Le Racing saison 2007/2008
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superdouDes soucis en interne, ça peut aussi être des problèmes financiers, tels que des salaires non payés, des primes non versées, ...
Sinon, ça pue bien l'histoire de cul quand même
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Les soucis en interne, ça se règle en interne, c'est un peu pour ça aussi qu'il y a un président et un entraîneur. Et ça se règle au moment opportun, pas à la fin pour constater les dégats
La série incroyable de 10 défaites et la descente en L2 ne peuvent être expliquées par ces "soucis internes ayant empêché les joueurs de s'exprimer"
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Au contraire, pour moi ces soucis internes sont bien la cause des problèmes sur le terrain.
Comme dans toute activité humaine, dans une grande majorité des cas où il y a souci, ce sont les relations humaines qui en sont la cause. -
kibitz a écrit, le 2008-05-16 09:16:24 : Les soucis en interne, ça se règle en interne, c'est un peu pour ça aussi qu'il y a un président et un entraîneur. Et ça se règle au moment opportun, pas à la fin pour constater les dégats
La série incroyable de 10 défaites et la descente en L2 ne peuvent être expliquées par ces "soucis internes ayant empêché les joueurs de s'exprimer"
C'est exactement pour ce genre d'excuses bidon que je n'arrive plus a voir furlan pour le moment.
Furlan, tu n'es ni une gonzesse, ni une tafiolle je crois...Alors monte que tu es un homme et arrete de te cacher derriere ces déclarations sans queues ni tetes stp...
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Comme dit aux entrainements le groupe semblait bien vivre sa série de défaite, pas de nervosité les fois ou j'y suis passé.
Il y'a pu avoir des conflits de personnes comme partout (on pense à Johansen Mouloungui, au cas Renteiria dont l'équipe ne supportait pas trop l'attitude de star ...) mais Furlan a toujours semblé pouvoir composé l'équipe qu'il voulait.
Le gros problème est venu de l'animation offensive et là , à par la maladresse des attaquants et la méforme de Johansen / Abdessaki
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Le racing en 2007 est respectable, bon jeu, collectif, envieux...Bref on revit.
En 2008, on a joué au foot .Ah bon, savait pas. :D
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samh a écrit, le 2008-05-16 06:33:36 : Pour préparer un avenir qui passera par les jeunes, Furlan a décidé de laisser à Strasbourg les joueurs en partance et avec lesquels il est en rupture (voir par ailleurs). Au passage, il reconnaît de façon un peu sibylline avoir rencontré « un problème dans la gestion du collectif. Il y a eu des soucis en interne qui ont empêché les joueurs de s'exprimer pleinement. »
(source : l'Alsace)
Ben volà ça commence à sortir.
Alors, des hypothèses sur ces soucis en interne ?
Khyrat ou la femme à Furlan ? D'ailleurs pourquoi Abou a été écarté sans jouer la moindre rencontre et l'est toujours à l'heure actuelle ?
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Tu vas pas remettre Abou sur le tapis, Furlan en voulait parce qu'il estimait qu'il n'apportait rien à l'effectif.
D'ailleurs à ce titre il avait été clair à propos des joueurs sur qu'il comptait et ceux qui pouvaient partir. Abou doit être l'un des seuls à ne pas avoir trouvé de clubs (pour les raisons qu'on connaît), voilà c'est tout. -
J'y peux rien si tu n'y vois rien de paradoxal en cette fin de saison sur les jugements de Furlan vis à vis de la volonté des joueurs et du résultat final.
Sur une seule anecdote il a réussit à le catégoriser, trop fort ce Furlan. :)) (+) (et ça ose se dire pédagogue )...
Le seul mérite de Furlan sur ce cas est d'être franc... vis à vis de la situation du joueur.
Bref je pense que le seul soucis en interne, c'est Furlan himself et que certains gars l'idolâtre un peu trop (Khiriat, Ginestet...) -
Fringant en 2007, Strasbourg a terminé sur une série incroyable de 11 défaites d'affilée, un triste épilogue pour un club en perpétuelle reconstruction
C'est sobre et criant de vérité ce petit passage du bilan de l'année dans le monde.Fr -
Les chemins de Traverse
Critiquée, comme tout le staff, après la descente du Racing en Ligue 2, Cécile Traverse, chargée de la préparation mentale des Strasbourgeois, dresse le bilan de sa saison.
