Rubrique à brac : la casa de kibitz



Le loco motive...

03/12/2006 09:54
523 lectures
Ou pas ! Así es la vida loca, loca, loca...

"Quand vous verrez la lumière au bout du tunnel, priez pour que ce ne soit pas le train"

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/01.09.2006-200...

"J'crois que les histoires d'amour c'est comme les voyages en train,
Et quand je vois tous ces voyageurs parfois j'aimerais en être un,
Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare,
Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard.

Les trains démarrent souvent au moment où l'on s'y attend le moins,
Et l'histoire d'amour t'emporte sous l'oeil impuissant des témoins,
Les témoins c'est tes potes qui te disent au revoir sur le quai,
Ils regardent le train s'éloigner avec un sourire inquiet,
Toi aussi tu leur fais signe et tu imagines leurs commentaires,
Certains pensent que tu te plantes et que t'as pas les pieds sur terre,
Chacun y va de son pronostic sur la durée du voyage,
Pour la plupart le train va derailler dès le premier orage.

Le grand amour change forcément ton comportement,
Dès le premier jour faut bien choisir ton compartiment,
Siège couloir ou contre la vitre il faut trouver la bonne place,
Tu choisis quoi une love story de première ou d'seconde classe.

Dans les premiers kilomètres tu n'as d'yeux que pour son visage,
Tu calcules pas derrière la fenêtre le défilé des paysages,
Tu te sens vivant tu te sens léger tu ne vois pas passer l'heure,
T'es tellement bien que t'as presque envie d'embrasser le controleur.

Mais la magie ne dure qu'un temps et ton histoire bât de l'aile,
Toi tu te dis que tu n'y est pour rien et que c'est sa faute à elle,
Le ronronement du train te saoule et chaque virage t'écoeure,
Faut que tu te lèves que tu marches tu vas te dégourdir le coeur.

Et le train ralentit et c'est déjà la fin de ton histoire,
En plus t'es comme un con tes potes sont restés à l'autre gare,
Tu dis au revoir à celle que tu appelleras désormais ton ex,
Dans son agenda sur ton nom elle va passer un coup de tipex.

C'est vrai que les histoires d'amour c'est comme les voyages en train,
Et quand je vois tous ces voyageurs parfois j'aimerais en être un,
Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare,
Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard.

Pour beaucoup la vie se résume à essayer de monter dans le train,
A connaitre ce qu'est l'amour et se découvrir plein d'entrain,
Pour beaucoup l'objectif est d'arriver à la bonne heure,
Pour réussir son voyage et avoir accès au bonheur.

Il est facile de prendre un train encore faut il prendre le bon,
Moi je suis monté dans deux trois rames mais c'était pas le bon vagon,
Car les trains sont crapricieux et certains sont innaccessibles,
Et je ne crois pas tout le temps qu'avec la SNCF c'est possible.

Il y a ceux pour qui les trains sont toujours en grèves,
Et leurs histoires d'amour n'existent que dans leurs rêves,
Et y'a ceux qui foncent dans le premier train sans faire attention,
Mais forcément ils descendront dessus à la prochaine station,
Y'a celles qui flippent de s'engager parce qu'elles sont trop émotives,
Pour elles c'est trop risqué de s'accrocher à la locomotive,
Et y'a les aventuriers qu'enchainent voyages sur voyages,
Dès qu'une histoire est terminée ils attaquent une autre page.

Moi après mon seul vrai voyage j'ai souffert pendant des mois,
On s'est quitté d'un commun accord mais elle était plus d'accord que moi,
Depuis je traine sur les quais je regarde les trains au départ,
Y'a des portes qui s'ouvrent mais dans une gare je me sent à part.

Il parait que les voyages en train finissent mal en général,
Si pour toi c'est le cas accroche toi et garde le moral,
Car une chose est certaine y'aura toujours un terminus,
Maintenant tu es prévenu la prochaine fois tu prendras le bus." (source)

Grand Corps Malade, Les voyages en train

Toit, toit, mon toit

26/01/2007 00:01
520 lectures
« Un compromis fait un bon parapluie, mais un mauvais toit »

[NDLA : ceci n'est pas une publicité pour les tentes Quechua, pourtant très à la mode dans nos villes]

Chaque marche éloigne des gens, chaque bourrasque de vent aère la tête et bientôt ne reste plus qu'un tapis de toits blancs, avec en toile de fond les immeubles de l'Esplanade, les grues du nouvel hôpital ou encore plus loin les Vosges enneigées...

« I'm the king of the world », qu'il disait...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/p1040904-11895.jpg

"La cathédrale Notre-Dame de Strasbourg (allemand: "Liebfrauenmünster zu Straßburg") est une cathédrale catholique romaine construite à Strasbourg, en France. Elle est représentative de l'architecture gothique. Avec ses 142 mètres, après avoir été l'édifice le plus haut du monde pendant plusieurs siècles, elle est actuellement la deuxième plus haute de France après celle de Rouen (151 m). 330 marches séparent le sol de la cathédrale de sa terrasse. Elle est reconnaissable par sa seule tour et son clocher surmonté de sa flèche.

« Prodige du gigantesque et du délicat » selon Victor Hugo, la splendeur de la cathédrale est visible de très loin dans la plaine alsacienne et peut être aperçue d'aussi loin que les Vosges ou que de la Forêt Noire." (source)

Pro-Metz ?

03/05/2006 06:58
520 lectures
Que valent les promesses ? On peut être là pour l'autre, mais l'autre le veut-il vraiment ?

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/30.04.06-055-6...

"If you wait for me then I'll come for you
Although I've traveled far
I always hold a place for you in my heart
If you think of me If you miss me once in awhile
Then I'll return to you
I'll return and fill that space in your heart
Remembering
Your touch
Your kiss
Your warm embrace
I'll find my way back to you
If you'll be waiting
If you dream of me like I dream of you
In a place that's warm and dark
In a place where I can feel the beating of your heart

Remembering
Your touch
Your kiss
Your warm embrace
I'll find my way back to you
If you'll be waiting
I've longed for you and I have desired
To see your face your smile
To be with you wherever you are

Remembering
Your touch
Your kiss
Your warm embrace
I'll find my way back to you
If you'll be waiting
I've longed for you and I have desired
To see your face, your smile
To be with you wherever you are

Remembering
Your touch
Your kiss
Your warm embrace
I'll find my way back to you
Please say you'll be waiting

Together again
It would feel so good to be
In your arms
Where all my journeys end
If you can make a promise If it's one that you can keep, I vow to come for you
If you wait for me and say you'll hold
A place for me in your heart." (source)

Tracy Chapman, The promise

Stub et bière

20/04/2006 07:08
519 lectures
C'est peut-être un logo Météor ça ??

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/17.04.06-007-b...

Et une blague carambar histoire de meubler :

"Un type discute avec son copain :
- Ça va mal ces jours-ci, ma femme passe ses soirées à faire le tour des bars de la ville.
- Elle est alcoolique ?
- Non, elle me cherche"


Ours, hein

24/11/2006 00:01
517 lectures
« Les ours se suivent et ne se ressemblent pas »
Et c'est tant mieux !

