musique


Ex position

02/10/2006 00:01
785 lectures
"Exposez-vous à vos peurs les plus profondes ; après cela, la peur ne pourra plus vous atteindre" (Jim Morrison ?)

La voilà, cette fameuse semaine... En espérant qu'elle finira mieux qu'elle ne débutera...

En attendant, pour ceux qui ont le temps, faites donc un tour à l'expo sur l'histoire du Racing. Cela fera plaisir aux stubistes qui se sont impliqués dans ce projet, et c'est assez instructif...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/expo-centenair...

"Ex-fan des sixties
petite Baby Doll
comme tu dansais bien le Rock 'n 'Roll
ex-fan des sixties
où sont tes années folles
que sont devenues toutes tes idoles -
où est l'ombre des Shadows
des Byrds, des Doors
des Animals
des Moo-
dy Blues
séparés Mac Cartney
Georges Harrison
et Ringo Starr
et John Lennon - ex-fan des sixties
petite Baby Doll
comme tu dansais bien le Rock 'n 'Roll
ex-fan des sixties
où sont tes années folles
que sont devenues toutes tes idoles -
Disparus Brian Jones
Jim Morrison
Eddy Cochran
Buddy
Holly
idem Jimi Hendrix
Otis Redding
Janis Joplin
T.Rex
Elvis" (source)

Jane Birkin, Ex fan des sixties

David vint sans...

08/09/2006 14:15
777 lectures
Et pourtant...

"Les envahisseurs, ces êtres étranges venus d'une autre planète. Leur destination : la Terre. Leur but : en faire leur univers. David Vincent les a vus. Pour lui, tout a commencé par une nuit sombre, le long d'une route solitaire de campagne, alors qu'il cherchait un raccourci que jamais il ne trouva. Cela a commencé par une auberge abandonnée et par un homme devenu trop las pour continuer sa route. Cela a commencé par l'atterrissage d'un vaisseau venu d'une autre galaxie. Maintenant, David Vincent sait que les envahisseurs sont là, qu'ils ont pris forme humaine et qu'il lui faut convaincre un monde incrédule que le cauchemar a déjà commencé..." (source)

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/31.08.2006-027...

L'OVNI do...

"Love, love me do.
You know I love you,
I'll always be true,
So please, love me do.
Whoa, love me do.

Love, love me do.
You know I love you,
I'll always be true,
So please, love me do.
Whoa, love me do.

Someone to love,
Somebody new.
Someone to love,
Someone like you.

Love, love me do.
You know I love you,
I'll always be true,
So please, love me do.
Whoa, love me do.

Love, love me do.
You know I love you,
I'll always be true,
So please, love me do.
Whoa, love me do.
Yeah, love me do.
Whoa, oh, love me do" (source)

The Beatles, Love me do

Renaîs, sens !

27/04/2006 07:15
772 lectures
"Manier les mots, les soupeser, en explorer le sens, est une manière de faire l'amour..."

(Marguerite Yourcenar)

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/24.04.06-006-4...

"I keep a close watch on this heart of mine
I keep my eyes wide open all the time
I keep the ends out for the tie that binds
Because you're mine, I walk the line

I find it very, very easy to be true
I find myself alone when each day is through
Yes, I'll admit that I'm a fool for you
Because you're mine, I walk the line

As sure as night is dark and day is light
I keep you on my mind both day and night
And happiness I've known proves that it's right
Because you're mine, I walk the line

You've got a way to keep me on your side
You give me cause for love that I can't hide
For you I know I'd even try to turn the tide
Because you're mine, I walk the line

I keep a close watch on this heart of mine
I keep my eyes wide open all the time
I keep the ends out for the tie that binds
Because you're mine, I walk the line" (source)

Joaquin Phoenix, I walk the line

Rosing Club de Strasbourg

30/07/2006 08:41
771 lectures
Où il est question de ressemblances entre l'amour, la femme et le Racing...

« L'amour est aveugle et sa canne est rose »

« La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité »

« Femme : Rose qui prend parfois deux "s" » (hi hi... han)

Le Racing, c'est pareil finalement, et moi cette écharpe, je l'aime...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/29.07.2006-003...

"Some say love, it is a river
that drowns the tender reed.
Some say love, it is a razor
that leaves your soul to bleed.
Some say love, it is a hunger,
an endless aching need.

I say love, it is a flower,
and you it's only seed.
It's the heart afraid of breaking
that never learns to dance.
It's the dream afraid of waking
that never takes the chance.
It's the one who won't be taken,
who cannot seem to give,
and the sould afraid of dyin'
that never learns to live.

When the night has been too lonely
and the road has been to long,
and you think that love is only
for the lucky and the strong,
just remember in the winter
far beneath the bitter snows
lies the seed that with the sun's love
in the spring becomes the rose" (source)

Bette Midler, The rose

Sous les pavés, la page...

01/04/2006 00:01
758 lectures
Des sièges étroits au lieu des dossiers... Des bouteilles au lieu du sommeil... Du bruit au lieu du silence... Du foot au lieu des doutes... Des chants au lieu de déchanter...

Asphyxié... Mon souffle, où es-tu... Prendre l'air... S'oxygéner l'esprit... Respirer...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/30.03.06-1a34b.jpg

"Approche-toi petit, écoute-moi gamin,
Je vais te raconter l'histoire de l'être humain
Au début y avait rien au début c'était bien
La nature avançait y avait pas de chemin
Puis l'homme a débarqué avec ses gros souliers
Des coups d'pieds dans la gueule pour se faire respecter
Des routes à sens unique il s'est mis à tracer
Les flèches dans la plaine se sont multipliées
Et tous les éléments se sont vus maîtrisés
En 2 temps 3 mouvements l'histoire était pliée
C'est pas demain la veille qu'on fera marche arrière
On a même commencé à polluer le désert

Il faut que tu respires, et ça c'est rien de le dire
Tu vas pas mourir de rire, et c'est pas rien de le dire

D'ici quelques années on aura bouffé la feuille
Et tes petits-enfants ils n'auront plus qu'un oeil
En plein milieu du front ils te demanderont
Pourquoi toi t'en as 2 tu passeras pour un con
Ils te diront comment t'as pu laisser faire ça
T'auras beau te défendre leur expliquer tout bas
C'est pas ma faute à moi, c'est la faute aux anciens
Mais y aura plus personne pour te laver les mains
Tu leur raconteras l'époque où tu pouvais
Manger des fruits dans l'herbe allongé dans les prés
Y avait des animaux partout dans la forêt,
Au début du printemps, les oiseaux revenaient

Il faut que tu respires, et ça c'est rien de le dire
Tu vas pas mourir de rire, et c'est pas rien de le dire
Il faut que tu respires, c'est demain que tout empire
Tu vas pas mourir de rire, et c'est pas rien de le dire

Le pire dans cette histoire c'est qu'on est des esclaves
Quelque part assassin, ici bien incapable
De regarder les arbres sans se sentir coupable
A moitié défroqués, 100 pour cent misérables
Alors voilà petit, l'histoire de l'être humain
C'est pas joli joli, et j'connais pas la fin
T'es pas né dans un chou mais plutôt dans un trou
Qu'on remplit tous les jours comme une fosse à purin" (source)

Mickey 3D, Respire

Zénith, zen niet ?

Si, si... Doucement, il sort du sol et monte vers le ciel, même si les habitués des enceintes sportives, et particulièrement des stades de foot, ne seront pas spécialement impressionnés...

On met son petit casque et on écoute les explications... Une centaine de travailleurs sont à pied d'oeuvre pour finir le projet à l'automne, avec les premiers spectacles prévus à l'hiver 2008... Le Zénith sera susceptible d'accueillir entre 1661 (mini) et 9975 (maxi) personnes...

Un petit article sur le Zénith, avec plans et interview...

Et le site de la société qui sera en charge de l'exploitation...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/strasbourgg-16...

"Un canard dans le café.
J'ai du mal à digérer, parfois,
Tous les papiers mâchés
Qui se prennent à mon filet
De voix. Pauvre pêcheur,
Fallait lire entre mes lignes,
Pas mordre à mes sautes d'humeur
Même si je n'en suis pas digne.

Fallait rester Zen. Soyons Zen,
Du sang froid dans les veines, soyons Zen
Plus de choc à la chaîne.
Zen, restons Zen,
Du calme à la vie comme à la scène,
Sans amour et sans haine.

J'suis pas dans l'vent des guignols,
De ces joueurs en fond de court,
De ceux qui, pour un p'tit bout d'atoll,
Sont prêts à larguer les amours,
Tous ces maîtres-chanteurs
Qui manquent de coffre et de hauteur.
C'est facile de compter les erreurs
Quand on ne joue pas la scène.

L'erreur est humaine. Soyons Zen.
Du sang froid dans les veines. Soyons Zen
Plus de choc à la chaîne.
Zen, restons Zen.
Du calme à la vie comme à la scène,
Sans amour et sans haine.
Zen, Zen,
Zen, Zen.

Zen, restons Zen.
Du sang froid dans les veines, Zen
Plus de choc à la chaîne, Zen.
Du calme à la vie comme à la scène,
Sans amour et sans haine,
Zen,
Sans amour et sans haine,
Zen,
Sans amour et sans haine,
Soyons Zen,
Zen." (source)

Zazie, Zen

Le hâle barbe

07/08/2006 00:05
736 lectures
Fin du quotidien canicule ? Mais un peu de soleil au mois d'août ça ne fait quand même pas de mal...
Où l'on voit que l'expression « il pleut, il tombe des hallebardes » est fort à propos...

Toute cette eau méritant une bonne vieille blague Carambar de derrières les fagots dont le verdict n'est pas laid :
« Dans quel pays ne bronze-t-on pas du nez ? »

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/25.09.05-025-e...

"On voudrait savoir éviter
La pluie
Entre les gouttes se glisser
Deux, trois nuages et l'on
Court à l'abri
On n'aime pas trop se mouiller

On se dit qu'ailleurs
Sous d'autres latitudes
Le soleil est brûlant
Même en plein hiver
On rêve d'Orient,
De cap au sud
De sable et de mer

Et l'on attend sous des portes
Cochères
Ou transi sous un parapluie
On met des chapeaux, des gants,
Des impers
On se cache, on se rétrécit

Faudrait pas s'éloigner,
Rester dans son coin
Une averse et l'on risque
D'être surpris
Pas de jolie vie,
De joli chemin
Si l'on craint la pluie

On prie le ciel
Et les grenouilles
Et l'hirondelle
Que le temps tourne
Comme tourne la chance
Dieu que tout baigne
Quand il y a du soleil
Mais voilà,
Le mauvais temps ça
Recommence

Mais
Dans les vies sèches
L'eau se venge aussi:
Y a des ouragans,
Des moussons,
Des déserts.
Autant apprendre
A marcher
Sous la pluie
Le visage
Offert" (source)

Jean-Jacques Goldman, La pluie

Shake soupir

15/04/2006 00:02
725 lectures
“Secouez, secouez mouuuahhhhh...”

"Deux familles, égales en noblesse,
Dans la belle Vérone, où nous plaçons notre scène,
Sont entraînées par d'anciennes rancunes à des rixes nouvelles
Où le sang des citoyens souille les mains des citoyens.

Des entrailles prédestinées de ces deux ennemies
A pris naissance, sous des étoiles contraires, un couple d'amoureux
Dont la ruine néfaste et lamentable
Doit ensevelir dans leur tombe l'animosité de leurs parents.

