Après le divorce entre Philippe et Gilbert et le déchirement de Léo, la Famille est en pleine déliquescence.
Tandis que Jacky hésite à reprendre la succession, Roman, réaliste, devient finalement l'actionnaire majoritaire. Grâce à lui, Julien prend le pouvoir mais un nouveau coup de théâtre survient : Roman réécrit l'histoire et vend à Alain, qui devient le nouveau boss, sans l'avoir roulée.
Les différents clans voient d'un mauvais oeil ce changement de direction et là mystère, Julien le perce et en fait vite les frais au profit du chanceux Luc. Mais Alain philosophe, il est prêt à sacrifier Luc à la main trop froide pour que Julien se taise, mais celui-ci neutralise Ralph, tapi comme une souris dans l'ombre. Christophe a crié, crié sur le personnel et gère tant bien que mal les affaires, mais Alain reçoit des menaces de Frédéric et doit appeler du renfort « Jafar, chuis coincé ». Après avoir joué à kashkash, il en profite pour faire disparaître Julien, trop clair, et nommer la sentinelle Luc à la tête de la Famille.
Mais nouveau coup de théâtre, Alain s'abat, sabre Luc au laser et nomme à deux heures moins le quart JC qui, aware, entend faire la paix avec les différents chefs de clans de la ville.
Quelle est la stratégie d'Alain, et de l'autre ?
Sans raison ni sentiment, peut-il avoir à faire un choix cornélie ?
JC sera-t-il crucifié comme Lulu et Juju ?
Quelle sera la chanson des Roland ?
Jacky va-t-il tuner son offre et Egon sortir des siens ?
En farfouillant parmi les vieux cartons, on tombe sur des trésors. De celui-ci s'écoulent quelques livres, bibliothèque rose, verte... Et une série de petit Nicolas qui, même s'ils sentent le renfermé, n'en gardent pas moins un parfum de nostalgie particulier...
Extrait de Les vacances du petit Nicolas, "On a joué à la marchande" :
« Ce qu'il y a avec les filles, c'est que ça ne sait pas jouer, ça pleure tout le temps et ça fait des histoires. A l'hôtel, il y en a trois.
Les trois filles qu'il y a à l'hôtel s'appellent Isabelle, Micheline et Gisèle. Gisèle, c'est la soeur de mon copain Fabrice, et ils se battent tout le temps et Fabrice m'a expliqué que c'était très embêtant d'avoir une fille comme soeur et que si ça continuait, il allait quitter la maison.
Quand il fait très beau et que nous sommes à la plage, les filles ne nous gênent pas. Elles jouent à des jeux bêtes, elles font des tas de pâtés, elles se racontent des histoires et puis avec des crayons, elles se mettent du rouge sur les ongles. Nous, avec les copains, on fait des choses terribles. On fait des courses, des galipettes, du foot, on nage, on se bat. Des choses chouettes, quoi. »
"Ella, se desliza y me atropella.
Y, aunque a veces no me importe
sé, que el día que la pierda,
volveré a sufrir por ...
Ella, que aparece y que se esconde;
que se marcha y que se queda ;
que es pregunta y es respuesta ;
que es mi oscuridad, mi estrella.
Ella, me peina el alma y me la enreda ;
va conmigo pero no sé donde va.
Mi rival, mi compañera ;
que está tan dentro de mi vida y,
a la vez está tan fuera sé que volveré a perderme,
y la encontraré de nuevo
pero con otro rostro y otro
nombre diferente y otro cuerpo.
Pero sigue siendo ella, que otra vez me lleva ;
nunca me responde si, al girar la rueda...
Ella, se hace fría y se hace eterna ;
un suspiro en la tormenta,
a la que tantas veces le cambió la voz.
Gente que va y que viene y, siempre es
ella, que me miente y me lo niega ;
que me olvida y me recuerda.
Pero, si mi boca se equivoca,
pero, si mi boca se equivoca y,
al llamarla nombro a otra,
a veces siente compasión por este loco,
ciego y loco corazón.
Sea lo que quiera Dios que sea.
Mi delito es la torpeza de ignorar
que hay quien no tiene corazón.
Y va quemando, va quemándome y me quema.
Y, ¿si fuera ella?
Ella me peina el alma y me la enreda ;
va conmigo ... digo yo,
Mi rival, mi compañera; esa es ella.
Pero me cuesta cuando otro adiós se ve tan cerca.
Y, la perderé de nuevo, y otra vez preguntaré,
mientras se va y, no habrá respuesta.
Y, si esa que se aleja...
la que estoy perdiendo...
Y, ¿si esa era?. Y, ¿si fuera ella?
Sea lo que quiera Dios que sea.
Mi delito es la torpeza de ignorar
que hay quien no tiene corazón
Y va quemando, va quemándome y me quema.
Y, ¿si fuera ella?
...a veces siente compasión
por este loco, ciego y loco corazón.
¿Era? ¿quién me dice, si era ella?
Y, si la vida es una rueda y va girando
y nadie sabe cuándo tiene que saltar.
Y la miro... y, ¿si fuera ella? ¿si fuera ella?" (source)
"Vivre intensément ne signifie pas vivre chaque jour comme si c'était le dernier mais comme si c'était le premier"
"The mind has so many pictures
Why can't I sleep with my eyes open
The mind has so many memories
Can you remember what it looks like when I cry
I'm Trying, trying to tell you
All that I can in a sweet and velvet tongue
But no words ever could sell you
Sell you on me after all that I have done
I'm only the one you love
Am I only the one you love ?
The Lady Gloom and her hornets circling round
Is now before us, the screaming's done without moving
One little move and for sure you will be stung
I'm singing "Oh, Jerusalem oh, Jerusalem
See what he's picked up in the park"
Let's f**k this awful art party
Want you to make love to me and only to me in the dark
I'm only the one you love
Am I only the one you love ?
We've traded in our snap shots
We're going through the motions
Into the view, I'm leaving you
Down Conduit Avenue into the early morning
Into the early morning
The one I love
Are you only the one I love ?" (source)
"Je ne prouve ni n'approuve. Je me contente d'éprouver."
"Chaque soir, près de chez nous,
Vient percher un vieux hibou :
En sentinelle de garde,
Il est là qui nous regarde.
Il veille sur nous la nuit,
Sans sourciller et sans bruit;
De sa prunelle immobile,
Il nous contemple, tranquille.
Puis soudain en hululant,
Tel un fantôme volant,
Il s'élance, oiseau funèbre,
Et se noie dans les ténèbres." (source)
Tellement haut que du traineau on n'en voit plus le haut...
Lumineuse et si brumeuse...
"Il est venu le temps des cathédraaaaaaaaaaales
Le monde est entré
Dans un nouveau millénaire
L'homme a voulu monter vers les étoooooooooiles
Écrire son histoire
Dans le verre ou dans la pierre..."
Le but est de former une chaîne de neuf licenciements consécutifs durant la saison, afin d'augmenter le budget à la « banque ».
Lorsque Jafar ne répond pas correctement à la question posée, la DNCG dit « Pas correct ! ». Une erreur des collaborateurs de Jafar fait perdre à toute l'équipe les points accumulés. Néanmoins, les candidats peuvent aussi, en disant « Hopla Gueye, Banque ! » dès qu'un transfert est réalisé, sauver l'argent accumulé.
Après la fin de chaque match, l'argent qui est mis en banque à Londres est conservé dans la cagnotte (la "maleta" espagnole), tandis que l'argent qui n'est pas mis en banque est perdu (dans des attaquants dijonnais ou en payant l'équipe adverse par exemple).
Ensuite, Jafar vote pour une personne à éliminer, celle qu'il considère comme portant le maillot faible (Alain, Luc ou Jean-Claude), ou qu'il souhaite éliminer pour des raisons "stratégiques" (Julien, Laurent, Milo, les supporters, le chien de son psy, la batterie du blackberry et le reste du Monde).
