Info ou intox ? Mel Gibson se serait inspiré d'une bataille entre miniers lensois (consanguins ?) et hooligans parisiens à la plaine Saint-Denis pour tourner Braveheart.
"Every man dies. Not every man really lives..."
"L'homme qui réclame la liberté, c'est au bonheur qu'il pense."
(ce n'est pas du William Wallace ni du Dany Boon)
"Hier, j'étais un chien. Aujourd'hui, je suis un chien. Demain, je serai probablement toujours un chien. Bon sang ! Il est vraiment difficile d'obtenir de l'avancement !" (Snoopy)
(NDLR : cet artikle fait partie d'une série d'artikles au ton dékalé et résolument katrième degré élitiste. Achtung lire avec ultra prékaution et sans humour ultra)
Qu'on dénigre tes choix tu refuseras, mais des intérêts des autres tu t'amuseras.
La liberté d'expression tu revendiqueras, sauf quand contre toi elle s'appliquera.
Derrière l'ironie tu te réfugieras, quand des remarques tu récolteras.
Mais l'ironie des autres tu condamneras, car seule la tienne comptera.
Jamais de la majorité tu ne divergeras, sinon d'élitiste on te traitera.
L'équipe du site tu fustigeras, ceux qui travaillent pour les autres sont des scélérats.
Aucun article pour le stub tu n'écriras, des articles contre des stubistes tu rédigeras.
Avec plein de sourires aimer les autres tu diras, plus facilement sur eux tu cracheras.
Sur un autre site tu n'iras pas, il pourrait arriver qu'ici on ne te regrette pas.
Et sur le stub tu resteras, preuve qu'on n'y est pas si mal que ça.
:):-B:p
"A traffic jam when you're already late
A no-smoking sign on your cigarette break
It's like ten thousand spoons when all you need is a knife
It's meeting the man of my dreams
And then meeting his beautiful wife
And isn't it ironic... don't you think
A little too ironic... and yeah I really do think..."
Pas de blague, pas de photo...
Juste quelques extraits, par paresse, même s'ils n'expriment pas forcément la force de l'horreur...
"Shooting Dogs fait référence au seul moment de révolte du père Christopher, quand après avoir découvert les cadavres de soeurs violées et assassinées, celui-ci demande au capitaine Delon si les chiens qui dévorent les cadavres à la sortie de l'école et sur lesquels il s'apprête à faire tirer "pour des raisons sanitaires", lui ont préalablement tiré dessus, puisque le mandat de l'O.N.U. ne leur permet de faire usage de leurs armes qu'en cas de légitime défense.
[...]
Une journaliste de la B.B.C. que Joe est allé chercher, persuadé que "là où est la télévision, rien ne peut arriver", lui avoue qu'en Bosnie, quand elle voyait le cadavre d'une femme, elle pleurait parce qu'elle se disait que cette femme pourrait être sa mère, alors que là, ce ne sont que des Africains, et qu'elle a honte de ne pas pleurer. Quant au bouclier de la télé, il ne durera pas, puisque l'équipe partira dans les fourgons de la Légion..." (source 1)
"C'est aussi pour cela que le film atteint sa cible: il distille un malaise palpable, qui ne tient pas seulement à l'horreur de la situation mais nous renvoie à notre propre lâcheté. L'on a beau savoir que l'on n'est aucunement responsable des évènements ayant conduits au génocide rwandais, ou même de l'absence d'intervention des grandes puissances, rien n'y fait: le film laisse un goût amer dans la bouche. Un sentiment parfaitement stigmatisé durant un épilogue européen dont la sophistication répond de manière glaçante à la poussière, au sang et à la fureur des évènements qui ont précédé. Un voyage dont, à l'instar des protagonistes, on ne ressort pas indemne. Et n'en doutez pas, le choc risque d'être brutal lorsque vous ressortirez du cinéma à l'issue de la projection, et retrouverez les rues propres et bien éclairées d'une France dont la richesse et la garantie de sécurité vous paraîtront, par contraste, presque déplacées." (source 2)
Malgré la pluie persistante, l'horizon s'éclaircit, le feu s'éteint autour de la flamme. Et c'est même pas à cause d'un Chinois cette fois !
