[Euro 2016] Euro 2016 en France
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mediasocEnfin, ils ont eu les couilles de stopper la machine à perdre du fric... -
mediasoc a écrit, le 2010-07-29 20:22:08 : Enfin, ils ont eu les couilles de stopper la machine à perdre du fric...
En voilà une bonne nouvelle, la machine à perdre du fric n'est plus en marche, fini les dépenses inutiles et adieu les hausses d'impôts
:))
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Moui, va demander à Fabienne Keller le montant des investissements fait sur Strasbourg sous son mandat, qui ont nécessité des prêts sur le long terme et la hausse des impôts des Strasbourgeois ! Par exemple, la verrière amphibie de la gare ! Très utile !
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Strasbourg: Duchaussoy déçu
Le président par interim de la FFF, Fernand Duchaussoy, s'est déclaré "déçu" du retrait de la candidature de la ville de Strasbourg pour accueillir des matches de l'Euro-2016.
Eurosport -
Pfffffffffffff, j'en reviens pas qu'on arrive à toujours refaire les mêmes erreurs (CdM 98) :( Et le retour d'expérience? On (les alsaciens) a toujours un égo surdimensionné, mais on ne fait vraiment plus rien pour, j'ai juste l'impression qu'on n'a plus qu'une grande gueule :(
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Qui a un ego surdimenssionné, t'as des exemples .
Ce n'est pas de l'ego c'est de la co....rie .
On a quelqu'un qui veut bâtir un stade , faut participer , on ne veut pas mettre 50 millions mais pour 160 on dit banco. J'ai du mal à comprendre .
On fait tout un cirque pour dire , désolé mais c'est trop cher . Ce n'est pas de l'ego . -
C'est toujours plus facile de financer de grands projets avec l'argent des autres. O:)
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De quels autres tu parles, Hammerson ou la ville . Dans les 2 cas c'est l'argent des autres, pour la ville c'est avec nos sous qu'ils auraient rénové le stade .
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pas possible que ce soit un dernier coup de bluff de Ries, qui espère secrètement que Sarko intervienne et lâche les ronds ?
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Quand on fait une erreur (CdM 98), on doit en retenir la leçon.
Ries enterre définitivement Strasbourg et le Racing comme petite ville de Province qui dort
Ce gars a une mentalité d'épicier...Il aurait du penser investissement et retombée pour Strasbourg, l'Alsace et le Racing
De plus, son projet était mal ficelé : 160 M€ pour augmenter la capacité du stade de 9.000 places !!!
Ce Ries est un petit -
oudin a écrit, le 2010-07-29 21:34:44 : pas possible que ce soit un dernier coup de bluff de Ries, qui espère secrètement que Sarko intervienne et lâche les ronds ?
C'est possible et ça confirmerait l'absence de sens du vent du maire de Strasbourg, c'est évidement dans le contexte actuel qu'il faut négocier des rallonges budgétaires.
Que dire d'autre que cette décision est simplement navrante et à desespérer.
Les arguments développés sont complétements nuls ou relèvent du foutage de gueule manifeste.
Il était clair depuis le début que les collectivités devraient financer la quasi intégralité du projet et que l'Etat ne ferait qu'un petit chèque. Les conditions sportives du racing étaient connues.
Donc soit on fait acte de candidature et on assume, soit on ne fait pas acte de candidature. On ne fait pas demi-tour au milieu du gué. -
Après la déroute à Chateauroux, Pignatelli Dominique avait dit sur France 3, que la candidature n'avait rien à voir avec le Racing.. Que même si on était en national il ferrait le stade pour l'Euro 2016! Mon BIP
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Après ce retrait, onze villes restent candidates pour accueillir les matches du Championnat d'Europe 2016: Saint-Denis, Paris, Lens, Lille, Bordeaux, Nice, Toulouse, Marseille, Lyon, Saint-Etienne et Nancy. Neuf seront choisis d'ici au 28 mai 2011, deux autres seront désignés stades de réserve.
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Je suis quand même surpris que personne n'essaie de prendre la problématique à l'envers.En effet,si on se posait enfin la question de ce fameux cahier des charges UEFA (c'est itou pour la FIFA):on se rend compte que tu es dans l'obligation d'avoir des stades chiadés à mort,bardés de loges luxueuses,des contraintes techniques proches du ridicule pour certaines avec,en prime,le droit de constater que les dépenses seront publiques et les bénéfices,évidemment,privés (dans notre cas et dans bien d'autres à la réflexion).
