Philippe Ginestet
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bluesfriendJe vous conseille de lire l'article que publie l'Alsace ce matin : il semblerait que la responsabilité de l'équipe Ginestet soit écrasante dans ce désastre ! L'article en dit long, notamment, sur le délabrement des relations entre le centre de formation et l'équipe mise en place par Ginestet. Du coup, on comprend beaucoup mieux certaines choses comme par exemple l'incapacité du centre de formation à fournir des joueurs de valeur à l'équipe première (cf. la rétrogradation de l'équipe des stagiaires en CFA 2). -
superdou a écrit, le 2005-12-01 11:48:50 : boogie a écrit : Y en a marre de Keller! Comme si le Racing n'était pas assez dans la m... Il faut encore qu'il mette son grain de sel. Pitié faites (messieurs les actionnaires) que Philippe Ginestet soit le futur président du club afin que Keller se barre enfin. Il faut de l'ambition pour le RCS. :D
Mouais, l'avenir dira qui aurait eu raison, mais ne venez pas pleurer Keller si le Racing coule définitivement en quelques années, endetté et relégué administrativement, à cause d'un président qui aura voulu pêté plus haut que son cul.
Parce que dire que j'aurais pas fait ça, c'est très facile. Les Yacka Fauquon, c'est très courant. Mais une fois les affaires en main, bizarrement, ce n'est jamais la même chanson.
Perso, je reste persuadé que la politique menée par Keller était la bonne, et que celle de Ginestet est plus que dangereuse à moyen terme.
Mais on verra qui retournera sa veste le plus rapidement ...
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Tiens, en passant, c'est vraiment super que vous collationniez tous les articles sur le racing. Bravo !
Du coup, ça facilitera la réflexion de certains qui pourront lire, maintenant que la messe est dite, les jugements portés de l'intérieur du club sur l'ère Ginette. Espérons que ça ouvrira grand les yeux de certains (il n'est jamais trop tard pour bien faire).
Merci pour tout Philou ! Vraiment. -
Tout à fait !
Je me rappelle que certains m'ont envoyer quelques "skuds" lorsque j'avais voulu dénoncer le putsch des Ginestet Brothers - Herzog.
C'est marrant ce retournement de situation................. en fait, non, pas si marrant que ça !!
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Règlements de comptes à KO Racing
Les soubresauts incessants des derniers mois ont accentué la fracture vieille de quelques années entre la garde rapprochée de Philippe Ginestet et d'autres composantes du club. À tel point que le 5 mai, l'entraîneur de la réserve François Keller et le coordinateur sportif Pascal Camadini ont failli en venir aux mains. Deuxième volet de notre série intitulée « L'enfer du décor », pour mieux comprendre pourquoi le RCS est aujourd'hui en National.
Jean-Claude Plessis s'emporte quelque peu. La scène se passe dans son bureau la semaine dernière. L'objet de sa (petite) colère ? L'altercation qui a opposé le mercredi 5 mai François Keller, l'entraîneur de la réserve, à Pascal Camadini, le coordinateur sportif, ne mérite, à son sens, pas d'être évoquée. « Ce sont des conneries, un truc sans importance comme il en arrive parfois dans un club. » Peut-être.
Mais le 5 mai donc, Plessis et son directeur général Christophe Cornelie convoquent à une réunion Pascal Janin, Pascal Camadini, François Keller et le directeur du centre de formation Jean-Marc Kuentz. Le thème : « Pourquoi le centre n'est-il pas en mesure de produire un attaquant de qualité pour pallier l'absence de Nicolas Fauvergue ? »
« Dans tous les clubs, on est capable de sortir du centre un grand mec pour te planter un ou deux buts et dépanner », râle le président. Les débats tournent vite au procès de la formation. Jean-Marc Kuentz et François Keller s'insurgent. Notamment le second qui reconnaît aujourd'hui « avoir lâché tout ce que j'avais sur le coeur depuis quatre ans. Ça fait longtemps que nous avions ça en nous. »
En clair, les deux hommes refusent d'être les boucs émissaires d'une politique qui a poussé le précédent directeur du centre, Nasser Larguet, à partir en 2007. Le technicien marocain, formateur unanimement reconnu, avait refusé la nouvelle orientation, assortie de sensibles coupes budgétaires, prise par l'équipe de Philippe Ginestet et son directeur général Jean-Luc Herzog.
