Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

gweilo

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  • Dans Philippe Ginestet - Modifié par gweilo
    gweilo
    Ginestet en force

    Pour coiffer Afflelou sur le fil, le nouveau président a fait planer la menace d'aller en justice.
    Les actionnaires ont reculé.

    PHILIPPE GINESTET, investisseur en immobilier de 39 ans, l'homme dont les actionnaires du RC Strasbourg ne voulaient plus il y a six mois, a été investi président du Racing, hier soir, par cesmêmes personnes. Il succède à Egon Gindorf. C'est un sacré renversement de tendance quand Alain Afflelou apparaissait, voici deux jours encore, comme le sauveur attendu par le club. Le rassemblement a été décrété devant la grave situation sportive du club. Ginestet devient actionnaire majoritaire. Dans sa première déclaration, le nouveau président a évoqué « une parenthèse de six mois qui se referme » . Concernant ses rapports parfois orageux avec Marc Keller, il a évoqué « la complémentarité de deux personnalités de caractère », sans indiquer qu'il avait fait du maintien du directeur général et des autres actionnaires une condition sine qua non à sa venue. Ginestet verra Jacky Duguépéroux (confirmé sans ses fonctions) et les joueurs cet après-midi « pour préparer au mieux lematch contre Sochaux ». En attendant, quelques questions méritent un éclaircissement.

    COMMENT AFFLELOU SERAIT-IL DEVENU PRÉSIDENT ?
    – D'abord en devenant l'actionnaire majoritaire de la SASP (Société Anonyme Sportive Professionnelle) Racing. Jusqu'à hier, la Holding Sportinvest détenait 98 %du capital de la SASP. L'opération consistait à faire tomber à 49 % la participation de la Holding. Cinq des six actionnaires, Egon Gindorf, l'actuel président, majoritaire avec 60 %, Marc Keller, Patrick Adler, Pierre Schmidt et Thierry Wendling s'étaient donc engagés à céder au lunetier les parts nécessaires à la transaction, pour un euro symbolique. Afflelou aurait été majoritaire de la SASP à 51 %. Aucune manoeuvre juridique ne pouvait freiner un processus qui aurait conduit à la dévaluation du capital sans pour autant réduire, au contraire même, la surface financière du club. En effet, Philippe Ginestet ne détient que 20 % des parts de la Holding, sous la minorité de blocage (25 %).

    COMMENT GINESTET A-T-IL FAIT RECULER LES ACTIONNAIRES ?
    – En les menaçant de porter le dossier devant les tribunaux. L'investisseur en immobilier reconnaît bien « n'avoir aucun pouvoir juridique pour s'opposer à la cession des parts » . Par contre, il envisageait d'intenter une action pour abus de majorité. Son argument : la dévaluation de ses parts après cession de la majorité de celles-ci pour un euro. Nul ne sait quelle issue aurait connu son actionmais s'il avait obtenu gain de cause, l'équipe Gindorf aurait pu être contrainte à verser une somme de plusieurs millions d'euros en dédommagement. On peut admettre aujourd'hui que cette seule perspective a conduit à l'abandon du projet Affelou. « Son projet était pourtant le meilleur », assurait un actionnaire, hier. Tout est dit.

    AFFLELOU ET GINESTET POUVAIENT- ILS TRAVAILLER ENSEMBLE ?
    – Même s'il assure sans cesse que seul l'avenir du Racing le préoccupe, Philippe Ginestet a-t-il démontré, en faisant obstacle à l'arrivée d'Afflelou, qu'il tient avant tout à prendre le pouvoir ? Hier matin, le lunetier avait, quant à lui, ce langage : « Moi, ça ne me dérangeait pas de travailler avec des investisseurs locaux, au contraire. J'étais même prêt à un tour de table. Franchement, ça ne m'intéresse pas d'acheter un club, ni même d'occuper les fonctions de président, j'ai déjà donné. Je voulais aider le Racing, tout simplement. Récemment, lorsque j'étais à Strasbourg, j'avais rendez-vous avec Ginestet pour en parler. Il n'est
    jamais venu. »