On se passe le flambeau, et là il est loin... Nos médias ont donc pu recentrer l'actualité autour de sujets enfin vitaux pour la démocratie et la survie de notre conscience occidentale, comme la carte SNCF famille nombreuse, la grogne lycéenne, les comptes du Medef, le remariage déjà consommé de Cécilia, la Champions League et autres broutilles environnementales...
Un peu plus et on allait faire des banderoles et des pétitions, eh...
Bordel, le Tibet a attendu 50 ans, il allait pas passer devant tout le monde comme ça hein, même les moines doivent faire la queue ! Et Ingrid aussi pour le coup, non mais...
« L'important c'est de participer »
Comme le Racing en fait...
« ça se passe pas comme ça devrait se passer »
Comme le Racing en fait...
"La tradition de la "Trêve olympique" ou "Ekecheiria" fut établie dans la Grèce antique au IXe siècle avant J.-C. par la signature d'un traité entre trois rois. Durant cette période de trêve, les athlètes, les artistes et leur famille, ainsi que les simples pèlerins pouvaient voyager en toute sécurité pour participer ou assister aux Jeux Olympiques puis retourner dans leurs pays respectifs. Alors que l'ouverture des Jeux Olympiques approchait, la trêve sacrée était proclamée et annoncée par les citoyens d'Elis, qui voyageaient à travers le monde grec pour diffuser ce message.
SA PERTINENCE AUJOURD'HUI
Prenant en compte la nouvelle réalité politique dans laquelle le sport et les Jeux Olympiques s'inscrivent, le Comité International Olympique (CIO) a décidé de faire revivre la tradition de la Trêve Olympique pour préserver, dans la mesure du possible, les intérêts des athlètes et du sport en général et pour contribuer à la recherche de solutions pacifiques et diplomatiques aux conflits qui sévissent dans le monde.
Par ce concept global et symbolique, le CIO a pour but de :
- susciter une prise de conscience et encourager les dirigeants politiques à oeuvrer en faveur de la paix ;
- mobiliser la jeunesse pour la promotion des idéaux olympiques ;
- établir des contacts entre des communautés en conflit ;
- fournir une aide humanitaire aux pays en guerre ;
Et plus généralement de :
- créer des occasions de dialogue, de réconciliation et de résolution des conflits. Les initiatives du CIO en faveur de la Trêve Olympique s'étendent au-delà de la période des Jeux Olympiques et ont conduit à la mise en oeuvre d'une série d'activités en faveur de la paix par le biais des Comités Nationaux Olympiques." (source)
Bienvenue en l'Alsace !
Les amateurs de Flammekueche n'ont peut-être pas droit au passage ardent de la bougie magique olympo-tibétaine (c'est pas fait pour les Douillet, ça s'éteint et se rallume tout le temps ce truc, pire qu'une mauvaise guirlande de Noël), mais en retour ils ont droit à un article incendiaire d'un journaliste qui s'enflamme. Le pyromane verbal tire à boulets rouges sur un public déjà bien carbonisé avec un article fait de briquet et de broc. Un brûlot de plus pour une presse qui consume doucement mais sûrement ses valeurs. Dommage...
Feu la presse... comme y disent en Chine en rechargeant...
Tiens, certains médias font pareil ici...
(Prototype inextinguible à l'essai dans les bus pékinois - Pourrait également servir à éclairer certaines plumes en manque d'inspiration)
"Beaucoup de mots, très peu d'humour, moitié pinson, moitié vautour
Ça dépend de l'heure et du jour, de l'édition et du tirage
Ils ont autant d'élan moral qu'ils ont de pages à leur journal
Ça fait du bien, ça fait du mal, ça dépend de leurs avantages
Ils vous habillent à leur façon, vous prêtent des déclarations
Vous coupent en deux ou trois tronçons, ils vous tuent puis ils vous éventrent
Ils racontent ce qu'ils ont su, d'un autre qui est bien connu
Un autre qui est très bien vu quand ils n'ont rien su ils inventent
Quand ils ont lu Tintin, Prévert, quand ils ont écrit quatre vers
On les consacre reporters dans la mode ou la politique
Quand ils n'ont plus assez d'idées on les met aux chiens égarés
Quand y'en a plus ils sont mutés, on les met aux rangs des critiques..."