« Pour les nouveaux propriétaires, c'était perdu d'avance »
« Cette réunion nous a permis, à Jean-Marc et à moi, de nous défendre », commente François Keller en réaction à notre information, « Nous avons fait comprendre à M. Cornelie pourquoi nous en étions là aujourd'hui. En fait, à cause de la politique menée depuis quatre ans. Les nouveaux propriétaires sont arrivés dans un club où c'était perdu d'avance. S'ils avaient racheté le Racing dans les conditions dans lesquelles Philippe Ginestet l'a racheté il y a quatre ans, avec le vivier qui était alors le nôtre, le club ne serait pas en National. Les nouveaux propriétaires paient les pots cassés. »
Les débats s'enveniment lorsque François Keller raconte comment J.-M. Kuentz et lui ont dû, sans avoir leur mot à dire, se plier aux choix de Philippe Ginestet, Jean-Luc Herzog, Pierre Ginestet, Jacky Canosi (les deux recruteurs) et Pascal Camadini lors de la campagne estivale 2009 de recrutement. En réponse, ce dernier menace de se lever. F. Keller l'invite à aller s'expliquer dans le couloir adjacent. L'algarade ne dépassera pas le stade de la joute verbale. « Je ne regrette rien. Ça m'a fait un bien fou. Je leur ai dit en frontal ce que je pensais, que la guerre était peut-être déclarée, mais qu'ils l'avaient déclarée insidieusement depuis quatre ans, avec leur travail de sape systématique et de dénigrement dans notre dos. Si l'on prend ce qu'ont rapporté depuis six ans les joueurs formés au club (voir ci-dessous) et ceux qui ont été recrutés, puis revendus ces quatre dernières années, il n'y a pas photo. La discussion s'arrête là. Parce que les chiffres parlent d'eux-mêmes. Certains de ceux qui ont mis le club dans cette situation sont partis. D'autres sont encore là. »
« On vit au jour le jour »
Autant que la réduction des moyens, Jean-Marc Kuentz dénonce, lui, le flou structurel de l'ère Ginestet. « En quatre ans, nous avons dû avoir trois ou quatre réunions avec le directeur du centre de formation, les recruteurs, l'entraîneur des pros, le directeur financier et le président. Depuis le départ de Marc Keller en 2006, je ne sens plus de projet. Surtout, ce n'est plus le sportif qui décide. On vit au jour le jour. C'est ce que nous avons expliqué au président Plessis et à M. Cornelie. Un exemple : à l'époque de Nasser, nous étions deux pour travailler, lui et moi. Aujourd'hui, je suis seul. Lorsqu'il était directeur du centre, dix recruteurs bossaient pour le Racing. Aujourd'hui, seulement cinq. Je dis toujours qu'on fait de la formation par conviction ou par dépit. Depuis quatre ans, on en a fait par dépit. Malgré tout, on a quand même réussi à sortir un paquet de joueurs. Et d'autres arriveront dans un ou deux ans. Le bilan est plus qu'honorable. »
Ses formateurs n'en ont pas moins gros sur la patate. Tous deux en fin de contrat, Jean-Marc Kuentz et François Keller attendent d'être fixés sur leur sort, mais bien davantage sur celui du centre. A fortiori après la relégation en National. Proches de Philippe Ginestet, Pascal Camadini et Jacky Canosi sont sous contrat respectivement jusqu'en 2011 et 2012.
Depuis quatre ans, jamais les différentes composantes du club n'ont récité leurs gammes en harmonie. La relégation en National est la fausse note finale.
Stéphane Godin
Ndlr : Pascal Camadini et Jacky Canosi n'ont pu être joints hier.
La phrase
« Au centre de formation, nous avons subi de plein fouet la politique menée depuis quatre ans et en plus, on voulait nous faire porter le chapeau de la situation du club. C'était
inacceptable. »
De Jean-Marc Kuentz, directeur du centre de formation du Racing, au sujet de la réunion du 5 mai. -
les vérités de Bouachera
Dans un mail adressé le 6 mai à la direction, l'ancien adjoint de Jean-Marc Furlan, Noureddine Bouachera, en fin de contrat, abonde dans le sens de Jean-Marc Kuentz et François Keller. Il cible la politique de Philippe Ginestet.
