Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

So Foot

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Flux RSS 282 messages · 28.044 lectures · Premier message par mario-67 · Dernier message par christou27

  • Article intéressant, merci pour le lien.
  • guigues a écrit, le 2013-01-09 10:29:42 :
    Citation:
    Une fausse interview de Lily Allen : L'affaire se conclut en 2010 par un gentleman agreement, qui coûte la bagatelle de 100 000 euros à So Foot !
    :O 1 pigiste qui a failli tuer So Foot :|s

    100.000 € de dédommagement pour une vrai/fausse interview dans un magazine de foot semi-confidentiel ??

    Elle y donnait les détails de sa vie sexuelle la Lily ? =P~
  • Il y a quelques jours, Libération a brossé le portrait de Frank Annese, le créateur de So Foot.
    http://www.liberation.fr/medias/2013/01/06/franck-annese-le-garde-des-so_871981

    Franck Annese, le garde des «So»

    La presse papier se meurt ? Le créateur gourou de «So Foot» multiplie les magazines. Décalé, passionné, gonflé, rusé.
    Par MATHIEU PALAIN

    On aurait pu le décrire en «jeune patron de presse diplômé d'école de commerce, fan de rock spécialité indé», mais ça faisait trop Matthieu Pigasse. Et puis le boss des Inrocks, on l'imagine mal en baskets casquette, jean même pas slim et barbe de trois mois, typiquement la dégaine d'ado attardé qui colle à notre homme. Franck Annese, à force de traîner son look à travers les modes, a fini par tomber dans le mille. L'ère hipster, c'est maintenant. «On s'habille tous un peu comme ça à So Foot, mais le hispter il fait gaffe, il est soigné. Nous, on est juste des ploucs.» Il a dit ça en tombant dans le vieux cuir d'un petit canapé. Il gobe un Dragibus, et enchaîne, sur le ton de la confession : «En fait la casquette, c'est pour cacher mes cheveux. J'ai une double implantation capillaire. Je pourrais entrer dans les détails - ma mère est coiffeuse - mais en gros, c'est un bordel sans nom là-dessous.»

    Ses magazines marchent. En tout cas, ils respirent (50 000 So Foot vendus chaque mois), ce qui est déjà bien dans une presse qui se saoule à répéter que son papier sent le sapin. Lui se fout pas mal de la crise. Il a 35 ans et va bientôt lancer «un quinzomadaire de société» dont on ignore si le nom va rejoindre la lignée des So quelque chose (Sofa, So Film, So Foot) ou celle des marginaux Doolittle et Pédale, respectivement dédiés aux parents et au vélo. La ligne éditoriale s'annonce un brin ambitieuse - «écrire la vie» - mais le projet a de la gueule : «Du reportage, en France, sur les gens. On a déjà des sujets de malade. Mes gars ramènent des histoires de dingue et je leur dis "merde, les autres vont le faire avant." Et, ça sort jamais. Tu verras qu'on va se lancer et ce sera toujours pas fait.» Il traverse son salon décoré façon cocon, avec des ours en peluche et des couvertures un peu partout. Sa fille de 4 ans chahute à côté. Il l'amadoue à coups de DVD, les Aristochats.

    On se souvient d'un prof d'école de journalisme qui se vantait d'enseigner le métier avec trois S : scoop, sang, sexe. Titillé sur la recette, Annese dégaine un triple H : «De l'humain, de l'humour et des histoires. Je comprends pas pourquoi la presse dévie vers la dépêche AFP. Les mecs ont flippé à cause d'Internet et se sont jetés dans la course à qui balancera le plus vite ce que tout le monde sait déjà. Les gens, faut leur raconter des histoires.» Il s'offusque que les journaux en sont à commander des études de marché. «C'est ouf. Nous, on suit jamais le lecteur. Les courriers, on n'en tient pas compte. Ton mag, si tu te marres à le construire, y'aura des gens pour le lire.»