Wiki dit : Les ours sont de grands mammifères plantigrades de l'ordre des Carnivores, famille des Ursidés, sous-famille des Ursinés.
Oui, voilà...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/22.11.2006-015...

« Deux compagnons, pressés d'argent,
A leur voisin fourreur vendirent
La peau d'un ours encor vivant,
Mais qu'ils tueraient bientôt, du moins à ce qu'ils dirent.
C'était le roi des ours, au compte de ces gens.
Le marchand à sa peau devait faire fortune;
Elle garantirait des froids les plus cuisants :
On en pourrait fourrer plutôt deux robes qu'une.
Dindenaut prisait moins ses moutons qu'eux leur ours :
Leur, à leur compte, et non à celui de la bête.
S'offrant de la livrer au plus tard dans deux jours,
Ils conviennent de prix, et se mettent en quête,
Trouvent l'ours qui s'avance et vient vers eux au trot.
Voilà mes gens frappés comme d'un coup de foudre.
Le marché ne tint pas, il fallut le résoudre :
D'intérêts contre l'ours on n'en dit pas un mot.
L'un des deux compagnons grimpe au faîte d'un arbre;
L'autre, plus froid que n'est un marbre,
Se couche sur le nez, fait le mort, tient son vent;
Ayant quelque part ouï dire
Que l'ours s'acharne peu souvent
Sur un corps qui ne vit, ne meut, ni ne respire.
Seigneur ours, comme un sot, donna dans ce panneau.
Il voit ce corps gisant, le croit privé de vie;
Et, de peur de supercherie,
Le tourne, le retourne, approche son museau,
Flaire aux passages de l'haleine.
"C'est, dit-il, un cadavre; ôtons-nous, car il sent."
A ces mots, l'ours s'en va dans la forêt prochaine.
L'un de nos deux marchands de son arbre descend,
Court à son compagnon, lui dit que c'est merveille
Qu'il n'ait eu seulement que la peur pour tout mal.
"Eh bien ! ajouta-t-il, la peau de l'animal ?
Mais que t'a-t-il dit à l'oreille ?
Car il s'approchait de bien près,
Te retournant avec sa serre.
Il m'a dit qu'il ne faut jamais
Vendre la peau de l'ours qu'on ne l'ait mis par terre »

Les dents de l'amer

25/03/2011 17:08
515 lectures
Citation:
Cher Presidant, s'il vous reste une onsse de lucidité, soyer conscien que je m'eforceré d'allé jusquau bou de ses procédures. Il faut bien conprendre que j'ai fai le deuil de mon investissemant dans se club. Dorenavent, nous voulon des actes et le viremant de ce que vous nous devé avant d'allé plus loin. Je tené enfin à vous dire que sait le dernié à pelle que je vous fais. Je ne laisseré plus personne joué avec mes intéréts. Salutassions, Jaffar hilali.


https://racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/050/23.12.2007-019-5...

Le requin est un animal cruel et mythique qui ne se trouve plus guère que dans les basses eaux de la finance.

Le nôtre ressemble plutôt à une mangouste essorée à la sortie de son bain.

Clip... clap

23/02/2007 00:01
515 lectures
Clope ?

"Le Temps n'a d'autre fonction que de se consumer : il brûle sans laisser de cendres."

Clopin-clopant... Surtout le clip d'ailleurs...



"Si je m'arrête un instant
Pour te parler de ma vie
Juste comme ça tranquillement
Dans un bar rue St-Denis
J'te raconterai les souv'nirs
Bien gravés dans ma mémoire
De cette époque où vieillir
Était encore bien illusoire
Quand j'agaçais des p'tites filles
Pas loin des balançoires
Et que mon sac de billes
Devenait un vrai trésor
Ces hivers enneigés
A construire des igloos
Et rentrer les pieds g'lés
Juste à temps pour Passe-Partout
Mais au bout du ch'min dis-moi c'qui va rester
De la p'tit'école et d'la cour de récré ?
Quand les avions en papier ne partent plus au vent
On se dit que l'bon temps passe final'ment
Comme une étoile filante

Si je m'arrête un instant
Pour te parler de la vie
Je constate que bien souvent
On choisit pas mais on subit
Et que les rêves des ti-culs
S'évanouissent ou se refoulent
Dans cette réalité crue
Qui nous embarque dans le moule
La trentaine, la bedaine
Les morveux, l'hypothèque
Les bonheurs et les peines
Les bons coups et les échecs
Travailler, faire d'son mieux
N'arracher, s'en sortir ("n'arracher" c'est une contraction de "en arracher", avoir de la difficulté)
Et espérer être heureux
Un peu avant de mourir
Mais au bout du ch'min dis-moi c'qui va rester
De not' p'tit passage dans ce monde effréné
Après avoir existé pour gagner du temps
On s'dira que l'on était final'ment
Des étoiles filantes

Si je m'arrête un instant
Pour te parler de la vie
Juste comme ça, tranquillement
Pas loin du Carré Saint Louis
C'est qu'avec toi je suis bien
Et qu'j'ai pu l'goût d'm'en faire
Parce que tsé voir trop loin
C'pas mieux qu'd'regarder en arrière
Malgré les vieilles amertumes
Et les amours qui passent
Les chums qu'on perd dans brume
Et les idéaux qui se cassent
La vie s'accroche et renaît
Comme les printemps reviennent
Dans une bouffée d'air frais
Qui apaise les coeurs en peine
Ça fait que si à soir t'as envie de rester
Avec moi la nuit est douce on peut marcher
Et même si on sait ben que tout dure rien qu'un temps
J'aimerais çà que tu sois pour un moment
Mon étoile filante

Mais au bout du ch'min dis-moi c'qui va rester

Mais au bout du ch'min dis-moi c'qui va rester

Que des étoiles filantes" (source)

Les Cowboys Fringants, Les étoiles filantes

Club med, aïe

22/02/2007 00:01
514 lectures
« Nous savons que, tout au long des siècles, des hommes et des femmes ont été injustement traités. M. Papon est l'un d'eux. Il a trouvé un soutien et une lumière dans l'exemple du Christ, condamné injustement.»
Puisque le prêtre le dit...

De Papin à Papon, pas peu pimpant...
Un peu moins de médaille, et plus de légèreté, donc...

"- Azur,
Nos bêtes sont bondées d'un cri.
Je m'éveille songeant au fruit noir de l'anibe dans sa cupule véruqueuse en tronquée. Saint John Perse.
- Tu te mets toujours les fesses à l'air pour citer Saint John Perse ?"

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/strasbourg-003...

"Bienvenue à Galaswinda
darla dirladada
Y'a du soleil et des nanas
darla dirladada
va s'en fourrer jusque là
darla dirladada
Pousse la banane et mouds l'kawa
darla dirladada

Tous les soirs on f'ra la java
darla dirladada
En chantant à Galaswinda
darla dirladada
Y'a du soleil et des nanas
darla dirladada
On va s'doucher sur la playa
darla dirladada

Bip bip
Bip Bip..."

Feu, folle, et ?

