Association RC Strasbourg
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katzo68spoutnik a écrit, le 2012-04-14 14:08:48 : Je ne suis d'aucun camp. Je me suis fait chouravé mon portefeuille qui contenait, outre tous mes papiers et comptes bancaires, mon précieux abonnement au Rcs. Il me reste 16 € en poches avant que d'obtenir au plus tôt avant la fin de la semaine prochaine, de quoi retirer des sous ! Je file sur Strasbourg ce soir : investir dix € pour acheter une place à la Meinau. Que ce soit Monsieur Sitterle, Messieurs Spielmann ou Ancel, que savent-ils de tous ceux qui ont de faibles moyens financiers et pour lesquels, même des abonnements à 80 € sont lourds à porter ? Et ils sont nombreux, les populaires dont on entend même pas la voix parce qu'on leur a tant de fois enjoint de ne pas l'ouvrir... Pas chez les UB. Je ne suis ni étudiant, ni dans cette tranche d'âge, ni à même physiquement d'assurer une petite part de leurs spectaculaires encouragements. Et pourtant je me rendrai à la Meinau avec la même conviction que derrière un poste de radio à écouter Eric Sold ou Lucille, amoureux de ce club à n'en plus pouvoir, à le détester, à le refouler mais à y retourner comme un imbécile d'amant éconduit.
Arrêtez de le détruire sous prétexte de le reconstruire ou de le protéger. Allez bleus, mais rien qu'eux...
Très émouvant (+) Bon courage pour la suite
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La dernière ligne droite
Alors que la trésorerie de l'association baisse à vue d'oeil et que se posera dans quelque temps la question des salaires des seuls capables de sortir le Racing de l'ornière (les joueurs et le staff), les réunions se sont multipliées hier.
On les croyait partis. Mais ils étaient là hier soir à la Meinau et leur présence en a à l'évidence surpris plus d'un, puisque la nouvelle a très vite fait le tour de la tribune présidentielle : Dominique Crochu, conseillère de Frédéric Sitterlé et administratrice de l'association qui avait annoncé dimanche soir sa démission par le biais d'un communiqué à charge contre les responsables de ladite association, et Philippe Chauveau, missionné par l'homme d'affaires haut-rhinois pour paraît-il remettre de l'ordre dans les finances du club, ont donc fait acte de présence. Histoire d'occuper physiquement un terrain dont F. Sitterlé s'accaparait déjà depuis le début de semaine, avec une omnipotence à rendre jaloux un Jafar Hilali pourtant jamais à court d'idée pour faire parler de lui.
Encore vendredi, l'investisseur toujours virtuel du RCS a pondu un long communiqué pour s'offusquer des délais, trop longs à ses yeux, avec lesquels la convention de gestion entre sa future SAS (société par actions simplifiée) et l'association amateur avait été déposée à la Préfecture, mais aussi de l'absence d'un certain nombre d'éléments dans le dossier remis à l'autorité administrative, comme la liste des salariés de l'asso ou les budgets prévisionnels.
Indépendamment du fait que tout le monde avait bien relevé que le site officiel du club s'était félicité le 3 avril du dépôt de la convention à la Préfecture, l'homme d'affaires de Blodelsheim omet de préciser que son avocat a lui-même dû transmettre les statuts de sa SAS que lui réclamaient les services préfectoraux... vendredi à 18 h 35. Autrement dit, juste avant qu'il ne s'indigne.
26 membres du groupe sportif vers la SAS
De même, F. Sitterlé s'étonnait que la liste des salariés de l'association ne recèle que six noms. « À ma connaissance, le club édite chaque mois 32 fiches de paies », avançait-il. Peut-être avait-il simplement oublié qu'après la validation de la convention, l'ensemble du groupe sportif, joueurs et staff, soient... 26 personnes, allait être « transféré » de l'association vers sa SAS et qu'il allait devoir assumer leurs salaires et les charges. Une obligation que depuis août, l'association a remplie seule.
En ce samedi de match, deux réunions d'importance se sont tenues. Les dirigeants de l'association ont d'abord fait informellement le point dans la matinée. Puis juste avant la rencontre, quatre représentants des supporters (deux membres des UB 90 et deux de la Fédération des Supporters) ont longuement rencontré Sitterlé après avoir échangé avec le président de l'association, Patrick Spielmann, la veille. Rien de très concret n'a filtré. Mais à l'évidence, les différents protagonistes en sont arrivés à la même conclusion. « Il faut que Frédéric Sitterlé mette l'argent », martèle l'un d'eux. « Les joueurs font leur travail et à un moment donné, il sait que ça va être à lui de les payer. » Tous, sans exception, se demandent aujourd'hui, après huit mois d'une vaine attente, s'il le fera.
L'Alsace -
Et 8 mois que les membres à vie de l assoc s accrochent à leur fauteuil sans mettre un euro
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Ceux qui sont censés mettre le pognon dans le club, ce ne sont pas les membres de l'lassociation, mais bel et bien Sitterlé.