Les terribles péripéties de leur fatal amour
Et les effets de la rage obstinée de ces familles,
Que peut seule apaiser la mort de leurs enfants,
Vont en deux heures être exposés sur notre scène.

Si vous daignez nous écouter patiemment,
Notre zèle s'efforcera de corriger notre insuffisance" (Roméo et Juliette, de William Shakespeare, l'intégralité du texte)

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/02.04.06-006-f...

"A lovestruck romeo sings a streetsus serenade
Laying everybody low with me a lovesong that he made
Finds a convenient streetlight steps out of the shade
Says something like you and me babe how about it ?

Juliet says hey it's romeo you nearly gimme a heart attack
He's underneath the window she's singing hey la my boyfriend's back
You shouldn't come around here singing up at people like that
Anyway what you gonna do about it ?

Juliet the dice were loaded from the start
And I bet and you exploded in my heart
And I forget the movie song
When you wanna realise it was just that the time was wrong juliet ?

Come up on differents streets they both were streets of shame
Both dirty both mean yes and the dream was just the same
And I dreamed your dream for you and your dream is real
How can you look at me as if I was just another one of your deals ?

Where you can fall for chains of silver you can fall for chains of gold
You can fall for pretty strangers and the promises they hold
You promised me everything you promised me think and thin
Now you just says oh romeo yeah you know I used to have a scene with him

Juliet when we made love you used to cry
You said I love you like the stars above I'll love you till I die
There's a place for us you know the movie song
When you gonna realise it was just that the time was wrong juliet ?

I can't do the talk like they talk on tv
And I can't do a love song like the way it's meant to be
I can't do everything but I'd do anything for you
I can't do anything except be in love with you

And all I do is miss you and the way we used to be
All do is keep the beat and bad company
All I do is kiss you through the bars of a rhyme
Julie I'd do the stars with you any time

Juliet when we made love you used to cry
You said I love you like the stars above I'll love you till I die
There's a place for us you know the movie song
When you gonna realise it was just that the time was wrong juliet ?

A lovestruck romeo sings a streetsus serenade
Laying everybody low with me a lovesong that he made
Finds a convenient streetlight steps out of the shade
Says something like you and me babe how about it ?" (source)

Dire Straits, Romeo & Juliet

Sous rire, le retour

15/04/2007 11:26
719 lectures
Il y a un an, une photo illustrait un billet, suite à la découverte d'un message à la craie sur un mur : "il y a ton sourire"

Un an après, des messages identiques refleurissent, preuve que rien n'a changé...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/04.03.2007-013...

D'autres l'ont d'ailleurs remarqué, puisqu'un dialogue s'installe, avec notamment un "mais quel sourire ?!" limite excédé, entraînant la réponse de notre amoureux, ou d'un troisième intervenant, compréhensif :

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/04.03.2007-012...

"Ce matin au réveil
Quand j'me suis retournée
Quelle fut pas ma surprise !
C'est sur toi que je suis tombée
Moi qui voulais pas sortir
Y a des jours comme ça
Moi qui voulais juste dormir
Et maintenant, t'es là !

Chut ! Ne dis rien
Reste encore mystérieux
Chut ! Ne bouge pas
Je suis si bien dans tes yeux

Quelle heure et quel jour on est ?
J'oublie toujours
Est-ce l'hiver ? Est-ce l'été ?
Je m'en rappelle jamais
Comment on s'est r'trouvés là ?
Laisse-moi deviner
Pour une fois qu'j't'attendais pas
Et maintenant, ça y est !

Chut ! Ne dis rien
Dans tes yeux, je vois l'jour
Chut ! Ne bouge pas
Reste encore mon amour

Je suis une femme dangereuse
Vraiment infréquentable
Je suis une femme amoureuse
Vraiment incontrôlable

Chut ! Ne dis rien
Reste encore dans mon lit
Chut ! Ne bouge pas
Tu t'appelles chéri et
Dans tes bras je suis bien

Oui ! Ne dis rien
Laisse-moi me réveiller
Chut ! Ne bouge pas
Laisse-moi encore rêver
Chut !" (source)

Adrienne Pauly, Chut

Win her

19/02/2006 16:31
704 lectures
Balles au fond, victoire. Le feu est en nous...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/strasbourgg-17...

"I see trees of green........ red roses too
I see 'em bloom..... for me and for you
And I think to myself.... what a wonderful world.

I see skies of blue..... clouds of white
Bright blessed days....dark sacred nights
And I think to myself .....what a wonderful world.

The colors of a rainbow.....so pretty ..in the sky
Are also on the faces.....of people ..going by
I see friends shaking hands.....sayin'.. how do you do
They're really sayin'......i love you.

I hear babies cry...... I watch them grow
They'll learn much more.....than I'll never know
And I think to myself .....what a wonderful world

(instrumental break)

The colors of a rainbow.....so pretty ..in the sky
Are there on the faces.....of people ..going by
I see friends shaking hands.....sayin'.. how do you do
They're really sayin'...*spoken*(I ....love....you).

I hear babies cry...... I watch them grow
*spoken*(you know their gonna learn
A whole lot more than I'll never know)
And I think to myself .....what a wonderful world
Yes I think to myself .......what a wonderful world" (source)

Louis Armstrong, What a wonderful world

Hope là ?

26/09/2006 00:02
689 lectures
"La vie n'est pas mesurée par les respirations que l'on prend mais par les moments qui vous coupent le souffle"

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/26.08.2006-021...

"I will try not breathe
I can hold my head still with my hands at my knees
These are the eyes of the old
Shiver and fold

I will try not to breathe
This decision is mine
I have lived a full life And these are the eyes that I want you to remember

I need something to fly over my grave again
I need something to breathe

I will try not to burden you
I can hold these inside
I will hold my breath
Until all these shivers subside
Just look in my eyes

I will try not to worry you
I have seen things that you will never see
Leave it to memory me
I shudder to breathe

I want you to remember (You will never see)
I need something to fly (Something to fly)
Over my grave again (You will never see)
I need something to breathe (Something to breathe)
Baby don't shiver now
Why do you shiver now? (I will see things you will never see)
I need something to fly (Something to fly)
Over my grave again (I will see things you will never see)
I need something to breathe

I will try not to worry you.
I have seen things you will never see
Leave it to memory me
Don't dare me to breathe

I want you to remember (You will never see)
I need something to fly (Something to fly)
Over my grave again (You will never see)
I need something to breathe (Something to breathe)
Baby don't shiver now
Why do you shiver now? (I will see things you will never see)
I need something to fly (Something to fly)
Over my grave again (I will see things you will never see)
I need something to breathe (Something to breathe - I have seen things you will never see)
I want you to remember" (source)

REM, Try not to breathe

Le rose biffe

28/03/2008 13:38
686 lectures
Et parfois il vire même au rouge...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/18.03.2008-352...
http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/18.03.2008-325...
http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/18.03.2008-328...
http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/18.03.2008-329...
http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/18.03.2008-432...

"Colore le monde, sans feutre, sans épreuves ni bombes
Indolore les murs, et coule dans le fleuve la facture
En monnaie de singe, fraîche blanche comme le linge
A jamais répand du fard sur les hommes comme le temps

Colore la foule , colore mes veines
Chaque jour il me révèle
En chair de poule, en dieu du ciel
Et la foule sort de mes veines
Oui comme le temps est un ami
Il colore mon pays

Des dieux, mes soeurs j'en vois de toutes les couleurs
Pour des cieux, mes frères s'engagent sur des routes à l'envers
Mais là haut décide, fait le ménage fait le vide
Sur la peau répand du fard sur les hommes comme le temps..."

Dream her

17/02/2007 00:01
656 lectures
Nan mais franchement, une enseigne comme ça avec un nom et un slogan comme ça à deux pas de chez moi, ils auraient voulu le faire exprès qu'ils n'auraient pas réussi, si ?

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/23.04.06--2--c...

"On vous souhaite tout le bonheur du monde
Et que quelqu'un vous tende la main
Que votre chemin évite les bombes
Qu'il mène vers de calmes jardins.

On vous souhaite tout le bonheur du monde
Pour aujourd'hui comme pour demain
Que votre soleil éclaircisse l'ombre
Qu'il brille d'amour au quotidien.

Puisque l'avenir vous appartient
Puisqu'on n'contrôle pas votre destin
Que votre envol est pour demain
Comme tout c'qu'on a à vous offrir
Ne saurait toujours vous suffir
Dans cette liberté à venir
Puisque on sera pas toujours là
Comme on le fut aux premiers pas.

{Refrain}

Toute une vie s'offre devant vous
Tant de rêves a vivre jusqu'au bout
Surement plein de joie au rendez-vous
Libre de faire vos propres choix
De choisir qu'elle sera votre voie
Et où celle-ci vous emmenera
J'espère juste que vous prendrez le temps
De profiter de chaque instant.

{Refrain}

Ché pas quel monde on vous laissera
On fait d'notre mieux, seulement parfois,
J'ose espérer que c'la suffira
Pas à sauver votre insoucience
Mais à apaiser notre conscience
Aurais-je le droit de vous faire confiance...

{Refrain}" (source)

Petit clin d'oeil pour chris, entres autres...

Là haut, t'sais..

30/03/2006 00:01
650 lectures
Oh capitaine, mon capitaine...

"Lao Tsé voyageait avec ses disciples et ils arrivèrent dans une forêt où des centaines de bûcherons abattaient les arbres. Presque toute la forêt avait été décimée, sauf un grand arbre aux branches innombrables. Il était si vaste que dix mille personnes auraient pu s'asseoir à son ombre.

Lao Tsé pria ses disciples d'aller demander pourquoi cet arbre n'avait pas été coupé. Les bûcherons leur répondirent : « Cet arbre est totalement inutile. Vous ne pouvez rien en tirer car ses branches ont trop de noeuds, elles sont toutes tordues. Vous ne pouvez pas davantage en faire du combustible, car sa fumée est nocive pour les yeux. Cet arbre est absolument inutile, c'est pourquoi nous ne l'avons pas coupé. »

Les disciples rapportèrent ces paroles à Lao Tsé. Il rit et dit : « Soyez comme cet arbre. Si vous êtes utiles, vous serez abattus et transformés en meubles. Si vous êtes beaux, vous serez vendus au marché, tels des objets. Soyez comme cet arbre, absolument inutiles... alors vous deviendrez immenses, et des milliers de gens s'abriteront sous votre ombrage. »

La logique de Lao Tsé diffère totalement de la vôtre. Il dit : « Soyez le dernier. Vivez dans le monde comme si vous n'existiez pas. Ne soyez pas ambitieux, n'essayez pas de prouver votre valeur, ni de rechercher le mérite, ce n'est pas la peine. Restez inutiles et réjouissez-vous. » " (source)

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/15-01--30--776...

"Le mal est entré
Meilleur ennemi
Il sait m'abandonner
Me ramener près de lui

Je ne veux pas rester sage
J'aime le souffre et l'envie
Abuser de mon âge
Je n'veux pas rester sage

Le mal est ma lueur
Son ombre est ma couleur
Le mal est ma lueur
Mon parfum son odeur

Prends ton mal en douceur
Le mal est entré
Et je sais qu'il détruit
Qu'il pourrait me faire crever
Que reste-t-il ici ?

Je ne veux pas rester sage
J'aime le souffre et l'envie
Abuser de mon âge
Je n'veux pas rester sage

Le mal est ma lueur...

Le mal est entré
Meilleur ennemi
Il sait m'abandonner
Je brûlerai avec lui"

Dolly, Je ne veux pas rester sage

Cours, âge

06/11/2006 00:01
632 lectures
Fuite effrénée du temps ou malgré le temps qui passe ?

