Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Alain Fontenla

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Flux RSS 6377 messages · 293.255 lectures · Premier message par superdou · Dernier message par iuliu68

  • Ca s'appelle du savoir-vivre je pense...Et n'oublions pas que le stade de la Meinau appartient à la ville,donc quelque part,si,ils ont des comptes à lui rendre... O:)
  • Moi je trouve plutôt bien qu'ils viennent le voir et qu'ils discutent.
    C'est plus rassurant pour nous d'ailleurs parce qu'ils vont devoir mettre à plat certaines assurances. J'imagine que Ries a pas spécialement envie de voir strasbourg être la risée des footeux français.
  • Ries, il se préoccupe autant du foot que moi du patinage artistique.

    Il cherche des garanties de solvabilité avant tout, et ça passe par un projet sportif avec quelques garanties. Car ce n'est pas avec des revenus de club évoluant en National, voire en Ligue 2 sur la durée, que la Meinau pourra trouver un locataire capable d'assumer sans risque les charges actuelles.

    Pour Fontenla, c'est une bonne chose qu'il rassure les élus et l'opinion demain.
  • father-tom a écrit, le 2009-12-10 12:01:06 :
    Ries, il se préoccupe autant du foot que moi du patinage artistique.



    Content de savoir que tu aimes beaucoup le patinage artistique.
  • jean-marie a écrit, le 2009-12-10 10:36:12 :
    Normalement, ils n'ont pas de comptes à rendre au Maire.


    En tout cas, les investisseurs attendent sans doute que le Maire leur en rendent.
    La rénovation du stade fait partie du pack, normal qu'ils soignent le relationnel : avoir l'assurance d'un stade agrandi et rénové, ce n'est pas rien pour des mecs qui veulent redresser le club et avoir leur retour sur investissement.
  • jean-marie a écrit, le 2009-12-10 10:36:12 :
    Normalement, ils n'ont pas de comptes à rendre au Maire.


    D'abord on dit pas de compte a rendre a MAIRE.... :o)
  • Racing
    Fontenla en pleine lumière

    zoom
    Alain Fontenla : voici, enfin, le visage de celui qui, depuis une semaine, jouait à son corps défendant les hommes mystère. Photo Dominique Gutekunst
    Absent la semaine passée lors de l'officialisation du rachat du RCS, le nouveau propriétaire Alain Fontenla sort de l'ombre pour exposer son projet et dissiper les doutes qui entourent son arrivée.

    Il reconnaît sans détour son erreur. Étranger au milieu du football professionnel, Alain Fontenla a découvert ces derniers jours à ses dépens que le monde du ballon rond constituait une formidable et parfois incontrôlable caisse de résonance. Devant la levée de boucliers qu'a provoquée son intronisation par contumace vendredi dernier, l'homme d'affaires a décidé de passer à l'action.

    Arrivé mercredi à Strasbourg, il s'est présenté au maire Roland Ries hier matin, a enchaîné une interview avec les deux quotidiens régionaux l'après-midi (1), rencontrera ce matin (10 h) les actionnaires minoritaires, puis tiendra une conférence de presse élargie à 11 h. Il repartira ce soir, reviendra la semaine prochaine, s'efforcera d'assister à la rencontre du vendredi 18 contre Guingamp et devrait se rendre au Havre le 22.

    En quelques jours, A. Fontenla a bien saisi que sa stratégie de communication - ou plutôt son absence de stratégie - avait contribué à donner de lui une image brouillée. « Je ne pouvais pas être là vendredi pour raisons professionnelles. Et il y a eu un cafouillage regrettable, lié au fait que je ne suis pas un pro de la com. Nous nous y sommes mal pris. Je voulais me présenter dans les règles. Je n'ai pas anticipé les répercussions négatives que pourrait avoir mon absence. »

    Selon lui, ces mêmes répercussions auraient eu raison de l'Estonien Roman Loban avec lequel il assure n'avoir aucune relation d'affaires. « M. Loban a été refroidi par l'accueil qui nous a été réservé. Nous ne pensions pas être exposés aussi rapidement. Pour l'instant, nous avons encore chacun 50 % des parts de Philippe Ginestet. Mais M. Loban a souhaité se désengager. Avant la fin de l'année, je serai l'unique propriétaire. »