Jean-Claude Plessis a beau estimer que l'altercation entre François Keller et Pascal Camadini relève de la simple anecdote dans un milieu du football où les explications houleuses seraient, selon lui, monnaie courante, le nouveau président a vite cerné que les relations entre certaines composantes du Racing étaient plus que tendues. « Je découvre quelque chose de monstrueux dans ce club : l'animosité entre les gens. Je passe mon temps à rencontrer des personnes qui démolissent celle que j'ai quittée il y a dix minutes. Je n'ai jamais vu un club où tout le monde ragotait autant », disait-il voici quelques jours.
À l'évidence, l'ancien président du FC Sochaux en a entendu des vertes et des pas mûres depuis son arrivée. En a lu aussi, sous forme, par exemple, d'un mail que lui a adressé le 6 mai Noureddine Bouachera, l'ancien adjoint de Jean-Marc Furlan chargé cette saison de la cellule vidéo et l'observation des adversaires, en fin de contrat en juin.
Absent de la fameuse réunion de la veille où la boite à gifles a failli fonctionner, Bouachera y défend le travail du centre de formation aux époques Duguépéroux, Larguet et Kuentz. Il rappelle en substance que le Racing a vécu trois ans sur les transferts de joueurs formés au club (1) et pourrait encore devoir son salut financier à la vente des derniers éléments recrutés par Marc Keller et Jacky Duguépéroux (Loïc Damour, Mamadou Bah, Jean-Alain Fanchone, Quentin Othon, Magaye Gueye).
« Des clans et des interférences »
Il dénonce surtout ce qu'il dénonçait déjà à l'époque où Furlan dirigeait les pros : l'influence de la cellule recrutement sur le choix des joueurs, contre l'avis des techniciens en place. C'est de notoriété publique : Jean-Marc Furlan n'a jamais souhaité les venues de Victor Correia, Boubacar Kébé (tous deux blessés, le premier n'ayant pas disputé le moindre match officiel depuis son arrivée en 2008) et Franck Dja Djedje (prêté cette saison à Vannes). Il a toujours pesté contre ces choix qui lui avaient été imposés. « Le vrai problème au Racing, c'est qu'il n'y a pas de justice dans le mode de fonctionnement », fait observer Bouachera, « Mon mail (2) reproche à la cellule recrutement de l'époque ce qu'on lui a reproché pendant deux ans avec Jean-Marc. Nous avons vécu dans un club perturbé par des clans et de grandes interférences. Et c'est en partie pour cette raison que nous avons échoué d'un rien dans notre opération remontée en Ligue 1 en 2008-2009. Nous avons fini 4 es avec 65 points. Arles-Avignon vient de monter en L 1 en décrochant la 3 e place avec seulement 60 points. L'an passé, avec ce total, il ne se serait classé que 7 e . »
S.G.
(1) Pour mémoire et pour ne remonter qu'à la période récente, les seules ventes de Sidi Keita, Ricardo Faty, Morgan Schneiderlin, Habib Bellaïd et Kévin Gameiro depuis 2006 ont rapporté près de 14 millions. Le RCS peut même prétendre à 30 % de la plus-value à la revente au-delà des 3 millions auquel Gameiro a été vendu à Lorient.
(2) Noureddine Bouachera tient à préciser qu'il n'a jamais dévoilé l'existence de ce mail et est même surpris que « L'Alsace » ait pu en avoir connaissance (Ndlr : pas dans le détail). Mais il ne renie pas ce qu'il y écrit. -
Le seul point où Ginestet a été très fort, c'est en "public relation" avec les associations de supporters.
Il a réussi à les anesthésier avec ses belles paroles.
Résultat des courses : il n'a jamais subi de pression des supporters et il a pu user tranquillement de toute son incompétence pour couler le club.
A Nantes, les supporters ont mis une pression énorme sur Kita.
Résultat des courses : il revend le club après l'avoir au moins maintenu en L2.