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Oui et tu n as toujours pas compris qu il ne donnera pas un sou à ses détracteurs et que nul a sa place ne paierait sans détenir le pouvoir
Overdose de lecture du journal l Alsace qui censure les messages même polis et sans agressivité sans doute -
Den outre au nom de quoi des personnes qui ont connu tous les récents échecs et ne mettent pas un euro garderaient le pouvoir
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schilles1979 a écrit, le 2012-04-15 19:45:17 : Et 8 mois que les membres à vie de l assoc s accrochent à leur fauteuil sans mettre un euro
Dans l'assoc, par exemple un certain Pignatelli... qui a déjà mis de l'argent... à peu près 10 fois la somme de celle placée à ce jour par Sitterle. On peut ne pas aimer le notable, en attendant, évitons des contre-vérités flagrantes... -
schilles1979, figure-toi que je sais lire, comme la majorité d'entre-nous, je présumes. Cela fait belle lurette que je l'ai compris, et ce n'est d'ailleurs pas dans ce sens qu'allait mon post. Je comprends très bien que Frederic Sitterlé ne va pas vouloir injecter son argent sans avoir le moindre droit de regard et de décision dans les affaires du club.
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Ouais Sitterlé, tu as pas compris?
Donne l'oseille et ferme ta g...! T'es débile ou quoi?
Ils en ont besoin à l'asso!
Pour payer des heures supplémentaires identiques tous les mois!
Pour embaucher une secrétaire pour Spielmann qui est débordé !
Putain on est en 5eme division quand meme!
Pour surpayer les fournisseurs!
Et vivement la Convention, comme ça tu pourras, pardon, tu DEVRAS nous payer nos notes de frais!
Sitterlé allonge le blé, ESCROC -
L'association a fait tourner le club , plus des subventions de la ville , dire qu'elle n'a rien donné , une fois de plus est de la manipulation ou de ......
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Elle a bénéficié des fonds de la ville puisqu il n y avait pas de SASP
Quant à. Faire croire qu elle a servi à quelques chose il suffit de considère le résultat exceptionnel de nos membres à vie au cours des dernières années et je ne rentre pas dans les polémiques en cours sur la gestion de cette assoc n en ayant personnellement aucune preuve -
C'est l'histoire d'un mec patron qui rachète une entreprise en faillite, enfin, juste le nom de l'entreprise qui est apposée au dessus de la porte. L'État suzerain, toujours très prolixe lorsqu'il s'agit des deniers des électeurs, fait tourner les machines de la société pendant 10 mois en utilisant une partie des dits impôts des électeurs sans que le patron n'eut à débourser le moindre fifrelin. Privatiser les bénéfices. Nationaliser les pertes... en quelque sorte. Le patron qui, rappelons-le n'a acheté que la pancarte de l'usine décide de virer le CHSCT parce que celui ci a compris que le repreneur n'était pas nécessairement aussi investisseur qu'il le claironnait. Le patron de la marque utilise le vieux truc des affiliés du Medef : soit il fait déménager les machines, soit le CHSCT déménage. Pour l'heure, les représentants (non élus) du syndicat local résistent comme un village gaulois face à l'autocratique César Frédéric. Un chantage contre un autre chantage. Au, milieu de ce tumulte, le petit peuple des ouvriers de l'usine continue son labeur et fabrique des points de Cfa2 comme Ferrari des voitures rouges... Roulez Jeunesse... mais ne faites que ça... y'a rien à voir derrière les vitres teintées de l'usine...
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Cruel, bien écrit, mais si réel.
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Oui spoutnik sauf que tu oublies habilement que des hommes qui étaient la avant et pendant la faillite refusent de céder leur place et sont prêts à prendre et gérer les fonds
Tu aurais raison si l assoc était entre les mains de proches de SITTERLE et qu il refusait de payer
En clair le profiteur que tu décris aurait vite fait d être transformé en pigeon comme il y en a toujours eu au Racing
Habitués à trouver des pigeons je comprend la surprise des membres de l assoc devant la résistance de SITTERLE -
il-vecchio a écrit, le 2012-04-15 22:04:09 : Cruel, bien écrit, mais si réel.
Réel quand on oubli certains détails à l'image de Godin... Cruel mais réel. -
spoutnik a écrit, le 2012-04-15 22:00:15 : Pour l'heure, les représentants (non élus) du syndicat local résistent comme un village gaulois face à l'autocratique César Frédéric.
J'ai beau faire des efforts, je n'arrive vraiment pas à m'imaginer Spielmann en Che Guevara (ça doit être ses lunettes).
Sérieux, réduire ça à un combat idéologique patrons contre travailleurs, tu fais fort! Car je n'ai franchement pas l'impression que les membres de l'association fassent fondamentalement partie d'une autre caste que FS.