Pendant le temps où Jafar fait semblant de réfléchir, le supporter entend la voix-off révéler les chiffres clé de la manche, à savoir : qui porte le maillot fort (qui a le mieux répondu et a mis le plus d'argent en banque jamais personne), et qui porte le maillot faible (qui a le moins bien répondu et a fait perdre le plus d'argent toujours Jafar).
Maître de la Décision, Jafar vote seul tour à tour, en retournant une pancarte avec la dernière news du site off' et il est interrogé sur ses choix par la DNCG. Le candidat qui a recueilli le plus de voix de Jafar à son encontre est éliminé et doit quitter le plateau, après la réplique : « Patrick mon ami, tu portes le maillot faible, au revoir ! ».
Jafar, "El Rival Más Débil".
J'espère que tu rentreras les mains vides chez toi, au revoir.
Dans un bus rempli de petits vieux en tournée spéciale pour le troisième âge à Lourdes, une mamie tapote l'épaule du chauffeur et lui tend une bonne poignée de cacahuètes.
Le chauffeur un peu étonné la remercie et avale d'un trait les arachides. Ca tombe bien, il avait justement un petit creux.
Cinq minutes plus tard, la mamie remet ça.
Le chauffeur la remercie à nouveau et gobe les cacahuètes.
Cinq minutes plus tard, le même cirque recommence.
Au bout de dix poignées, le chauffeur en a plein les ratiches et demande à la mémère :
- Dites donc, Mamie, c'est bien gentil de me gaver de cacahuètes, mais vos quarante collègues, ils n'en veulent pas un peu ?
- Bah non.. Voyez-vous, avec nos dents, on ne peut pas les mâcher. Y'a que le chocolat autour qu'on aime...
"Les femmes c'est du chinois
Le comprenez-vous ? Moi pas
Celle-ci est une gamine
Qui tient tellement à sa peau
Qu'elle baisse ses yeux encre de Chine
Mais jamais son kimono
Celle-là est une acrobate
Qui la nuit fait du jiu-jit-su
Il faut vous accrocher à ses nattes
Sinon c'est elle qui prend le dessus
Celle-ci est une fillette
Qu'on ne mange pas avec les doigts
Il faut la prendre avec des baguettes
Sinon elle ne veut pas
Telle autre quand elle se couche
Est avide de sensations
Vous riez jaune, la fine mouche
Comptent les autres au plafond
Celle-là quand elle perd la bataille
Pour ne pas se donner à l'ennemi
De votre sabre de samouraï
Elle se fait hara-kiri
A genoux vous demandez grâce
Mais celle-ci rien ne l'attendrit
Il vous faut mourir par contumace
Au treizième coup de minuit
Les femmes c'est du chinois
Le comprenez-vous? Moi pas." (source)
Le vide...
Halètement inutile...
Assourdissant silence...
J'arpente à nouveau la ville à la recherche de ses petits détails. Ici une déclaration amoureuse à la craie sur un mur anodin. Là un vieil autocollant déchiré sur une gouttière sale. Là-bas une petite sculpture discrète contemplant les passants. Prendre la peine de s'arrêter et de regarder...
Malgré l'alcool, la trajectoire du ballon me crucifie. Coup de massue... Dépit et rage reprennent le dessus. Nous hurlons notre frustration...
"Ce soir nous serons vainqueurs
Malgré toutes nos souffrances
Les meilleurs dans la violence
Dans le sang et la démence"
Si tu veux que les rêves sortent
comme un bateau s'inonde
détruis les ombres, détruis les ombres
et répands-toi
comme un éclair sur les rancoeurs
des âmes pudibondes
elles auront toujours de quoi suffoquer, crois-moi
Si tu veux battre le coeur
comme un tonnerre gronde
n'obstine que l'âme, cette seule denrée,
puis défends-toi
contre la vertu de ceux pour qui l'amour
n'est qu'un mouvement que l'on fait de haut en bas
{Refrain: x2}
Oublie le reste du monde
oublie le reste du monde
oublie le reste du monde
car le monde t'oubliera
Ne rate pas cette danse que l'on te propose
que toutes tes nuits vomissent les jours sans lendemains
soit nébuleuse, comète ou albatros
mort au malin {x3}
{Refrain, x2}
Oublie cette vie sous la chaleur des cellophanes
oublie l'esquive des dos courbés, sois matador !
"Pour les impures, pour les profanes"
Merde à la mort (x3)
{Refrain, x4}
Oublie le reste du monde
car le monde t'oublie toujours..
Le retour des beaux jours... Dans la rue, dans les parcs, dans l'air du moins...
"Il ne reste que quelques minutes à ma vie
Tout au plus quelques heures, je sens que je faiblis
Mon frère est mort hier au milieu du désert
Je suis maintenant le dernier humain de la terre
On m'a décrit jadis, quand j'étais un enfant
Ce qu'avait l'air le monde il y a très très longtemps
Quand vivaient les parents de mon arrière grand-père
Et qu'il tombait encore de la neige en hiver
En ces temps on vivait au rythme des saisons
Et la fin des étés apportait la moisson
Une eau pure et limpide coulait dans les ruisseaux
Où venaient s'abreuver chevreuils et orignaux
Mais moi je n'ai vu qu'une planète désolante
Paysages lunaires et chaleur suffocante
Et tous mes amis mourir par la soif ou la faim
Comme tombent les mouches...
Jusqu'à c'qu'il n'y ait plus rien...
Plus rien...
Plus rien...
Il ne reste que quelques minutes à ma vie
Tout au plus quelques heures, je sens que je faiblis
Mon frère est mort hier au milieu du désert
Je suis maintenant le dernier humain de la terre
Tout ça a commencé il y a plusieurs années
Alors que mes ancêtres étaient obnubilés
Par des bouts de papier que l'on appelait argent
Qui rendaient certains hommes vraiment riches et puissants
Et ces nouveaux dieux ne reculant devant rien
Étaient prêts à tout pour arriver à leur fins
Pour s'enrichir encore ils ont rasé la terre
Pollué l'air ambiant et tari les rivières
Mais au bout de cent ans des gens se sont levés
Et les ont avertis qu'il fallait tout stopper
Mais ils n'ont pas compris cette sage prophétie
Ces hommes là ne parlaient qu'en termes de profits
C'est des années plus tard qu'ils ont vu le non-sens
Dans la panique ont déclaré l'état d'urgence
Quand tous les océans ont englouti les îles
Et que les innondations ont frappé les grandes villes
Et par la suite pendant toute une décennie
Ce fut les ouragans et puis les incendies
Les tremblements de terre et la grande sécheresse
Partout sur les visages on lisait la détresse
Les gens ont dû se battre contre les pandémies
Décimés par millions par d'atroces maladies
Puis les autres sont morts par la soif ou la faim
Comme tombent les mouches...
Jusqu'à c'qu'il n'y air plus rien...
Plus rien...
Plus rien...
Mon frère est mort hier au milieu du désert
Je suis maintenant le dernier humain de la terre
Au font l'intelligence qu'on nous avait donnée
N'aura été qu'un beau cadeau empoisonné
Car il ne reste que quelques minutes à la vie
Tout au plus quelques heures, je sens que je faiblis
Je ne peux plus marcher, j'ai peine à respirer
Adieu l'humanité...
Adieu l'humanité..." (source)
2005 : rejet français de la Constitution européenne
2006 : putain d'insomnie, et le reste aussi d'ailleurs
Site de foot oblige : le Heysel
"Le drame du Heysel, survenu le 29 mai 1985 à Bruxelles en Belgique, est l'une des tragédies les plus marquantes liées à une manifestation sportive. Il eu lieu à l'occasion de la finale de Coupe des clubs champions européens 1984-1985 entre le Liverpool Football Club et la Juventus Football Club.