    QUE PROPOSAIT AFFLELOU ?
    – Dans un premier temps, le lunetier garantissait un éventuel dépassement du budget 2005/2006, par exemple en mettant de sa poche deux ou trois millions d'euros pour recruter durant le mercato d'hiver. Ensuite, il s'engageait, sous diverses formes, à injecter entre douze et quinze millions d'euros dans les cinq ans, mais aussi à prendre en charge les trois millions versés par Ginestet sur le compte courant et que le club a commencé à rembourser après sa mise à l'écart (il reste un peu moins d'un million à honorer), en juin dernier. Afflelou, en colère : « Je suis choqué quand j'entends Egon Gindorf prétendre que les actionnaires
    devraient mettre la main à la poche avec mon arrivée. Sur la durée, ils auraient même récupéré le million et demi d'euros nécessaire au rachat des actions de Ginestet. Que faut-il encore faire de plus ? »

    QUE PROPOSE GINESTET ?
    – Une mise à plat immédiate de la situation qui évite au club de lui verser le solde du compte courant et aux actionnaires de lui racheter ses parts. Il aurait même proposé de restituer aux cinq autres actionnaires les trois millions dépensés lors de la reprise du club en 2003. Cela signifie que, dans l'instant, toutes les dettes sont effacées et que chacun peut récupérer sa mise de départ. Concernant Egon Gindorf, il s'agit quand même de la coquette somme de 2,7 millions d'euros. L'actuel président, pour des raisons personnelles, en aurait grand besoin. On peut supposer ici que des choix et des peurs personnels ont facilité l'avancée du projet Ginestet.

    QUE VA FAIRE MARC KELLER ?
    – Pour l'instant, il reste. Directement à l'origine du rapprochement entre Afflelou et le Racing, le directeur général est assis entre deux chaises. Dans son projet, Ginestet a clairement réclamé le maintien de Keller et des autres actionnaires. Il y a six mois seulement, tout ce beau monde s'envoyait des noms d'oiseaux dans les bureaux de la Meinau. Keller a-t-il songé à quitter le navire ? On peut le penser. Comme on peut supposer que la question reviendra sur le tapis, au plus tard en fin de saison. D'ici là, le directeur général a choisi de ne pas lâcher les actionnaires qu'il a fait venir au club.

    QUEL RECRUTEMENT ?
    – Afflelou avait annoncé cinq ou six joueurs au mercato d'hiver. « Deux ou trois joueurs bien ciblés suffiront, rectifie Ginestet. On va en parler avec Duguépéroux » . La piste Everson, le milieu brésilien de Benfica, est très chaude. Un attaquant, brésilien également, est sur les tablettes. Demain, la Meinau, décorée aux lumières de Noël, attend Sochaux. « Ça sent le sapin », a lancé un plaisantin.

    JEAN-MARC BUTTERLIN

    Source l'Equipe
  • Dans Philippe Ginestet -
    gweilo
    Le retour de Ginestet
    L'actionnaire est à nouveau candidat à la présidence du Racing. Afflelou pourrait renoncer afin de « privilégier la solution locale ».
    LE RACING STRASBOURG en fait la preuve avec une belle obstination : il n'est absolument pas nécessaire de gagner des matches, même pas un en Championnat, pour devancer les trois quarts des équipes de Ligue 1 dans l'actualité sportive. À peine plus qu'une brève développée devait annoncer, dans cette rubrique, la tenue, aujourd'hui, de l'assemblée générale de la Holding Sportinvest, qui détient 98 %de la SASP (société anonyme sportive professionnelle) Racing. Le but de la réunion était d'entériner, entre actionnaires, la vente du club à Alain Afflelou, d'ici à une grosse quinzaine de jours. Même la présence de Philippe Ginestet, qui faillit devenir président en juin dernier avant d'être récusé par les autres actionnaires, ne semblait plus faire obstacle : avec une participation de 20 %, le patron d'Eurinvest, société en investissements immobiliers, n'est pas en situation de freiner le processus. La minorité de blocage est de 25 %.