    « Un projet réaliste sur plusieurs années »
    Un propriétaire qui assure n'avoir pas vocation à interférer dans la gestion sportive du RCS. « Mon objectif est de nous entourer de compétences et de recruter des joueurs de qualité pour compléter l'effectif. Ma priorité était d'introniser à la tête du club quelqu'un qui a fait ses preuves, Julien Fournier en l'occurrence. Je l'ai rassuré et lui ai confirmé que chacun jouerait son rôle : moi, celui d'actionnaire ; lui, celui de président directeur général. Il est en phase d'audit. Sur l'aspect sportif, je n'interviendrai pas. J'ai une totale confiance en lui. Je suis passionné de foot, mais n'ai pas la prétention de modifier moi-même l'organigramme ou recruter. C'est de son ressort. »

    Sans promettre la lune, le businessman souhaite redonner au Racing un peu de son lustre passé. « Un club de cette notoriété, dans une ville comme Strasbourg, dont les parts sont à racheter, ça ne court pas les rues. Quand Ralph Isenegger (l'avocat genevois qui a mené les négociations) m'a parlé de cette possibilité, j'ai tout de suite été intéressé. J'ai même accepté le risque de reprendre un club menacé de relégation en National. Nous allons tout faire pour l'éviter. La situation est précaire, mais pas désespérée. En regardant le classement, on se dit qu'avec un cercle vertueux de trois ou quatre victoires, les choses seraient différentes. Le premier objectif est de sortir de l'ornière, d'assurer au plus vite le maintien en L 2 et d'y retrouver une place honorable. Nous allons tout faire pour que la dégringolade ne se poursuive pas. Ensuite, qui sait ? Même si ça va être difficile, la L 1 n'est pas hors de portée. D'ailleurs, à plus long terme, ma volonté est de faire du Racing un club régulièrement bien classé en L 1. Je sais qu'en Alsace, le public est exigeant. Il veut des résultats, mais aussi du beau jeu. Nous arrivons avec un projet réaliste sur plusieurs années. Les résultats devront parler pour nous. Nous sommes là pour faire un travail sérieux. »

    Ça tombe bien : le chantier est immense.


    Source: l'Alsace
  • « Ma motivation, c'est la passion »
    Il y a désormais un visage à mettre sur un nom. Celui d'Alain Fontenla, tout en rondeur et plutôt enjoué, est apparu hier à la Meinau. Le nouvel actionnaire majoritaire du Racing, un peu gêné d'être ainsi placé en pleine lumière, nous a accordé un entretien lors de sa première journée strasbourgeoise. Le jeune financier français basé à Londres dit être animé par la passion du ballon rond.
    Alain Fontenla - prononcez « Fontainela » - ne s'attendait pas à ça. En l'espace de quelques heures, l'homme est passé d'un milieu confidentiel et feutré, celui de la finance, à un autre qui attire la lumière, là où roule un ballon qui déchaîne tant de passion et peut, parfois, rendre fou.

    « Sur le devant de la scène
    de manière involontaire »

    « Je me retrouve sur le devant de la scène de manière involontaire, sourit-il. Maintenant que je suis là, c'est trop tard ! » Cordial et avenant, le nouvel actionnaire principal du Racing ne répond pas exactement au profil de la tête brûlée, prête à s'enflammer de manière inconsidérée pour une équipe de football.
    Natif de Chambray-lès-Tours, en Indre-et-Loire, voilà 35 ans, Alain Fontenla affiche au contraire des références on ne peut plus sérieuses et, pour tout dire, très cartésiennes. Après avoir fait ses humanités au lycée Louis le Grand, à Paris, il s'est attelé à un DEA de Mathématiques « sur la théorie des jeux » puis à un DESS en finance des marchés. Enseignant à la Sorbonne et à l'Université d'Evry, il bifurque ensuite vers le monde de la banque, où il se spécialise dans la gestion de fonds.
    Aujourd'hui basé à Londres, où son activité indépendante le conduit à prodiguer « des conseils en investissement pour des personnes très fortunées », celui qui avoue « ne pas être particulièrement préparé » à son nouveau rôle entend donner une nouvelle impulsion au Racing. Même s'il reconnaît sincèrement ne pas savoir grand-chose de ce club.