    Il a l'insolence du gosse certain de savoir mieux que les vieux loups comment souffle le vent. Mais il ne se prend pas au sérieux, c'est ce qui le sauve. En un sens, il rappelle Jean-François Bizot, feu le patron d'Actuel et Nova, dans le genre décalé, gars qui brûle sa vie parce qu'il a plein de trucs à faire et pas de temps à perdre. «Bizot, pour l'avoir un peu connu, c'était pas un mec dans le trip "faisons décalé". Lui, c'était plutôt "faisons ce qui nous fait kiffer". Il avait des thunes et au lieu de les claquer dans de la merde, il voulait payer ses potes à créer un truc génial.» Pour se lancer, il a vendu sa voiture et mobilisé les économies de pas mal d'amis. Plusieurs sont restés. Il cherche ce genre de plénitude, la bande unie par la galère.

    Des journalistes en orbite dans la galaxie So Foot le décrivent en chef qui donne sa chance à tout le monde. «Une conf de rédac, c'est lui au bout de la table qui lance "les gars, qui a un sujet ? Toi ? En Irlande ? Tu pars demain." Que les mecs soient formés ou pas, il s'en tape. S'ils en veulent, ils partent. Un jour un gars a débarqué de Bordeaux avec son sac à dos, il a bredouillé : "Euh, j'aime votre mag." Annese lui a dit : "Y a un bureau là-bas, commence par les brèves." Ça fait trois ans qu'il est là.» Un autre parle de «secte» ; le gourou à visière répond qu'il n'y a pas de hiérarchie mais qu'il faut se faire accepter pour survivre. «Certains ont un CDI qu'ils n'ont jamais signé. Ils savent que je ne les virerai pas.» Il dit ça avec fierté, mais la pige reste le scandale de ses canards : il paye 60 euros la page. Autrement dit peanuts et pipi de chat, un montant si ridicule qu'il serait plus honnête d'admettre que bosser pour So Foot ne permet pas de bouffer. «Euh, en publiant aussi dans nos autres mags...»Mais non. Un pigiste déçu par son chèque : «Son fonctionnement, c'est "je te dis oui pour le tour du monde mais ne me demande pas de bien te payer."» Lui se donne 5 000 euros brut. «Je pourrais me faire le double si je voulais», lance-t-il, vantard. Il dit avoir refusé des plans juteux, et une chronique au Monde Mag. «Les trois quarts de ceux qui les écrivent, je les trouve nuls, et je suis convaincu que je ferais pas mieux.»

    Avant de passer par l'Essec et d'installer sa vie à Paris, Annese fut un petit Breton de campagne. Il se souvient de journées passées dehors, sur son vélo, à «faire le con chez le fermier, faire chier le curé». A l'école, confronté au traditionnel sujet de rédaction «imaginez-vous grand», il a toujours répondu «joueur de foot». «Jusqu'à 16 ans, j'ai cru que c'était jouable.» Sa passion est née au stade, en supporteur du FC Nantes. «J'y étais en 1983, quand José Touré marque ce but incroyable face au PSG.» Il se met à parler foot, il étonne à ne citer que des retraités (Burruchaga, l'idole) et des actions surgies du passé. «Je vibre au foot frisson, au génie qui touche certains joueurs, parfois.» Un contrôle de Zidane, le toucher de Maradona ou l'élégante lenteur d'un Bergkamp dans l'exploit. Les joueurs du moment, il ne les regarde pas. Il n'a pas Canal + et se contente de la portion congrue sauvée par TF1. Son journal ne donne pas de résultats. Valbuena qui joue 67 % de ses 43 ballons dans son camp, il s'en fout. Plus Gascoigne que Messi, Rooney que Gourcuff, «on aime pas les gars lisses». Même Domenech a sa place.