Ce mercredi soir, plus de 60 000 personnes doivent assister à la finale dans l'enceinte du stade du Heysel. Les conditions de sécurité et de confort sont inexistantes, et en raison de nombreuses failles dans le système de contrôle, plusieurs milliers de fans sans billets ont transformé l'enceinte en boîte de sardine.
La tribune des fans des Reds est séparée du fameux Bloc Z par un no man's land d'une quinzaine de mètres. Vers 19h10, plus d'une heure avant le début programmé de la rencontre, la tension entre supporters des deux clubs monte d'un cran, se traduisant d'abord par des insultes et des jets d'objets divers. Des fans de Liverpool chargent en direction des gradins du bloc Z, qui devaient être occupé par des Belges neutres mais où se trouve de nombreux tifosi italiens. Quelques gendarmes postés dans un couloir de séparation entre les deux groupes sont rapidement débordés. L'essentiel des forces de l'ordre belges se trouve alors à l'extérieur du stade. À noter que les incidents furent insignifiants en ville.
Vers 19h20, une centaine d'Anglais envahissent la tribune des Italiens. C'est une prise de tribune, typique de la culture hooligan. Sous la poussée, les Italo-Belges qui n'ont pas l'habitude de ces pratiques réservées jusque là aux îles britanniques reculent et se replient vers l'autre extrémité de la tribune causant une bousculade. En bas des gradins, des portes donnant accès à la pelouse sont fermées. Les forces de police présentes sur la pelouse repoussent même des spectateurs qui tentent de fuir par la pelouse. Le piège est en place. Les grilles de séparation et un muret s'effondrent. Des dizaines de personnes sont piétinées et le bilan est lourd : 39 morts au total : 34 Italiens, 2 Belges, 2 Français et un Britannique.
Les tifosi de la Juve, Fighters en tête, qui suivent les évènements depuis la tribune opposée, tentent alors d'envahir le terrain afin d'aller en découdre avec les fans anglais. Pas franchement pacifiques, ces Ultras avaient apposé une bâche géante le long des grillage « Reds = Animals ». La police belge intervient et évite de peu l'affrontement direct. Un fan italien exhibe même un pistolet et le pointe en direction des policiers belges. Les télévisions de l'Europe entière diffusent ces images en direct. Elles ont un impact considérable, même si les décryptages qui en sont faits sont souvent erronés. À noter l'existence d'un reportage important de la Télévision Suisse Romande qui avait une équipe de tournage au coeur de l'action.
Vers 21h30, les capitaines des deux formations lancent un appel au calme. Quelques minutes plus tard, les deux équipes entrent sur le terrain. Selon l'UEFA, un report du match aurait risqué de raviver la violence. La Juventus l'emportera sur le score d'un but à zéro, marqué par Michel Platini sur penalty accordé pour une faute commise sur Zbigniew Boniek quelques cinq mètres au-dehors de la surface de réparation, ce qui donna la sensation que le match suivait une espèce de "scénario" pour éviter la prolongation.
Depuis le stade du Heysel a été rénové et rebaptisé stade Roi-Baudouin.
La justice belge condamna lourdement les autorités responsables d'avoir autorisé la tenue d'un match dans une enceinte vétuste. L'UEFA met dans la foulée en place toute une batterie de normes strictes avec obligation des places assises et interdit pendant cinq ans tous les clubs anglais de participation en Coupes d'Europe. Liverpool est interdit de Coupe d'Europe pendant 10 ans, peine finalement réduite à 7 ans. Il faudra toutefois attendre le drame de Sheffield en 1989 pour voir la mise en place en Angleterre d'une politique cohérente au niveau de la sécurité et du confort des spectateurs. En France, c'est le drame de Bastia (1992) qui pousse la Ligue à rendre les places assises obligatoires. En Italie, le problème n'a jamais vraiment été traité, et les stades italiens figurent aujourd'hui parmi les moins sûrs d'Europe." (source)
"Je suis pendu à votre cou dans les plus beaux de mes rêves mais je ne me réveille jamais près de vous et j'en crève" (Cali)
"Hold on to me love
you know I can't stay long
all I wanted to say was I love you and I'm not afraid, Oh!
can you hear me?
can you feel me in your arms?
Holding my last breath
safe inside myself
are all my thoughts of you
sweet raptured light it ends here tonight
I'll miss the winter
a world of fragile things
look for me in the white forest
hiding in a hollow tree(come find me)
I know you hear me
I can taste it in your tears
Holding my last breath
safe inside myself
are all my thoughts of you
sweet raptured light it ends here tonight
Closing your eyes to disappear
you pray your dreams will leave you here
but still you wake and know the truth
no one's there
Say goodnight
don't be afraid
calling me calling me as you fade to black
(Say goodnight...)
Holding my last breath
(don't be afraid...)
safe inside myself
(calling me calling me as you fade to black)
are all my thoughts of you
(sweet raptured light) it ends here tonight
Holding my last breath...
safe inside myself...
are all my thoughts of you...
sweet raptured light it ends here tonight...
« Le passé ne sera jamais une espérance : on ne regarde pas devant soi dans un rétroviseur » (Jean Dorst)
A présent, l'avenir...
"A long time ago came a man on a track
Walking thirty miles with a pack on his back
And he put down his load where he thought it was the best
Made a home in the wilderness
He built a cabin and a winter store
And he ploughed up the ground by the cold lake shore
And the other travellers came riding down the track
And they never went further, no, they never went back
Then came the churches then came the schools
Then came the lawyers then came the rules
Then came the trains and the trucks with their loads
And the dirty old track was the telegraph road
Then came the mines - then came the ore
Then there was the hard times then there was a war
Telegraph sang a song about the world outside
Telegraph road got so deep and so wide
Like a rolling river. . .
And my radio says tonight its gonna freeze
People driving home from the factories
Theres six lanes of traffic
Three lanes moving slow. . .
I used to like to go to work but they shut it down
I got a right to go to work but theres no work here to be found
Yes and they say were gonna have to pay whats owed
Were gonna have to reap from some seed thats been sowed
And the birds up on the wires and the telegraph poles
They can always fly away from this rain and this cold
You can hear them singing out their telegraph code
All the way down the telegraph road
You know Id sooner forget but I remember those nights
When life was just a bet on a race between the lights
You had your head on my shoulder you had your hand in my hair
Now you act a little colder like you dont seem to care
But believe in me baby and Ill take you away
From out of this darkness and into the day
From these rivers of headlights these rivers of rain
From the anger that lives on the streets with these names
cos Ive run every red light on memory lane
Ive seen desperation explode into flames
And I dont want to see it again. . .
>from all of these signs saying sorry but were closed
All the way down the telegraph road" (source)
"And isn't it ironic... don't you think
A little too ironic... and yeah I really do think..."
Alanis was right...
La cigale , ayant chanté
Tout l'été,
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue.
Pas un seul petit morceau
De mouche ou de vermisseau
Elle alla crier famine
Chez la fourmi sa voisine,
La priant de lui prêter
Quelque grain pour subsister
Jusqu'à la saison nouvelle
«Je vous paierai, lui dit-elle,
Avant l'oût , foi d'animal,
Intérêt et principal .»
La fourmi n'est pas prêteuse ;
C'est là son moindre défaut.
«Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle à cette emprunteuse.
Nuit et jour à tout venant
Je chantais, ne vous déplaise.
- Vous chantiez ? j'en suis fort aise.
Eh bien : dansez maintenant.»
Après avoir massacré Juju, dézingué Lulu et décapité JC, Jaja pète les fenêtres de l'open space et sabre le champagne. Il reçoit le Prix, c'est lui le Prési.