Par contre si tu voulais dire que nous, le bas de l'échelle, assistons à une lutte de méchants capitalistes entre eux, là d'accord. -
Conflits mode d'emploi
Vous n'y comprenez pas grand-chose dans les conflits qui minent actuellement le Racing Club de Strasbourg ? Vous n'êtes pas les seuls.
Il convient donc d'apporter quelques clarifications quant au mode de fonctionnement actuel du Racing.
Il résulte de la faillite de la SASP, intervenue au terme de la présidence de Jafar Hilali, à l'été dernier. Comme les délais étaient trop courts pour créer une nouvelle structure après la décision du Tribunal de commerce, l'association a repris la gestion de l'équipe une, ce qui n'est pas sa vocation.
Son objectif est avant tout de former des jeunes qui constituent les différentes équipes de jeunes (U15, U17, U19, DH) du Racing.
Pour envisager l'avenir, les dirigeants du Racing viennent de créer une nouvelle Société par action simplifiée. Le code du sport impose que l'association doive être à l'origine de cette structure et doit détenir 1 % du capital.
La loi exige également qu'une convention de gestion doive régir les relations entre l'association et cette SAS. Ainsi, les rôles de chacun seront plus clairement définis : l'association prendra en charge la seule formation, la SAS l'équipe une et toute la stratégie sportive et économique.
L'association, 300 licenciés, 40 membres, huit administrateurs
Quant à l'association plus précisément, il faut savoir qu'elle regroupe 300 licenciés, est gérée par une assemblée générale (AG) qui regroupe près de 40 membres dits dirigeants et fondateurs. L'AG élit un Conseil d'administration composé de 8 administrateurs qui à leur tour élisent un président et un bureau composé d'un trésorier, André Bohn aujourd'hui, après la démission récente de Gérard Lehr, et d'un secrétaire général, Erny Jacky. L'AG définit les grandes orientations, le CA arrête les principales décisions et le bureau gère au quotidien les activités de l'association.
En termes financiers, l'association fonctionne grâce principalement aux subventions des collectivités locales (grosso modo les deux tiers du budget) et aux différents sponsors restés fidèles au club, au premier rang desquels on trouve Électricité de Strasbourg. Ces dépenses permettent de couvrir le fonctionnement du centre, à savoir les salaires du staff technique avec un directeur, trois entraîneurs, un concierge, un intendant, l'entretien des équipements, les déplacements des joueurs et des bénévoles/éducateurs, le logement en pension complète des jeunes. Cette saison, le fonctionnement de l'équipe une est également assuré par l'association.
« Je tiens à préciser que contrairement à ce qui a pu être véhiculé, les fonctions d'administrateur de l'association ne sont pas rémunérées que ce soit sous forme de salaire, d'indemnité ou de frais divers, précise Patrick Spielmann. En quinze ans de présidence, je n'ai pas touché un euro de l'association ou du club et je ne me suis jamais fait rembourser la moindre facture de restaurant ».
Patrick Spielmann est président de l'association depuis 1997 avec deux courtes interruptions, pour laisser quelques mois la place à Léonard Specht et à Frédéric Sitterlé à l'automne dernier.
DNA -
Sitterlé et Spielmann ne font pas partie de la même caste . 1 a du pognon , l'autre pas .
L'association est obligée de passer par Sitterlé car c'est lui qui a les moyens de mettre 3 millions alors insister sur "ils veulent couler le club" , "ils lui mettent des bâtons dans les roues" , bref rien de bien réfléchi .
Ont ils quelqu'un d'autre sous la main , peut être , on verra . -
Ah oui, Spielmann est au SMIC, j'oubliais. Et il n'y a pas des gens genre Pignatelli à l'assoce?
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Ce message est une brève publiée par athor.
Alain Fontanel a annoncé, lors du conseil municipal, la mise en place d'un audit indépendant sur les comptes de l'Association RCS.
Source: Strasbourg -
Geste politique intelligent. Balle au centre. Uniquement elle, au centre des débats. Un match nul est évidemment à envisager entre les mensonges de l'un et les petites arrangements avec l'éthique associative des autres. Peut-être fallait-il en arriver là pour que les égos, à l'instar des Légos, se ramassent à la pelle et que la seule belle, la troisième mi-temps, soit celle des supporters.
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Très bonne décision de la part de la mairie !
Pour enfin aller définitivement au fond du problème.
On a suffisamment creuser maintenant il faut aller au bout !!! (+) -
Sait-on combien de temps devra-on attendre, environ, avant de connaître les premières conclusions de cet audit ? J'imagine que ça ne va pas se faire en 1 semaine.
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Honte d être strasbourgeois....
Quand arrêterez vous ces débats stériles qui ne peuvent conduire qu à la mort du club? -
Bon coup de com' politique, mais mesure un poil tardive quand même. Surtout si le fond de l'affaire c'est que les subventions publiques permettent au Racing de survivre depuis des mois.
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