    Le magazine est né il y a dix ans et depuis, Annese jure ne pas se connaître d'ennemis, concède juste quelques clashs. «Guy Roux a mal pris une blague. Une autre fois, c'était la photo d'un type en fauteuil à Liverpool : dans son dos on lisait la devise du club "You'll Never Walk Alone". On avait barré "alone". On nous a noyés sous les lettres d'insultes mais c'est notre taf, faire des vannes.» Depuis trois ans, il en réserve certaines à Antoine de Caunes, qui les sert aux césars. Il écrit aussi des sketchs pour Thomas N'Gijol et apparaît aux génériques de divers projets. Sa manie de dire oui à n'importe quoi d'un peu fou ne lui laisse que deux semaines de vacances par an, qu'il passe parfois avec Vikash Dhorasoo, ex-bleu catalogué traître depuis qu'il a dit merde au milieu.

    A la différence des babas cool de Bizot, il ignore tout du goût de la clope. «J'ai peur d'aimer.» Sa drogue, c'est le Coca-Cola pas light, qu'il s'achète en canettes parce que les bouteilles se laissaient siffler trop vite. Il éteint les Aristochats alors qu'on identifie un manuscrit sur la table basse. «C'est le scénar du premier long métrage de So Film, la boîte de prod. Ma femme va le réaliser. Le pitch, c'est trois soeurs dont une se marie.» Et après ? «Après, il se passe plein de trucs.» Photo Jérôme Bonnet
    En 7 dates

    1977 Naissance.
    1999 Lance Sofa, magazine «culturel».
    2000 Diplômé de l'Essec.
    2003 Quitte Culture Pub (M6) et lance So Foot.
    2006 Arrête Sofa.
    2011 Crée Pédale.
    2012 Lance So Film.
  • Il est assez médiatisé ces derniers jours apparemment. Il était également invité au Grand Journal sur Canal.
  • 1 bon plan com - & pas came - pour les 10 ans de sofoot & le lancement de nouveaux magazines. Il faut que ça serve les copains quand même.
  • J'introduirai un bémol au milieu de ce concert de louanges. L'exemple est celui du Racing.

    L'article "De l'humain, de l'humour et des histoires" écrit sur le Racing durant sa période la plus ubuesque et donc aussi la plus so footesque, c'est-à-dire la triste période du Jafarschloch, c'est France Football (Arnaud Tulipier) qui l'a brillament écrit, et non So Foot qui a écrit un article minable, alors même qu'ils avaient tous les ingrédients pour faire l'article de l'année; ceux qui on suivi la période Hilali au jour le jour n'ont pas besoin d'un dessin, aucun club de foot n'ayant cela.
  • Clairement... Ils avaient choisi un angle disons... anecdotique.

    Cela dit, ils avaient déjà dressé le portrait de clubs ayant une histoire "jafarschlochienne" (par ex un reportage sur Notts County).
  • Citation:
    Ton mag, si tu te marres à le construire, y'aura des gens pour le lire


    En gros il a trouvé un sujet qui le faisait marrer : " le trader & le supporteur un peu niais", il a fait son article, il s'est marrer. Comme c'est préciser dans le premier article So Foot c'est le magazine de sport et de société, "[qui n'est] pas fait par des journalistes sportifs", voir pas des journalistes du tout. Cela fait quelques temps qu'est dénoncée ici la course à la vanne dans laquelle c'est lancé So Foot, s'éloignant de l'esprit plus poil à gratter des débuts.
  • Je rejoins le camarade guigues. Il y a certains numéros de 2012 que j'ai à peine lus, alors que je lisais tout de A à Z il y a encore quelque années.
    J'ai péniblement fini celui consacré à l'Euro 2012 que j'ai trouvé très faible (voir en particulier le dossier censé résumer tous les matches en 4 ou 5 lignes percutantes et où tout tombe à plat).
    La ligne éditoriale basée sur le seul esprit potache et le journalisme gonzo montre ses limites. La plupart des articles sur les joueurs actuels sont peu intéressants, abordés sous l'angle unilatéral du fait divers ou de l'action qui colle à la peau du joueur concerné. Sans parler des articles écrits avec les pieds.
    Il reste heureusement les articles consacrés aux joueurs ou clubs mythiques/maudits/ignorés/farfelus du passé, qui sont souvent bien faits.