    « J'ai joué au foot pendant
    quinze ans, comme
    tout le monde ! »


    Hier après-midi, dans un bureau de la Meinau, sa nouvelle maison, Alain Fontenla a donc livré ses premières impressions et évoqué ses ambitions. Entouré de Christophe Cornelie, pressenti pour devenir le président-délégué, et de Ralph Isenegger, avocat genevois au coeur du dossier de rachat, le nouveau patron n'a pas toujours paru à l'aise dans le jeu des questions-réponses, a peiné à se montrer convaincant sur des éléments précis et concrets même s'il ne s'est jamais dérobé. Entretien.
    - Comment se déroule votre première journée à Strasbourg ?
    - Elle n'est pas de tout repos ! Je suis arrivé hier soir (mercredi) pour faire connaissance avec Julien Fournier, que je n'avais jusque-là eu qu'au téléphone. Ce matin (hier), nous avons été reçus par M. le maire. Et me voilà devant la presse. Je ne suis pas habitué à un tel agenda, moi qui ne suis pas un grand communicant...
    - Quels sont vos rapports avec le football ?
    - C'est une passion. J'y ai joué pendant quinze ans, chez moi, en Touraine. Comme tout le monde, quoi ! Mais avant d'être entré en contact avec Ralph (Isenegger), je n'avais jamais été impliqué, ni de près, ni de loin dans le milieu du football professionnel.

    « Une occasion comme
    celle-là ne se présente
    pas tous les jours »

    - Pourquoi alors avoir franchi le pas à Strasbourg ?
    - Quand Ralph m'a appris que le club était à vendre, je m'y suis intéressé de près. Le Racing est quand même un grand club. Une occasion comme celle-là ne se présente pas tous les jours...
    - Votre nom n'est pourtant pas apparu au départ dans l'opération de rachat, qui a été menée par un dénommé Roman Loban, jeune Estonien basé à Londres. Pourquoi ?
    - Roman Loban, je ne le connais pas. J'étais a priori censé racheter 50% des parts, l'autre moitié devant lui revenir. Mais il y a eu un cafouillage - c'est un euphémisme - dans notre communication. Comme son arrivée a été accueillie de manière défavorable, M. Loban a décidé de se retirer. J'ai réfléchi et je me suis dit qu'il serait judicieux de racheter 100% des parts.
    - Au nom de la société Carousel Finance SA basée à Genève ?
    - Non, à titre personnel. Carousel représente mes intérêts. Nous avons déjà fait beaucoup d'affaires ensemble, je siège même au Conseil d'administration. Mais dans ce cas précis, je suis client (il s'interrompt)... Je précise que cette situation n'a rien d'anormale !

    « Ma motivation n'est
    pas d'ordre financier »

    - Comprenez-vous que la complexité et le flou de toute l'opération incitent à la méfiance ?
    - Je comprends la méfiance des gens. Ce matin (hier), M. le maire avait aussi hâte de connaître notre projet et nos ambitions. Je peux vous assurer que ma motivation n'est pas d'ordre financier. L'investissement dans un club de foot est bien trop aléatoire pour espérer en tirer des dividendes. Ma seule motivation, c'est la passion.
    - Avez-vous des liens particuliers avec Strasbourg ?
    - Il y a une quinzaine d'années, j'y venais assez régulièrement pour rendre visite à des amis, voilà tout. En revanche, je n'avais jamais mis les pieds au stade. J'essayerai d'y venir le plus souvent possible. Mais comme j'habite à Londres, ce ne sera pas évident d'être là à chaque match. Je vais déjà tâcher de voir celui de dimanche (à 16h contre Thionville) et de rencontrer auparavant les joueurs, si mon emploi du temps me le permet.

    « Une situation précaire
    mais nullement désespérée »


    - Dans quel état avez-vous trouvé votre club ?
    - Il est dans une situation précaire mais nullement désespérée. Je suis tout à fait confiant dans les moyens et les possibilités de remonter la pente. Pour gérer le sportif, domaine dans lequel je ne compte pas interférer au regard de mes compétences, j'ai nommé quelqu'un de compétent en la personne de Julien Fournier.
    - Que faut-il à cette équipe pour sortir de la panade ?
    - Un petit électrochoc à tous les niveaux, que ce soit dans l'organisation elle-même, dans l'effectif et dans le jeu.
    - Le remplacement de Pascal Janin à la tête de l'équipe est-il entériné ?
    - Il va rapidement se passer quelque chose, en effet. Les contacts avec Jacques Santini et Jean-Pierre Papin sont très avancés. Mais je n'ai pas plus de précisions à l'heure actuelle. Ce sera à Julien Fournier de trancher.