    Et pourtant. Ce matin, il est de moins en moins sûr qu'Alain Afflelou soit le prochain président de Strasbourg, et de plus en plus probable que Ginestet le devienne. Sauf nouveau renversement de tendance, restons prudents. Mais alors, que s'est-il passé ?

    Hier matin, Alain Affelou recevait confirmation des actionnaires alsaciens d'une offre de reprise de Philippe Ginestet, déposée il y a trois jours déjà. Cette offre, nous confirmait Egon Gindorf, l'actuel président, hier soir, est « plus intéressante
    pour le club » que celle du lunetier. Celui-ci, pourtant, s'engageait à injecter plus de 15 millions d'euros, sous diverses formes, en cinq ans, et à semontrer très actif sur le marché d'hiver. Afflelou a, plusieurs fois, évoqué le renfort de cinq à six joueurs. Ces dernières heures, encore, il s'était renseigné sur le Parisien Fabrice Pancrate. Jusqu'à ce que, hier, ne tombe un communiqué dans lequel on lit notamment : « Nous avons appris l'existence d'une offre par un actionnaire minoritaire du club. Cette offre de reprise, qui privilégie une solution locale, semblerait mieux convenir aux intérêts du club et de ses actionnaires... D'ores et déjà, au cas où cette offre retiendrait l'attention des dirigeants, il est évident qu'Alain Afflelou se retirerait puisqu'il a, depuis toujours, privilégié une solution locale. »

    Quel avenir avec Keller ?

    Pour autant, Afflelou ne s'est pas mis entièrement hors course. « Nous maintenons nos propositions, explique Éric Lesieur, l'homme de confiance de l'ancien président de Bordeaux et de Créteil, mais de toute façon, il y aura lieu de rediscuter des conditions. Il n'est pas question de travailler avec un actionnaire minoritaire qui apporterait la contradiction. » Que faut-il penser, maintenant, du retour sur scène de Philippe Ginestet ? Et comment doit-on interpréter l'allusion « aux intérêts des actionnaires » qui figure dans le communiqué du lunetier ? Pour permettre l'accession à la présidence d'Afflelou, ceux-ci auraient encore à verser, d'ici à juin 2006, 1,5 M_ à Ginestet. Cette somme correspond à la valeur de 31 des 51 %d'actions que ce dernier détenait avant de se heurter à ses partenaires. Certains d'entre eux n'ont peut-être plus envie de mettre la main au portefeuille en regard de la situation sportive. Le retour de l'investisseur immobilier, comme actionnaire majoritaire, permettrait d'effacer la dette. Reste à imaginer ce que serait la nouvelle cohabitation entre Ginestet et Marc Keller, très liés avant que le directeur général ne fasse état du malaise que provoquaient, à ses yeux, les ingérences du candidat à la présidence. Au lendemain de la victoire en finale de la Coupe de la Ligue (2-1 contre Caen), soutenu par Patrick Adler, autre actionnaire, Keller avait été jusqu'à mettre son poste en jeu pour obtenir le retrait de Ginestet. « Entre un ex-international qui a su tisser sa toile et un jeune entrepreneur comme moi, qui vient apporter son argent, c'est la lutte du pot de fer contre le pot de terre », avait déclaré Ginestet, le 29 mai dernier. Hier soir, au téléphone, le ton avait changé : « Il y a un décalage entre ce qui est dans les journaux et la réalité. Dans cette histoire, je n'ai aucun pouvoir juridique. Les actionnaires choisiront entre deux propositions. Moi, tout ce qui m'intéresse, c'est le sportif et le salut de l'équipe. »

    « Devant l'intérêt général, il faut souvent savoir oublier les malentendus », glisse, finalement, Egon Gindorf. Comme si « la solution locale » avait déjà été retenue. Normalement, on devrait le savoir ce soir. Mais y a-t-il quelque chose de normal à Strasbourg ?

    JEAN-MARC BUTTERLIN
    (avec G. D.)

    Source l'Equipe
  • Dans La fin du monde pour 2012 ? -
    gweilo
    Il n'y a pas aussi une histoire de noyau terrestre, de demagnetisation et d'inversion des champs magnetiques qui pourrait un jour se produire et avoir de graves consequences.