On a retrouvé les images des dangereux terroristes du football strasbourgeois. Comme on le voit sur l'image, le kamikaze n'hésite pas à transpercer la foule de touristes en noir, bleu et blanc pour se jeter à terre, crampons vissés bien en évidence. Heureusement, la balle perdue n'a touché aucun pigeon qui nichait sous les toits, et surtout pas le gardien de la paix monégasque.
Mais un autre activiste a ensuite pris le relais en éteignant de son propre chef la flamme dans le coeur du public venu nombreux, avec une mine pas anti-personnelle qui a fait exploser son propre camp. Les amoureux de l'esprit sportif et des droits de l'OM sont en émoi.
Heureusement, l'incident n'a pas été relayé par les médias et la loi du sport a rapidement pas repris ses droits.
Les supporters parisiens auraient reconnu sur Al Jazeera leur défaite médiatique et le Tibet rit, sauf en politique à Paris, par définition.
Dura lex sed lex, comme on dit en bon mandarin.
A l'heure où l'ONU a été saisie et délaisse le Tibet pour se consacrer à la liberté d'expression sur le stub et l'envahissement des élites maoïstes dans certains sujets phares de la démocratie totalitaire de masse, faisons preuve de poésie...
Achtung aux clownés de passage et aux adeptes du RIP cloné, ce défilé coloré se veut apaisant...
N'expression, what else ?
"Colore le monde, sans feutre, sans épreuves ni bombes
Indolore les murs, et coule dans le fleuve la facture
En monnaie de singe, fraîche blanche comme le linge
A jamais répand du fard sur les hommes comme le temps
Colore la foule , colore mes veines
Chaque jour il me révèle
En chair de poule, en dieu du ciel
Et la foule sort de mes veines
Oui comme le temps est un ami
Il colore mon pays
Des dieux, mes soeurs j'en vois de toutes les couleurs
Pour des cieux, mes frères s'engagent sur des routes à l'envers
Mais là haut décide, fait le ménage fait le vide
Sur la peau répand du fard sur les hommes comme le temps..."
Minutieux : qui s'attache, s'arrête avec minutie aux détails.
Pourquoi mon oeil s'arrête-t-il sur certains détails ? Et pourquoi ceux-là à Munich ?
Je paie une bière à celui/celle qui pourrait me l'expliquer, ça me coûtera sans doute moins cher qu'un psy...
Quand des gorilles bavarois se mettent des tatanes pour s'amuser, c'est autrement plus impressionnant qu'une horde de sangliers hooligans sedanais et on est bien content d'être derrière le plexi à tester son appareil photos...
Le zoo reste décidément un excellent terrain de jeu photographique...
"Tout est un mensonge... Tout ce qu'on entend, tout ce qu'on voit... Il en dégueule de partout... ça n'arrête pas... un mensonge après l'autre..." (The thin red line)
56%.
Victoire.
Un seul round.
KO, pas chaos.
DVC les menteurs.
Le reste on s'en tamponne.
"Il est plus facile de faire la guerre que la paix" (Clémenceau)
"Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
Le Renard s'en saisit, et dit : "Mon bon Monsieur,
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l'écoute :
Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute."
Le Corbeau, honteux et confus,
Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus."
Quelques grammes de finesse dans un monde de murs brutes...
Des couleurs au nom, y a d'la poésie au coin d'la rue...
Pour ceux qui souhaitent s'affranchir un peu des habituels jouets en plastique chinois, il y a un petit magasin du même nom avec de jolis joujoux en bois...
Un des plaisirs du matin en allant au boulot, c'est de percer la brume ambiante pour débouler la mine pas très fraîche (contrairement aux températures) au milieu des canards et de devoir s'arrêter pour les laisser passer joyeusement...
"Quand le soleil s'éclipse, on en voit la grandeur"
C'est comme un choc. Le genre de spectacle qui fait s'arrêter, regarder, capturer...
Un peu plus et il n'y aurait rien d'autre... Qu'astres, comme ils disent au rugby...
"I've never seen you looking so gorgeous as you did tonight
I've never seen you shine so bright you were amazing
I've never seen so many people want to be there by your side
And when you turned to me and smiled, It took my breath away
I have never had such a feeling
Such a feeling of complete and utter love, as I do tonight
The way you look tonight
I never will forget, the way you look tonight
The lady in red
The lady in red..."