    « Mon investissement sera
    suffisant pour se montrer
    ambitieux »

    - Le nouveau PDG a évoqué un investissement de 10 millions d'euros sur les deux ou trois prochaines années. Cela correspond-il à la réalité ?
    - On injectera ce qu'il faudra pour que Julien puisse atteindre ses objectifs. Il faudra s'adapter en fonction des besoins. Je ne vais pas parler de chiffres sans connaître la situation exacte du club. Mon investissement a des limites, mais il sera suffisant pour se montrer ambitieux.
    - Quelle est aujourd'hui la priorité ?
    - Il faut rapidement quitter la zone de relégation pour être certain de repartir en Ligue 2 l'an prochain. Et puis, on me dit que nous ne sommes qu'à seize points du troisième. Pourquoi ne pas rêver de jouer l'accession...

    « Je refuse de penser
    à une relégation »

    - C'est une plaisanterie ?
    - Non, mathématiquement, tout est encore possible. Aujourd'hui, nous sommes plus proches du National que de la Ligue 1, c'est vrai, mais tout le monde doit se retrousser les manches. Il va certainement se passer des choses au mercato d'hiver. L'idée, c'est de s'appuyer sur des joueurs pivot et d'améliorer la qualité d'ensemble. Ne me demandez pas de noms de recrues, voyez cela avec Julien Fournier !
    - Envisagez-vous la relégation ?
    - Non, catégoriquement. C'est hors de question. Je refuse même d'y penser. A moyen terme, il faudra accéder en élite et s'y installer de manière durable. D'ici deux ou trois ans, on fera le bilan et verra si la méthode est bonne.


    Sébastien Keller

    Source DNA
  • Citation:
    M. Loban a été refroidi par l'accueil qui nous a été réservé.


    Et paf ! Merci aux alsacos-alsaciens, actionnaires minoritaires et autres "Racing aux alsaciens" qui laissent filer comme ceci une manne d'argent non négligeable. =D :-s
  • N'importe quoi comme d'habitude , arrête d'être raciste envers les alsaciens . Qu'est ce qu'ils t'ont fait !!!!
    Fontenla on verra ce qu'il va faire .Pour l'instant des paroles , on attend les actes et on ne croit pas au Père Noël .
    Avec toutes les histoires qu'il y a eu au RCS on devient méfiant .
    On en a marre d'avoir un club qui s'enfonce d'année en année , je ne sais pas mais moi je suis plus pour un RCS en L1 et qui joue dans les 10 premiers mais un vrai supporter s'en tape de cela , tant qu'il arrive à chanter dans le quart de virage .
    De plus c'est normal qu'ils aillent discuter avec le maire de la ville qui va lancer , normalement des travaux pour l'agrandissement du stade , entre autre .
  • Interview de Fontenla, comparatif :

    DNA :
    Citation:
    ...En revanche, je n'avais jamais mis les pieds au stade...


    L'ALSACE :
    Citation:
    ...Je n'allais pas très souvent à la Meinau, mais j'ai vu jouer les Frank Leboeuf ou Franck Sauzée. J'aime le Racing...


    =D

    Vous interprétez ça comment ? Erreur de com ?
  • Citation:
    - Elle n'est pas de tout repos ! Je suis arrivé hier soir (mercredi) pour faire connaissance avec Julien Fournier, que je n'avais jusque-là eu qu'au téléphone. Ce matin (hier), nous avons été reçus par M. le maire. Et me voilà devant la presse. Je ne suis pas habitué à un tel agenda, moi qui ne suis pas un grand communicant...


    ca rassure :))
  • deldongo a écrit, le 2009-12-11 08:16:33 :
    N'importe quoi comme d'habitude , arrête d'être raciste envers les alsaciens . Qu'est ce qu'ils t'ont fait !!!!


    :)) :o)
  • J'espère qu'il a a moins joué à Football Manager :))
  • Le gros point positif, c'est qu'après avoir avoué qu'il n'y connait pas grand chose au monde du foot, si ce n'est un regard d'amateur de la chose, Fontenla a bien spécifié qu'il ne s'immiscera pas dans le domaine du sportif, laissant ce domaine à Fournier (+)
  • On remarquera aussi que le type a eu du nez : il s'est barré de la Sogénal juste avant que ça pète si l'on en croit la bio donnée par la PQR.
  • Donc le jour où il barrera du Racing, on pourra avoir peur :|s
  • L'interview ne m'a même pas semi-rassuré. Il a investi car le Racing était une bonne occaz, qu'il apprécie la ville et que son avocat l'a convaincu de mettre des ronds.

    C'est clairement un financier : rachat dans les règles de la profession, pas communiquant et donc pas là pour faire sa pub, complètement étranger au monde du football.