    Mais bon, qui lire d'autre ?

    http://www.solutions-magazine.com/photo/art/default/3914748-58947...
  • Je trouve aussi So Foot de moins en moins intéressant et les numéros de plus en plus difficiles à finir.

    Y a une double tendance à rester dans son petit pré carré alternatif (le 125ème reportage sur le club dirigé par une personnalité hors du commun, la branlette sur les icones style George Best, la violence et le racisme un peu partout, l'avis de n'importe quel cultureux sur le foot) tout en se beaufisant un peu par ailleurs (la double page avec les gonzesses dénudées et les anecdotes sur quel joueur se tape une actrice porno, les test lourdingues, les lucarnes de début de magazine tout aussi lourdingues).

    Ils restent cependant très forts notamment sur les longues interviews, souvent intéressantes pour peu que l'interrogé aie quelque chose à raconter.
  • Assez d'accord avec les derniers avis.

    Cela fait 3 années que je suis abonné, et je trouve les numéros très inégaux. Bon, j'avoue que, comme le disais echouafni, le traitement de l'affaire Hilali m'a vraiment dégouté. Voilà un truc complètement surréaliste, le truc où je me suis dit que SoFoot allait être le genre de média à faire connaitre notre situation de malade aux lecteurs, et en fait non. Un pov' truc tout pourri, à contre-temps, pendant que France-Foot faisait un truc quand même bien meilleur (même si c'était assez court).

    Entre temps, j'ai régulièrement trouvé des trucs très moyens. Et encore, je ne parle pas du site internet, qui est quand même assez "tape à l'oeil", avec beaucoup d'articles mais de qualité assez médiocre. En fait, je crois que je commence à saturer avec la combinaison blague-à-2-balles/racisme-partout-tout-le-temps-surtout-en-France/traitement-de-thèmes-qui-sont-à-la-mode-partout.

    En fait, je me demande si le mag ne gagnerait pas à être plus court, mais avec un contenu de meilleure qualité (plus d'analyses tactiques, plus de reportages sur les milieux supporters, et sans les artifices du début et de la fin du magazine, ...)

    Et dire que malgré tout ça, je vais peut-être me réabonner, car je ne vois pas d'autres trucs intéressant à lire sur le foot et qui apporte un vrai plus par-rapport à la téloche.....
  • Je lis So Foot depuis presque deux ans maintenant. Je suis fan des articles sur les anciens joueurs ou clubs assez atypiques. Par contre, c'est vrai que certains pages sont moins intéressantes, notamment les premières, et la fameuse rubrique "il est où Jean-Mimi", sur laquelle je sature. Comme le disais quelqu'un plus haut, la double page avec la vie sexuelle des joueurs, pour certains parfois inconnus, ne m'intéressent pas des masses non plus. Si je voulais des news people, je lirai Voici. D'ailleurs, le site internet, deviens assez people aussi je trouve, avec sur les derniers mois, les photos du bébé Messi, Shakira enceinte avec Piqué entre autres.
    En ce qui concerne l'article concernant le Racing et Hilali, j'ai été assez déçue aussi. Le thème collait tout à fait à un journal du ton de So Foot, mais malheureusement, ils n'ont pas pris le bon filon. Heureusement que France Football a fait un article bien renseigné et très bien écrit.
  • mario-67 a écrit, le 2013-01-09 19:06:51 :
    En fait, je me demande si le mag ne gagnerait pas à être plus court, mais avec un contenu de meilleure qualité (plus d'analyses tactiques, plus de reportages sur les milieux supporters, et sans les artifices du début et de la fin du magazine, ...)

    Les Cahiers du Football, quoi :)

    (RIP :(( )
  • Le dernier So Foot entièrement consacré à Johan Cruyff est superbe et donc indispensable (+)

    Avec des vrais morceaux de Schilles et de Furlan dedans (cherchez l'intrus).