De plus,voir un état,une ligue pro et une fédé' parader de la sorte sans RÉELLEMENT soutenir les différents dossiers de rénovation/construction de stades de façon pécuniaire,c'est juste de la poudre aux yeux et une politique de p'tite bite.
Quand vous saupoudrez ça d'une mairie incapable d'assumer dès le départ un "niet" argumenté ou un "oui" qui va jusqu'au bout (ce qui était il me semble les 2 seules options logiques mais apparemment,à Stras',on a de l'imagination),vous obtenez ce gloubiboulga indigeste auquel on a eu droit aujourd'hui.
En bref,la ville a eu raison sur le fond,mais tort sur la forme.Et c'est vraiment là que la pilule a du mal à passer en ce qui me concerne... -
Strasbourg déclare forfait
À court d'argent, les élus strasbourgeois ont annoncé hier qu'ils renonçaient à accueillir des matches de l'Euro 2016. Après le Mondial 1998, Strasbourg va de nouveau manquer un rendez-vous majeur du football international.
À Strasbourg, le football n'est donc pas très à la mode par les temps qui courent. Après avoir vécu avec le Racing une saison pourrie de bout en bout, été humiliée par une relégation inédite en National et échappé de justesse à la disparition du statut professionnel de son club phare cet été, la capitale alsacienne a renoncé à accueillir des matches de l'Euro 2016 au stade de la Meinau.
La décision, dont on avait très clairement vu se dessiner les contours lors du conseil de la Communauté urbaine de Strasbourg (CUS) le 25 juin dernier, a été officiellement annoncée hier matin dans un communiqué commun diffusé par le maire de Strasbourg, Roland Ries, et le président de la CUS, Jacques Bigot. Un texte qui fait écho au courrier envoyé dans le même temps à la Fédération française de football (FFF), expliquant les raisons de ce retrait.
Les élus strasbourgeois se justifient en regrettant notamment le silence de l'État français et de la FFF qui, selon eux, n'ont pas tenu compte de la spécificité du cas de Strasbourg, dont le club professionnel, le Racing, n'est plus en mesure de participer financièrement à la rénovation du stade de la Meinau depuis sa descente au 3 e échelon du football français en mai dernier. Certes, les moyens économiques du RCS ne sont plus ce qu'ils étaient, et les récents déboires du club devant le gendarme financier de la Ligue de football professionnel en témoignent. Mais, même en Ligue 2 ou Ligue 1, le Racing n'aurait pas épongé grand-chose des 130 millions d'euros qui restaient à la charge de la CUS, alors que le coût global du chantier de reconstruction de la Meinau a été estimé à 160 millions d'euros.
La crise est passée par là
Plutôt que d'obliger le contribuable alsacien à mettre la main à la poche en ces temps de crise économique, Jacques Bigot et Roland Ries espéraient donc un coup de pouce du gouvernement. Dans une lettre datée du 1er juin, les deux élus bas-rhinois avaient ainsi proposé au président de la République, Nicolas Sarkozy, d'augmenter « la participation financière de l'État de 10 % à 35 % du coût du projet comme cela avait été pratiqué en 1998 pour la Coupe du Monde », de reverser « aux villes organisatrices une partie des excédents financiers liés à l'organisation de l'Euro 2016 » et de créer « un fonds d'aide à l'investissement en faveur des stades par une partie des droits de télévision et par un prélèvement sur les paris en ligne ». « Aucune réponse n'a été apportée à ces propositions », affirment les deux élus alsaciens. Le plan de rigueur du gouvernement de François Fillon n'est certainement pas étranger à cette fin de non-recevoir.