15/01/2006 21:16
514 lectures
Danger : ce qui menace la sûreté, l'existence d'une personne ou d'une chose. Le danger, c'est donc de rester à étouffer, ou de se dégager ? Sortir la tête de l'eau ne devrait pas pouvoir constituer un risque donc... Et pourtant...

https://racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/rcs-metz0506-e6a10.jpg

Nous marchons dans l'obscurité. Le frottement de la roue, les pneus sur la neige, le bruit de mon souffle dans la nuit froide... Nous marchons, encore... Certains parlent, d'autres sont silencieux, tendus... Nous marchons, toujours...

Ils courent... La foule les acclame... Tout le monde s'enlace... La trajectoire du petit ballon vient de faire basculer la soirée... Les méprisés redeviennent adulés... Le feu est en nous, nous sommes invincibles...

Le patient en glaise

20/04/2010 00:01
513 lectures
Citation:
Gargorov out trois semaines

Blessé lui aussi lors du derby de l'Est lundi, Emil Gargorov a passé des examens hier qui ont révélé une petite lésion à l'ischiojambier droit. Une blessure qui éloignera le Bulgare des terrains environ trois semaines.

L'Alsace


https://racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/023/23.07.2009-205-5...

Emil, toujours de boue ?


Start flambées

31/10/2006 00:01
513 lectures
Tout recommence à flamber : les normales de chon (alors que les gratinées sont manifestement meilleures), les ambrées de la Lanterne, les bus, les esprits, les coeurs... Même le Racing s'enflamme...

Robert dit : va voir flambage, flambant, flambard, flambe, flambé, flambeau, flambée, flambement, flamber, flambeur, flamboiement, flamboyant, flamboyer. Après c'est flamenco, c'est une autre histoire...

"Bois qui flambe vite ne dure pas longtemps..."

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/enterrement-vi...

"une raya de bambins livre aux flammes leurs
landeaux/Une ribambelle de nains fout le feu
dans l'métro/Une armée de gamins qui brûle les
magasins/Trois millions de lycéens carbonisent
leurs boquins/Une concierge allumée fout le feu
au quartier/Le président fêlé enflamme l'Elysée/
Trois secrétaires en chaleur calcinent leur direc-
teur/Une tribu de bonnes soeurs incendie l'
Sacré Coeur.
Chorus
Laï laï laï laï Laï laï laï laï Laï laï laï...

Un trio d'grands brûlés fait exploser l'hosto/Et
5000 chimpanzés dynamitent le zoo/Des rastas
éclatés c'est chaud dans le ghetto/Les feux dans
la cité brûlent pour Géronimo/Des soldats canni-
bales rôtissent leur général/300 patrons qui cra-
quent font sauter la baraque/Et un vieux bonze
chinois se pétrole le minois/Le froid tue la fillette
qui n'a plus d'allumettes.
Chorusse

Les hooligans des stades préparent les jerrycans/
Les jeunes chômeurs s'la donnent aux cocktails
Molotov/Des iraniens inflamment le corps de l'
Oncle Sam/Des squatters s'tapent un boeuf au-
tour d'un grand feu d'keufs/Un gang de pyroma-
nes se croit au paradis/Les pompiers en ont mar-
re c'est la grève aujourd'hui/Il y a le feu partout
c'est la fête des fous/Il y a le feu partout viv' le
feu viv' les fous
Choeurs slaves de la Jeunesse

Un gang de pyromanes se croit au paradis/Les
pompiersen en ont marre c'est la grève aujourd'
hui/Il y a le feu partout c'est la fête des fous/Il y
a le feu partout viv' le feu viv' les fous
Choeur solo
Re-Chorusse" (source)

Berurier Noir, Vive le feu

Va...

15/06/2006 00:00
513 lectures
http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/11.06.2006-019...

Donnez la parole à la rue, qu'ils disaient ! Et dites-le avec des fleurs...
Le gros avantage c'est que ça peut s'adresser à beaucoup. Aux cons en tout genre, aux emmerdeurs du boulot, aux pollueurs du quotidien... et aux autres.


"L'envie que je ressens si fort de te serrer dans mes bras, je ferai sans
L'espoir de sentir près de moi ta présence et ta chaleur, je ferai sans
Je fais taire au fond de moi les mots d'amour comme on étouffe une rumeur
J'oublie l'avenir à contre-coeur, le présent je ne fais que l'oublier

Je ferai sans, je ferai semblant
Je ferai sans, je ferai semblant

Le courage que tu me révèles quand les forces m'abandonnent je ferai sans
Tes appels et ta voix que j'entends, que j'attends constamment, je ferai sans
Même si je m'applique à ne pas ignorer tes raisons tes arguments,
Ton souvenir a la force d' un coup de poing que je prends en plein dedans.

Je ferai sans, je ferai semblant
Je ferai sans, je ferai semblant

Un seul être vous manque et tout est dépeuplé
Un seul être vous manque et tout est dispersé
Je cherche alors la nuit pour m'échapper du jour
Qui a mis en lumière ton regard qui me suit
Qui me suit, qui me suit

Je remonte à contre-courant la force du torrent qui m'attire à toi
Je m'agrippe à tout ce que je peux à défaut de m'agripper à tes doigts
Je m'agrippe à tout ce que je peux, je m'agrippe à tout ce que je peux
Je m'agrippe à tout ce que je peux...

Je ferai sans, je ferai semblant
Je ferai sans, je ferai semblant" (source)

Pauline Croze, Je ferai sans


Univers cité...

04/04/2006 00:01
510 lectures
C'est le printemps !
Fuck...
A part ça, RAS...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/02.04.06-008-e...

"On avait les cheveux longs
Des dents de lait et pourtant
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer

On chassait les papillons
On posait plein de questions
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer

On collectionnait les billes
On sentait bon la vanille
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer

On était toujours jaloux
Et on attrapait des poux
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer

{Refrain:}
Qui aurait pu nous le dire
Qui aurait su nous l'écrire
Qui avait la solution
Pour ne jamais devenir grand

On partait dans les nuages
Cueillir des pensées sauvages
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer

On courait jusqu'à plus soif
On se faisait des grimaces
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer

{au Refrain}

Devenir grand...

On voulait toujours faire vite
Avant de prendre la fuite
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer

On avait la varicelle
On était bien trop cruel
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer" (source)

La Grande Sophie, On savait

Lille est en vue, le naufrage aussi...

25/03/2006 08:10
509 lectures
L'île... "Il n'y a qu'une seule chose à faire... Trouver quelque chose qui est à soi... Se fabriquer une île..." (...) La croisière ne s'amuse plus... Mauvais itinéraire, erreur de casting à la barre, joueurs mal coordonnées, écueils, naufrage... Panique, Titanic, fuite... Homme à la mer ? My heart will go on...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/photo-122-08cfe.jpg

Petit bilan de fin de rencontre...

"Pas bien" :
- pas de maintien, verdict connu à l'avance mais tout de même difficile à avaler sur le coup
- perdre n'est jamais agréable, surtout quand c'est votre coéquipier qui vous plante
- la défaite peut parfois être élégante... Mais parfois pas du tout...
- on aurait apprécié de pouvoir discuter de la stratégie développée et des méthodes employées, mais les commentaires d'après match, c'est pas donné à tout le monde
- on avait prévu d'autres attaques, mais on regrette toujours après coup de ne pas avoir pu tout donner
- quand on joue, on voudrait toujours que la partie dure plus longtemps
- une fois le match fini, retour au quotidien et à l'incertitude...