    Il me semble avoir vu un tel documentaire, mais je ne sais plus trop ou et quand :'>
  • Dans Les morts continuent ... -
    gweilo
    Extrait de l'article dans l'Equipe:

    DAVID DI TOMMASO, défenseur au FC Utrecht (Pays-Bas) s'est éteint hier matin, à vingt-six ans, victime d'un malaise vers 8 heures du matin. Sa femme, Audrey, a prévenu les secours mais ils n'ont pas réussi à le ranimer. « Les circonstances de son décès sont inconnues », a indiqué le club néerlandais.
    Selon toute vraisemblance, il ne s'agirait pas d'une crise cardiaque. Un électrocardiogramme a été pratiqué et n'aurait rien décelé d'anormal. Une autopsie devrait d'ailleurs être réalisée dans les prochaines 48 heures. L'entourage du joueur, formé à Monaco avant de rejoindre Sedan (de janvier 2001 à juillet 2004), avançait hier soir une possible rupture d'anévrisme.
    « Nous ignorons absolument tout des causes du décès. Mais nous sommes sûrs d'une chose : il ne se dopait pas », a rapidement précisé un porte-parole du FC Utrecht.
  • Dans Les morts continuent ... -
    gweilo
    Son entourage dans l'Equipe évoque une rupture d'anévrisme.

    RIP
  • Dans Arthur Boka -
    gweilo
    Et bein que ce soit dans l'Equipe ou dans l'Alsace, Dugueperoux lui en veut enormement :O
  • Dans [05-06] Nantes 4-3 RCS l Après match - Modifié par gweilo
    gweilo
    Strasbourg n'a pas compris
    Battus à Nantes (3-4) après avoir mené 2-0 puis 3-1, les Alsaciens ont très mal encaissé ce revers.

    LES PREMIÈRES EMBÛCHES l'ont fait rire, puis son sourire s'est crispé. À chaque match, un piège. Strasbourg se souvient-il qu'il s'était engouffré dans ce Championnat tout sourire ? Aujourd'hui, le Racing voudrait revoir la lumière, mais les petites lueurs ne durent jamais. Dimanche à Nantes, les Alsaciens n'ont jamais été aussi près de leur premier succès en L 1 de la saison. Ils menaient 2-0 à lami-temps et même 3-1 jusqu'à la 56e minute. Mais la défense, qui présentait avant la rencontre une moyenne présentable (16 buts encaissés en 15 matches), allait complètement exploser sous la pression nantaise. « Le match bascule à 3-1 quand Pontus Farnerud rate une occasion énorme, estime Jacky Duguépéroux. Au lieu de frapper, il choisit d'embarquer Landreau. » Le crochet du Suédois est trop long : Delhommeau peut intervenir (52e). Évidemment, à ce moment-là, les Alsaciens ne se doutent pas que le match va leur échapper. « À la pause, témoigne Nicolas Puydebois, je me suis dit que si nous continuions à maîtriser le match commenous l'avions fait jusque-là, il ne pouvait rien nous arriver. On avait de bonnes raisons d'y croire, d'autant que nous restions sur un match solide, à Rome face à la Roma (1-1). À 3-1, j'étais également très serein. Je n'imaginais pas en prendre trois derrière, même si Nantes poussait.»

    C'était peut-être oublier l'ambivalence comportementale de son équipe, imbattable en Coupe de l'UEFA, incapable du moindre succès en L 1. « Nous avons voulu repousser l'échéance, nous avons reculé, sans doute par manque d'expérience. Avec la fatigue, nous n'avons pas pu tenir. Nous avons manqué de lucidité. Sur le quatrième but, Da Rocha est seul à l'entrée de la surface. Nous aurions dû fermer la baraque », regrette le gardien abandonné. Paradoxe de cette incroyable partie, Puydebois a pris quatre buts sans avoir grand-chose à se reprocher. Au contraire, il s'est même distingué en réussissant deux ou trois arrêts de classe, notamment sur le penalty de Bamogo (76e). Après le match, l'ancien Lyonnais amême eu droit au compliment de Landreau, qui lui a dit que son jeu lui faisait penser à celui d'un certain Grégory Coupet. Plus tard, son vis-à-vis a aussi estimé que Strasbourg était « l'équipe qui jouait le mieux dans la dernière moitié de tableau » mais celle, aussi, « qui laisse des espaces ». Ces compliments « font une belle jambe » à Jacky Duguépéroux, dont l'équipe s'impose plus que jamais comme le fournisseur officiel des satisfactions adverses. « Nous avons toujours cherché à développer du jeu mais nous avons toujours manqué d'efficacité, soit devant le but adverse, soit devant notre but », répète le technicien alsacien. Puydebois : « J'ai eu la gueule de bois... »