Si vraiment il ne peut en rester qu'un... pourvu que ce ne soit pas celui-là.
Princes of the Universe ?
Oui, bon, c'était histoire de faire mon jeu de mot débile...
"Alea jacta est est une locution latine signifiant « le sort en est jeté ». Selon Suétone[1], ces paroles furent prononcées par César, le 10 janvier -49 lors du passage du Rubicon. Cette rivière marquait la limite qu'aucune armée ne devait franchir. Un tel acte étant contraire à la loi et considéré comme un acte d'agression. Sommé de remettre ses légions au sénat et de rentrer en Italie en tant que civil ordinaire, César décida de braver la puissance du Sénat romain et surtout celle de Pompée, consul unique.
Tout d'abord hésitant face à l'énormité de son entreprise, il prit sa décision suite à un signe miraculeux [2] qui lui donna le courage de « franchir le Rubicon » (ici au sens propre, mais c'est une expression signifiant avoir franchi le point de non-retour). César, franchissant à son tour le pont sur le Rubicon avec ses légions, prononça alors la célèbre phrase : « Alea jacta est ». Ce faisant il déclenchait la guerre civile" (source)
Retur des promenades matinales et déjà printanières...
"On se demande parfois si la vie a un sens... et puis on rencontre des êtres qui donnent un sens à la vie"
"C'était sur une grande route, j'marchais là d'puis des jours
Voire des s'maines ou des mois, j'marchais là d'puis toujours
Une route pleine de virages, des trajectoires qui dévient
Un ch'min un peu bizarre, un peu tordu comme la vie
Evidemment j'étais pas tout seul, j'avais envie d'faire connaissance
Y'avait un tas d'personnes et personne marchait dans l'même sens
Alors j'continuais tout droit mais un doute s'est installé
Je savais pas c'que j'foutais là, encore moins où j'devais aller
Mais en ch'min au fil du temps j'ai fait des sacrées rencontres
Des trucs impressionants, faut absolument qu'j'vous raconte
Ces personnages que j'ai croisé c'est pas vraiment des êtres humains
Tu peux parler avec eux mais jamais leur serrer la main
Tout d'abord sur mon parcours j'ai rencontré l'innocence
Un être doux, très gentil mais qui manque un peu d'expérience
On a marché un p'tit moment, moins longtemps que c'que j'aurais cru
J'ai rencontré d'autres éléments et l'innocence a disparue
Un moment sur mon ch'min, j'ai rencontré le sport
Un mec physique, un peu grande gueule mais auprès d'qui tu d'viens fort
Pour des raisons techniques on a du s'quitter c'était dur
Mais finalement c'est bien comme ça, puis l'sport ça donne des courbatures
J'ai rencontré la poésie, elle avait un air bien prétentieux
Elle prétendait qu'avec les mots on pouvait traverser les cieux
J'lui ai dit j't'ai d'jà croisée et franchement tu vaux pas l'coup
On m'a parlé d'toi à l'école et t'avais l'air vraiment relou
Mais la poésie a insisté et m'a rattrapé sous d'autres formes
J'ai compris qu'elle était cool et qu'on pouvait braver ses normes
J'lui ai d'mandé tu penses qu'on peux vivre ensemble ? J'crois qu'j'suis accroc
Elle m'a dit t'inquiêtes le monde appartient à ceux qui rêvent trop
Puis j'ai rencontré la détresse et franchement elle m'a saoulé
On a discuté vite fait mais rapidement je l'ai r'foulée
Elle a plein d'certitudes sous ses grands airs plein d'tension
Mais vous savez quoi ? La détresse, elle a pas d'conversations
Un moment sur ma route j'ai rencontré l'amour
J'lui ai dit tient tu tombes bien, j'veux t'parler d'puis toujours
Dans l'absolu t'es une bonne idée mais dans les faits c'est un peu nul
Tu pars en couille une fois sur deux faudrait qu'tu r'travaille ta formule
L'amour m'a dit écoute petit ça fait des siècles que j'fais mon taff
Alors tu m'parles sur un autre ton si tu veux pas t'manger des baffes
Moi j'veux bien être gentille mais faut qu'chacun y mette du sien
Les humains n'font aucun effort et moi j'suis pas un magicien
On s'est embrouillé un p'tit moment et c'est là qu'j'me suis rendu compte
Que l'amour était sympa mais que quand même il s'la raconte
Puis il m'a dit qu'il d'vait partir, il avait des rendez-vous par centaine
Que ce soir il d'vait diner chez sa d'mi-soeur : la haine
Avant d'partir j'ai pas bien compris, il m'a conseillé d'y croire toujours
Puis s'est éloigné sans s'retourner, c'était mes derniers mots d'amour
J'suis content d'l'avoir connu, ça j'l'ai bien réalisé
Et je sais qu'un d'ces quatre on s'ra amené à s'recroiser
Un peu plu stard sur mon ch'min j'ai rencontré la tendresse
Ce qui reste de l'amour derrière les barrières que le temps dresse
Un peu plus tard sur mon ch'min j'ai rencontré la nostalgie
La fiancée des bons souvenirs qu'on éclaire à la bougie
Assez tôt sur mon parcours j'avais rencontré l'amitié
Et jusqu'à c'jour, elle marche toujours à mes côtés
Avec elle j'ma tape des barres et on connait pas la routine
Maintenant c'est sûr, l'amitié, c'est vraiment ma meilleure copine
J'ai rencontré l'avenir mais il est resté très mystérieux
Il avait la voix déformée et un masque sur les yeux
Pas moyen d'mieux l'connaitre, il m'a laissé aucune piste
Je sais pas à quoi il r'semble mais au moins j'sais qu'il existe
J'ai rencontré quelques peines, j'ai rencontré beaucoup d'joie
C'est parfois une question d'chance, souvent une histoire de choix
J'suis pas au bout d'mes surprises, là d'sus y'a aucun doute
Et tous les jours je continue d'apprendre les codes de ma route
C'était sur une grande route, j'marchais là d'puis des jours
Voire des s'maines ou des mois, j'marchais là d'puis toujours
Une route pleine de virage, des trajectoires qui dévient
Un ch'min un peu bizarre, un peu tordu, un peu comme la vie." (source)
Comme prévu... Merci pour la leçon... Au suivant...
La réunion dure toute la journée, je lutte pendant des heures pour me concentrer et ne pas sombrer...
"My life is brilliant.
My love is pure.
I saw an angel.
Of that I'm sure.
She smiled at me on the subway.
She was with another man.
But I won't lose no sleep on that,
'Cause I've got a plan.
You're beautiful. You're beautiful.
You're beautiful, it's true.
I saw you face in a crowded place,
And I don't know what to do,
'Cause I'll never be with you.
Yeah, she caught my eye,
As we walked on by.
She could see from my face that I was,
F**king high,
And I don't think that I'll see her again,
But we shared a moment that will last till the end.
You're beautiful. You're beautiful.
You're beautiful, it's true.
I saw you face in a crowded place,
And I don't know what to do,
'Cause I'll never be with you.
You're beautiful. You're beautiful.
You're beautiful, it's true.
There must be an angel with a smile on her face,
When she thought up that I should be with you.
But it's time to face the truth,
I will never be with you."
Ou comment passer d'une manifestation culturelle avec des oeuvres d'art exposées sur les berges d'un canal au naufrage du Titanic...