"Bien" :
- on savait qu'on allait perdre, donc autant positiver
- on savait que le fair play n'est pas une valeur toujours partagée, ça nous a permis de lever le pied pour prendre moins de coups
- balles au fond, but : même si ça n'a pas suffi, on s'est battu
- au moins, on a joué, et on a pris du plaisir, et on espère en avoir donné
- il y aura d'autres matches intéressants, la partie en appellera d'autres
- la soirée ne s'arrête pas au coup de sifflet final
- la rencontre terminée, on aura de nouveau beaucoup plus de temps pour le reste...


"I've paid my dues
Time after time
I've done my sentence
But committed no crime
And bad mistakes
I've made a few
I've had my share of sand
Kicked in my face
But I've come through
And I need to go on and on and on and on

We are the champions - my friends
And we'll keep on fighting till the end
We are the champions
We are the champions
No time for losers
'Cause we are the champions of the world

I've taken my bows
And my curtain calls
You've brought me fame and fortune
And everything that goes with it
I thank you all
But it's been no bed of roses no pleasure cruise
I consider it a challenge before the whole human race
And I ain't gonna lose
And I need to go on and on and on and on

We are the champions - my friends
And we'll keep on fighting till the end
We are the champions
We are the champions
No time for losers
'Cause we are the champions of the world

We are the champions - my friends
And we'll keep on fighting till the end
We are the champions
We are the champions
No time for losers
'Cause we are the champions" (source)

Queen, We are the champions

Ou pas...


Stan-islas bonitas

29/09/2007 09:39
507 lectures
Sans avoir (de loin) le charme ancien de l'île strasbourgeoise, le Canal de la Marne au Rhin et les bras de la Meurthe annoncent des sites en plein boom immobilier où il est parfois agréable de se promener le soir, même si les tours modernes n'atteindront jamais le charme historique... On ne peut s'empêcher de penser à l'aménagement des quais de la Place de l'Etoile...

Non loin de là, la "nouvelle" ville et l'ancienne. C'est le gros avantage de Nancy : finalement, rien n'est loin et c'est bien agréable. Comme le sont d'ailleurs la jeunesse et le dynamisme de la ville, avec grand nombre d'offres culturelles et de lieux de sortie. Nancy serait la 5e ville universitaire en terme de densité étudiante, et ça se sent...

Et pour la peine, une vue en direct via webcam de la très connue place Stanislas avec son jardin éphémère...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/26.09.2007-014...

"Last night I dreamt of San Pedro
Just like I'd never gone, I knew the song
A young girl with eyes like the desert
It all seems like yesterday, not far away

Tropical the island breeze
All of nature wild and free
This is where I long to be
La isla bonita
And when the samba played
The sun would set so high
Ring through my ears and sting my eyes
Your Spanish lullaby..."

Madonna, La isla bonita

(bon n'exagérons rien, hein...)


Les Tontons flingués

08/01/2007 00:01
505 lectures
Le 8 janvier 1996, François Mitterrand meurt, rongé par un cancer, quelques mois après que Jacques Chirac lui ait succédé à la présidence de la République.

"Le débat, l'expression des différences sont légitimes, sont même nécessaires dans une démocratie, mais au-delà des confrontations j'en appelle à la cohésion de notre pays, source de vitalité, garantie de notre puissance, pour affronter les problèmes du temps" (un extrait applicable au stub..)

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/01.09.2006-207...

"Non mais t'a déjà vu ça ? En pleine paix ? Il chante et puis crac, un bourre-pif ! Il est complètement fou ce mec. Mais moi, les dingues, je les soigne. Je vais lui faire une ordonnance et une sévère... Je vais lui montrer qui c'est Raoul. Aux quatre coins de Paris qu'on va le retrouver, éparpillé par petits bouts, façon Puzzle. Moi, quand on m'en fait trop je correctionne plus : je dynamite, je disperse, je ventile !" (Les Tontons flingueurs)

D'art-d'art

Petit cliché volé sur la route du travail, du chandelier géant en bronze de Dali, exposé pour quelques semaines devant la Synagogue, à Strasbourg, avenue de la Paix.

Dans un autre registre, selon Max Jacob, "ce qu'on appelle une oeuvre sincère, est celle qui est douée d'assez de force pour donner de la réalité à une illusion". Ah, l'illusion...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/05.04.06-002-6...

"De la vie je ne prends
Que la dolce vita c'est tout
M'en voulez-vous ?
De l'amour je n'attends
Qu'une main sans la bague au doigt
Comprenez-vous
Ouh, oh...

{Refrain:}
Des garçons je ne prends
Que les plumes d'indiens, c'est tout
M'en voulez-vous ?
Des empereurs de Rome
Les lauriers et le vin, pas l'or
Ni les bijoux
Ouh, oh...

De mon enfance
Je n'ai gardé dans mon coeur
Que l'insouciance
De ses crayons de couleur
Ca me suffit
Pour dessiner qui je suis
Ca me suffit
Pour m'inventer d'autres vies

{au Refrain}

De mes histoires
Je n'ai pris que le meilleur
Les mots d'un soir
Les promesses des voyageurs
Ca me suffit
Pour décider qui je suis
Ca me suffit
Pour m'inventer d'autres vies

Du marin je ne prends
Que les retours pas les adieux
M'en voulez-vous
Des milles et une nuit
Celles où près d'un cracheur de feu
J'ai rendez-vous
Ouh , oh...

{au Refrain}" (source)

Pauline Croze, M'en voulez-vous ?



Bond, ire

27/12/2006 00:01
498 lectures
Qui est plus élégant que James Band, quoi que moins poilant...

C'est parfois dur de rebondir comme ça (presque) tous les jours... Bref, pas vraiment d'idée, encore empâté par les restes de fête et embué à la pensée qu'elles sont déjà finies... C'était décorations, ce sera ration de décos...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/28.11.2006-040...

Dans la série « fallait pas l'énerver... »
Pendant que James fait des Bond partout en réajustant sa cravate sous l'eau, l'ex Etudiante fait Boum dans tous les sens, avec notamment un ex chippendale très cheap tendance voyou platonique et plutonique. Manque de bol, c'est plutôt James qui nique, même si elle aime le Renard et pas M, justement. Donc lui forcément ça l'énerve et il saute avec ses mocassins bruns sur le sous-marin (sans abeilles autour) pour aller repêcher la belle de Starship Troopers appelée Christmas. Ça tombe bien, c'est les fêtes, et le balcon est bien décoré. Elle aurait d'ailleurs été plus inspirée de faire Alerte à Malibu que de buter de l'insecte géant, ça lui aurait plus servi dans le remix Titanic du submersible. Quoi qu'il en soit, fallait pas demander à James de gérer le tuyau d'arrosage qui traîne par là, parce que du coup le suppot de satan se retrouve avec une torpille en guise de suppo dans le bide. On imagine que la pillule est mal passée mais tout est bien qui finit bien, sur une histoire de Q. Le scientifique, bien sûr...