    On y apprend des choses aussi essentielles que, par exemple, le mystère fondamental de la différence entre Cruyff et Cruijff !
  • Moi j'ai pas trop aimé justement, j'ai un peu de mal avec les numéros "mono-thème" (bon, c'est peut-être parce que je n'ai pas connu son époque).

    Par contre j'ai fait la totale sur juillet, j'ai lu les numéros de So Foot, Pédale, So Film et Society !
  • Anti-Barça très primaire, j'ai décidé d'attendre la rentrée pour racheter éventuellement So Foot :'>
  • thomas68 a écrit, le 30/07/2015 21:59 :
    (bon, c'est peut-être parce que je n'ai pas connu son époque)

    Bien que je sois un croulant, je ne l'ai pas connue non plus :-w

    Argument non avenu [-X
  • Bien que monotheme ce numéro est simplement passionnant pour qui aime le football et les grands joueurs qui ont fait l'histoire de ce sport.
    Et cet opus sur Cruyff va bien au delà de son passage catalan.
    Pour moi un indispensable.
    Un So Foot comme à ses plus belles heures.
  • En cours de lecture pour moi, c'est un numéro plutôt bien foutu je trouve !

    Et plus j'en apprends sur Cruyff, plus Zlatan me fait penser à lui :D
  • Je suis également plongé dans la lecture de So Foot. Il est excellent, même si l'on a l'impression de bien connaître Cruyff dès les 50 premières pages.
  • So Foot sort une petite merveille de livre sur le football des années 90. Le cadeau de Noël idéal !
  • J'ai déjà leur bouquin sur les eighties, ça vaudra certainement le coup :)
  • Il y a eu du foot dans les années 90 ?
  • J'ai vu Mario Haas en vrai, je ne sais pas si il y a eu du football dans les annees 90, mais y avait des types habilles en footbaleurs.

    Quoi qu'il en soit, en regardant l'histoire recente du football, en France et en Angleterre (je sais pas ailleurs), ce sont des annees charnieres, cruciales, pivot en quelque sorte. Chez les anglais c'est (pour le pire ou le meilleur, selon les gouts) le moment ou la Premiere League emerge, soit un changement total de paradigme de financement du football et les consequences qui en decoulerent : l'apparition de presidents plus du tout amateurs et totalement financiers, une hypertrophie de a peu pres tout (droits tv, salaires, prix des places, etc) sauf de la formation des jeunes anglais, entre autres faits saillants.

    Pour la France, sur la scene europeenne on voit beaucoup plus souvent des clubs francais dans les dernieres matchs de coupes d'Europe, alors que les annees 80 furent horribles de ce point de vue la, mais surtout, le pognon commence a faire masse ici et la, et c'est evidemment a ce moment que le scandale qu'a ete la gestion marseillaise explose, que beaucoup de jeunes (les autres savaient surement deja), que ce sport est pourri jusqu'a l'os, pour qui avait oublie bez/courbis[enprison] et plus tot les verts, c'est un gros retour a la realite. Coincidentalement, la decennie se terminera sur ce qui parait le plus grand exploit du foot francais national, mais qui sera evidemment le moment-cliquet qui transformera notre sport en une merde markettingue intolerable.

    Donc, si, quand meme.

    Blourg

    JPDarky
  • Tout ces changements survenus dans l'environnement de la baballe et qui sont si bien décrits (encore qu'il y manque le monstre absolu, créature de Frankenstein qui échappa au contrôle de son instigateur - l'avocat de Jean-Marc Bosman) sont absolument exacts. Et donc, sur le terrain : rien, nada, nib. Ou presque.

    Allez, je veux bien concéder le Barca de Cruijff, le Milan de Cappello, le Danemark, un petit peu de Zimdim Zémdène pour être chauvin, du Maradona et du Van Basten aussi. Notre Racing vit également passer un quelques joueurs pas dégueu (Djorkaeff, Mostovoi, Per Pedersen). Mais sinon ?
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