"Le temps passe. Et chaque fois qu'il y a du temps qui passe, il y a quelque chose qui s'efface."

"Ce qui est passé a fui ; ce que tu espères est absent ; mais le présent est à toi."

"Le temps qui passe arrange parfois les choses mais pas les gens !"

"On passe notre temps à chercher ce qui nous manque, sans vraiment savoir ce que c'est..."

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/colmar17.09.05...

"Sur la plage, elle se fige,
Les yeux à l'horizon :
Un point flou se dirige
Vers de lointains bastions ;
Dès ce matin – que dis-je,
Dès l'aube – elle comprit qu'on
Pouvait perdre courage
Comme on perd la raison.
Ce que la mer érige
Interdit toute action :
Parades et haute voltige
Contre lames de fond...
D'un regard, elle fustige
Avec appréhension
La forme qui voyage
Dans l'autre direction...
Quand l'avenir incertain charge,
La peur des lendemains la ronge
Et son courage atteint le large ;
Sans lui
Comment veux-tu qu'elle plonge ?
En nage, panique oblige,
Jusqu'à l'ébullition,
Elle court comme on s'inflige
D'inutiles ambitions ;
Elle cherche, et elle exige
Qu'on rende à sa raison
Le beau, le doux visage
Du courage en question ;
Et alors qu'elle néglige
Simplement l'abandon,
Arrivent le vertige,
Bientôt l'imploration :
Elle revit le prodige
D'anciennes insoumissions
Et elle longe le rivage,
Son courage en amont...
Quand l'avenir incertain charge,
La peur des lendemains la ronge
Et son courage atteint le large ;
Sans lui
Comment veux-tu qu'elle plonge ?
Quand l'avenir incertain charge,
La peur des lendemains la ronge
Et son courage atteint le large...
Sur la plage, elle se fige,
Les yeux à l'horizon :
Un point flou se dirige
Vers de lointains bastions ;
Dès ce matin – que dis-je,
Dès l'aube – elle comprit qu'on
Pouvait perdre courage
Comme on perd la raison
Quand l'avenir invertain charge,
La peur des lendemains la ronge
Et son courage atteint le large ;
Sans lui
Comment veux-tu qu'elle plonge ?
Quand l'avenir invertain charge,
La peur des lendemains la ronge
Et son courage atteint le large...
Sur le sable humide, elle s'allonge."

Elista, Courage

Racing carré

22/10/2006 11:19
623 lectures
Robert dit :

"Equation : relation conditionnelle existant entre deux quantités et dépendant de certaines variables (ou inconnues)"

Exemple : marquer un but et ne pas en encaisser, ou marquer un but de plus que l'autre = victoire.

J'ai toujours aimé les maths... les matchs !

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/28.07.2006-050...

"No more carefree laughter
Silence ever after
Walking through an empty house, tears in my eyes
Here is where the story ends, this is goodbye

Knowing me, knowing you (ah-haa)
There is nothing we can do
Knowing me, knowing you (ah-haa)
We just have to face it, this time we're through
(This time we're through, this time we're through
This time we're through, we're really through)
Breaking up is never easy, I know but I have to go
(I have to go this time I have to go, this time I know)
Knowing me, knowing you
It's the best I can do

Mem'ries (mem'ries), good days (good days), bad days (bad days)
They'll be (they'll be), with me (with me) always (always)
In these old familiar rooms children would play
Now there's only emptiness, nothing to say

Knowing me, knowing you (ah-haa)
There is nothing we can do
Knowing me, knowing you (ah-haa)
We just have to face it, this time we're through
(This time we're through, this time we're through
This time we're through, we're really through)
Breaking up is never easy, I know but I have to go
(I have to go this time I have to go, this time I know)
Knowing me, knowing you
It's the best I can do" (source)

ABBA, Knowing me, knowing you

Deux choses sûres...

- mes nouvelles godasses sont cool
- j'ai encore perdu la bataille du sommeil mais il fera beau aujourd'hui...

Bref, levé à l'aube, encore une fois. Le temps d'errer dans les rues vides, de capturer les détails ci et là (tendance : les messages à la craie, fussent-ils amoureux ou belliqueux)... Et de réussir à rentrer sans croissants !

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/23.04.06-1ba83.jpg

"You got your toecaps reinforced with steel
Hard-wearing sole and heel
Make those tired feet feel like new
Take your pick, black or brown
Great for the country or the man in town
You're gonna need a quality shoe

You don't want no stand-by pair
'Cos these'll take the wear and tear
Made to take good care of you
For that trip by road or rail
For extra grip on those rocky trails
You're gonna need a quality shoe

Now they maybe ain't too hot for dancing
But I don't foresee too much of that
You ain't exactly gonna be prancing
Around in the moonlight
With a cane and a top hat

If you could use a change of pace
And be excused from the rat race
Just take a look at what's on view
Lace 'em up, walk around
I guarantee you can't wear 'em down
You're gonna need a quality shoe

Now I wish you sunny skies
And happiness wherever you may go
But you got to realise
There'll be wind, there'll be rain
And occasional snow

You're gonna want to smile in them
If you're gonna walk a mile in them
There'll be times when you'll be blue
To laugh at rainy days and then
Make your getaways in them
You're gonna need a quality shoe

You got your toecaps reinforced with steel
Hard-wearing sole and heel
Make those tired feet feel like new
Take your pick, black or brown
Great for the country or the man in town
You're gonna need a quality shoe" (source)

Mark Knopfler, Quality shoe


Et puisqu'on parle de Converse... (instant pub) But it's not a commercial for Converse !

Cahin-KA

17/03/2006 17:33
590 lectures
Tant bien que mal, les jours défilent... 17 mars, le jour du trefle...
Sachez-le, Saint Patrick était (non conan, il n'était pas punk ni gothique) allemand ! En tout cas ce soir...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/15-ans-141-a06...

Tiens, puisqu'on parle d'Irish et de dirty....

"I met my love by the gas works wall
Dreamed a dream by the old canal
Kissed a girl by the factory wall
Dirty old town
Dirty old town
Clouds a drifting across the moon
Cats a prowling on their beat
Spring's a girl in the street at night
Dirty old town
Dirty old town
Heard a siren from the docks
Saw a train set the night on fire
Smelled the spring on the smoky wind
Dirty old town
Dirty old town
I'm going to make me a good sharp axe
Shining steel tempered in the fire
Will chop you down like an old dead tree
Dirty old town
Dirty old town" (source)

The Pogues, Dirty old town

Histoire d'eau

10/08/2006 00:01
588 lectures
« Mais ce qu'elle s'imaginait être du désir n'allait pas plus loin que le goût de la conquête, et ses manières de mauvais garçon, ni le fait qu'elle avait eu quelques amants – si l'on peut les appeler amants – ni sa dureté, ni même son courage, ne lui servirent de rien quand elle rencontra René. En huit jours elle apprit la peur, mais la certitude, l'angoisse, mais le bonheur. René se jeta sur elle comme un forban sur une captive, et elle devint captive avec délices, sentant à ses poignets, à ses chevilles, à tous ses membres et au plus secret de son corps et de son coeur les liens plus invisibles que les plus fins cheveux, plus puissants que les câbles dont les Lilliputiens avaient ligoté Gulliver, que son amant serrait ou desserrait d'un regard. Elle n'était plus libre ? Ah ! Dieu merci, elle n'était plus libre. Mais elle était légère, déesse sur les nuées, poisson dans l'eau, perdue de bonheur. Perdue parce que ces fins cheveux, ces câbles que René tenait tous dans sa main, étaient le seul réseau de forces par où passât désormais en elle le courant de la vie. Et c'était si vrai que lorsque René relâchait sa prise sur elle – ou qu'elle se l'imaginait – lorsqu'il semblait absent, ou s'éloignait avec ce qui paraissait à O de l'indifférence, ou lorsqu'il demeurait sans la voir ou sans répondre à ses lettres, et qu'elle croyait qu'il ne voulait plus la voir ou qu'il allait ne plus l'aimer, ou qu'il ne l'aimait plus, tout s'étouffait en elle, elle suffoquait. » (Histoire d'O)

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/01.07.2006-020...

"Je sais pas ce qu'il y a de vrai là-d'd'encre
On dit qu'c'est une princesse Inca
Elle a l'pubis noir comme l'encre
Ouais, pour un cas c'est un cas

Cette fille-là on peut dire que c'est un cas
J'aimerais la noyer dans le Titicaca

Vous savez bien cette prinsoeur
Qui vomissait perles et diamants
Elle, elle s'rait plutôt comme sa soeur
Elle vomit crapauds et serpents

Cette fille-là on peut dire que c'est un cas
J'aimerais la noyer dans le Titicaca

Quand un toutou fait de beaux rêves,
On dessine un os dans un nuage
Moi quand il m'arrive d'rêver d'Ève
L'os est dans le nez d'cette sauvage

Cette fille-là on peut dire que c'est un cas
J'aimerais la noyer dans le Titicaca

À la voir c'est l'genre délicongle
Elle fait toujours vachement soigné
Sauf que le rouge qu'elle a aux ongles
C'est mon pauvre sang coagulé

Cette fille-là on peut dire que c'est un cas
J'aimerais la noyer dans le Titicaca

Si par hasard devant chez moire
Vous passez, faites le sourd
J'suis en train d'remplir la baignoire
Et elle vous appelle au secours

Cette fille-là on peut dire que c'est un cas
J'aimerais la noyer dans le Titicaca

Enfin d'toute façon c'est pas grave
J'en ai tiré une bonne leçon :
Prendre les filles pour c'qu'elles ne sont paves
Et les laisser pour ce qu'elles sont

Allô Popocatepelletan vingt-deux vingt-deux
Y'a un cadavre à embarquer..." (source)

Serge Gainsbourg, Titicaca

Métro goulot dodo

11/10/2006 00:15
578 lectures
"L'humanité est comme un paysan ivre à cheval : quand on la relève d'un côté, elle tombe de l'autre"

Tchin tchin...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/24.04.06-002-6...

"Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine.
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine" (source)

Apollinaire, Le pont Mirabeau (Alcools)

A venir...

Puisqu'on vous le dit !

"Communiqué de presse – 5 avril 2006

L'Archevêché de Strasbourg et l'Église de la Confession d'Augsbourg d'Alsace et de Lorraine rappellent l'importance du respect du vendredi saint, jour où les chrétiens se souviennent de la mort du Christ, comme jour de recueillement et de simplicité. C'est ce caractère qui a conduit, traditionnellement, à en faire, en Alsace et en Moselle, un jour férié. Il appelle donc les partenaires sociaux et la société tout entière à faire preuve de mesure et de responsabilité, en ne transformant pas cette journée particulière en temps livré à la production et à la consommation." (ici)

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/02.04.06-004-2...

"First I was afraid
I was petrified
Kept thinking I could never live
without you by my side
But I spent so many nights
thinking how you did me wrong
I grew strong
I learned how to carry on
and so you're back
from outer space
I just walked in to find you here
with that sad look upon your face
I should have changed my stupid lock
I should have made you leave your key
If I had known for just one second
you'd be back to bother me

Go on now go walk out the door
just turn around now
'cause you're not welcome anymore
weren't you the one who tried to hurt me with goodbye
you think I'd crumble
you think I'd lay down and die
Oh no, not I
I will survive
as long as i know how to love
I know I will stay alive
I've got all my life to live
I've got all my love to give
and I'll survive
I will survive

It took all the strength I had
not to fall apart
kept trying hard to mend
the pieces of my broken heart
and I spent oh so many nights
just feeling sorry for myself
I used to cry
Now I hold my head up high
and you see me
somebody new
I'm not that chained up little person
still in love with you
and so you felt like dropping in
and just expect me to be free
now I'm saving all my loving
for someone who's loving me" (source

Gloria Gaynor, I will survive

Coule, heure...