D'ailleurs, je lisai un jour sur un forum nantais certains qui se demandaient qu'est ce qui allait mal à Strasbourg. Il y a eu une réponse qui résume bien la situation :
"A Strasbourg, ils ont aussi leur Kita, il s'appelle Ginestet" -
Ton truc sur Kita est faux
Et Ginestet qui n'a subi aucune pression des assoc', ahem, je suis pas spécialiste mais on a pas du voir la même histoire. -
jamal a écrit, le 2010-05-17 19:03:57 : Merci mais je n'ai quasiment rien compris à ton résumé...
:)) (+) -
Ginestet réagit
■ Égratigné par Jean-Marc Furlan et Egon Gindorf dans notre édition d'hier, l'ex-président Philippe Ginestet tient à rétablir sa vérité. Extraits.
« Je suis aujourd'hui profondément affecté par la relégation du club en National et par l'état d'esprit délétère qui l'accompagne alors qu'une véritable union autour serait nécessaire. En effet, comment Jean-Marc Furlan, qui reste sur deux échecs successifs à Strasbourg et à Nantes, vient-il jouer le donneur de leçon ?
Comment ne fait-il pas le parallèle avec le club de Troyes qu'il dirigeait et qui a connu exactement la même trajectoire malheureuse que le Racing, en L2 puis en National ?
Pourquoi a-t-il refusé Valter Birsa (attaquant à l'époque à Sochaux, ndlr) qui voulait absolument venir avant de finalement partir a Auxerre, où il jouera la Ligue des champions ? Pourquoi a-t-il préféré nous imposer Romulo,
fruit de ses précieux contacts ?
Concernant Egon Gindorf, a-t-il oublié mon coup de main à trois millions d'euros en octobre 2004, quand l'équipe était au plus mal, pour l'aider à conserver les principaux joueurs et à gagner la Coupe de la Ligue ?
A-t-il oublié que fort de ce beau succès, on m'a viré ensuite pour finalement me recéder six mois plus tard, en décembre 2005, un club virtuellement relégué en L2 ?
C'est facile et arrangeant de désigner un responsable unique qui a investi son énergie et son argent et ça évite surtout de faire son autocritique sur les trente années de crise au club (...)
Je suis effectivement responsable (...) d'avoir fait confiance exagérément à certains cadres, d'avoir convaincu un investisseur international à 300M�� qui aurait pu changer le potentiel du club et de m'être fait berner en même temps que Julien Fournier lors de la cession du club (...). Pour le reste, que chacun se regarde dans le miroir !
Le plus grave, c'est qu'aujourd'hui, il y a un malade toujours vivant dont personne ne semble se soucier (...) Devant l'urgence de la situation, où une saison capitale est à préparer au plus vite, il conviendrait de rassembler toutes les forces en présence plutôt que de prôner continuellement la désunion. Je souhaite qu'une grande mobilisation positive de tous les investisseurs potentiels puisse se faire rapidement plutôt que d'attendre encore et toujours une mort clinique pour ramasser des miettes à bon compte. Que les gens plus forts et beaucoup plus intelligents que moi se manifestent clairement, ce que j'ai attendu en vain pendant six mois. »
DNA -
rcs2009 a écrit, le 2010-05-19 08:44:20 : En effet, comment Jean-Marc Furlan, qui reste sur deux échecs successifs à Strasbourg et à Nantes, vient-il jouer le donneur de leçon ?
3 échecs Ginestet, 3. Faut revoir tes fiches car tu as recruté un gars qui venait de faire descendre Troyes. -
athor a écrit, le 2010-05-17 20:37:24 :
J'aimerai tout de même qu'il reconnaisse un jour que ses montages financiers, x-filiales amenées à diriger le club par le soi-disant consensus, alors qu'il dominait en bon autocrate qui décide parce qu'il paie, sont la réelle cause du plombage du Racing.
Sans cette reprise, je ne sais pas où le Racing voguerait actuellement, mais je suis persuadé qu'il ne serait pas aussi pourri de l'intérieur qu'aujourd'hui, après que Ginestet se soit assis sur le trône.
Tout ce qui l'intéressait c'était le projet de stade. On peut se dire néanmoins et à charge des autres crevures alsaciennes, que lui au moins a eu les couilles de le faire et qu'il s'est planté en beauté.