Alors, y avait-il une autre possibilité de sauver le soldat Meinau ? Selon le calendrier établi par l'UEFA, organisateur de l'Euro 2016, le montage financier du chantier de reconstruction du stade strasbourgeois aurait dû être bouclé au plus tard à la fin de l'année. Jacques Bigot et Roland Ries ont semble-t-il estimé que le délai était trop court pour tenter de trouver une ultime solution. « N'y avait-il pas moyen de faire appel à des investisseurs privés ? », s'interroge pour sa part Albert Gemmrich, le président de la Ligue d'Alsace de football. « En Allemagne ou en Angleterre, des sponsors participent un peu partout à la construction de nouvelles enceintes. Pourquoi n'est-ce pas possible chez nous ? Une décision lourde a été prise par nos décideurs, ces derniers devront assumer. Après la Coupe du Monde en 1998 et l'Euro en 2016, il faut savoir qu'il ne se passera plus rien dans les 30 prochaines années en France en matière de football. Pour Strasbourg et l'Alsace, ce sera les oubliettes. »
Kachkach : « Une décision respectable »
« Sportivement, c'est dommage de ne pas voir l'Euro 2016 à la Meinau, estime de son côté Olivier Kachkach, porte-parole de Carousel Finance, actionnaire du Racing. Néanmoins, comme nous n'habitons pas à Strasbourg et que nous n'y payons pas nos impôts, nous estimons que c'est une décision parfaitement respectable. Cette déception pour tous les Alsaciens ne doit pas nous écarter de notre objectif qui est la remontée immédiate du RCS en Ligue 2. »
Que le Racing reprenne du poil de la bête sur le terrain ne serait pourtant qu'une maigre consolation. Car l'histoire retiendra, comme en 1998 et le Mondial en France, que Strasbourg va rater pour la deuxième fois d'affilée l'occasion de vibrer pour un événement sportif majeur. Surtout, l'Euro 2016 de football se jouera sans la capitale de l'Europe. Désolant.
L'Alsace -
Dire que le projet d'Hammerson d'un nouveau stade ultra moderne demandait 100 M€ d'aide à la municipalité... Ok, pour une enceinte qui n'appartiendrait plus (entièrement? c'eut été à définir) à la ville et pour aider un projet "privé", mais à portée publique. Mais je ne crois pas qu'aucun montage n'était possible avec une contre-partie (financière, juridique, commerciale) pour la municipalité dans cette aide de 100 M€. Tout ça a été balayé en prétextant l'alternative d'une rénovation à 80 M€ pour garder la propriété d'un stade dont la rénovation future sera à la charge du contribuable - un montant qui s'avère finalement complètement fantaisiste. La marche arrière en est d'autres plus tragicomique. Aujourd'hui, il est question de travaux (enfin il n'en est plus question du coup) de 160 M€... un peu plus que les 100 M€. On aura finalement abandonné un projet (Eurostadium) pour rien, enterrant les seules opportunités de voir se dérouler une fête sportive de grande envergure à Strasbourg avant très très longtemps.
Je pense qu'il y avait d'autres voies possibles à étudier, par des financements de sponsors, par d'autres plans de rénovation...
Si il faut mettre 160 M€, c'est vraiment que notre stade est en train de prendre sacrément la poussière. Il est clair que d'après les éléments apportés par le journaliste, la question de l'étude de ces autres voies s'est heurtée à la peur d'un calendrier.
On recule pour ne pas mieux sauter. Un jour ou l'autre, il faudra passer à la caisse, et l'addition ne sera pas moins salée... On aura juste raté 2 événements sportifs majeurs qui ne sont pas organisés en France.
Pour moi, cette décision est un renoncement facile, concluant une incapacité à trouver un montage, une aide, des idées, pour répondre à une ambition... et ça revient à payer des choix dont la note sera très salée plus tard. On décale le problème dans le temps.
Quant au prétexte du club en National, c'est ridicule... Nous verrons si nous y serons encore en 2016... Perso, j'ai ma petite idée. Et surtout, quand on sait que des clubs de L1 ont des budgets de fonctionnement de 25 ou 30 M€, ils n'ont pas 12 M€ d'aide à la rénovation d'un stade à apporter. C'est de la malhonnêteté intellectuelle - bien mise en évidence par le journaliste de l'Alsace - de prétexter que le club n'est plus en mesure de participer. En gros, d'apporter sa goutte d'eau dans l'océan. Mais nous ne sommes pas à une dérobade près... -
T'es sûr des 100 millions ?
C'est vrai que dans le prix il y avait le coût des accès .
A 160 millions ils ne rénovent pas , ils refont car d'après ce que j'avais compris , ils détruisent les tribunes et les refont . -
Le projet d'Hammerson était de 400 M€, avec une demande d'aide auprès de la CUS (pas de la Municipalité, c'est un erratum dans mon précédent post) à hauteur de 100 M€, de mémoire.