28/11/2006 00:07
555 lectures
"La vie est comme un arc-en-ciel : il faut de la pluie et du soleil pour en voir les couleurs" Glou, glou...

Robert dit :
"Couleur : qualité de la lumière renvoyée par la surface des objets, perçue par le sens de la vue et permettant de distinguer des surfaces indépendamment des formes ; propriété que l'on attribue à la lumière, aux objets de produire une telle impression"

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/25.11.2006-009...

"Colore le monde, sans feutre, sans épreuves ni bombes
Indolore les murs, et coule dans le fleuve la facture
En monnaie de singe, fraîche blanche comme le linge
A jamais répand du fard sur les hommes comme le temps

Colore la foule , colore mes veines
Chaque jour il me révèle
En chair de poule, en dieu du ciel
Et la foule sort de mes veines
Oui comme le temps est un ami
Il colore mon pays

Des dieux, mes soeurs j'en vois de toutes les couleurs
Pour des cieux, mes frères s'engagent sur des routes à l'envers
Mais là haut décide, fait le ménage fait le vide
Sur la peau répand du fard sur les hommes comme le temps" (source)

Les Innocents, Colore

Pas de pot

28/04/2007 08:55
543 lectures
"J'ai rencontré quelques peines, j'ai rencontré beaucoup d'joie
C'est parfois une question d'chance, souvent une histoire de choix
J'suis pas au bout d'mes surprises, là d'sus y'a aucun doute
Et tous les jours je continue d'apprendre les codes de ma route"

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/27.04.2007-008...

"You said you couldn't stay
You've seen it all before, I know
They sold you on their way
Oh honey that's ok

No harm, he's armed
Setting off all your alarms
When I found out
I hope it's you who's set this trap

And storefronts rarely change
At least I'm on my own again
Instead of anywhere with you
Ah tell me it's all the same

And I lost my page again
I know this is surreal
But I'll try my luck with you
This life is on my side
I am your one
Believe me this is a chance

Lets see what's for sale
He's trying not to give his job a chance
It's never going to be
It's sad but I agree
The signals don't seem right
It lasts for just one night, and then
I'm sorry that I said that we were just good friends

No harm, he's armed
Setting off all your alarms
Entranced, I couldn't be there in time
Now think about that

And I lost my page again
I know this is surreal
But I'll try my luck with you
This life is on my side
And I am your one
Believe me this is a chance"

The Strokes, Trying your luck

Rayo, nan !

16/02/2006 22:51
543 lectures
Il parle... Ajuster... Rationaliser... Le sourire et le message qui se veulent rassurants ne le sont pas... Au contraire... Mais tout me passe au-dessus... Je les regarde, crispés... Cela ne m'affecte pas... Je suis ailleurs... Le ciel gris et la pluie m'indiffèrent également...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/photo-105-6d2d7.jpg

"Besame
Besame mucho
Como si fuera esta noche la ultima vez

Besame
Besame mucho
Que tengo miedo pederte, perderte otra vez

Quiero tenerte muy cerca
mirarme en tus ojos
verte junto a mi

Piensa que tal vez manana yo ya estare lejos
muy lejos de ti.

Besame
Besame mucho
Como si fuera esta noche la ultima vez

Besame
Besame mucho
Que tengo miedo pederte, perderte despues" (source)

Evora Cesaria, Besame mucho (De Grandes Espérances)

Snow bord

05/02/2007 00:01
526 lectures
Y paraît que plus on a de toits, plus on a de neige...
Boah...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/p1040865-c734b.jpg

"Marilou repose sous la neige
Et je me dis et je me redis
De tous ces dessins d'enfant que n'ai-je
Pu préserver la fraîcheur de l'inédit

De ma Lou en bandes dessinées je
Parcourais les bulles arrondies
Lorsque je me vis exclu de ses jeux
Erotiques j'en fis une maladie

Marilou se sentait pris au piège
Tous droits d'reproduction interdits
Moi naïf j'pensais que me protégeaient
Les droits du copyright opéra mundi

Oh ma Lou il fallait que j'abrège
Ton existence c'est ainsi
Que Marilou s'endort sous la neige
Carbonique de l'extincteur d'incendie" (source)

Serge Gainsbourg, Marilou sous la neige

Le loco motive...

03/12/2006 09:54
523 lectures
Ou pas ! Así es la vida loca, loca, loca...

"Quand vous verrez la lumière au bout du tunnel, priez pour que ce ne soit pas le train"

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/01.09.2006-200...

"J'crois que les histoires d'amour c'est comme les voyages en train,
Et quand je vois tous ces voyageurs parfois j'aimerais en être un,
Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare,
Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard.

Les trains démarrent souvent au moment où l'on s'y attend le moins,
Et l'histoire d'amour t'emporte sous l'oeil impuissant des témoins,
Les témoins c'est tes potes qui te disent au revoir sur le quai,
Ils regardent le train s'éloigner avec un sourire inquiet,
Toi aussi tu leur fais signe et tu imagines leurs commentaires,
Certains pensent que tu te plantes et que t'as pas les pieds sur terre,
Chacun y va de son pronostic sur la durée du voyage,
Pour la plupart le train va derailler dès le premier orage.

Le grand amour change forcément ton comportement,
Dès le premier jour faut bien choisir ton compartiment,
Siège couloir ou contre la vitre il faut trouver la bonne place,
Tu choisis quoi une love story de première ou d'seconde classe.

Dans les premiers kilomètres tu n'as d'yeux que pour son visage,
Tu calcules pas derrière la fenêtre le défilé des paysages,
Tu te sens vivant tu te sens léger tu ne vois pas passer l'heure,
T'es tellement bien que t'as presque envie d'embrasser le controleur.

Mais la magie ne dure qu'un temps et ton histoire bât de l'aile,
Toi tu te dis que tu n'y est pour rien et que c'est sa faute à elle,
Le ronronement du train te saoule et chaque virage t'écoeure,
Faut que tu te lèves que tu marches tu vas te dégourdir le coeur.

Et le train ralentit et c'est déjà la fin de ton histoire,
En plus t'es comme un con tes potes sont restés à l'autre gare,
Tu dis au revoir à celle que tu appelleras désormais ton ex,
Dans son agenda sur ton nom elle va passer un coup de tipex.

C'est vrai que les histoires d'amour c'est comme les voyages en train,
Et quand je vois tous ces voyageurs parfois j'aimerais en être un,
Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare,
Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard.

Pour beaucoup la vie se résume à essayer de monter dans le train,
A connaitre ce qu'est l'amour et se découvrir plein d'entrain,
Pour beaucoup l'objectif est d'arriver à la bonne heure,
Pour réussir son voyage et avoir accès au bonheur.

Il est facile de prendre un train encore faut il prendre le bon,
Moi je suis monté dans deux trois rames mais c'était pas le bon vagon,
Car les trains sont crapricieux et certains sont innaccessibles,
Et je ne crois pas tout le temps qu'avec la SNCF c'est possible.

Il y a ceux pour qui les trains sont toujours en grèves,
Et leurs histoires d'amour n'existent que dans leurs rêves,
Et y'a ceux qui foncent dans le premier train sans faire attention,
Mais forcément ils descendront dessus à la prochaine station,
Y'a celles qui flippent de s'engager parce qu'elles sont trop émotives,
Pour elles c'est trop risqué de s'accrocher à la locomotive,
Et y'a les aventuriers qu'enchainent voyages sur voyages,
Dès qu'une histoire est terminée ils attaquent une autre page.

Moi après mon seul vrai voyage j'ai souffert pendant des mois,
On s'est quitté d'un commun accord mais elle était plus d'accord que moi,
Depuis je traine sur les quais je regarde les trains au départ,
Y'a des portes qui s'ouvrent mais dans une gare je me sent à part.

Il parait que les voyages en train finissent mal en général,
Si pour toi c'est le cas accroche toi et garde le moral,
Car une chose est certaine y'aura toujours un terminus,
Maintenant tu es prévenu la prochaine fois tu prendras le bus." (source)

Grand Corps Malade, Les voyages en train

Pro-Metz ?

03/05/2006 06:58
520 lectures
Que valent les promesses ? On peut être là pour l'autre, mais l'autre le veut-il vraiment ?

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/30.04.06-055-6...

"If you wait for me then I'll come for you
Although I've traveled far
I always hold a place for you in my heart
If you think of me If you miss me once in awhile
Then I'll return to you
I'll return and fill that space in your heart
Remembering
Your touch
Your kiss
Your warm embrace
I'll find my way back to you
If you'll be waiting
If you dream of me like I dream of you
In a place that's warm and dark
In a place where I can feel the beating of your heart

Remembering
Your touch
Your kiss
Your warm embrace
I'll find my way back to you
If you'll be waiting
I've longed for you and I have desired
To see your face your smile
To be with you wherever you are

Remembering
Your touch
Your kiss
Your warm embrace
I'll find my way back to you
If you'll be waiting
I've longed for you and I have desired
To see your face, your smile
To be with you wherever you are

Remembering
Your touch
Your kiss
Your warm embrace
I'll find my way back to you
Please say you'll be waiting

Together again
It would feel so good to be
In your arms
Where all my journeys end
If you can make a promise If it's one that you can keep, I vow to come for you
If you wait for me and say you'll hold
A place for me in your heart." (source)

Tracy Chapman, The promise

Clip... clap

23/02/2007 00:01
515 lectures
Clope ?

"Le Temps n'a d'autre fonction que de se consumer : il brûle sans laisser de cendres."

Clopin-clopant... Surtout le clip d'ailleurs...



"Si je m'arrête un instant
Pour te parler de ma vie
Juste comme ça tranquillement
Dans un bar rue St-Denis
J'te raconterai les souv'nirs
Bien gravés dans ma mémoire
De cette époque où vieillir
Était encore bien illusoire
Quand j'agaçais des p'tites filles
Pas loin des balançoires
Et que mon sac de billes
Devenait un vrai trésor
Ces hivers enneigés
A construire des igloos
Et rentrer les pieds g'lés
Juste à temps pour Passe-Partout
Mais au bout du ch'min dis-moi c'qui va rester
De la p'tit'école et d'la cour de récré ?
Quand les avions en papier ne partent plus au vent
On se dit que l'bon temps passe final'ment
Comme une étoile filante

Si je m'arrête un instant
Pour te parler de la vie
Je constate que bien souvent
On choisit pas mais on subit
Et que les rêves des ti-culs
S'évanouissent ou se refoulent
Dans cette réalité crue
Qui nous embarque dans le moule
La trentaine, la bedaine
Les morveux, l'hypothèque
Les bonheurs et les peines
Les bons coups et les échecs
Travailler, faire d'son mieux
N'arracher, s'en sortir ("n'arracher" c'est une contraction de "en arracher", avoir de la difficulté)
Et espérer être heureux
Un peu avant de mourir
Mais au bout du ch'min dis-moi c'qui va rester
De not' p'tit passage dans ce monde effréné
Après avoir existé pour gagner du temps
On s'dira que l'on était final'ment
Des étoiles filantes

Si je m'arrête un instant
Pour te parler de la vie
Juste comme ça, tranquillement
Pas loin du Carré Saint Louis
C'est qu'avec toi je suis bien
Et qu'j'ai pu l'goût d'm'en faire
Parce que tsé voir trop loin
C'pas mieux qu'd'regarder en arrière
Malgré les vieilles amertumes
Et les amours qui passent
Les chums qu'on perd dans brume
Et les idéaux qui se cassent
La vie s'accroche et renaît
Comme les printemps reviennent
Dans une bouffée d'air frais
Qui apaise les coeurs en peine
Ça fait que si à soir t'as envie de rester
Avec moi la nuit est douce on peut marcher
Et même si on sait ben que tout dure rien qu'un temps
J'aimerais çà que tu sois pour un moment
Mon étoile filante

Mais au bout du ch'min dis-moi c'qui va rester

Mais au bout du ch'min dis-moi c'qui va rester

Que des étoiles filantes" (source)

Les Cowboys Fringants, Les étoiles filantes

Start flambées

31/10/2006 00:01
513 lectures
Tout recommence à flamber : les normales de chon (alors que les gratinées sont manifestement meilleures), les ambrées de la Lanterne, les bus, les esprits, les coeurs... Même le Racing s'enflamme...