"J'aurais voulu être un artiste
Pour pouvoir faire mon numéro
Quand l'avion se pose sur la piste
A Rotterdam ou à Rio
J'aurais voulu être un chanteur
Pour pouvoir crier qui je suis
J'aurais voulu être un auteur
Pour pouvoir inventer ma vie
Pour pouvoir inventer ma vie
J'aurais voulu être un acteur
Pour tous les jours changer de peau
Et pour pouvoir me trouver beau
Sur un grand écran en couleur
Sur un grand écran en couleur
J'aurais voulu être un artiste
Pour avoir le monde à refaire
Pour pouvoir être un anarchiste
Et vivre comme un millionnaire
Et vivre comme un millionnaire
J'aurais voulu être un artiste....
Pour pouvoir dire pourquoi j'existe"
Week end pascal sans orgie pourtant... C'est plein la tête, et pas plein la panse. Pense, pense...
"Une chaise renversée et mes jambes qui s'égarent,
Ton visage s'est inversé sous le plafond de ce bar
Une vie trop bien rangée apprivoise chaque soir,
L'imminence redoutée d'une chute obligatoire.
J'ai cette vie à l'endroit qui se dresse sans un pli,
Des rêveries à l'étroit qui se pressent dans l'oubli,
Je veux aimer à l'envers remarcher dans les faux pas,
De mes amours de travers qui me suivent pas à pas.
C'est vrai
Qu'on est mal assis là
Qu'on est mal assis là
Qu'on est mal assis là
Qu'on est mal assis.
Repasser dans le désert des errances d'autrefois,
Redevenir solitaire comme un oiseau vu d'en bas,
Quand j'aurais fait le chemin à rebours de mes déboires,
Je pourrais penser enfin au projet de me rasseoir.
C'est vrai
Qu'on est mal assis là
Qu'on est mal assis là
Qu'on est mal assis là
Qu'on est mal assis" (source)
"Quand le soleil s'éclipse, on en voit la grandeur"
C'est comme un choc. Le genre de spectacle qui fait s'arrêter, regarder, capturer...
Un peu plus et il n'y aurait rien d'autre... Qu'astres, comme ils disent au rugby...
"I've never seen you looking so gorgeous as you did tonight
I've never seen you shine so bright you were amazing
I've never seen so many people want to be there by your side
And when you turned to me and smiled, It took my breath away
I have never had such a feeling
Such a feeling of complete and utter love, as I do tonight
The way you look tonight
I never will forget, the way you look tonight
The lady in red
The lady in red..."
Un des plaisirs du matin en allant au boulot, c'est de percer la brume ambiante pour débouler la mine pas très fraîche (contrairement aux températures) au milieu des canards et de devoir s'arrêter pour les laisser passer joyeusement...
- Oh! chez moi, dit le petit prince, ce n'est pas très intéressant, c'est tout petit. J'ai trois volcans. Deux volcans en activité, et un volcan éteint. Mais on ne sait jamais.
- On ne sait jamais, dit le géographe.
- J'ai aussi une fleur.
- Nous ne notons pas les fleurs, dit le géographe.
- Pourquoi ça ! c'est le plus joli !
- Parce que les fleurs sont éphémères.
- Qu'est ce que signifie: "éphémère" ?
- Les géographies, dit le géographe, sont les livres les plus précieux de tous les livres. Elles ne se démodent jamais. Il est très rare qu'une montagne change de place. Il est très rare qu'un océan se vide de son eau. Nous écrivons des choses éternelles.
- Mais les volcans éteints peuvent se réveiller, interrompit le petit prince. Qu'est-ce que signifie "éphémère" ?
- Que les volcans soient éteints ou soient éveillés, ça revient au même pour nous autres, dit le géographe. Ce qui compte pour nous, c'est la montagne. Elle ne change pas.
- Mais qu'est-ce que signifie "éphémère" ? répéta le petit prince qui, de sa vie, n'avait renoncé à une question, une fois qu'il l'avait posée.
- Ça signifie "qui est menacé de disparition prochaine".
- Ma fleur est menacée de disparition prochaine ?
- Bien sûr.
Ma fleur est éphémère, se dit le petit prince, et elle n'a que quatre épines pour se défendre contre le monde ! Et je l'ai laissée toute seule chez moi !
Ce fut là son premier mouvement de regret. Mais il reprit courage:
- Que me conseillez-vous d'aller visiter ? demanda-t-il.
- La planète Terre, lui répondit le géographe. Elle a une bonne réputation...
Et le petit prince s'en fut, songeant à sa fleur." (Le petit prince)
"Salut toi l'étoile filante
Ici-bas c'est le petit prince
Entends-tu les sirènes chantent
Le souffle de la fin qui vient
Combien de nuits que je te suis
Et les ailes n'ont pas poussé
Puisque cette nuit c'est écrit
Je m'en vais
Adieu mon amour perdu
Mais que la paix nous sauve enfin
Oh non ne pleure pas mon ange
Non ce n'était qu'un mauvais rêve
Mais tu sais qu'en ces jours étranges
Le monde crève
Adieu mon amour perdu
Mais que la paix nous sauve enfin
Un jour" (source)
Le Temps nous égare
Le Temps nous étreint
Le Temps nous est gare
Le Temps nous est train (Prévert)
"Le Verseau, onzième signe du Zodiaque, est gouverné par Uranus et Saturne. Symboliquement, le signe du Verseau est représenté par un archange replié qui tient deux urnes, l'une en or et l'autre en argent, d'où s'échappe l'eau, source de vie spirituelle. Ce symbolisme fait de lui un guide pour l'humanité, un éclaireur pour les conquérants et les chercheurs de la Lumière et de la Vérité afin d'assurer le bonheur aux générations futures.
Tempérament
De type sanguin, correspondant à l'élément air (chaud et humide), le natif du Verseau est avant tout un être doté d'une intelligence exceptionnelle, d'un magnétisme inégalé, d'une intuition extraordinaire et d'un idéalisme positif qu'il sait communiquer à tout son entourage. Il se fait remarquer par son allure rapide et ses idées originales sinon avant-gardistes teintées d'une note d'excentricité.
Description physique
Généralement, le natif du Verseau se distingue par sa taille assez grande, son corps solide et résistant. Sa complexion sanguine dépeint admirablement un visage long, accentué par un front large et bien développé indiquant fortement la nature cérébrale de ce signe. Les yeux bleu azur décorent joyeusement cette jolie figure couronnée de cheveux blonds ondulés.
Comportement général
Le Verseau endosse un caractère fort et une personnalité très puissante qui n'accepte pas les demi-mesures; ses opinions sont franches et directes, manquent quelquefois de souplesse mais demeurent très originales. De plus, ce natif regorge de qualités remarquables qui indubitablement magnétisent consciemment ou inconsciemment les personnes qui le côtoient; on peut alors remarquer chez lui son altruisme, sa grande curiosité, son impressionnantes intuition et ses remarquables conceptions originales. En outre, c'est un être parfois difficile à découvrir et à classifier justement à cause de son modernisme avancé. Cependant, grâce à son esprit de fraternité et son humanisme, il se classe dans une catégorie de gens dont le but ultime devient l'amour universel.
En amour
Le natif du Verseau affiche une nature ni très émotive ni très sensuelle, puisqu'il est d'abord et avant tout un intellectuel et un cérébral. Cependant, il est capable d'aimer profondément, sincèrement et surtout avec une grande fidélité ceux qu'il estime. Si toutefois, il développe un esprit d'indépendance outré, alors sa fidélité devient quelque peu précaire faisant de lui un personnage redouté pour ses extravagances et ses frivolités. Mais, il n'en demeure pas moins qu'il apprécie particulièrement les petites fantaisies amoureuses de son partenaire et affectionne une vie aventureuse, quelquefois même bohème, où règne le changement dans ses habitudes quotidiennes. En résumé, c'est un être rempli de charme et de magnétisme qui se fait un devoir de se faire aimer et apprécier de tous.
[...]