    Combatif, « Dugué » tentera de remettre de l'ordre dans la tête de ses joueurs. Il les a laissés au repos, hier, après une semaine chargée. « Franchement, j'ai eu la gueule de bois jusqu'à (hier) midi, avouait Puydebois. Et puis, j'ai cherché à positiver. L'objectif pour ceux qui débuteront samedi contre Sochaux, c'est de pouvoir évacuer ce scénario catastrophe.» Duguépéroux orientera son débriefing dans la même direction. « Nous ne sommes qu'à trois matches du premier non relégable (Troyes). Un Championnat à quatre voire à cinq se dessine. Il faudra le gagner. Mais tout peut aller très vite. À Nantes, il y a eu de très bonnes choses. Simplement, je peux reprocher à mes joueurs de ne pas être malins, rusés. »

    À la Beaujoire, Strasbourg, handicapé par l'absence de six éléments essentiels (*), s'est présenté avec une charnière centrale de juniors (Bellaïd-Schneider, dix-neuf ans chacun). Mais ce n'est pas aux plus jeunes que l'entraîneur fait forcément référence. Il stigmatise plutôt « des détails gênants ». Comme l'attitude d'Arrache, blessé mais qui s'est relevé très vite après que les Nantais eurent mis le ballon en touche : « Sur l'action suivante, Micka Pagis est vraiment blessé. Mais Nantes, plutôt que de sortir le ballon, s'en va égaliser. »

    Duguépéroux aura peut-être une explication avec Arthur Boka, qui n'a jamais pris ce match par le bon bout et qui a abandonné ses équipiers au plus fort de la tempête. « Notre ami du flanc gauche :o) se fait expulser stupidement. L'arbitre l'avait pourtant prévenu et moi aussi », déplore Duguépéroux, forcé d'utiliser Deroff, inscrit sur la feuille de match malgré un avis médical défavorable.
    Samedi contre Sochaux, Strasbourg n'aura pas le choix. Quelle que soit la manière, il devra gagner. Le seul retour espéré est celui de Hagui. Auteur d'un doublé samedi, Pagis passe une IRM aujourd'hui. Son absence pèserait lourd mais les Strasbourgeois ne sont plus à un contretemps près. Dimanche soir, leur avion a même failli les lâcher à cause d'un problème mécanique.

    (*) Devaux, Kanté, Le Pen, Hagui, Sidi Keita, Johansen sont blessés.

    Source l'Equipe
  • Dans Alain Afflelou aux commandes du Racing ! - Modifié par gweilo
    gweilo
    ALAIN AFFLELOU, le président strasbourgeois, soutient son entraîneur et évoque le mercato.
    « Je soutiensJacky »

    « APRÈS LA DÉFAITE À NANTES, vous avez réitéré votre confiance à Jacky Duguépéroux.
    – Jacky, je le soutiens, comme il soutient les joueurs. Dans ces moments difficiles, on se sert les coudes. L'entraîneur n'a rien à voir avec la défaite contre Nantes. Il n'y a rien à redire sur son travail. Il a la situation en mains. Le remplacer serait une grosse erreur, sauf à être superstitieux. À un moment, il vaut mieux construire. Scier Jacky, ça reviendrait à se couper les jambes. Je crois surtout qu'il a démarré la saison avec un effectif beaucoup trop juste quantitativement. On nous bassine avec les blessés. Nous n'avons que treize ou quatorze joueurs capables d'être titulaires. Sur un match comme Nantes, il manque des patrons.