Robert dit : va voir flambage, flambant, flambard, flambe, flambé, flambeau, flambée, flambement, flamber, flambeur, flamboiement, flamboyant, flamboyer. Après c'est flamenco, c'est une autre histoire...

"Bois qui flambe vite ne dure pas longtemps..."

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/enterrement-vi...

"une raya de bambins livre aux flammes leurs
landeaux/Une ribambelle de nains fout le feu
dans l'métro/Une armée de gamins qui brûle les
magasins/Trois millions de lycéens carbonisent
leurs boquins/Une concierge allumée fout le feu
au quartier/Le président fêlé enflamme l'Elysée/
Trois secrétaires en chaleur calcinent leur direc-
teur/Une tribu de bonnes soeurs incendie l'
Sacré Coeur.
Chorus
Laï laï laï laï Laï laï laï laï Laï laï laï...

Un trio d'grands brûlés fait exploser l'hosto/Et
5000 chimpanzés dynamitent le zoo/Des rastas
éclatés c'est chaud dans le ghetto/Les feux dans
la cité brûlent pour Géronimo/Des soldats canni-
bales rôtissent leur général/300 patrons qui cra-
quent font sauter la baraque/Et un vieux bonze
chinois se pétrole le minois/Le froid tue la fillette
qui n'a plus d'allumettes.
Chorusse

Les hooligans des stades préparent les jerrycans/
Les jeunes chômeurs s'la donnent aux cocktails
Molotov/Des iraniens inflamment le corps de l'
Oncle Sam/Des squatters s'tapent un boeuf au-
tour d'un grand feu d'keufs/Un gang de pyroma-
nes se croit au paradis/Les pompiers en ont mar-
re c'est la grève aujourd'hui/Il y a le feu partout
c'est la fête des fous/Il y a le feu partout viv' le
feu viv' les fous
Choeurs slaves de la Jeunesse

Un gang de pyromanes se croit au paradis/Les
pompiersen en ont marre c'est la grève aujourd'
hui/Il y a le feu partout c'est la fête des fous/Il y
a le feu partout viv' le feu viv' les fous
Choeur solo
Re-Chorusse" (source)

Berurier Noir, Vive le feu

Va...

15/06/2006 00:00
513 lectures
http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/11.06.2006-019...

Donnez la parole à la rue, qu'ils disaient ! Et dites-le avec des fleurs...
Le gros avantage c'est que ça peut s'adresser à beaucoup. Aux cons en tout genre, aux emmerdeurs du boulot, aux pollueurs du quotidien... et aux autres.


"L'envie que je ressens si fort de te serrer dans mes bras, je ferai sans
L'espoir de sentir près de moi ta présence et ta chaleur, je ferai sans
Je fais taire au fond de moi les mots d'amour comme on étouffe une rumeur
J'oublie l'avenir à contre-coeur, le présent je ne fais que l'oublier

Je ferai sans, je ferai semblant
Je ferai sans, je ferai semblant

Le courage que tu me révèles quand les forces m'abandonnent je ferai sans
Tes appels et ta voix que j'entends, que j'attends constamment, je ferai sans
Même si je m'applique à ne pas ignorer tes raisons tes arguments,
Ton souvenir a la force d' un coup de poing que je prends en plein dedans.

Je ferai sans, je ferai semblant
Je ferai sans, je ferai semblant

Un seul être vous manque et tout est dépeuplé
Un seul être vous manque et tout est dispersé
Je cherche alors la nuit pour m'échapper du jour
Qui a mis en lumière ton regard qui me suit
Qui me suit, qui me suit

Je remonte à contre-courant la force du torrent qui m'attire à toi
Je m'agrippe à tout ce que je peux à défaut de m'agripper à tes doigts
Je m'agrippe à tout ce que je peux, je m'agrippe à tout ce que je peux
Je m'agrippe à tout ce que je peux...

Je ferai sans, je ferai semblant
Je ferai sans, je ferai semblant" (source)

Pauline Croze, Je ferai sans

Univers cité...

04/04/2006 00:01
510 lectures
C'est le printemps !
Fuck...
A part ça, RAS...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/02.04.06-008-e...

"On avait les cheveux longs
Des dents de lait et pourtant
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer

On chassait les papillons
On posait plein de questions
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer

On collectionnait les billes
On sentait bon la vanille
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer

On était toujours jaloux
Et on attrapait des poux
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer

{Refrain:}
Qui aurait pu nous le dire
Qui aurait su nous l'écrire
Qui avait la solution
Pour ne jamais devenir grand

On partait dans les nuages
Cueillir des pensées sauvages
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer

On courait jusqu'à plus soif
On se faisait des grimaces
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer

{au Refrain}

Devenir grand...

On voulait toujours faire vite
Avant de prendre la fuite
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer

On avait la varicelle
On était bien trop cruel
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer" (source)

La Grande Sophie, On savait

Lille est en vue, le naufrage aussi...

25/03/2006 08:10
509 lectures
L'île... "Il n'y a qu'une seule chose à faire... Trouver quelque chose qui est à soi... Se fabriquer une île..." (...) La croisière ne s'amuse plus... Mauvais itinéraire, erreur de casting à la barre, joueurs mal coordonnées, écueils, naufrage... Panique, Titanic, fuite... Homme à la mer ? My heart will go on...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/photo-122-08cfe.jpg

Petit bilan de fin de rencontre...

"Pas bien" :
- pas de maintien, verdict connu à l'avance mais tout de même difficile à avaler sur le coup
- perdre n'est jamais agréable, surtout quand c'est votre coéquipier qui vous plante
- la défaite peut parfois être élégante... Mais parfois pas du tout...
- on aurait apprécié de pouvoir discuter de la stratégie développée et des méthodes employées, mais les commentaires d'après match, c'est pas donné à tout le monde
- on avait prévu d'autres attaques, mais on regrette toujours après coup de ne pas avoir pu tout donner
- quand on joue, on voudrait toujours que la partie dure plus longtemps
- une fois le match fini, retour au quotidien et à l'incertitude...

"Bien" :
- on savait qu'on allait perdre, donc autant positiver
- on savait que le fair play n'est pas une valeur toujours partagée, ça nous a permis de lever le pied pour prendre moins de coups
- balles au fond, but : même si ça n'a pas suffi, on s'est battu
- au moins, on a joué, et on a pris du plaisir, et on espère en avoir donné
- il y aura d'autres matches intéressants, la partie en appellera d'autres
- la soirée ne s'arrête pas au coup de sifflet final
- la rencontre terminée, on aura de nouveau beaucoup plus de temps pour le reste...


"I've paid my dues
Time after time
I've done my sentence
But committed no crime
And bad mistakes
I've made a few
I've had my share of sand
Kicked in my face
But I've come through
And I need to go on and on and on and on

We are the champions - my friends
And we'll keep on fighting till the end
We are the champions
We are the champions
No time for losers
'Cause we are the champions of the world

I've taken my bows
And my curtain calls
You've brought me fame and fortune
And everything that goes with it
I thank you all
But it's been no bed of roses no pleasure cruise
I consider it a challenge before the whole human race
And I ain't gonna lose
And I need to go on and on and on and on

We are the champions - my friends
And we'll keep on fighting till the end
We are the champions
We are the champions
No time for losers
'Cause we are the champions of the world

We are the champions - my friends
And we'll keep on fighting till the end
We are the champions
We are the champions
No time for losers
'Cause we are the champions" (source)

Queen, We are the champions

Ou pas...

Stan-islas bonitas

29/09/2007 09:39
507 lectures
Sans avoir (de loin) le charme ancien de l'île strasbourgeoise, le Canal de la Marne au Rhin et les bras de la Meurthe annoncent des sites en plein boom immobilier où il est parfois agréable de se promener le soir, même si les tours modernes n'atteindront jamais le charme historique... On ne peut s'empêcher de penser à l'aménagement des quais de la Place de l'Etoile...

Non loin de là, la "nouvelle" ville et l'ancienne. C'est le gros avantage de Nancy : finalement, rien n'est loin et c'est bien agréable. Comme le sont d'ailleurs la jeunesse et le dynamisme de la ville, avec grand nombre d'offres culturelles et de lieux de sortie. Nancy serait la 5e ville universitaire en terme de densité étudiante, et ça se sent...

Et pour la peine, une vue en direct via webcam de la très connue place Stanislas avec son jardin éphémère...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/26.09.2007-014...

"Last night I dreamt of San Pedro
Just like I'd never gone, I knew the song
A young girl with eyes like the desert
It all seems like yesterday, not far away

Tropical the island breeze
All of nature wild and free
This is where I long to be
La isla bonita
And when the samba played
The sun would set so high
Ring through my ears and sting my eyes
Your Spanish lullaby..."

Madonna, La isla bonita

(bon n'exagérons rien, hein...)

D'art-d'art

Petit cliché volé sur la route du travail, du chandelier géant en bronze de Dali, exposé pour quelques semaines devant la Synagogue, à Strasbourg, avenue de la Paix.

Dans un autre registre, selon Max Jacob, "ce qu'on appelle une oeuvre sincère, est celle qui est douée d'assez de force pour donner de la réalité à une illusion". Ah, l'illusion...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/05.04.06-002-6...

"De la vie je ne prends
Que la dolce vita c'est tout
M'en voulez-vous ?
De l'amour je n'attends
Qu'une main sans la bague au doigt
Comprenez-vous
Ouh, oh...

{Refrain:}
Des garçons je ne prends
Que les plumes d'indiens, c'est tout
M'en voulez-vous ?
Des empereurs de Rome
Les lauriers et le vin, pas l'or
Ni les bijoux
Ouh, oh...

De mon enfance
Je n'ai gardé dans mon coeur
Que l'insouciance
De ses crayons de couleur
Ca me suffit
Pour dessiner qui je suis
Ca me suffit
Pour m'inventer d'autres vies

{au Refrain}

De mes histoires
Je n'ai pris que le meilleur
Les mots d'un soir
Les promesses des voyageurs
Ca me suffit
Pour décider qui je suis
Ca me suffit
Pour m'inventer d'autres vies

Du marin je ne prends
Que les retours pas les adieux
M'en voulez-vous
Des milles et une nuit
Celles où près d'un cracheur de feu
J'ai rendez-vous
Ouh , oh...

{au Refrain}" (source)

Pauline Croze, M'en voulez-vous ?

SIG ! Sieg !