SIG ! Sieg !

26/05/2006 05:15
498 lectures
En cette période de disette de défaites du Racing, c'est à la SIG qu'on trouve le plus de monde pour assister à un match. Des mecs qui tapent dans leurs mains pour encourager d'autres mecs qui se battent pour un ballon, voilà une occupation intelligente pour échapper deux heures durant au reste...
Les locaux démarrent le match en trombe, enfilant les paniers avec une réussite insolente et tuant le match dès les premières minutes. Les Gravelinois (la trouvaille terminologique de la soirée) ne peuvent pas réagir, malgré les encouragements de leurs supporters. Tiens au fait, Gravelines, c'est où ?
Située dans la région Nord-Pas de Calais, à mi-distance entre Dunkerque et Calais, Gravelines fait partie de l'agglomération dunkerquoise appelée « Dunkerque Grand Littoral » et appartient au groupement de sept communes qui forment les « Rives de l'Aa ». (souce) Tu avais donc bien raison dolores pour la situation géographique de cette petite ville de 12 000 habitants...
Bref, il n'y a pas de match. Un peu comme si au Racing on claquait trois buts en 20 minutes et que les autres ne réagissaient pas. A cela près que ça n'arrive pas...
Le dernier intérêt de la rencontre se focalise donc sur la capacité des locaux à atteindre les 100 points, et celle des visiteurs à dépasser les 60... Echec des uns, succès des autres...

A un moment, on peut s'interroger... Qu'est-ce qu'une victoire ? Faut-il être dans le coeur des gens ou avoir des résultats concrets ?

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/rcs-psg-007-a9...

"In one single moment your whole life can turn 'round
I stand there for a minute starin' straight into the ground
Lookin' to the left slightly, then lookin' back down
World feels like it's caved in - proper sorry frown
Please let me show you where we could only just be, for us
I can change and I can grow or we could adjust
The wicked thing about us is we always have trust
We can even have an open relationship, if you must
I look at her she stares almost straight back at me
But her eyes glaze over like she's lookin' straight through me
Then her eyes must have closed for what seems an eternity
When they open up she's lookin' down at her feet

Dry your eyes mate
I know it's hard to take but her mind has been made up
There's plenty more fish in the sea
Dry your eyes mate
I know you want to make her see how much this pain hurts
But you've got to walk away now
It's over

So then I move my hand up from down by my side
It's shakin', my life is crashin' before my eyes
Turn the palm of my hand up to face the skies
Touch the bottom of her chin and let out a sigh
'Cause I can't imagine my life without you and me
There's things I can't imagine doin', things I can't imagine seein'
It weren't supposed to be easy, surely
Please, please, I beg you please
She brings her hands up towards where my hands rested
She wraps her fingers round mine with the softness she's blessed with
She peels away my fingers, looks at me and then gestures
By pushin' my hand away to my chest, from hers

Dry your eyes mate
I know it's hard to take but her mind has been made up
There's plenty more fish in the sea
Dry your eyes mate
I know you want to make her see how much this pain hurts
But you've got to walk away now
It's over

And I'm just standin' there, I can't say a word
'Cause everythin's just gone
I've got nothin'
Absolutely nothin'

Tryin' to pull her close out of bare desperation
Put my arms around her tryin' to change what she's sayin'
Pull my head level with hers so she might engage in
Look into her eyes to make her listen again
I'm not gonna fuckin', just fuckin' leave it all now
'Cause you said it'd be forever and that was your vow
And you're gonna let our things simply crash and fall down
You're well out of order now, this is well out of town
She pulls away, my arms are tightly clamped round her waist
Gently pushes me back and she looks at me straight
Turns around so she's now got her back to my face
Takes one step forward, looks back, and then walks away

Dry your eyes mate
I know it's hard to take but her mind has been made up
There's plenty more fish in the sea
Dry your eyes mate
I know you want to make her see how much this pain hurts
But you've got to walk away now
It's over

I know in the past I've found it hard to say
Tellin' you things, but not tellin' straight
But the more I pull on your hand and say
The more you pull away

Dry your eyes mate
I know it's hard to take but her mind has been made up
There's plenty more fish in the sea
Dry your eyes mate
I know you want to make her see how much this pain hurts
But you've got to walk away now." (source)

The Streets, Dry your eyes


Magnum Farce

24/01/2011 19:40
495 lectures
Jafar est... l'Inspecteur Hilali.

Seul contre tous, avec son BlackBerry encore fumant, il flingue tous les parasites et les néophytes. Ouais.
Il n'a pas peur des coups. Surtout quand ils sont bas. Ouais.
Il assume ses méthodes choc. Surtout quand il s'assomme lui-même. Ouais.
Il va nettoyer les tribunes, le club, la ville, la région et les médias. Et d'abord son portefeuille. Ouais.
Il va les éliminer un par un et faire régner la justice et l'ordre. A quel ordre le chèque ? Ouais.

https://racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/046/28.10.2008-331-a...

« L'homme sage est celui qui connaît ses limites exactes. » (Harry Callahan - Magnum Force)
Ouais.

Mairie me

26/10/2006 00:01
494 lectures
"Le conseil municipal représente les habitants. Ses attributions sont très larges depuis la loi de 1884 qui le charge de régler " par ses délibérations les affaires de la commune ". Cette compétence s'étend à de nombreux domaines. Le conseil municipal donne son avis toutes les fois qu'il est requis par les textes ou par le représentant de l'État.

Il émet des voeux sur tous les sujets d'intérêt local : il vote le budget, approuve le compte administratif (budget exécuté), il est compétent pour créer et supprimer des services publics municipaux, pour décider des travaux, pour gérer le patrimoine communal, pour accorder des aides favorisant le développement économique.

Le conseil exerce ses compétences en adoptant des "délibérations". Ce terme désigne ici les mesures votées. Il peut former des commissions disposant d'un pouvoir d'étude des dossiers.

Le conseil municipal doit se réunir au moins une fois par trimestre et l'ordre du jour, fixé par le maire, doit être communiqué avant le début de la séance. Celle-ci est ouverte au public sauf si l'assemblée décide le huis clos ou si le maire exerce son pouvoir de "police des séances", notamment en cas d'agitation, et restreint l'accès du public aux débats." (source)

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/30.06.2006-153...

" Johnny's alway's running around
Trying to find certainty

He needs all the world to confirm
That he ain't lonely

Mary counts walls
Knowns he tires easily

Johnny thinks the world would be right
If it would buy truth from him

Mary says he changes his mind
More than a woman

But she made her bed
Even when the chance was slim

Johnny says he's willing to learn
When he decides he's a fool
Johnny say's he'll live anywhere
When he earns time to

Mary combs her hair
Says she should be used to it

Mary always edges her bets
She never knows what to think
She says that he still acts
Like he's being discovered
Scared that he'll get caught
Whithout a second thought

Johnny feels he's wasting his breath
Trying to talk sense to her
Mary says he's lacking a real sense of proportion
So she combs her hair, knows he tires easily" (source)

Placebo, Johnny and Mary

Temps et rature...