A la reprise, elle risque de ne plus être là, victime, comme le statisticien Emmanuel Pascal, des coupes budgétaires liées à la relégation en Ligue 2. Cécile Traverse, préparatrice mentale du Racing - et compagne de Jean-Marc Furlan - n'aura donc fait qu'une petite saison à la Meinau. « Préparatrice mentale »... sous cet énoncé qui « fait pour l'instant sourire » (dixit Cécile Traverse) se cache une vraie discipline scientifique - la psychologie du sport - en plein essor. « Il y a quelques années, quand on parlait de diététique, tout le monde rigolait et maintenant, on voit son importance. Pour le mental, c'est pareil », lance cette Docteur d'Université, qui avoue toutefois souffrir, dans sa branche, de la concurrence de « charlatans » sans aucun diplôme. Pour Cécile Traverse, tout a commencé sur un terrain de tennis. « Je n'ai jamais pu exprimer toutes mes potentialités à cause du stress. Le tennis était devenu un calvaire pour moi », raconte-t-elle. Une fois en Staps à Bordeaux, elle s'intéresse de plus près à l'aspect mental du sport. Et se lance dans la recherche, jusqu'à obtenir un doctorat avec mention psychologie, en 2003.
A Saint-Étienne, à Troyes
Elle travaille ensuite auprès de joueurs de foot de Saint-Étienne, puis Troyes, avant d'arriver à Strasbourg dans les bagages de Jean-Marc Furlan, grand adepte de préparation mentale. « Dans le foot français, on est très en retard. A l'étranger, des gens comme moi il y en a 4 ou 5 par clubs », explique Cécile Traverse. Au Racing, elle met en place le même fonctionnement qu'à l'ESTAC : des séances collectives obligatoires une fois par mois (sur la gestion du stress, la relaxation avant match...) et des séances individuelles sur la base du volontariat. « Je n'ai eu que 5 joueurs qui se sont investis régulièrement. C'est dommage que beaucoup n'aient même pas essayé, lance Cécile Traverse, parce que ceux qui sont venus, ce sont ceux qui ont le mieux tenu la route, qui ont le moins souffert des sifflets à la Meinau par exemple. » Autre regret aussi : celui de ne pas pouvoir poursuivre cette aventure. « Il faut du temps, car les footballeurs jouent depuis toujours sans aide mentale. Quand ils me voient débarquer, ils se méfient, ne voient pas l'intérêt de venir ou ne veulent pas prendre sur leur temps libre », regrette-t-elle. Dommage, car « le mental, ça se travaille ». « Ceux qui sont venus, je leur ai donné des outils pour gérer leurs émotions... parce que ce n'est pas que l'événement qui compte, mais aussi la perception que les joueurs en ont », souligne-t-elle.
En symbiose
Et même si son contrat - qui se termine le 31 mai - n'est pas renouvelé, elle entend poursuivre son travail auprès des joueurs strasbourgeois qui ont accroché avec elle. « Je continuerai à les voir à l'extérieur, mais c'est toujours mieux de travailler sur place, en symbiose avec tout le staff ». Quant aux critiques sur le manque de « mental » d'un Racing qui s'est complètement effondré en fin de saison - critiques qui l'ont directement touchée - elle donne son explication. « Je pense que les cadres ont dépensé beaucoup d'énergie à porter les jeunes. A leur faire prendre conscience que la situation était risquée et compliquée. Et ils se sont fatigués », tranche-t-elle. Avant d'ajouter : « la préparation mentale, ce n'est pas du blabla. Qu'on remette en cause Cécile Traverse, ça ne me dérange pas. Mais qu'on remette en cause une discipline scientifique et des dizaines d'années de recherches qui ont fait leurs preuves, ça non. »
source : DNA -
Contrairement à ce que les DNA racontent, Traverse n'est pas docteur en psychologie mais en STAPS. Ca n'enlève rien à ses capacités de préparatrice mentale dans le milieu du sport mais ça ne fait pas d'elle une psychologue.
D'ailleurs le résumé de sa thèse est assez ironique au vu de la situation actuelle du Racing.
Le sportif inséré compétitif est confronté à de nombreux stresseurs potentiels qu'il se doit de gérer efficacement en utilisant des stratégies cognitives, comportementales et émotionnelles (Anshel, William et Hodge, 1997). Elaboré par Lazarus & Launier en 1978, le concept de coping désigne "l'ensemble des processus qu'un individu interpose entre lui et l'évènement perçu comme menaçant pour maîtriser, tolérer ou diminuer l'impact de celui-ci sur son bien-être physique et psychologique". L'objectif général de cette thèse est de réliser une étude comparative et longitudinale des stratégies de coping utilisées par les joueurs de football et de tennis, hommes et femmes, de niveau équivalent. La problématique s'organise autour de cinq axes : 1) l'effet du type de pratique sportive sur les stratégies de coping ; 2) l'effet du sexe sur les stratégies de coping ; 3) l'effet de la personnalité sur les stratégies de coping ; 4) l'effet du type de situation sur les statégies de coping ; 5) la stabilité dans le temps des stratégies de coping. Les principaux résultats indiquent que les joueurs de football et de tennis, hommes et femmes, présentent de nombreux points communs tant sur le plan de la personnalité que sur le plan des stratégies de coping mises en oeuvre pour faire face à la compétition. Les stratégies d'ajustement centrées sur le problème sont préférentiellement utilisées par les sportifs quels que soient la discipline et le sexe. De plus, ces stratégies d'évitement avec pensée positive et d'auto-accusation sont plus fluctuantes. Les relations personnalité-coping sont complexes. En effet, l'interprétation que se fait l'athlète de la situation semble détenir une importance capitale, non seulement pour étudier les relations entretenues par la personnalité et le coping, mais également pour affiner la compréhension des stratégies de coping employées et de leur stabilité.