26/05/2006 05:15
498 lectures
En cette période de disette de défaites du Racing, c'est à la SIG qu'on trouve le plus de monde pour assister à un match. Des mecs qui tapent dans leurs mains pour encourager d'autres mecs qui se battent pour un ballon, voilà une occupation intelligente pour échapper deux heures durant au reste...
Les locaux démarrent le match en trombe, enfilant les paniers avec une réussite insolente et tuant le match dès les premières minutes. Les Gravelinois (la trouvaille terminologique de la soirée) ne peuvent pas réagir, malgré les encouragements de leurs supporters. Tiens au fait, Gravelines, c'est où ?
Située dans la région Nord-Pas de Calais, à mi-distance entre Dunkerque et Calais, Gravelines fait partie de l'agglomération dunkerquoise appelée « Dunkerque Grand Littoral » et appartient au groupement de sept communes qui forment les « Rives de l'Aa ». (souce) Tu avais donc bien raison dolores pour la situation géographique de cette petite ville de 12 000 habitants...
Bref, il n'y a pas de match. Un peu comme si au Racing on claquait trois buts en 20 minutes et que les autres ne réagissaient pas. A cela près que ça n'arrive pas...
Le dernier intérêt de la rencontre se focalise donc sur la capacité des locaux à atteindre les 100 points, et celle des visiteurs à dépasser les 60... Echec des uns, succès des autres...

A un moment, on peut s'interroger... Qu'est-ce qu'une victoire ? Faut-il être dans le coeur des gens ou avoir des résultats concrets ?

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/rcs-psg-007-a9...

"In one single moment your whole life can turn 'round
I stand there for a minute starin' straight into the ground
Lookin' to the left slightly, then lookin' back down
World feels like it's caved in - proper sorry frown
Please let me show you where we could only just be, for us
I can change and I can grow or we could adjust
The wicked thing about us is we always have trust
We can even have an open relationship, if you must
I look at her she stares almost straight back at me
But her eyes glaze over like she's lookin' straight through me
Then her eyes must have closed for what seems an eternity
When they open up she's lookin' down at her feet

Dry your eyes mate
I know it's hard to take but her mind has been made up
There's plenty more fish in the sea
Dry your eyes mate
I know you want to make her see how much this pain hurts
But you've got to walk away now
It's over

So then I move my hand up from down by my side
It's shakin', my life is crashin' before my eyes
Turn the palm of my hand up to face the skies
Touch the bottom of her chin and let out a sigh
'Cause I can't imagine my life without you and me
There's things I can't imagine doin', things I can't imagine seein'
It weren't supposed to be easy, surely
Please, please, I beg you please
She brings her hands up towards where my hands rested
She wraps her fingers round mine with the softness she's blessed with
She peels away my fingers, looks at me and then gestures
By pushin' my hand away to my chest, from hers

Dry your eyes mate
I know it's hard to take but her mind has been made up
There's plenty more fish in the sea
Dry your eyes mate
I know you want to make her see how much this pain hurts
But you've got to walk away now
It's over

And I'm just standin' there, I can't say a word
'Cause everythin's just gone
I've got nothin'
Absolutely nothin'

Tryin' to pull her close out of bare desperation
Put my arms around her tryin' to change what she's sayin'
Pull my head level with hers so she might engage in
Look into her eyes to make her listen again
I'm not gonna fuckin', just fuckin' leave it all now
'Cause you said it'd be forever and that was your vow
And you're gonna let our things simply crash and fall down
You're well out of order now, this is well out of town
She pulls away, my arms are tightly clamped round her waist
Gently pushes me back and she looks at me straight
Turns around so she's now got her back to my face
Takes one step forward, looks back, and then walks away

Dry your eyes mate
I know it's hard to take but her mind has been made up
There's plenty more fish in the sea
Dry your eyes mate
I know you want to make her see how much this pain hurts
But you've got to walk away now
It's over

I know in the past I've found it hard to say
Tellin' you things, but not tellin' straight
But the more I pull on your hand and say
The more you pull away

Dry your eyes mate
I know it's hard to take but her mind has been made up
There's plenty more fish in the sea
Dry your eyes mate
I know you want to make her see how much this pain hurts
But you've got to walk away now." (source)

The Streets, Dry your eyes

Mairie me

26/10/2006 00:01
494 lectures
"Le conseil municipal représente les habitants. Ses attributions sont très larges depuis la loi de 1884 qui le charge de régler " par ses délibérations les affaires de la commune ". Cette compétence s'étend à de nombreux domaines. Le conseil municipal donne son avis toutes les fois qu'il est requis par les textes ou par le représentant de l'État.

Il émet des voeux sur tous les sujets d'intérêt local : il vote le budget, approuve le compte administratif (budget exécuté), il est compétent pour créer et supprimer des services publics municipaux, pour décider des travaux, pour gérer le patrimoine communal, pour accorder des aides favorisant le développement économique.

Le conseil exerce ses compétences en adoptant des "délibérations". Ce terme désigne ici les mesures votées. Il peut former des commissions disposant d'un pouvoir d'étude des dossiers.

Le conseil municipal doit se réunir au moins une fois par trimestre et l'ordre du jour, fixé par le maire, doit être communiqué avant le début de la séance. Celle-ci est ouverte au public sauf si l'assemblée décide le huis clos ou si le maire exerce son pouvoir de "police des séances", notamment en cas d'agitation, et restreint l'accès du public aux débats." (source)

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/30.06.2006-153...

" Johnny's alway's running around
Trying to find certainty

He needs all the world to confirm
That he ain't lonely

Mary counts walls
Knowns he tires easily

Johnny thinks the world would be right
If it would buy truth from him

Mary says he changes his mind
More than a woman

But she made her bed
Even when the chance was slim

Johnny says he's willing to learn
When he decides he's a fool
Johnny say's he'll live anywhere
When he earns time to

Mary combs her hair
Says she should be used to it

Mary always edges her bets
She never knows what to think
She says that he still acts
Like he's being discovered
Scared that he'll get caught
Whithout a second thought

Johnny feels he's wasting his breath
Trying to talk sense to her
Mary says he's lacking a real sense of proportion
So she combs her hair, knows he tires easily" (source)

Placebo, Johnny and Mary

Temps et rature...

05/10/2006 00:01
493 lectures
"Que de temps perdu à gagner du temps !"

Ayé, l'été s'enfuit lâchement, après avoir fait mine de traîner... Plus de canicule en vue, à nous les températures moins clémentes... Qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il fasse froid et qu'il neige, que s'abattent tempêtes et tremblements...
Vivement les longues soirées d'hiver...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/11.06.2006-051...

"Puisque les dauphins sont des rois
Tout seul le silence s'impose
Puisqu'il revient à qui de droit
De tenter les métamorphoses
Puisque les révolutions
Se font maintenant à la maison
Et que lorsque le monde implose
Ce n'est qu'une nouvelle émission, émission

{Refrain:}
Il est temps à nouveau, oh temps à nouveau
De prendre le souffle nouveau
Il est temps à nouveau, oh temps à nouveau
De nous jeter à l'eau

Puisque ce n'est plus qu'un système
Et sa police américaine
De monde meilleur on ne parle plus
Tout juste sauver celui là, celui là

{Refrain x2}

Puisque je suis mon aquarium
Moi le poison, moi le poisson
Changé en homme

{Refrain}

Oh temps à nouveau
Oh temps à nouveau
De prendre le souffle nouveau
Il est temps à nouveau
Oh temps à nouveau
De nous jeter à l'eau
Eh

{ Beau temps pour se jeter à l'eau }

Oh temps à nouveau
Temps à nouveau
Temps à nouveau
Temps à nouveau
De nous jeter à l'eau..." (source)

Jean-Louis Aubert, Temps à nouveau

Tout feu, tout femmes

18/06/2006 09:16
484 lectures
"Fils du Titan Japet et de Clyméné, frère d' Atlas, de Ménoétios et d'Épiméthée, Prométhée était un Géant dont Zeus redoutait la puissance. Prophète, inventeur, il créa d'un bloc d'argile mêlé d'eau le premier homme. Ne voulant pas laisser sa créature démunie de tout, il alla dérober au char du Soleil une étincelle qu'il cacha dans la tige d'une férule, et, de retour sur la Terre, il offrit cette source de feu divin aux hommes qui, durant son absence, s'étaient multipliés. Non content de ce premier exploit et de cette injure faite à la puissance souveraine de Zeus, il en imagina un second. Il tua et dépeça un taureau. D'un côté, il étala la chair, la moelle, les entrailles, qu'il recouvrit de la peau de la bête ; de l'autre, il posa les os, sur lesquels il plaça la graisse de l'animal. Prométhée offrit alors à Zeus de s'attribuer l'une des deux parts, l'autre allant aux hommes. Zeus, attiré par la blancheur de la graisse, choisit celle qui ne refermait que les os. Ayant été ainsi joué, Zeus décida de se venger des mortels et de Prométhée. Aux premiers, il envoya Pandore, belle jeune femme créée par Héphaïstos, qui répandit tous les malheurs sur la Terre, en ouvrant sa fameuse boîte. Au second, il dépêcha Héphaïstos : Prométhée fut enchaîné par le dieu sur le plus haut sommet du mont Caucase, où, chaque jour, pendant des siècles, un aigle vint ronger le foie sans cesse renaissant du malheureux." (source)


Le premier rêve de Dora - Le livre bleu de la psychanalyse

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/16.06.2006-067...
(Spectacle au Bioscope)

"Love is a burning thing
and it makes a firery ring
bound by wild desire
I fell in to a ring of fire...

I fell in to a burning ring of fire
I went down,down,down
and the flames went higher.
And it burns,burns,burns
the ring of fire
the ring of fire.

The taste of love is sweet
when hearts like our's meet
I fell for you like a child
oh, but the fire went wild..

I fell in to a burning ring of fire.....[etc]" (source)

Johnny Cash, Ring of fire

Cowboy pas fringant

15/05/2006 07:00
483 lectures
Ironie du sort pour un insomniaque : il serait temps de se réveiller...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/13.05.2006-004...

"Icitte à soir, y mouille à siot
On a donné un pas pire show
Le motel est pas vraiment swell
Une chance t'es là pis qu'j'te trouve belle...

J'te r'garde dormir comme un bébé
C'est platte j'avais envie d'jaser
C'pas grave chu habitué Chérie
De m'parler tout seul ces temps-ci...

Depuis quecqu' s'maines j'dors pu' d'mes nuits
J'ai la tête remplie de bibites
C'est vrai que j'mène une drôle de vie
Des fois j'me dis qu'c'est d'la bullshit

J'aimerais ça pouvoir me r'trouver
Parce qu'chu mêlé comme ça s'peut pas
Le monde entier pourrait crever
Chu juste ben quand t'es dans mes bras...

Je sais qu'y s'passera jamais rien
Qu'entre toi pis moi ç'a pas d'allure
Quand j'vas r'partir au p'tit matin
On va se dire à la r'voyure...
Même si j't'aimais ben p'tit trésor
Et que mon coeur s'tait accroché
Quecqu'part sur ta route du nord
Entre Baie-Comeau pis Port-Cartier

T'es heureuse ici qu'tu m'disais
Loin des gens stressés de Montréal
Pis y'a ton chum qui est dans l'portrait
C'est moi l'perdant si j'fais l'total

Mais fais-toi z'en pas trop pour moi
J'en ai vu d'autres, chu'un grand garçon
C'fait longtemps qu'je me fais pu d'fausses joies
J'sais qu'ça r'vire en vraies déceptions

Le soleil vient juste de se l'ver
Dehors on entend les moineaux
Qui gazouillent comme pour me rappeler
Qu'tantôt je r'pars pour Gatineau
Je r'viens pas dans l'boute avant mai
D'ici là donne-moi d'tes nouvelles
Tu m'appelleras à frais virés
Pour me souhaiter joyeux Noël...