    – Où en êtes-vous avec le dossier Marcel Desailly ?
    – Je considère que c'est abandonné. Il ne nous a pas répondu. :-' Toutefois, je crois que, finalement, sa venue n'aurait pas été une bonne chose. Il faut être au niveau pour jouer et je ne sais pas quel est le sien à trente-sept ans.

    – Allez-vous recruter un joker avant le mercato ?
    – Compte tenu du marché, on n'y pense même pas. En revanche, nous serons actifs pendant le mercato. Sur ce que j'ai vu hier et avec les départs pour la CAN, les blessés, il faut un stoppeur, un latéral polyvalent, un ou deux milieux et deux attaquants. Le meilleur à Nantes, c'est Hosni et il sera concerné par la CAN. Comme, peut-être, Gmandia, Haggui, Boka ou Bellaïd.

    – L'arrivée de l'ancien Niçois Everson, qui n'entre plus dans les plans de Benfica, semble se préciser, tout comme celle d'Ahmed Abou Mosallam, latéral gauche égyptien que Strasbourg a mis à l'essai contre Nancy il y a deux mois...
    – Je ne suis pas certain que nous ayons besoin d'un latéral gauche. Concernant Everson, il nousplaît. Il est polyvalent et c'est un bagarreur. Si on peut le faire signer après une visite médicale approfondie, on ne s'en privera pas. Un accord verbal existe entre les trois parties pour un prêt.

    – Êtes-vous plus inquiet qu'avant votre prise de pouvoir ?
    – Faire un nul à Nantes n'aurait pas été si mal que ça. Le problème, c'est que la sanction reste la même, que nous jouions bien ou mal. Nous sommes rentrés de Nantes abattus. Dans le bus, avec les joueurs, j'ai aussi vu beaucoup de gens nous applaudir. Cette équipe joue et son classement rend beaucoup de monde triste. »

    Source l'Equipe
  • Dans Miss France 2006 -
    gweilo
    1m82 :O Tu es sur lenain2jard1 :p

    Ils ont fait une photo de groupe special insulaire (Dom Tom + Corse) :-/
  • Dans Yann Schneider -
    gweilo
    LE PROJECTEUR
    La folle semaine de Yann Schneider
    Après ses débuts en L 1 contre Nice et en Coupe UEFA à Rome, le jeune défenseur fêtera sa première titularisation professionnelle à Nantes.

    C'était l'autre vendredi, la veille du match contre Nice. Yves Deroff venait de quitter l'entraînement avec une douleur à l'ischiojambier droit. En dernière minute, Jacky Duguépéroux décidait de rappeler le capitaine de l'équipe de CFA, Yann Schneider (19 ans). Le lendemain, dès le quart d'heure de jeu, Jean-Christophe Devaux cédait sa place pour une blessure au mollet. Remplaçant en Coupe de la Ligue à Troyes le 9 novembre 2004, puis en Coupe de l'UEFA contre Tromsö le 3 novembre (ses deux seules apparitions sur une feuille de match), Schneider, originaire de Schoenbourg, près de La Petite Pierre, fut ainsi lancé sans préavis dans le grand bain de la L 1. « Quand j'ai vu Jeannot se blesser, je me suis douté que j'allais entrer, parce que j'étais le seul défenseur sur le banc. Le coach m'a envoyé m'échauffer. Quinze secondes plus tard, il m'a rappelé. Je n'ai pas eu le temps de cogiter et ce n'était pas plus mal. Je me suis juste dit : "C'est ma chance, il faut que je la saisisse." J'ai donné le maximum pour répondre aux attentes de l'entraîneur. » Cinq jours plus tard, jeudi à Rome, le stagiaire 2e année, au centre de formation du Racing depuis 1998 (« c'est ma 8e saison et à mon arrivée, en moins de 13 ans, j'avais Jacky Duguépéroux comme entraîneur »), enchaîne avec un baptême européen. A la 71e, il supplée Cédric Kanté, touché à l'adducteur. « Je savais très bien qu'après Nice, Cédric reviendrait et que je retournerais sur le banc. Je sais aussi que sauf concours de circonstances, je vais finir la saison en CFA. Avec Habib (Bellaïd), nous nous connaissons bien. Nous avons joué ensemble deux saisons en moins de 18 ans et en CFA. Nous nous sommes beaucoup parlé et avons défendu comme en réserve. Nous avons des automatismes. J'ai gagné pas mal de duels. J'ai même pris un carton. Une vieille habitude (il rit). L'an passé en CFA, j'ai récolté quatorze avertissements et un rouge. »
    « Que des gars que je regarde à la télé »