Au moins, là dessus ils ont réussi. Les joueurs n'ont pas été victime de l'auto-accusation et ont su garder une pensée positive
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Citation: Je pense que les cadres ont dépensé beaucoup d'énergie à porter les jeunes. A leur faire prendre conscience que la situation était risquée et compliquée. Et ils se sont fatigués »
? Quels jeunes ? Renteria ? Gameiro (l'est pas lourd à porter lui) ? Mouloungui qui commence à être un vieux jeune ? Les autres qui jouaient pas ? Cohade, qu'est vraiment le gars le plus insouciant de l'équipe ?
Vu le nombre de cadres présumés, ou au moins de gars qui ont un peu roulé leur bosse... Cassard, Paisley, Dos Santos, Ducroq, Lacour, Rodrigo, Johansen, Abdessadki, Santos... -
Bilan 2007-2008 : les statistiques
L'heure du dur bilan de cette saison 2007/2008 a sonné ! Voici le bilan chiffré, avec toutes les statistiques sur l'année écoulée.
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Ouais bah, il aurait fallu que le championnat s'arrête à la 24 ème journée, car après c'est la déchéance.
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antorbr a écrit, le 2008-05-22 09:40:19 : Bilan 2007-2008 : les statistiques
L'heure du dur bilan de cette saison 2007/2008 a sonné ! Voici le bilan chiffré, avec toutes les statistiques sur l'année écoulée.
Bon article certes et merci de l'avoir mis en ligne - mais une statistique manque toutefois dans l'article, c'est-à-dire tous les buteurs de la saison (même s'il n'y en a pas tellement). :-B -
Bilan 2007-2008 (1/3) : été
Entre changement de coach, de joueurs et de maillot, on ne s'est pas ennuyé cet été du côté de la Meinau. L'engouement est important, le nombre d'abonnés historique et les débuts en championnats prometteurs... Le soleil brille à Strasbourg !
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Bilan 2007-2008 (2/3) : automne
Les débuts ensoleillés du Racing laissent place à une période plus nuageuse et l'enthousiasme fraîchit doucement. Le temps semble se gâter, vivement le printemps...
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Bilan 2007-2008 (3/3) : hiver
A l'image de la météo, le Racing se dérègle complètement. Il n'y a décidément plus de saisons. Sportivement parlant, c'est encore plus vrai à partir du mois de février et l'hiver s'installe durablement. Pourtant, ce n'est pas Noël tous les jours...
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Baromètre de la saison 2007-2008
Stéphane Cassard, Kévin Gameiro et Renaud Cohade se partagent le podium cette saison. S'il ne devait en rester que trois sur l'effectif la saison prochaine, nul doute que la communauté racingstub.com signerait tout de suite pour ces trois-là...
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Bilan 2007-2008 : les joueurs (1/2)
La saison est terminée et il est l'heure de passer les acteurs du rectangle vert au crible. Des réussites aux déceptions...
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Bilan 2007-2008 : les joueurs (2/2)
Deuxième partie de notre article, place aux déceptions !
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rachmaninov a écrit, le 2008-01-03 17:20:13 : Exercice de voyance : le Racing en 2008 !
Ma boule de cristal, reçue à Noel m'a permis de connaitre l'avenir du Racing en 2008. Je vous en livre les grandes lignes en exclusivité. Amateurs de Loto Foot, n'en perdez pas une miette !
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rachmaninov démission
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Salaud :)) (+)
Ce gars-là ne pouvait décemment pas gagner le concours de pronos... -
Une relégation à onze
Une effroyable série de onze défaites lors des onze dernières journées a précipité en L 2 un RCS qui semblait se diriger vers un maintien tranquille. Retour sur une saison 2007-2008 marquée par une déliquescence record.