Sais-tu au moins qu'tu m'as fais croire
Qu'il est encore possible d'être heureux?
Pis ça c'est c'qu'on appell'd'l'espoir
C'toujours ça d'pris quand t'as pas mieux

T'étais sûrement pas rien qu'un kik
Mais là c'pas mal trop compliqué
Si dans vie y faut prendre des risques
Faut savoir aussi s'en aller

Ça fait que j'vas m'fermer la gueule
Et continuer mon ch'min tout seul
Avec mon p'tit coeur dans les shoe-claques
Pis ton sourire dans mon pack-sack
Mais tsé tu peux m'rappeler pareil
T'es comme mon p'tit rayon d'soleil
Dans ce monde complèt'ment fucké
Où j'aurais p't'être eu besoin d'toé

Dans ce monde complèt'ment fucké
Où j'aurais p't'être eu besoin d'toé" (source)

Les Cowboys Fringants, Ces temps-ci

L'amer, hic

05/08/2006 00:28
479 lectures
On a tous notre Amérique, notre Nouveau Monde auquel on rêve...
C'est juste que c'est pas tous les jours le Racing. L'Eldorado du foot alsacien, il est plus plombé que dorado en ce moment...
Pour le reste, c'est pas tout d'avoir le filon et la pelle, encore faut-il vouloir creuser et risquer de trouver quelque chose. Finalement, la grisaille est tellement plus rassurante...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/28.07.2006-010...

"Mes amis, je dois m'en aller
Je n'ai plus qu'à jeter mes clés
Car elle m'attend depuis que je suis né
L'Amérique

J'abandonne sur mon chemin
Tant de choses que j'aimais bien
Cela commence par un peu de chagrin
L'Amérique

L'Amérique, l'Amérique, je veux l'avoir et je l'aurai
L'Amérique, l'Amérique, si c'est un rêve, je le saurai
Tous les sifflets des trains, toutes les sirènes des bateaux
M'ont chanté cent fois la chanson de l'Eldorado
De l'Amérique

Mes amis, je vous dis adieu
Je devrais vous pleurer un peu
Pardonnez-moi si je n'ai dans mes yeux
Que l'Amérique

Je reviendrai je ne sais pas quand
Cousu d'or et brodé d'argent
Ou sans un sou, mais plus riche qu'avant
De l'Amérique

L'Amérique, l'Amérique, je veux l'avoir et je l'aurai
L'Amérique, l'Amérique, si c'est un rêve, je le saurai
Tous les sifflets des trains, toutes les sirènes des bateaux
M'ont chanté cent fois la chanson de l'Eldorado
De l'Amérique

L'Amérique, l'Amérique, si c'est un rêve, je rêverai
L'Amérique, l'Amérique, si c'est un rêve, je veux rêver" (source)

Joe Dassin, L'Amérique

Alcoolmar...

12/08/2006 09:55
474 lectures
Foire... Foiré...
Vin... Vain...
Verre... Vert...
Stand... Stand by me...
File... Fille...
Degrés... De gré...

Ce soir c'est la fête ?

(L'histoire de la Foire aux vins d'Alsace)

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/colmar17.09.05...

"Quand je suis ivre, ivre de tristesse,
Quand je suis ivre, ivre de détresse,
Je voudrais tant dégriser et retrouver les couleurs,
Qui se sont effacées, ne sont plus que des ombres.

Quand je suis ivre, ivre de d'insouciance,
Quand je suis ivre, ivre d'espérance,
J'en reprends une gorgée, me pardonne mes déboires,
Jusqu'à les oublier, les chasser de ma mémoire.

Quand je suis ivre, ivre de douceur,
Quand je suis ivre, ivre de tendresse,
J'en savoure le goût intense, qui envahit mon palais,
J'aimerais qu'à tout jamais, il y tienne résidence.

Quand je suis ivre, ivre de plaisir,
Quand je suis ivre, ivre de bonheur,
Je ne veux pas dessoûler, je garde en secret la source,
Qui m'a tant exaltée, pour m'y désaltérer,

Encore, encore..." (source)

Pauline Croze, Quand je suis ivre

Dégoût et des couleuvres...

13/08/2006 10:32
464 lectures
(2 en 1 wash and go, qu'ils disaient ?)

"La mémoire du dégoût est plus grande que la mémoire de la tendresse !" (Kundera)

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/16.06.2006-040...

"Et les jours se fanent
Comme les années
Le programme ne changera plus jamais
Et tes joues se fardent
Pour mieux étouffer
Le sillon des larmes que j'avais laissées

Je le sais je m'y prends bien
Pour gâcher ces petits riens
Qui font la vie
Qui font la vie
J'voulais pas v'nir
C'est pas malin
J'voulais pas v'nir
J'me sens pas bien
J'veux sortir
Pour vomir tout mon chagrin
J'peux pas partir
J'peux pas changer mon destin
J'ai trop peur de mourir avant la fin

Et puis l'amertume
M'a tendu la main
J'ai pris l'habitude
De marcher pour rien
Et quand mon vertige
S'équilibre enfin
Le vide se fige mais il me retient.

J'ai pas choisi le début
Je choisirai pas la fin
De ma vie
De ma vie
J'voulais pas v'nir
C'est pas malin
J'voulais pas v'nir
J'me sens pas bien
J'veux sortir pour vomir tout mon chagrin
J'peux pas partir
J'peux pas changer mon destin
J'ai trop peur de mourir avant la fin
J'voulais pas v'nir
J'peux pas partir
J'voulais pas v'nir..." (source)

Daniel Balavoine, Ces petits riens

Ange en jeu en je ?

23/11/2006 00:01
462 lectures
« Dors avec les anges et rêve de moi car un jour tu pourras dormir avec moi et rêver des anges. »

Entendu en zappant :
« Si je suis le premier, ça va faire mal...
Tu essaies d'être drôle ?
Je ne parle pas de sexe.
Alors de quoi parles-tu ?
Je veux faire l'amour avec toi. »

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/22.11.2006-011...

"I sit and wait
Does an angel contemplate my fate
And do they know
The places where we go
When we're grey and old
'cos I've been told
That salvation lets their wings unfold
So when I'm lying in my bed
Thoughts running through my head
And I feel that love is dead
I'm loving angels instead

Chorus

And through it all she offers me protection
A lot of love and affection
Whether I'm right or wrong
And down the waterfall

Wherever it may take me
I know that life won't break me
When I come to call she won't forsake me
I'm loving angels instead

When I'm feeling weak
And my pain walks down a one way street
I look above
And I know I'll always be blessed with love
And as the feeling grows
She breathes flesh to my bones
And when love is dead
I'm loving angels instead

Chorus

And through it all she offers me protection
A lot of love and affection
Whether I'm right or wrong
And down the waterfall
Wherever it may take me
I know that life won't break me
When I come to call she won't forsake me
I'm loving angels instead" (source)

Robbie Williams, Angels

11 novembre...

11/11/2006 12:28
462 lectures
Jour de la Saint-Martin ?

A "5h05 du 11 novembre 1918, la France et le nouveau gouvernement de la toute jeune république allemande sont d'accord sur le texte définitif de l'armistice. Au terme de cet accord du 11 novembre 1918, il est décidé d'arrêter les hostilités le plus tôt possible. Un télégramme , qui a été immédiatement envoyé sur tout le front par radio et par message téléphoné aux commandants en chef à la date du 11 novembre 1918 stipule que :
"Les hostilités seront arrêtées sur tout le front à partir du 11 novembre à 11 heures, heure française" Dans le courant de la matinée du 11 novembre 1918, les différents documents sont remis aux plénipotentiaires allemands. Leur train quitte, le jour même le garage de Rethondes à 11h30 pour Tergnier, où ils retrouveront leurs automobiles. Sur leur demande, toutes facilités ont été données au capitaine allemand Geyer pour se rendre, le même jour (11 novembre 1918) en avion au grand-quartier-général allemand, porteur des textes et de la carte.

Voici ce qu'écrira Foch à propos du 11 novembre : "le 11 novembre à 11 heures, le feu était arrêté sur tout le front des armées alliées. Un silence impressionnant succédait à cinquante-trois semaines de bataille. Les peuples pouvaient entrevoir le rétablissement de la paix dans le monde. Le lendemain [du 11 novembre], j'adressais un ordre du jour de félicitations aux armées alliées". (source)

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/11.11.2006-023...

"Martin, est-ce que tu viens demain ?
J'aimerais bien savoir
Ce qui peut être possible entre nous
Martin, les lignes de ta main
Me laissent apercevoir
Des choses...et nos rendez-vous

Ta ligne de vie est très jolie
Ta ligne de coeur ne m'fait pas peur
Et le destin...il est pour nous Martin

Ne fais pas le malin
Les envies les espoirs
Ca veut dire que ça vaut le coup
Martin, si j'ai eu du chagrin
Aujourd'hui la victoire
Serait de te voir pendu à mon cou

Pont :
Ta ligne de coeur ne m'fait pas peur
Ta ligne de vie est très jolie
Et le destin...il est pour nous Martin
La lala lala...
La lala lala...

Martin, un geste de ta main
Ou une petite histoire
L'histoire d'un soir
C'est tout c'que j'veux Martin
Martin, tu es sur mon chemin
Et rien n'est dérisoire
Rien que toi et moi

Pont :
Ta ligne de coeur ne m'fait pas peur
Ta ligne de vie est très jolie
Et le destin...il est pour nous Martin

Est-ce que tu viens demain ?
J'aimerais bien savoir
Ce qui peut être possible entre nous
Martin, si tu ne me dis rien
Je crois qu'il va falloir
Que je choisisse plutôt Benjamin

La lala lala..." (source)

La Grande Sophie, Martin

Mais trop boulot dodo ?

10/10/2006 00:01
462 lectures
Cet enfoiré d'Oscar Wilde aurait dit que "le travail, c'est le refuge des gens qui n'ont rien de mieux à faire".

C'est pour ça que les journées sont si longues en ce moment ?
Autrefois, travailler, c'était tourmenter, souffrir. Travail méprisé, car effectué par les esclaves, alors que les hommes libres s'en affranchissaient. Le travail pourrait-il aujourd'hui libérer et donner un sens au quotidien ?

« On croit d'abord qu'on travaille pour soi, on se figure ensuite qu'on travaille pour sa femme, on est persuadé plus tard qu'on travaille pour ses enfants, on s'aperçoit en fin de compte qu'on travaille pour travailler. » Merde, j'ai sauté des étapes...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/01.09.2006-077...

"Ces gens qui courent au grand galop
En auto, métro ou vélo
Vont-ils voir un film rigolo
Mais non, ils vont à leur boulot

{Refrain:}
Le travail c'est la santé
Rien faire c'est la conserver
Les prisonniers du boulot
N' font pas de vieux os.

Ils bossent onze mois pour les vacances
Et sont crevés quand elles commencent
Un mois plus tard, ils sont costauds
Mais faut reprendre le boulot

Dir' qu'il y a des gens en pagaille
Qui cour' nt sans cesse après le travail
Moi le travail me court après
Il n'est pas près de m'rattraper.

Maint' nant dans le plus p'tit village
Les gens travaillent comme des sauvages
Pour se payer tout le confort
Quand ils l'ont, eh bien, ils sont morts.