    Comme le souligne Athor il sera propriétaire mais de loin, d'ailleurs le président délégué pourrait être le sosie d'Harry Roselback :)

    Bref Alain vient avec des bonnes intentions, de bons copains et une enveloppe. Espérons qu'il ne reparte pas avec de grosses désillusions.
  • Moi ça va , cet interview confirme ce que je pensais du bonhomme.
    Ce qui me gêne plus c'est le départ de Loban qui de mon point de vue aurait pu être un plus Encore que d'un certain coté, deux hommes d'affaires, au CA du même établissement financiers, mais qui ne se connaitraient pas, j'avoue être assez sceptique.
    Quand au fait que Loban se taille en voyant l'accueil.. c'est miracle que Fontenla ai pas fait pareil et ça nous prive d'argent frais probablement.
    Mais bon, ç'a métonne pas trop de nous.

    100% d'accord avec Deadwing, sans être alsaco-raciste, rien n'empêche d'être réaliste. Et le moins que l'ont puisse dire est que nos hôtes habituels ne louent pas en général notre accueil chaleureux.

    :)) :)) :))
  • Quelqu'un disait, il me semble, avoir vu Loban (dont on ne sait toujours absolument rien, non ?) du côté la Meinau mais dans tout ça je me demande quand même si ce n'était pas un simple mirage pour éviter provisoirement à Fontenla de se dévoiler.

    Pas spécialement rassuré par ce que j'ai lu, mais bon... =;
  • deadwing a écrit, le 2009-12-11 07:39:17 :
    Citation:
    M. Loban a été refroidi par l'accueil qui nous a été réservé.


    Et paf ! Merci aux alsacos-alsaciens, actionnaires minoritaires et autres "Racing aux alsaciens" qui laissent filer comme ceci une manne d'argent non négligeable. =D :-s


    Put*** mais t'es vraiment qu'un sombre imbécile!
    T'étais en interne pour savoir les raisons du pourquoi?
    Les seuls choses que tu sais faire,c'est critiquer,critiquer et critiquer..

    Si Loban,c'est retiré,c'est sans doute pas par PEUR,car s'il est déterminé,il reste et prouve le contraire point.
  • je vois pas l'intérêt de se disputer pour si peu.
    Loban s'est barré vu l'accueil glacial réservé. En tout cas d'apres Fontenla.

    A priori vouloir à tout prix s'imposer dans un club qui l'envoi chier à peine il pointe son nez , c'est surtout de la connerie, donc il s'est barré.

    Je comprends évidemment la méfiance qu'il pouvait inspirer mais bon quand même c'est pas une raison.
  • Oulà Kev6736 !!
    Calme toi bonhomme, et tes insultes utilise les en suppositore, il parait que ça détend....
    Il se trouve que comme ça, a priori, je partage assez le point de vue de Deadwing. Il n'est en effet pas interdit de penser que "le Racing" (i.e. ceux qui l'aiment, qui y bossent, qui le supportent, qui mettent des billes dedans etc.) s'est peut-être tiré une balle de gros calibre dans le pied en décourageant un investisseur nouveau ( ce qui ne court pas le rues, hein...).
    Comme ce ne devait pas être un problème de dossier, vu que celui-ci avait été accepté, on peut légitimement supposé que ce qui a coincé, c'est une somme nébuleuse d' a priori aux mieux sceptiques, au pire racistes sur la nationalité du gus, plus les chiffons rouges agités par la presse et l'aussi réel qu'imprécis microcosme...
    Cela ne veut pas dire que je ne trouvais pas le manque d'infos angoissant, comme tout le monde, mais enfin, peut-être aurait il fallu adopter une prudence de bon aloi face aux condamnations hâtives.
    En tous cas, le gars, financier pragmatique, a pas voulu se prendre la tête en voyant les crabes s'agiter dans le panier, il s'est barré avec son fric et son réseau, aussi minimes soient-ils...
  • Ah ouai Loban qui se barre à cause de l'accueil...Hé Bah, j'aurais bien aimé être une petite mouche pour voir l'ambiance :)-
    Ca serait con que notre ami Loban ne veuille plus du racing après une première embrouille. En tout cas c'est pas nos petits actionnaires Alsaciens qui vont se mouiller. =D J'aime tellement notre club, ils se passent tellement de choses, on a tellement de trucs à lire et à rigoler :P
    J'imagine pas l'ambiance dans les petits clubs tels que Vannes, Laval etc ils doivent bien se faire chier :o)
  • J'imagine très bien la scène... on m'a rapporté des aventures de conseil municipal comparables. La peur n'a pas forcément à voir là-dedans
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