    Cédric Kanté, Karim Hagui et Jean-Christophe Devaux out, Jacky Duguépéroux alignera ce soir à Nantes un axe central même pas quadragénaire, Bellaïd – Schneider (19 ans chacun). « Yann est moins bien rentré à Rome que face à Nice, mais comment ne pas le comprendre dans un tel contexte ? », juge « Dugué » avec indulgence à propos du dernier arrivé. Celui-ci reconnaît volontiers avoir souffert quelques minutes au Stadio Olimpico. « Je ne pensais entrer. Notre défense était bien en place et il n'y avait aucune raison de changer. Mais Cédric a demandé à sortir et j'ai dû y aller. Du banc, j'avais vraiment été impressionné par les déplacements de Totti, Nonda et Cassano. Que des gars que je regarde à la télé depuis tout petit. Habib et Cédric avaient fini par maîtriser leurs appels. Moi, je n'en savais rien quand je suis entré. Et nous avons encaissé un but tout de suite après. Si nous en avions pris un second, mon plaisir aurait été gâché. Mais là, avec le nul et la qualif au bout, je ne vis que du bonheur. La veille du match contre Nice, je n'étais même pas dans le groupe. Depuis, j'ai joué les trois-quarts de la rencontre face aux Niçois et eu la chance, dès mon 2e match pro, d'évoluer au stade olympique face à La Roma. Pour un jeune joueur, c'est exceptionnel. Surtout que contrairement à l'an dernier, je n'ai pas fait cet été le stage d'avant-saison avec les pros et que le coach faisait rarement appel à moi. » Depuis une semaine, il s'efforce de garder la tête froide. « Une titularisation à Nantes ? Le coach ne m'en a pas parlé et je préfère ne pas m'avancer. » « Je n'ai rien dit aux jeunes. Ils ne sauront que demain qu'ils joueront ensemble », confirme Jacky Duguépéroux. Tout à l'heure donc, le Bas-Rhinois bouclera une folle semaine par une grande première dans le onze de départ. A lui de faire en sorte que le rêve ne tourne pas au cauchemar.

    Source l'Alsace
  • Dans [05-06] Nantes-RCS | Avant-match - Modifié par gweilo
    gweilo
    Atout jeunes contre péril jaune
    Handicapé par sept blessures, lanterne rouge sans succès en 15 journées, un Racing très rajeuni, rasséréné par son nul à Rome, espère vaincre le signe indien à 18 h à Nantes où il n'a pas gagné depuis 1971.