A nous les miettes. -
Un autre bonus pour Ginestet
À mesure que les semaines passent, certains éléments qui n'avaient pas encore transpiré remontent à la surface. Ainsi savait-on que Philippe Ginestet avait récupéré 1,6 million d'euros lors de la revente du club à l'invisible Roman Loban, jamais apparu publiquement, et qu'il toucherait 1 million supplémentaire en cas de remontée en Ligue 1. Mais on ignorait que dans le contrat de cession figure également une clause stipulant que l'ancien président percevra de la part du Racing 1,5 million en cas de construction d'un nouveau stade.
L'Alsace -
Un autre bonus pour Ginestet.
A mesure que les semaines passent, certains éléments qui n'avaient pas encore transpiré remontent a la surface. Ainsi savait-on que Philippe Ginestet avait récupère 1,6 million d'euros lors de la revente du club a l'invisible Roman Loban, jamais apparu publiquement, et qui! toucherait 1 million supplémentaire en cas de remontée en Ligue 1. Mais on ignorait que dans le contrat de cession figure également une clause stipulant que l'ancien président percevra de la part du Racing 1,5 million en cas de construction d'un nouveau stade
L'Alsace du 20/05/10 -
T'a pas l'impression de poster la même chose que juste au-dessus ?
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Juste au-dessus du tien....
Oups, grillé :p -
katzo68 a écrit, le 2010-05-20 08:58:47 : Juste au-dessus du tien....
Oups, grillé :p
Effectivement je m'en étais pas rendu-compte. Mais je tiens à vous rassurer je ne fais pas de compétition dans la retransmission des extraits de presse. A lire certain j'ai l'impression que tout chacun ne se trompe pas -
Ginestet il va falloir qu'il quitte la région je pense...déjà que la partie financière est accablante mais qu'il vienne pourrir Furlan maintenant alors que c'est lui qui est allé le chercher pour remplacer dans les conditions que l'on sait JPP qui aurait dû avoir sa chance après avoir fait remonter le RCS, alors ça dépasse tout !
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Ouais super, on a eu 1.5M€ de Hammerson (je crois que c'est ça le prix) parce que l'€stadium se fera pas, mais d'un autre côté on devrait cette somme à Philou parce qu'on aura un nouveau stade...
Dans l'hypothèse d'une RENOVATION de la Meinau (même si on ajoute un anneau O:) ), il aura que dalle ou bien ? -
N'y avait-il pas par hasard une close qui donnait droit aux supporters du Racing de mettre 1,5 million de poings dans la gueule de P.Ginestet en cas de descente en National ? Son brillant parcours à la tête du club mérite bien ça.
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A la lumière de cette nouvelle clause cachée on comprend mieux :
- pourquoi Ginestet a vendu si vite à Loban / Fontenla
- pourquoi le club est invendable par Fontenla & Co
Reste une question : Ou est l'arnaque ? -
GIGI a vendut le club soit disant a loban (qui peserai 300 million) car il voulait le sauver (toujour sois disant) je pense qu'il savait que le club avait trop de dettes et qu'il voulait pas perdre trop de sous
fontenla lui pense sans doute pouvoir faire du blé avec ce club et sur le fait qu'il refuse de vendre je le comprend il est tellement harcelé par la presse et les repreneur alsacien qu'il leur fait payer en gardant ce club . si fofon revend ca ne seras pas a des alsaciens qui le meprise. -
Gigi a vendu quand il a trouvé quelqu'un et on peut penser ce qu'on veut mais , pour moi , il ne voulait pas vendre à des locaux , une petite vengeance .
Fontenla ne trouve personne parce qui voudrait du club .Si il y en a d'intéressé , à l'euro symbolique .
Quelqu'un a dit "pas d'alsaciens" , moi m'en fout qui achète , l'essentiel étant qu'ils redressent le club , que ce soit des princes arabes ou des locaux . -
Donc Ginestet qui a sois-disant bradé le club, et bien ce n'est pas vraiment le cas..
1.6+1+1.5 on a 4.1M d'€, bien joué Philippe (+) -
De mieux en mieux et il est de plus en plus beau notre ex président..
Par amour pour le club qu'il disait...
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