L'homme Verseau
L'homme Verseau désire une femme qui soit digne de combler tous ses besoins et exigences, c'est-à-dire qu'elle soit femme, mère, amie et amante, car celui-ci s'avère un amoureux très attachant. Cependant, il fait surtout en sorte que sa compagne évite de chagriner sa nature idéaliste et quelque peu orgueilleuse en aiguisant sa jalousie, car ses amitiés et ses amours sont très importantes pour lui; qui ne connaît pas de demi-mesures ? Ce majestueux personnage fait généralement un bon époux qui offre à sa famille les commodités les plus modernes que plusieurs femmes envient. En retour, il exige de son épouse beaucoup d'originalité dans son mode de pensée et lui demande d'être très innovatrice sur le plan sentimental.
En affaires
Le natif du Verseau a une remarquable facilité d'assimilation, une extraordinaire intelligence assoiffée de connaissances qui l'entraîne vers toutes les manifestations scientifiques, artistiques et philosophiques. Dans tous les domaines, il s'exécute avec brio grâce à ses idées typiquement originales et ultra-modernes; c'est donc le plus illustre pionnier du modernisme. Il se passionne pour tout ce qui peut éblouir et épanouir son potentiel de créativité; il s'alimente de formules contemporaines susceptibles d'assouvir ses illustres aspirations. Ce pittoresque personnage sans idée préconçue se débrouille adroitement dans n'importe quel métier où il peut mettre en évidence toute sa créativité et son originalité au service d'autrui. Sur le plan financier, son étonnante intuition lui permet d'opérer d'importantes transactions financières susceptibles d'augmenter considérablement son revenu et de lui faire atteindre les plus hauts sommets de la célébrité et de la richesse. Cependant, sa conception de la vie fait briller en lui une flamme ardente d'amour humanitaire, lui fait disperser une partie de ses biens pour venir en aide aux moins fortunés." (source)
Dans une phrase, l'inversion est une construction qui n'est pas conforme à l'ordre habituel des mots. Un mot ou un groupe de mots a été déplacé. Exemple : l'inversion du sujet dans la phrase. Cela vaut également pour les idées, et peut parfois avoir des conséquences inattendues...
Mais tout n'est finalement qu'une question de point de vue ou d'interprétation... L'important étant de se réveiller et de rétablir l'ordre...
"How can you see into my eyes like open doors
leading you down into my core
where I've become so numb without a soul my spirit sleeping somewhere cold
until you find it there and lead it back home
(Wake me up)
Wake me up inside
(I can't wake up)
Wake me up inside
(Save me)
call my name and save me from the dark
(Wake me up)
bid my blood to run
(I can't wake up)
before I come undone
(Save me)
save me from the nothing I've become
now that I know what I'm without
you can't just leave me
breathe into me and make me real
bring me to life
(Wake me up)
Wake me up inside
(I can't wake up)
Wake me up inside
(Save me)
call my name and save me from the dark
(Wake me up)
bid my blood to run
(I can't wake up)
before I come undone
(Save me)
save me from the nothing I've become
Bring me to life
(I've been living a lie, there's nothing inside)
Bring me to life
frozen inside without your touch without your love darling only you are the life among the dead
all this time I can't believe I couldn't see
kept in the dark but you were there in front of me
I've been sleeping a thousand years it seems
got to open my eyes to everything
without a thought without a voice without a soul
don't let me die here
there must be something more
bring me to life
(Wake me up)
Wake me up inside
(I can't wake up)
Wake me up inside
(Save me)
call my name and save me from the dark
(Wake me up)
bid my blood to run
(I can't wake up)
before I come undone
(Save me)
save me from the nothing I've become
(Bring me to life)
I've been living a lie, there's nothing inside
(Bring me to life)" (source)
Trois hamburgers se promènent dans les bois... Tout à coup, l'un d'eux se retrouve seul... Il cherche ses amis, encore et encore, et ils réapparaissent tout à coup :
- où vous étiez ??
- bah on steak haché...
Pam pastèque !
Bon vu que tout cela est plutôt haché et complètement n'importe quoi, limite confusant comme dirait l'autre, passons de la tapette géante à la gastro savoyarde, parodie banlieusarde à la mode chez les cheunes anonymes...
"Ouais gros !
C'est Fatal Bazooka,
Quand c'est l'hiver,
Quand ça fait froid,
Qu'une chose à faire, gars,
Ecoute ça !
Représente le hardcore des montagnes
En direct de la savoie
(savoie ou bien ?)
Non ça va pas
Mec c'est l'pole nord
On s'gèle les grelots
Bordel y fait plus froid qu'dans ton frigo
Un pied dehors direct, c'est la pharingyte
La morve au nez, les microbes qui s'agitent
Alors écoute avant qu'y s'ra trop tard
Avant que tu s'ras tout dur comme un surgelé picard
On est pas v'nu pour jouer les papas poules,
Mais un conseil, mon gars,
Fous ta cagoule !
Fous ta cagoule
Fous ta cagoule
Ou t'auras froid, t'auras les glandes, t'auras les boules !
Fous ta cagoule, ouais !
Fous ta cagoule
La chair de poule, le nez qui coule, fous ta cagoule !
Fous ta cagoule
Fous ta cagoule
Du nord au sud, de l'est à l'ouest, même à Vesoul
Fous ta cagoule, ouais !
Fous ta cagoule
Sauf à Kaboul, sauf à Kaboul !
Ouais dis leur toi aussi, profanation fonky
En direct des quartiers de marseille
Dans ma ville, on craint dégun
Fracasse les estrasses sur instru yo le rat frère en même temps toujours froid aux mains
Contrebande, façon 90 dans la légende
Mange du cagnard !
Ici on joue au foot et pas au hand
Franchement,
J'serre les dents
Comme yves montand
Qui r'pousse le pousse-mousse du mistral dans le vent
Planète mars, représente la cagoule, sans un franc,
cinq francs trente et deux qui nous font cent...
(Break) : hé mais ho t'es au courant qu'on comprend rien à ce que tu dis ?
quoi, keskya tu m'engraines ?
non mais c'est pas ça, mais on a message précis, tu vois, c'est...
Fous ta cagoule
Fous ta cagoule
Ou t'auras froid, t'auras les glandes, t'auras les boules !
Fous ta cagoule, ouais !
Fous ta cagoule
La chair de poule, le nez qui coule, fous ta cagoule !
Fous ta cagoule
Fous ta cagoule
Du nord au sud, de l'est à l'ouest, même à Vesoul
Fous ta cagoule, ouais !
Fous ta cagoule
Sauf à Kaboul, sauf à Kaboul !
(break slam) J'voudrais jeter un slam pour cette maladie qui, l'hiver, l'anus m'irrite
Un virus venu du froid, qu'on appelle gastro entérite
La prochaine fois je mettrais ma cagoule
J'mettrai ma cagoule sur l'BIP
Pour pas me géler les BIIIIP
Espece de fils de BIP
Mais qu'est-ce qui faut que j'foute
Ç a fait quinze fois qu'j'te l'dis, pauv' BIP
Fous ta cagoule !
Mais qu'est-ce que tu BIIP,
T'es en train de BIP dans ma cagoule !
Elle me gratte commme un frotis dans la BIP à ta mère
Elle me donne de l'érythème, j'ai les BIP qui saignent
J'aurais pu dire fous ton bonnet, fous ton bonnet mais c'est moins cool
Que c'putain d'slogan, fous ta cagoule !
Fous ta cagoule
Fous ta cagoule
Ou t'auras froid, t'auras les glandes, t'auras les boules !
Fous ta cagoule, ouais !
Fous ta cagoule
La chair de poule, le nez qui coule, fous ta cagoule !
Fous ta cagoule
Fous ta cagoule
Du nord au sud, de l'est à l'ouest, même à Vesoul
Fous ta cagoule, ouais !