05/10/2006 00:01
493 lectures
"Que de temps perdu à gagner du temps !"

Ayé, l'été s'enfuit lâchement, après avoir fait mine de traîner... Plus de canicule en vue, à nous les températures moins clémentes... Qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il fasse froid et qu'il neige, que s'abattent tempêtes et tremblements...
Vivement les longues soirées d'hiver...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/11.06.2006-051...

"Puisque les dauphins sont des rois
Tout seul le silence s'impose
Puisqu'il revient à qui de droit
De tenter les métamorphoses
Puisque les révolutions
Se font maintenant à la maison
Et que lorsque le monde implose
Ce n'est qu'une nouvelle émission, émission

{Refrain:}
Il est temps à nouveau, oh temps à nouveau
De prendre le souffle nouveau
Il est temps à nouveau, oh temps à nouveau
De nous jeter à l'eau

Puisque ce n'est plus qu'un système
Et sa police américaine
De monde meilleur on ne parle plus
Tout juste sauver celui là, celui là

{Refrain x2}

Puisque je suis mon aquarium
Moi le poison, moi le poisson
Changé en homme

{Refrain}

Oh temps à nouveau
Oh temps à nouveau
De prendre le souffle nouveau
Il est temps à nouveau
Oh temps à nouveau
De nous jeter à l'eau
Eh

{ Beau temps pour se jeter à l'eau }

Oh temps à nouveau
Temps à nouveau
Temps à nouveau
Temps à nouveau
De nous jeter à l'eau..." (source)

Jean-Louis Aubert, Temps à nouveau

Enchaîné ?

02/02/2006 22:11
490 lectures
Des règlements, des pourcentages, des taux... Misère humaine... Ouf, ma bouffée d'oxygène...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/27.10.2005-044...

Le Chêne un jour dit au Roseau :
"Vous avez bien sujet d'accuser la Nature ;
Un Roitelet pour vous est un pesant fardeau.
Le moindre vent, qui d'aventure
Fait rider la face de l'eau,
Vous oblige à baisser la tête :
Cependant que mon front, au Caucase pareil,
Non content d'arrêter les rayons du soleil,
Brave l'effort de la tempête.
Tout vous est Aquilon, tout me semble Zéphyr.
Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage
Dont je couvre le voisinage,
Vous n'auriez pas tant à souffrir :
Je vous défendrais de l'orage ;
Mais vous naissez le plus souvent
Sur les humides bords des Royaumes du vent.
La nature envers vous me semble bien injuste.
- Votre compassion, lui répondit l'Arbuste,
Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci.
Les vents me sont moins qu'à vous redoutables.
Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici
Contre leurs coups épouvantables
Résisté sans courber le dos ;
Mais attendons la fin. "Comme il disait ces mots,
Du bout de l'horizon accourt avec furie
Le plus terrible des enfants
Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs.
L'Arbre tient bon ; le Roseau plie.
Le vent redouble ses efforts,
Et fait si bien qu'il déracine
Celui de qui la tête au Ciel était voisine
Et dont les pieds touchaient à l'Empire des Morts. (Source)

Jean de La Fontaine, Le Chêne et le Roseau

Hallali, Hilali !

07/10/2010 00:01
489 lectures
Cela fait longtemps qu'on le sait, la bête est sur sa fin. Mais c'est surtout le club qui l'est.
Le prédateur de la finance est prêt à achever le petit Racing et ses fans à l'agonie...

https://racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/036/11.07.2010-104-8...

Cette fois c'est sûr, on boira le calice jusque Hilali...


Bilbo quai ?

22/05/2007 00:01
488 lectures
Non, Beblo, Fritz Beblo...

L'école Saint-Thomas a été dessinée par l'architecte Fritz BEBLO et construite entre 1905 et 1907.

"Dans son projet de l'école Saint Thomas (1905), située le long de l'Ill, Beblo inscrit le bâtiment dans son environnement historique en dessinant la façade donnant sur l'eau comme celle d'un palais et en présentant de nombreuses similitudes avec le Château des Rohan. Il emprunte à l'architecture de la Renaissance alsacienne les formes pour les pignons à volutes et les tourelles placées aux extrémités de la façade. Les volumétries du gymnase et de la conciergerie, qui réemploie un ancien oriel de la Renaissance, sont traitées de façon à assurer une transition harmonieuse avec les maisons environnantes." (

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/19.05.2007-001...

Et l'ensemble de l'article sur l'architecture scolaire et l'histoire de la construction des écoles à Strasbourg...

Un somme, nie !

13/04/2006 02:05
485 lectures
On aimerait bien, pourtant...

"Les hommes se contentent de tuer le temps en attendant que le temps les tue" (Simone de Beauvoir)

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/sainte-046-12f...

"Jamais une statue ne sera assez grande
Pour dépasser la cime du moindre peuplier
Et les arbres ont le coeur infiniment plus tendre
Que celui des hommes qui les ont plantés
Pour toucher la sagesse qui ne viendra jamais
Je changerai la sève du premier olivier
Contre mon sang impur d'être civilisé
Responsable anonyme de tout le sang versé

Fatigué, fatigué
Fatigué du mensonge et de la vérité
Que je croyais si belle, que je voulais aimer
Et qui est si cruelle que je m'y suis brûlé
Fatigué, fatigué

Fatigué d'habiter sur la planète Terre
Sur ce brin de poussière, sur ce caillou minable
Sur cette fausse étoile perdue dans l'univers
Berceau de la bêtise et royaume du mal
Où la plus évoluée parmi les créatures
A inventé la haine, le racisme et la guerre
Et le pouvoir maudit qui corrompt les plus purs
Et amène le sage à cracher sur son frère

Fatigué, fatigué
Fatigué de parler, fatigué de me taire
Quand on blesse un enfant, quand on viole sa mère
Quand la moitié du monde en assassine un tiers
Fatigué, fatigué

Fatigué de ces hommes qui ont tué les indiens
Massacré les baleines, et bâillonné la vie
Exterminé les loups, mis des colliers aux chiens
Qui ont même réussi à pourrir la pluie
La liste est bien trop longue de tout ce qui m'écoeure
Depuis l'horreur banale du moindre fait divers
Il n'y a plus assez de place dans mon coeur
Pour loger la révolte, le dégoût, la colère

Fatigué, fatigué
Fatigué d'espérer et fatigué de croire
A ces idées brandies comme des étendards
Et pour lesquelles tant d'hommes ont connu l'abattoir
Fatigué, fatigué

Je voudrais être un arbre, boire à l'eau des orages
Pour nourrir la terre, être ami des oiseaux
Et puis avoir la tête si haut dans les nuages
Pour qu'aucun homme ne puisse y planter un drapeau
Je voudrais être un arbre et plonger mes racines
Au coeur de cette terre que j'aime tellement
Et que ces putains d'hommes chaque jour assassinent
Je voudrais le silence enfin et puis le vent

Fatigué, fatigué
Fatigué de haïr et fatigué d'aimer
Surtout ne plus rien dire, ne plus jamais crier
Fatigué des discours, des paroles sacrées

