ou un but. C'est dommageable. Suis-je compétent ou non ? On le saura quand je prendrai ma retraite. J'aime beaucoup Laurent Blanc. Ce qu'il a fait en deux ans est formidable. Mais on en reparlera dans quinze ans, dans d'autres contextes. »
Sur 90 minutes d'une saison qui en compte 3620, le Racing joue son avenir. Son entraîneur aussi. Au matin de ce jour le plus long de l'année pour le club phare du football alsacien, on ne reviendra pas ici sur les conditions, déjà largement détaillées, de son maintien ou de son départ à un an de la fin de son contrat. Il sera temps d'en reparler après 22 h 30. Une fois le verdict connu. Avec un peu plus de légèreté si le Racing n'a pas raté le coche. Sinon, il risque de ne pas rater le coach.
(1) Tours sera promu s'il s'impose à Sedan, si Montpellier perd et si Boulogne ne gagne pas.
Absents : à Montpellier, Collin (cheville), Saihi (genou), Pionnier, Lippini, Koita, Sahnoun, Armand (choix de l'entraîneur) ; à Strasbourg, Gargorov (cuisse), Shereni (cuisse), Kébé (tendinite), Correia (genou), Szelesi, Gueye, Damour, Dja Djedje, Rômulo, Ekwe-Ebele, Schneider, Barrabes, N'Djama, Bergueira, Klein (choix de l'entraîneur).
L'Alsace -
Montpellier à 19
De son côté, Roland Courbis avait gardé 19 joueurs. Mais Bruno Carotti, qui s'apprête à mettre un terme à sa carrière, et El Kaoutari n'apparaitront pas dans les 16. La 16e place devrait se jouer entre Lacombe et Benhamida. Seule vraie absence notable côté MHSC: le latéral gauche Xavier Collin, victime d'une entorse de la cheville.
L'Alsace -
Héros dans l'Hérault ?
Après une longue saison, parfois difficile, le Racing va tenter de jouer à quitte ou double ce soir à Montpellier. L'enjeu est simple: ce sera soit la montée, soit un nouveau bail en L2.
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Citation: « C'est le propre de notre métier. Mais échouer d'un point, serait-ce un échec ? Smiley On nous juge, nous les entraîneurs, pour un point, un demi-point ou un but.
Mais quel c.n... Ca et le "on va sûrement prendre des buts", t'as envie de le finir à coups de pelle des fois... -
Ce message est une brève publiée sur le portail.
Othon qui s'est entraîné ce jeudi par erreur avec la réserve fait partie du groupe se déplaçant à Montpellier. Gueye et Szelesi ne devraient pas en faire partie, quant au brésilien Rômulo, il n'a pas fait le voyage.
Source: L'Alsace -
zottel a écrit, le 2009-05-29 06:46:20 : Citation: « C'est le propre de notre métier. Mais échouer d'un point, serait-ce un échec ? Smiley On nous juge, nous les entraîneurs, pour un point, un demi-point ou un but.
Mais quel c.n... Ca et le "on va sûrement prendre des buts", t'as envie de le finir à coups de pelle des fois...
C'est clair
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Ce message est une brève publiée sur le portail.
Le groupe montpelliérain: Carasso, Jourdren, Bocaly, Dzodic, Yanga-Mbiwa, Sabo, Ait Fana, Marveaux, Costa, Delaye, Montano, Compan, Ouadah, Camara, Deruda, Benhamida, Lacombe.
Source: L'Alsace -
Les compositions de ce soir:
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A part Ducrocq à droite qui risque de souffrir, ça me va bien!
On va le faire, on va le faire! :D
On marque un but, on fait rentrer Bah et on verrouille tout! (+) -
Comment peut-on croire qu'avec un simple match nul à Montpellier, le Racing sera automatiquement en D1 ? Boulogne( différence + 11) compte deux points de retard sur le Racing (différence de buts +13) . Si les ch'tis gagnent 3 à 0 contres Amiens, ils sont en D1 malgré le nul du Racing ! Ce qui risque bien de se produire, mais que je ne souhaite pas, évidemment...
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Avec un nul on laisse Montpellier derrière nous :-B
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odin, suffit de regarder le classement, c'est une évidence
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Ou l'article en une
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en tant que supporter du mhsc depuis 1983 je souhaite une victoire de mon club mais ce qui me ferait le plus plaisir c'est une grosse claque pour Boulogne car nous les français on est déjà assez ridicule au niveau européen alors lens mhsc et strasbourg en l1 je signe tout de suite
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Ce soir grande projection à la Mosson: "Last Action Herault" de la part du Racing
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Pareil Boulogne en L1 non merci! Avec Lens, VA et Lille ça suffit comme ça!
Strasbourg et Montpellier sont de vrais clubs de L1 historiques! -
Diantre!
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mouloungoal a écrit, le 2009-05-29 09:35:46 : Strasbourg et Montpellier sont de vrais clubs de L1 historiques!
Montpellier pas vraiment
Sinon le banc me parait un peu light : Bah - Othon - Ledy - Zenke
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travisbarker a écrit, le 2009-05-29 10:34:11 : mouloungoal a écrit, le 2009-05-29 09:35:46 : Strasbourg et Montpellier sont de vrais clubs de L1 historiques!
Montpellier pas vraiment
Sinon le banc me parait un peu light : Bah - Othon - Ledy - Zenke
Toujours flatter un peu l'adversaire...
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