Fous ta cagoule
Sauf à Kaboul, sauf à Kaboul !
Ouais gars, c'est l'bazooka, B.A.Z...heu
En tout cas respect à Porte Blindée, Menstruations douloureuses
Pandi Panda ainsi que Pitbull de flipper
Coups de couteau dans la glotte et bien sur Canon à Neige, Bang Bang !
Fous ta cagoule
Fous ta cagoule
Ou t'auras froid, t'auras les glandes, t'auras les boules !
Fous ta cagoule, ouais !
Fous ta cagoule
La chair de poule, le nez qui coule, fous ta cagoule !
Fous ta cagoule
Fous ta cagoule
Du nord au sud, de l'est à l'ouest, même à Vesoul
Fous ta cagoule, ouais !
Fous ta cagoule
Sauf à Kaboul, sauf à Kaboul !" (source)
"Janvier est le mois où l'on offre ses meilleurs voeux à ses amis. Les autres mois sont ceux où ils ne se réaliseront pas"
"Tu bosses toute ta vie pour payer ta pierre tombale,
Tu masques ton visage en lisant ton journal,
Tu marches tel un robot dans les couloirs du metro,
Les gens ne te touchent pas, il faut faire le premier pas,
Tu voudrais dialoguer sans renvoyer la balle,
Impossible d'avancer sans ton gilet pare-balle.
Tu voudrais donner des yeux a la justice
Impossible de violer cette femme pleine de vices.
Antisocial, tu perds ton sang froid.
Repense a toutes ces annees de service.
Antisocial, bientot les annees de sevices,
Enfin le temps perdu qu'on ne rattrape plus.
Ecraser les gens est devenu ton passe-temps.
En les eclaboussant, tu deviens genant.
Dans ton desespoir, il reste un peu d'espoir
Celui de voir les gens sans fard et moins batards.
Mais cesse de faire le point, serre plutot les poings,
Bouge de ta retraite, ta conduite est trop parfaite
Releve la gueule, je suis la, t'es pas seul
Ceux qui t'enviaient, aujourd'hui te jugeraient.
Tu bosses toute ta vie pour payer ta pierre tombale,
Tu masques ton visage en lisant ton journal,
Tu marches tel un robot dans les couloirs du metro,
Les gens ne te touchent pas, il faut faire le premier pas,
Tu voudrais dialoguer sans renvoyer la balle,
Impossible d'avancer sans ton gilet pare-balle.
Tu voudrais donner des yeux a la justice
Impossible de violer cette femme pleine de vices.
Antisocial, antisocial, antisocial, antisocial" (source)
- Tu sais... ma fleur... j'en suis responsable ! Et elle est tellement faible ! Et elle est tellement naïve. Elle a quatre épines de rien du tout pour la protéger contre le monde...
Moi je m'assis parce que je ne pouvais plus me tenir debout. Il dit:
- Voilà... C'est tout...
Il hésita encore un peu, puis il se releva. Il fit un pas. Moi je ne pouvais pas bouger.
Il n'y eut rien qu'un éclair jaune près de sa cheville. Il demeura un instant immobile. Il ne cria pas. Il tomba doucement comme tombe un arbre. Ça ne fit même pas de bruit, à cause du sable." (source)
Le petit prince (chapitre 26)
"Mon corps me tient tête, me fait souvent l'affront,
De tourner les talons de partir à l'aveuglette.
Ce soir il se prête au rythme cadencé
Des villes en fête sous les néons bleutés,
Aux nuées, veloutées...
Dans la chaleur des nuits de pleine lune
Insomnie envoûtante
Dans la chaleur des nuits de pleine lune
Sous le regard des chiens qui dorment à moitié,
Les femmes se font vamps, les hommes se font loups,
Chacun sa chacune, chacun son rendez-vous,
A l'heure où l'on ose révéler sa face cachée
Aux beautés indomptées...
Dans la chaleur des nuits de pleine lune
Insomnie envoûtante
Dans la chaleur des nuits de pleine lune
Dans la chaleur, dans la chaleur
Des nuits de pleine lune
Loin de là ma tête s'effraye de l'orage,
Y va de ses leçons et me tient en otage,
Mais mon corps obstiné entre dans le dédale,
Dans la danse tribale s'abandonne et se dévoile,
Tant que durent les étoiles...
Dans la chaleur des nuits de pleine lune
Insomnie envoûtante
Dans la chaleur des nuits de pleine lune" (source)
Pauline Croze, Dans la chaleur des nuits de pleine lune
Mais alors le mardi, je vous raconte pas. Rire gras, sans surprise...
"She was born in November 1963
The day Aldous Huxley died
And her mama believed
That everyone could be free
So her mama got high high high
And her daddy marched on Birmingham
Singing mighty protest songs
And he pictured all the places
Where he knew that she'd belong
He failed and taught her young
The only thing she'd need to know
To carry on
He taught her how to
Run baby run baby run baby run
Past the arms of the familiar
And their talk of better days
To the comfort of the strangers
Slipping out before they say
So long
Baby loves to run
She counts out all her money
In the taxi on the way to meet her plane
Stares hopeful out the window
At the workers fighting
Through the pouring rain
She's searching through the stations
For an unfamiliar song
And she pictures all the places
Where she knows she still belongs
And she smiles the secret smile
Because she knows exactly how
To carry on
So run baby run baby run baby run
From the old familiar faces and
Their old familiar ways
To the comfort of the strangers
Slipping out before they say
So long
Baby loves to run" (source)
"La proposition parut choquer le petit prince:
- L'attacher ? Quelle drôle d'idée !
- Mais si tu ne l'attaches pas, il ira n'importe où, et il se perdra...
Et mon ami eut un nouvel éclat de rire:
- Mais où veux-tu qu'il aille !
- N'importe où. Droit devant lui...
Alors le petit prince remarqua gravement:
- Ça ne fait rien, c'est tellement petit, chez moi !
Et, avec un peu de mélancolie, peut-être, il ajouta:
- Droit devant soi on ne peut pas aller bien loin... "
"Le petit prince était maintenant tout pâle de colère.
- Il y a des millions d'années que les fleurs fabriquent des épines. Il y a des millions d'années que les moutons mangent quand même les fleurs. Et ce n'est pas sérieux de chercher à comprendre pourquoi elles se donnent tant de mal pour se fabriquer des épines qui ne servent jamais à rien ? Ce n'est pas important la guerre des moutons et des fleurs ? Ce n'est pas plus sérieux et plus important que les additions d'un gros Monsieur rouge ? Et si je connais, moi, une fleur unique au monde, qui n'existe nulle part, sauf dans ma planète, et qu'un petit mouton peut anéantir d'un seul coup, comme ça, un matin, sans se rendre compte de ce qu'il fait, ce n'est pas important ça !
Il rougit, puis reprit:
- Si quelqu'un aime une fleur qui n'existe qu'à un exemplaire dans les millions et les millions d'étoiles, ça suffit pour qu'il soit heureux quand il les regarde. Il se dit: "Ma fleur est là quelque part..." Mais si le mouton mange la fleur, c'est pour lui comme si, brusquement, toutes les étoiles s'éteignaient ! Et ce n'est pas important ça !
Il ne put rien dire de plus. Il éclata brusquement en sanglots. La nuit était tombée. J'avais lâché mes outils. Je me moquais bien de mon marteau, de mon boulon, de la soif et de la mort. Il y avait, sur une étoile, une planète, la mienne, la Terre, un petit prince à consoler ! Je le pris dans les bras. Je le berçai. Je lui disais: "La fleur que tu aimes n'est pas en danger... Je lui dessinerai une muselière, à ton mouton... Je te dessinerai une armure pour ta fleur... Je..." Je ne savais pas trop quoi dire. Je me sentais très maladroit. Je ne savais comment l'atteindre, où le rejoindre... C'est tellement mystérieux, le pays des larmes."