Fatigué, fatigué
Fatigué de sourire, fatigué de pleurer
Fatigué de chercher quelques traces d'amour
Dans l'océan de boue où sombre la pensée

Fatigué, fatigué" (source)

Renaud, Fatigué

Tout feu, tout femmes

18/06/2006 09:16
484 lectures
"Fils du Titan Japet et de Clyméné, frère d' Atlas, de Ménoétios et d'Épiméthée, Prométhée était un Géant dont Zeus redoutait la puissance. Prophète, inventeur, il créa d'un bloc d'argile mêlé d'eau le premier homme. Ne voulant pas laisser sa créature démunie de tout, il alla dérober au char du Soleil une étincelle qu'il cacha dans la tige d'une férule, et, de retour sur la Terre, il offrit cette source de feu divin aux hommes qui, durant son absence, s'étaient multipliés. Non content de ce premier exploit et de cette injure faite à la puissance souveraine de Zeus, il en imagina un second. Il tua et dépeça un taureau. D'un côté, il étala la chair, la moelle, les entrailles, qu'il recouvrit de la peau de la bête ; de l'autre, il posa les os, sur lesquels il plaça la graisse de l'animal. Prométhée offrit alors à Zeus de s'attribuer l'une des deux parts, l'autre allant aux hommes. Zeus, attiré par la blancheur de la graisse, choisit celle qui ne refermait que les os. Ayant été ainsi joué, Zeus décida de se venger des mortels et de Prométhée. Aux premiers, il envoya Pandore, belle jeune femme créée par Héphaïstos, qui répandit tous les malheurs sur la Terre, en ouvrant sa fameuse boîte. Au second, il dépêcha Héphaïstos : Prométhée fut enchaîné par le dieu sur le plus haut sommet du mont Caucase, où, chaque jour, pendant des siècles, un aigle vint ronger le foie sans cesse renaissant du malheureux." (source)


Le premier rêve de Dora - Le livre bleu de la psychanalyse

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/16.06.2006-067...
(Spectacle au Bioscope)

"Love is a burning thing
and it makes a firery ring
bound by wild desire
I fell in to a ring of fire...

I fell in to a burning ring of fire
I went down,down,down
and the flames went higher.
And it burns,burns,burns
the ring of fire
the ring of fire.

The taste of love is sweet
when hearts like our's meet
I fell for you like a child
oh, but the fire went wild..

I fell in to a burning ring of fire.....[etc]" (source)

Johnny Cash, Ring of fire

Cowboy pas fringant

15/05/2006 07:00
483 lectures
Ironie du sort pour un insomniaque : il serait temps de se réveiller...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/13.05.2006-004...

"Icitte à soir, y mouille à siot
On a donné un pas pire show
Le motel est pas vraiment swell
Une chance t'es là pis qu'j'te trouve belle...

J'te r'garde dormir comme un bébé
C'est platte j'avais envie d'jaser
C'pas grave chu habitué Chérie
De m'parler tout seul ces temps-ci...

Depuis quecqu' s'maines j'dors pu' d'mes nuits
J'ai la tête remplie de bibites
C'est vrai que j'mène une drôle de vie
Des fois j'me dis qu'c'est d'la bullshit

J'aimerais ça pouvoir me r'trouver
Parce qu'chu mêlé comme ça s'peut pas
Le monde entier pourrait crever
Chu juste ben quand t'es dans mes bras...

Je sais qu'y s'passera jamais rien
Qu'entre toi pis moi ç'a pas d'allure
Quand j'vas r'partir au p'tit matin
On va se dire à la r'voyure...
Même si j't'aimais ben p'tit trésor
Et que mon coeur s'tait accroché
Quecqu'part sur ta route du nord
Entre Baie-Comeau pis Port-Cartier

T'es heureuse ici qu'tu m'disais
Loin des gens stressés de Montréal
Pis y'a ton chum qui est dans l'portrait
C'est moi l'perdant si j'fais l'total

Mais fais-toi z'en pas trop pour moi
J'en ai vu d'autres, chu'un grand garçon
C'fait longtemps qu'je me fais pu d'fausses joies
J'sais qu'ça r'vire en vraies déceptions

Le soleil vient juste de se l'ver
Dehors on entend les moineaux
Qui gazouillent comme pour me rappeler
Qu'tantôt je r'pars pour Gatineau
Je r'viens pas dans l'boute avant mai
D'ici là donne-moi d'tes nouvelles
Tu m'appelleras à frais virés
Pour me souhaiter joyeux Noël...

Sais-tu au moins qu'tu m'as fais croire
Qu'il est encore possible d'être heureux?
Pis ça c'est c'qu'on appell'd'l'espoir
C'toujours ça d'pris quand t'as pas mieux

T'étais sûrement pas rien qu'un kik
Mais là c'pas mal trop compliqué
Si dans vie y faut prendre des risques
Faut savoir aussi s'en aller

Ça fait que j'vas m'fermer la gueule
Et continuer mon ch'min tout seul
Avec mon p'tit coeur dans les shoe-claques
Pis ton sourire dans mon pack-sack
Mais tsé tu peux m'rappeler pareil
T'es comme mon p'tit rayon d'soleil
Dans ce monde complèt'ment fucké
Où j'aurais p't'être eu besoin d'toé

Dans ce monde complèt'ment fucké
Où j'aurais p't'être eu besoin d'toé" (source)

Les Cowboys Fringants, Ces temps-ci

Panser du jour

07/09/2006 00:16
481 lectures
Gode blesse the queen !
Quelle coquine celle-là...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/29.07.2006-010...

"PARIS (AFP) - Le jury du prix "Press club, humour et politique" a procédé à une ultime sélection de cinq "petites phrases" drôles ou persifleuses, pour son prix qui sera décerné le 2 octobre.
Composé de 16 membres, ce jury est présidé par Jean Miot, ex-président de l'AFP.

Voici les nouvelles phrases retenues:

- Philippe de Villiers (MPF) : "Docteur Sarko et Doc Gynéco, c'est la com' et la came".

- Laurent Fabius (PS) à propos de Ségolène Royal : "Je préfère dire voici mon projet que mon projet c'est Voici".

- Ségolène Royal (PS) en Corse : "Je ne parlerai ni des attentats ni des incendies, je ne parlerai que de la Corse qui travaille".

- Pascal Terrasse (PS) à propos de Lionel Jospin : "C'est la première fois qu'un déserteur passe ses troupes en revue".

- Patrick Devedjian (UMP) : " Les coupures de presse sont celles qui cicatrisent le plus vite".

Au total, vingt phrases ont été sélectionnées. Le prix sera remis le 2 octobre à 18H30.

Parmi les récents lauréats figurent Jean-Louis Debré, président de l'Assemblée Nationale, en 2004 pour avoir dit de la Corse : "Je n'imagine pas un instant cette île séparée du continent", et Nicolas Sarkozy, en 2005, pour sa phrase: "Je ne suis candidat à rien". (source)

Shooting dogs

14/04/2008 23:15
480 lectures
Pas de blague, pas de photo...
Juste quelques extraits, par paresse, même s'ils n'expriment pas forcément la force de l'horreur...