Pas le temps de déterrer le topic de matin, suis à la bourre déjà. -
Les élus Strasbourgeois sont des buses.. Ries = Trautmann !
Cette ville est morte et le restera pour ce qui est des evenements sportifs... -
father-tom a écrit, le 2010-07-30 07:26:28 : Le projet d'Hammerson était de 400 M€, avec une demande d'aide auprès de la CUS (pas de la Municipalité, c'est un erratum dans mon précédent post) à hauteur de 100 M€, de mémoire.
Pas le temps de déterrer le topic de matin, suis à la bourre déjà.
Oui, mais c'était 100M€ hors couts d'infrastructures pour se rendre au stade.
Au final, ça coutait encore plus cher que les 160M€ de la réfection de la Meinau, mais sans aucun retour sur investissement en plus. -
L'Eurostadium est passé d'un projet 100% privé de l'ordre de 250 millions à un projet public/privé de l'ordre de 350 à 400 millions avec entre 80 et 100 millions à apporter par la collectivité, hors frais d'infrastructures qui eux étaient déjà à la charge de la Mairie dans la version "100% privée" du projet...
C'est la crise économique et de l'immobilier qui a poussé Hammerson a conditionner son investissement à l'apport de capitaux public...
L'erreur de la Mairie a été de se baser sur une évaluation à la "va vite" de la rénovation de la Meinau, estimée dans un premier temps à 80 millions seulement. Entre les deux il n'y avait pas photo et le projet Eurostadium est logiquement mort-né.
C'est ensuite que les ennuis ont commencé avec une seconde étude de coups bien plus poussée qui a fait monter le total de la rénovation (sans rajouter quoique ce soit au projet initial estimé à 80 M) à 160 M (!) soit le double des premières études qui avaient conduit à enterrer l'Eurostadium....
A partir de là la Mairie n'a fait que tourner en rond, cherchant des solutions qui n'en étaient pas ( demander de l'argent à l'Etat à l'heure ou celui ci coupe dans les dépenses et pratique une politique d'austérité sans même oser dire son nom!).
Sur les 6 derniers mois, l'arrivée de nouveaux propriétaires jugés peu fiables et se débattant déjà avec la DNCG par deux fois, la descente en nationale et le manque de visibilité quand à l'avenir d'un club que la mairie à contribué a sauver il y a moins de 2 semaines ont finit d'enterrer le peu d'espoir qui pouvait subsister...
Ce n'est donc pas la décision finale qui est scandaleuse dans ces conditions, surtout si l'on considère que les 160 M sont une estimation basse pour un chantier "sans retard et sans surprise" (chose qui n'arrive jamais soyons clair) mais bien le manque de professionnalisme de la part de la Mairie dans le traitement du dossier depuis le revirement de position du constructeur anglais!
Il y avait mieux à faire c'est certain. La première erreur étant de ne se concentrer que sur la possibilité de rénover la Meinau sans chercher à savoir si un stade plus moderne mais moins ambitieux que celui d'Hermesson était possible ailleurs sur des terres de la CUS par exemple... -
Intéressante mise au point effectuée par Vendetta.
En attendant Strasbourg renforce encore un peu plus une image qui en fait la risée du football fançais. Quel gâchis er quel honte ! -
La risée de l'Europe même, les gens arrivent à placer Lens sur une carte de France, mais pas Strasbourg ...
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Bon résumé de goldorak. 2 remarques :
- y'avait pas eu un appel d'offre avec d'autres projets ? et c'est Hammerson qui avait remporté la timballe. J'ai entendu parlé de dossier "à la va vite" hier soir sur planète racing, et je me pose la question du coup.
- ce serait marrant de voir si ce sont les mêmes qui ont critiqué le pseudo départ de l'historique Meinau pour l'Eurostadium et ceux qui critiquent aujourd'hui le choix de la ville. -
Juste un dernier rappel,car on l'a oublié un peu vite:des villes (de foot en plus) comme Nantes et Rennes avaient abandonné immédiatement toute idée de candidature.Les contextes sont à chaque fois propres à chaque ville mais force est de constater que nous ne sommes pas les seuls à avoir dit "non".Encore une fois,je crois que la ville a raison sur le fond mais tort sur la forme.
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