Retour au quotidien... Un peu plus déboussolé peut-être...
"Car dans cet ailleurs insaisissable, la rencontre de l'autre, en fait du même, rassure. C'est l'oasis de compréhension au milieu de l'Océan Solitude. Pourtant, il faut bien admettre que Charlotte et Bob ne s'échangent que peu de mots. Leur amitié amoureuse se construit sur des regards, des gestes tendres et attentionnés, de la complicité, de l'écoute, de la liberté, cet échange magique et silencieux qui semble avoir déserté leurs quotidiens bien cadrés. La sourde alchimie se précipite alors sur une partition musicale très soignée, à laquelle ont notamment participé Air (déjà sur Virgin Suicides) et Kevin Shields. Bob et Charlotte semblent d'ailleurs tout aussi dépourvus face à cette rencontre inattendue, incapables de la traduire en mots, tout en sachant qu'ils ne s'oublieront jamais. Car même si elle change leur vie, cette rencontre se doit d'être éphémère, et c'est probablement aussi ce qui en fait sa beauté..." (source)
"I could feel at the time
There was no way of knowing
Fallen leaves in the night
Who can say where they're blowing
As free as the wind
And hopefully learning
Why the sea on the tide
Has no way of turning
It was fun for a while
There was no way of knowing
Like dream in the night
Who can say where we're going
No care in the world
Maybe I'm learning
Why the sea on the tide
Has no way of turning
I could feel at the time
There was no way of knowing
Fallen leaves in the night
Who can say where they're blowing
As free as the wind
And hopefully learning
Why the sea on the tide
Has no way of turning" (source)
More than this
Et la version chantée par Bill Murray en prime, sur le site of' : site (rubrique musique, sélectionner un extrait)
Du destin d'un couple de jeunes intrigants, de leur ascension, de manipulations et de duperies, à leur déchéance dans l'hostile société du football professionnel.
C'est l'histoire de...
... qui tombe et qui, au fur et à mesure de sa chute se répète pour se rassurer : "Jusqu'ici tout va bien, jusqu'ici tout va bien, jusqu'ici tout va bien." Mais ce qui compte c'est pas la chute. C'est l'atterrissage...
"Mangez-moi ! Mangez-moi ! Mangez-moi !
Mangez-moi ! Mangez-moi ! Mangez-moi !
C'est le chant du psylo qui supplie
Qui joue avec les âmes
Et ouvre les volets de la perception
Est-ce que c'est un bon ?
Mais non c'est pas un bon
Car y'a pas de téton
Et puis il est trop plat
Il n'a pas la bonne couleur
Ne nous décourageons pas
Ouvrons les oreilles et écoutons..."
Pas vraiment, plutôt strong la semaine, et on ne s'en plaint pas...
Le week end pourra-t-il être à la hauteur ?
"J'vis toujours des soirées parisiennes,
j'voudrais vivre des soirées belles à Sienne
et vivre au vent, à feu, à ccent, m'ouvrie au sang, tu mens...
Commencer par voir si l'amour bat son plein
et si Lucien, il a perdu son chagrin,
j'voudrais t'emmener au-dessus d'un volcan
brûler mes os faire transpirer mes sentiments
J'vis toujours des soirées parisiennes, j'voudrais vivre des soirées brésiliennes,
et t'emmener haut, t'saluer bas chanter des chansons,
chanter tout bas notre amour pour les quatre saisons...
Commencer par voir si c'est pour aujourd'hui
ou bien tout ça si c'est pas compris,
j'voudrais bénéficier de ton absence,
j'voudrais savoir pour ce soir...
Et j'vis toujours des soirées parisiennes,
j'voudrais vivre des soirées belles à Sienne." (source)
Brigadier Sabari, opération coup de poing, opération coup de poing, opération coût de points !
Citation: Je suis particulièrement inquiet de l'apparition dans le projet d'organigramme du Racing de Me Ralph Isenegger dans le rôle de conseiller sportif. Les objectifs de Me Isenegger me paraissent tout à fait incompatibles avec ceux du club. Il n'est pas irréaliste de supposer que ses objectifs pourraient même, à terme, aller à l'encontre de ceux de M. Fontenla qui lui, en tant qu'actionnaire du club, cherche à le valoriser.
(décembre 2009)
Citation: il n'a pas respecté les règles. Je ne ferai plus appel à lui
(Sur le cas Isenegger, votre position est-elle définitive ?)
Oui. Ses méthodes sont contestables. Ses résultats aussi.
(janvier 2010) (A. Fontenla)
Citation: Plessis peut-il réussir là où Fournier et Dayan ont échoué, donc avoir les coudées vraiment franches ? « J'en suis convaincu », prétend-il. Il compte ainsi réduire le champ d'action de Ralph Isenegger, l'avocat suisse au coeur du dossier depuis trois mois et demi et qui pourrait entrer au nouveau directoire.
(mars 2010)
Citation: Hilali souhaite organiser mercredi un match amical avec la réserve qui permettrait de tester une demi-douzaine de joueurs sélectionnés par ses soins. Ou peut-être par Adil El Barkaoui. Voire par l'avocat suisse Ralph Isenegger, revenu en cour.
Pas de turbulences en vol... Cela part de rien... Un après-midi libre... Une promenade... Un appareil-photo... L'oeil attiré sur un mur d'une église... Un clic, c'est dans la boîte...
Ensuite vient la recherche de l'idée...
Plutôt difficile, avouons-le, elle nous conduit d'abord à une critique plutôt amusante du film Pirates des Caraïbes, où l'on parle de counasse, de piècette d'or, de niais, de brouette, de perte de cheveux, de banquiers, de plan moisi, de forgeron et de mysoginie ! (ici !) Bref, on rigole assez, mais ça reste maigre comme inspiration...
On continue donc sa chasse au trésor, et on tombe sur un poème de Victor Hugo, Chanson de Pirates (ici !) qui relève le niveau littéraire, mais il faut bien le dire, s'avère bien moins marrant, même s'il est quand même question de violer la fille à un moment (ça, c'est pour récupérer ceux qui ne sont pas allés lire avant !)...
On largue donc à nouveau les amarres, et à force de voguer et de surfer, de passer par un monde imaginaire, des enfants qui refusent de grandir et des adultes qui deviennent des pirates, on tombe sur une perle (pas la Black Pearl !), le syndrome de Peter Pan.
Attention, inspection de peluches, moussaillons !!
"Exposez-vous à vos peurs les plus profondes ; après cela, la peur ne pourra plus vous atteindre" (Jim Morrison ?)
La voilà, cette fameuse semaine... En espérant qu'elle finira mieux qu'elle ne débutera...
En attendant, pour ceux qui ont le temps, faites donc un tour à l'expo sur l'histoire du Racing. Cela fera plaisir aux stubistes qui se sont impliqués dans ce projet, et c'est assez instructif...
"Ex-fan des sixties
petite Baby Doll
comme tu dansais bien le Rock 'n 'Roll
ex-fan des sixties
où sont tes années folles
que sont devenues toutes tes idoles -
où est l'ombre des Shadows
des Byrds, des Doors
des Animals
des Moo-
dy Blues
séparés Mac Cartney
Georges Harrison
et Ringo Starr
et John Lennon - ex-fan des sixties
petite Baby Doll
comme tu dansais bien le Rock 'n 'Roll
ex-fan des sixties
où sont tes années folles
que sont devenues toutes tes idoles -
Disparus Brian Jones
Jim Morrison
Eddy Cochran
Buddy
Holly
idem Jimi Hendrix
Otis Redding
Janis Joplin
T.Rex
Elvis" (source)