"Shooting Dogs fait référence au seul moment de révolte du père Christopher, quand après avoir découvert les cadavres de soeurs violées et assassinées, celui-ci demande au capitaine Delon si les chiens qui dévorent les cadavres à la sortie de l'école et sur lesquels il s'apprête à faire tirer "pour des raisons sanitaires", lui ont préalablement tiré dessus, puisque le mandat de l'O.N.U. ne leur permet de faire usage de leurs armes qu'en cas de légitime défense.
[...]
Une journaliste de la B.B.C. que Joe est allé chercher, persuadé que "là où est la télévision, rien ne peut arriver", lui avoue qu'en Bosnie, quand elle voyait le cadavre d'une femme, elle pleurait parce qu'elle se disait que cette femme pourrait être sa mère, alors que là, ce ne sont que des Africains, et qu'elle a honte de ne pas pleurer. Quant au bouclier de la télé, il ne durera pas, puisque l'équipe partira dans les fourgons de la Légion..." (source 1)

http://www.opendemocracy.net/content/articles/3432/images/TWO_565.jpg

"C'est aussi pour cela que le film atteint sa cible: il distille un malaise palpable, qui ne tient pas seulement à l'horreur de la situation mais nous renvoie à notre propre lâcheté. L'on a beau savoir que l'on n'est aucunement responsable des évènements ayant conduits au génocide rwandais, ou même de l'absence d'intervention des grandes puissances, rien n'y fait: le film laisse un goût amer dans la bouche. Un sentiment parfaitement stigmatisé durant un épilogue européen dont la sophistication répond de manière glaçante à la poussière, au sang et à la fureur des évènements qui ont précédé. Un voyage dont, à l'instar des protagonistes, on ne ressort pas indemne. Et n'en doutez pas, le choc risque d'être brutal lorsque vous ressortirez du cinéma à l'issue de la projection, et retrouverez les rues propres et bien éclairées d'une France dont la richesse et la garantie de sécurité vous paraîtront, par contraste, presque déplacées." (source 2)

L'amer, hic

05/08/2006 00:28
479 lectures
On a tous notre Amérique, notre Nouveau Monde auquel on rêve...
C'est juste que c'est pas tous les jours le Racing. L'Eldorado du foot alsacien, il est plus plombé que dorado en ce moment...
Pour le reste, c'est pas tout d'avoir le filon et la pelle, encore faut-il vouloir creuser et risquer de trouver quelque chose. Finalement, la grisaille est tellement plus rassurante...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/28.07.2006-010...

"Mes amis, je dois m'en aller
Je n'ai plus qu'à jeter mes clés
Car elle m'attend depuis que je suis né
L'Amérique

J'abandonne sur mon chemin
Tant de choses que j'aimais bien
Cela commence par un peu de chagrin
L'Amérique

L'Amérique, l'Amérique, je veux l'avoir et je l'aurai
L'Amérique, l'Amérique, si c'est un rêve, je le saurai
Tous les sifflets des trains, toutes les sirènes des bateaux
M'ont chanté cent fois la chanson de l'Eldorado
De l'Amérique

Mes amis, je vous dis adieu
Je devrais vous pleurer un peu
Pardonnez-moi si je n'ai dans mes yeux
Que l'Amérique

Je reviendrai je ne sais pas quand
Cousu d'or et brodé d'argent
Ou sans un sou, mais plus riche qu'avant
De l'Amérique

L'Amérique, l'Amérique, je veux l'avoir et je l'aurai
L'Amérique, l'Amérique, si c'est un rêve, je le saurai
Tous les sifflets des trains, toutes les sirènes des bateaux
M'ont chanté cent fois la chanson de l'Eldorado
De l'Amérique

L'Amérique, l'Amérique, si c'est un rêve, je rêverai
L'Amérique, l'Amérique, si c'est un rêve, je veux rêver" (source)

Joe Dassin, L'Amérique

Mary Poppers

07/09/2010 00:01
478 lectures
J et A, deux bambins du football, ont encore fait des bêtises.
Leurs parents passent alors une annonce pour une nouvelle nounou, mais engagent un nounours.
Heureusement, Mary Poppers apparaît soudain, descendant des nuages alsaciens. Dotée de pouvoirs magiques, elle va faire rêver les enfants et planer les dirigeants, qui ne pourront plus s'en passer...

https://racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/030/11.07.2010-140-1...

Alain Fontenla en mars dernier :
Citation:
Je suis à la recherche de gens compétents qui vont nous aider à décoller. Il faut remonter en Ligue 1 rapidement, dès l'année prochaine.


Racing ? It's supercalifragilisticexpialidocious !

Le sale air de la peur

11/09/2010 10:54
475 lectures
Des hommes de main sont engagés pour conduire une équipe explosive. Le moindre cahot peut être fatal.

https://racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/033/rcs-ajacc-007-74...

En espérant que les plus forts ne deviennent pas les plus faibles, que les petits ne deviennent pas les grands et que les rôles ne s'inversent pas...

Gress Anatomy

21/03/2010 09:12
475 lectures
S'y attèle Gress Hospital ?

https://racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/023/02.08.2009-138-1...

"A cause des messages de soutien que je reçois quand je pars de chez moi à 10h15 pour aller à la boulangerie, qui est à 80 m, et que je ne rentre qu'à 11h30"

Même les croissants étaient de mèche...


Alcoolmar...

12/08/2006 09:55
474 lectures
Foire... Foiré...
Vin... Vain...
Verre... Vert...
Stand... Stand by me...
File... Fille...
Degrés... De gré...

Ce soir c'est la fête ?

(L'histoire de la Foire aux vins d'Alsace)

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/colmar17.09.05...

"Quand je suis ivre, ivre de tristesse,
Quand je suis ivre, ivre de détresse,
Je voudrais tant dégriser et retrouver les couleurs,
Qui se sont effacées, ne sont plus que des ombres.

Quand je suis ivre, ivre de d'insouciance,
Quand je suis ivre, ivre d'espérance,
J'en reprends une gorgée, me pardonne mes déboires,
Jusqu'à les oublier, les chasser de ma mémoire.

Quand je suis ivre, ivre de douceur,
Quand je suis ivre, ivre de tendresse,
J'en savoure le goût intense, qui envahit mon palais,
J'aimerais qu'à tout jamais, il y tienne résidence.

Quand je suis ivre, ivre de plaisir,
Quand je suis ivre, ivre de bonheur,
Je ne veux pas dessoûler, je garde en secret la source,
Qui m'a tant exaltée, pour m'y désaltérer,

Encore, encore..." (source)

Pauline Croze, Quand je suis ivre

Dirty Racing

31/03/2010 00:01
473 lectures
Hongrie eyes : manque de bol Szelesi était like the wind.

https://racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/023/02.08.2009-109-0...

Bébé (Baby en VO) passe ses vacances financières avec ses amis à Strasbourg, en Alsace, France. Très vite il va être confronté à un monde qui lui est complètement étranger, celui du football. Malgré le désaccord de son Maire, Bébé va connaître une histoire d'amour passionnée avec la mafia du Racing, issue d'un milieu social très différent de celui du jeune homme.



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