Homm's d'affaires et meneurs de foule
Travaillent à en perdre la boule
Et meur' nt d'un' maladie de coeur
C'est très rare chez les pétanqueurs." (source)

Vie, eux ?

30/10/2006 00:01
458 lectures
"Mariage plus vieux, mariage heureux" ?

Heure, eux... Bon timing...

Plus marri que mari. Ou marrer ?

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/22.10.2006--10...

"Bien sûr, nous eûmes des orages
Vingt ans d'amour, c'est l'amour fol
Mille fois tu pris ton bagage
Mille fois je pris mon envol
Et chaque meuble se souvient
Dans cette chambre sans berceau
Des éclats des vieilles tempêtes
Plus rien ne ressemblait à rien
Tu avais perdu le goût de l'eau
Et moi celui de la conquête

{Refrain:}
Mais mon amour
Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour
Je t'aime encore tu sais je t'aime

Moi, je sais tous tes sortilèges
Tu sais tous mes envoûtements
Tu m'as gardé de pièges en pièges
Je t'ai perdue de temps en temps
Bien sûr tu pris quelques amants
Il fallait bien passer le temps
Il faut bien que le corps exulte
Finalement finalement
Il nous fallut bien du talent
Pour être vieux sans être adultes

{Refrain}

Oh, mon amour
Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour
Je t'aime encore, tu sais, je t'aime

Et plus le temps nous fait cortège
Et plus le temps nous fait tourment
Mais n'est-ce pas le pire piège
Que vivre en paix pour des amants
Bien sûr tu pleures un peu moins tôt
Je me déchire un peu plus tard
Nous protégeons moins nos mystères
On laisse moins faire le hasard
On se méfie du fil de l'eau
Mais c'est toujours la tendre guerre

{Refrain}

Oh, mon amour...
Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour
Je t'aime encore tu sais je t'aime." (source)

Jacques Brel, La chanson des vieux amants

Tita nique

03/04/2006 00:01
458 lectures
Encore une croisière qui vire au naufrage... ça commence à faire beaucoup en ce moment... On aurait aussi pu appeler ça "La plage et la rage" ou "Pas de points mais des poings"...

"Dédale était cet architecte qui construisit, en Crète, le Labyrinthe pour le Minotaure et qui montra à Ariane comment Thésée pourrait en sortir. En apprenant que les Athéniens avaient trouvé le moyen de s'en échapper, le roi Minos fut aussitôt convaincu qu'ils n'auraient pu y réussir sans l'aide de Dédale. En conséquence, il emprisonna l'architecte et son fils dans ce même labyrinthe, ce qui tendrait à prouver l'excellence du plan de cet enclos, puisque sans indication, même son auteur ne pouvait en découvrir l'issue. Mais le grand inventeur n'était pas en peine pour si peu. Il dit à son fils :

La fuite peut être entravée par la terre et par l'eau
Mais l'air et le ciel sont libres.


et il fabriqua deux paires d'ailes, qu'il fixa avec de la cire à ses épaules et à celles de son fils Icare. Avant de prendre leur envol, Dédale recommanda à Icare de ne pas s'élever trop haut sur la mer, car, dit-il, en approchant de trop près le soleil, la cire pourrait fondre et les ailes se détacheraient. Mais comme tant d'histoires nous le montrent, la jeunesse ne tient guère compte de ce que disent les aînés. Tous deux s'élevèrent donc, légèrement et sans effort, et quittèrent la Crète ; le ravissement de ce nouveau et merveilleux pouvoir grisa l'adolescent. Il monta de plus en plus haut, refusant d'entendre les appels angoissés de son père. Et ses ailes se détachèrent. Il tomba dans la mer et les eaux se refermèrent sur lui. Ainsi Icare donna son nom à l'île proche et à la mer qui l'entoure." (source)

Mais où monte-t-il/elle ? Pourquoi le soleil se cache-t-il derrière lui/elle ?

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/05.09.05-026-5...

"Tita rêve d'un amour canicule,
Tita parle d'un monde funambule,
Tita crève dans le désert aride
Prise au piège de sa peur du vide.

Tita presse le pas cherche l'empire,
De l'ivresse aux couleurs de saphir,
Tita traîne au loin sa gorge sèche,
Verre sur verre elle ouvrira la brèche.

Depuis quelques années déjà elle erre
Dans la nuit l'écho de sa voix se perd.
Depuis quelques années déjà elle erre,
Dans la nuit l'écho de sa voix se perd.

Elle s'est laissée aveugler par le mal en elle enraciné
Elle ne veut plus mettre à la lumière son intimité blessée.
Oh blessée !

A force de flirter avec les extrêmes,
Tita de sa vie perd le sens même,
A force de repousser les limites,
Perpétuellement Tita prend la fuite.

Tita rêve d'un amour canicule
Tita parle d'un monde funambule,
Tita crève dans le désert aride,
Prise au piège de sa peur du vide." (source)

Pauline Croze, Tita

Occis gêne

22/05/2006 06:32
452 lectures
"Un coeur qui bat, c'est une âme qui respire"

On dit toujours que l'histoire se répète. C'est sans doute vrai...
Les mots aussi, se suivent et se ressemblent...
Certaines personnes aiment se cacher derrière. Finalement, ils permettent de raconter une histoire, de se raconter des histoires et de donner un sens à la réalité. Quand elle en a un...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/30.04.06-016-9...

"Hangman, hangman, hold it a little while,
I Think I see my friends coming, Riding many mile.
Friends, you get some silver?
Did you get a little gold?
What did you bring me, my dear friends? Keep me from the Gallows Pole.
What did you bring me to keep me from the Gallows Pole?

I couldn't get no silver, I couldn't get no gold,
You know that we're too damn poor to keep you from the Gallows Pole.
Hangman, hangman, hold it a little while,
I think I see my brother coming, riding many a mile.
Brother, you get me some silver?
Did you get a little gold?
What did you bring me, my brother, to keep me from the Gallows Pole?

Brother, I brought you some silver, yeah.
I brought a little gold, I brought a little of everything
To keep you from the Gallows Pole.
Yes, I brought you to keep you from the Gallows Pole.

Hangman, hangman, turn your head awhile,
I think I see my sister coming, riding many mile, mile, mile.
Sister, I implore you, take him by the hand,
Take him to some shady bower, save me from the wrath of this man,
Please take him, save me from the wrath of this mad man.

Hangman, hangman, upon your face a smile,
Tell me that I'm free to ride,
Ride for many mile, mile, mile.

Oh yes, you got a fine sister, She warmed my blood from cold,
She warmed my blood to boiling hot to keep you from the Gallows Pole,
Your brother brought me silver, Your sister warmed my soul,
But now I laugh and pull so hard And see you swinging from the Gallows Pole

But now I laugh and pull so hard And see you swinging from the Gallows Pole
Swingin' on the gallows pole !" (source)

Led Zeppelin, Gallows pole

Grrrr niais

29/03/2006 00:03
450 lectures
Ah ce grenier... J'ai fui ma réunion et mes dossiers... De toute façon, je dois trouver une manière intelligente d'écouler mes congés maintenant... Je me retrouve le nez dans les cartons pourris, les vieux bibelots abîmés, les meubles abandonnés et la poussière... Ici de vieilles cartes postales d'avant la guerre, là quelques cadres familiaux, parfois même une peinture religieuse (!) cachée derrière une armoire depuis des années... Des bouts de lit d'enfant par ci, des restes de commode d'antan par là... Des carcasses de vélo, le squelette d'un moteur, de vieilles casseroles, un arrosoir en fonte... On pousse, on tire, on soulève, on porte, on jette... Jamais je n'avais vu ce grenier aussi vide, ce garage aussi dégagé, cette cave aussi dénudée... Et pourtant, il y a encore tant à faire...
Les visiteurs affluent... Des brocanteurs s'arrêtent... Un antiquaire vient faire des affaires... Des passants partent à l'escalade de la benne... Les voisins me parlent pour la première fois depuis des années...
J'arpente les pièces qui se vident doucement... pendant que je le peux encore... Dehors, il pleut.

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/28.03.06-017-c...

"Je me souviens, de ce musicien c'était l'automne à la maison
Je me souviens moi de ce musicien c'était l'automne sur son violon
Le temps n'est plus où passaient les violons quand tu étais à la maison
Il a tant plu depuis tant de saisons, le temps n'est plus aux violons.

Moi dans la maison vide, dans la chambre vide je passe l'été à écouter
Cette symphonie qui était si belle et qui me rappelle un amour infini.

Moi dans la maison vide, dans la chambre vide je passe ma vie à regarder
Les oiseaux qui passent comme des menaces
Et j'entends l'automne, je n'attends personne.

Je me souviens de ce musicien un soir d'adieu à la maison
Je me souviens moi de ce musicien et de l'adieu sur son violon
Et chaque année lorsque l'année est finie, j'entends le violon de septembre
Et le passé comme une symphonie fait son entrée dans cette chambre.

Moi dans la maison vide, dans la chambre vide, je passe la nuit à écouter
Cette symphonie, aujourd'hui finie et qui me rappelle que tu étais belle.

Moi dans la maison vide, dans la chambre vide je passe ma vie à regarder
Les oiseaux qui passent comme des menaces
Et j'entends l'automne, je n'attends personne.

Moi dans la maison vide, dans la chambre vide, je passe ma vie à écouter
Cette symphonie qui était si belle et qui me rappelle un amour fini.

Dans la maison vide, dans la chambre vide, je passe ma vie à regarder
Les oiseaux qui passent comme des menaces
Et j'entends l'automne, je n'attends personne."

Michel Polnareff, Dans la maison vide

Comptes de faits

15/07/2006 00:28
444 lectures
On se cherche des contes de fée au quotidien... Chassez le naturel, il revient au galop...

"- Les épines, à quoi servent-elles ?
Le petit prince ne renonçait jamais à une question, une fois qu'il l'avait posée. J'étais irrité par mon boulon et je répondis n'importe quoi:
- Les épines, ça ne sert à rien, c'est de la pure méchanceté de la part des fleurs !
- Oh !
Mais après un silence il me lança, avec une sorte de rancune:
- Je ne te crois pas ! Les fleurs sont faibles. Elles sont naïves. Elles se rassurent comme elles peuvent. Elles se croient terribles avec leurs épines..." (source)

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/30.06.2006-003...

"Cendrillon pour ses vingt ans
Est la plus jolie des enfants
Son bel amant, le prince charmant
La prend sur son cheval blanc
Elle oublie le temps
Dans son palais d'argent
Pour ne pas voir qu'un nouveau jour se lève
Elle ferme les yeux et dans ses rêves
Elle part, jolie petite histoire (2x)

Cendrillon pour ses trente ans
Est la plus triste des mamans
Son bel amant a foutu l'camp
Avec la belle au bois dormant
Elle a vu cent chevaux blanc
Loin d'elle emmener ses enfants
Elle commence à boire
A traîner dans les bars
Emmitouflée dans son cafard
Maintenant elle fait le trottoir
Elle part, jolie petite histoire (2x)

Dix ans de cette vie ont suffi
A la changer en junkie
Et dans un sommeil infini
Cendrillon voit finir sa vie
Les lumières dansent
Dans son ambulance
Mais elle tue sa dernière chance
Tout ça n'a plus d'importance
Elle part
Fin de l'histoire

Notre père qui êtes si vieux
As-tu vraiment fais de ton mieux
Car sur la terre et dans les cieux
Tes anges n'aiment pas devenir vieux" (source)

Téléphone, Cendrillon
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kibitz

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