Plus personne ne l'ignore. C'est le nouveau record de l'après-guerre. Avec 11 défaites consécutives, le Racing a effacé des tablettes Toulon, Rennes et Lens, tous battus 9 fois d'affilée depuis la Seconde guerre mondiale. La relégation tombe à point nommé façon de parler pour lui éviter de reléguer aux oubliettes le recordman absolu du genre : le CA Paris, 12 défaites de rang en 1933-34. Un record d'un autre temps.
Autre record, lui aussi peu glorieux : Wason Renteria et ses partenaires ont bouclé 21 des 38 journées de L 1 sans avoir fait trembler les filets adverses (+ de 55 %). Ils n'ont pas davantage marqué dans les Coupes nationales (0-2 contre Amiens en Coupe de la Ligue, 0-0 à Rouen succès aux tirs au but en 32es et 0-3 contre Metz en 16es de Coupe de France), ce qui rehausse leur taux de mutisme à plus de 58 %.
Cette stérilité chronique, pointée du doigt très tôt dans la saison, s'est révélée fatale. Avec 34 buts en 41 rencontres officielles, le RCS n'a tourné qu'à 0,83 but de moyenne par match (0,89 en L 1). Il termine avec la 16e attaque, un classement presque flatteur masqué par ses triplés contre Auxerre, à Toulouse, à Lille, face à Rennes et Saint-Étienne. Lyon, avec ses 74 buts, a survolé la classe L 1, devant Bordeaux (65). Metz (28 buts) porte naturellement le bonnet d'âne.
D'aucuns avanceront peut-être que la défense bas-rhinoise a encore fait pire, en se classant 19e sur 20 avec 55 buts encaissés. Mais ce chiffre est passablement faussé par la chute libre de fin de saison. Longtemps installée dans le groupe de tête, elle a plongé sur la fin. « C'est usant de toujours porter le poids d'une rencontre en sachant qu'on n'a pratiquement aucune chance de marquer », confiait Grégory Paisley avant son départ en vacances. Comme ses comparses de l'arrière-garde, le défenseur axial a « lâché » psychologiquement « inconsciemment », plaide-t-il en fin de parcours. Lors des 7 dernières journées, le Racing a encaissé plus d'un tiers de ses buts (20, dont 14 lors des 4 ultimes rendez-vous). Dans un secteur dominé par Nancy et Nice (30 buts), seul Metz bien sûr a fait pire : 64 buts. Mais la cause des maux strasbourgeois est à chercher ailleurs.
A commencer par un rendement insuffisant à domicile : 18e avec 20 points sur 57 (5 victoires, 5 nuls et 9 défaites), la 16e attaque (19 buts, Lyon 44 et Sochaux 13 pointant aux deux extrémités de ce classement) et la 14e défense (20 buts encaissés, moins bien qu'un Saint-Étienne infranchissable 4 mais mieux qu'un Metz passoire 34). Rodrigo et les autres ont perdu leurs six dernières rencontres à la Meinau. Trop, beaucoup trop, pour se maintenir. Leur goal-average général (- 21) est le pire de L 1 après Metz (- 36), alors que Lyon écrase une nouvelle fois tout sur son passage (+ 37, devant Bordeaux : + 27).
Leur classement à l'extérieur est à peine plus reluisant : 17e avec 15 points. 19e défense ex aequo (35 buts, comme Auxerre) et 13e attaque (15 buts), le RCS possède la 18e différence de buts hors de ses bases (- 20).
Pire que Le Havre 2002-2003
Tant à domicile qu'à l'extérieur, le Racing aura surtout péché par son incapacité à renverser le cours d'événements défavorables. Arracher un seul point après avoir été mené au score (1-1 à Auxerre, égalisation de Fanchone à la 83e) aura dénoté le manque général de caractère d'un groupe « plutôt soudé et agréable à vivre », comme le rappelait encore récemment Guillaume Lacour. Un groupe porté par la vague des bons résultats du début de saison et rassuré par sa capacité à briser les séries négatives. Avant celle, incroyable, de 11 revers en fin de saison, jamais le promu alsacien n'avait concédé plus de deux défaites d'affilée. Le RCS comptait 35 points après 27 journées. Au soir du dernier match à Marseille, il n'en avait pas engrangé un de plus.
En 2002-2003, Le Havre totalisait 35 points après 29 rencontres. Huit défaites consécutives plus tard, il était condamné à la L 2, son dernier succès contre Nice (2-1) ne changeant plus rien. A l'époque, Alexander Vencel, Grégory Paisley et Pierre Ducrocq étaient Havrais. « Mais ce qu'on a vécu cette année avec Strasbourg dépasse tout», n'en revient toujours pas l'entraîneur des gardiens. Une déconfiture qui, pour la 3e fois en sept ans, a renvoyé le Racing à l'étage du dessous.
source : l'Alsace
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