    C'est la date qui fait mal. Celle qu'on extrait invariablement des archives à chaque déplacement du Racing à Nantes : depuis bientôt 35 ans (moins les saisons de Ligue 2 évidemment), le RCS n'a plus gagné en Loire Atlantique. Il ne s'y est, pour tout dire, imposé que deux fois : en 1969-70 (1-0) et en 1970-71 (2-1) dans le vieux stade Marcel-Saupin. La dernière, c'était le 12 juin 1971. Joël Prou et Marco Molitor avaient permis aux Bleus de disposer de Bernard Blanchet et de ses partenaires. « Je ne jouais pas encore au Racing, mais à Valenciennes », se souvient Jacky Duguépéroux, « C'est dire si c'est vieux. Nantes a toujours été un déplacement difficile. Même en 1979, lorsque nous sommes devenus champions, nous y avons été punis. » Depuis près de 35 ans, la rengaine est la même. Enfin pas tout à fait. Lors de ses dix dernières visites à la Beaujoire, le Racing en a rapporté neuf défaites. Une funeste série qu'il n'a interrompue qu'en 2003-2004 (1 but partout avec une égalisation à la 93e sur un but... contre son camp du Colombien Mario Yepes, aujourd'hui à Paris). C'est dire si les Bleus ont frôlé le dix sur dix « parfait ». Du côté de la Meinau, on prend donc les mêmes (propos) et on espère ne surtout pas recommencer. Forts de leur qualification en Coupe de l'UEFA, les Bleus espèrent enfin capitaliser en L 1 la confiance emmagasinée sur la scène continentale. « Après nos succès à Bâle et sur Tromsö (2-0), nous avons enchaîné par deux revers au Mans et à Lille en encaissant un but dès les premières minutes. Nous savons ainsi ce que nous ne devons pas faire », rappelle un Duguépéroux qui s'arrache les cheveux à cause de la cascade de blessures qui s'abat sur son groupe (voir ci-dessous). Un exemple : Karim Hagui, Jean-Christophe Devaux et Cédric Kanté, ses trois défenseurs centraux censés pourvoir les deux postes disponibles, sont out ce dimanche. Yves Deroff, qui s'est entraîné normalement hier pour la première fois depuis dix jours, a réintégré prématurément le groupe pour qu'un défenseur (latéral en l'occurrence) puisse figurer sur le banc en cas de nouveau pépin. Et les jeunots Habib Bellaïd et Yann Schneider hériteront ainsi de la délicate mission de tenir la baraque derrière, comme ils l'ont fait ensemble durant une heure et quart contre Nice (0-0), puis 20 minutes à Rome (1-1). « On découvre le très haut niveau », convient Bellaïd, « à Rome, à un moment donné, Totti a enchaîné contrôle et frappe à une vitesse hallucinante. J'étais à un mètre et je n'ai rien pu faire. D'habitude, j'ai le temps d'intervenir entre le contrôle et la frappe. Heureusement, Nico (Puydebois) a sorti un superbe arrêt. Contre Nice, nous avions senti qu'il s'était passé quelque chose sur le terrain, même si nous n'avions pas gagné. Le nul à Rome l'a confirmé. La confiance revient. Et nous allons tout faire pour prendre les trois points à Nantes. »
    « On ne peut réaliser qu'un exploit »

    Eberlué par l'hécatombe qui saigne son groupe, Jacky Duguépéroux se veut plus réaliste. « À la limite, dans ces circonstances, on ne peut réaliser qu'un exploit. On a un gros atout pour nous : les jeunes ne font aucun complexe. » Pourquoi en feraient-ils d'ailleurs, après le convaincant nul rapporté de Rome ? D'autant que Mickaël Pagis, Hosni et Salim Arrache, absent pour le premier et remplaçants pour les deux autres en Italie, reviennent dans un onze de départ que quittent les trois nouveaux blessés (Kanté, Faty et Johansen) et l'attaquant tunisien Haikel Gmamdia. Dans la course contre la montre qu'il mène pour redresser la barre avant la trêve de Noël (Ndlr : il lui reste quatre matches et douze points pour y parvenir), le Racing n'a pas de temps à perdre. Ses 15 matches sans victoire, ses 5 petits buts inscrits, ses 7 blessés et ses 34 années et des poussières d'insuccès à Nantes : rien, sur le papier, ne semble plaider en sa faveur. Mais n'était-ce pas déjà le cas à Rome ?

    Source l'Alsace
  • Dans [05-06] Nantes-RCS | Avant-match -
    gweilo
    LE MATCH
    Sept blessés sur ordonnance

    A l'heure où le Racing aimerait ne se préoccuper que du décompte des points qu'il lui faut absolument prendre pour recoller au gros de la troupe, il en est surtout réduit ces derniers jours à compter ses joueurs valides. Car rarement le RCS aura connu une telle hécatombe de pièces maîtresses. Hier, Pascal Johansen est venu s'ajouter à la liste d'indisponibilités longue comme un jour sans pain. Le Colmarien souffre depuis Rome d'une contracture au muscle fessier droit, celui-là même qui l'avait enquiquiné début septembre et obligé à déclarer forfait à Paris. « Je ne l'ai appris que ce matin », disait Jacky Duguépéroux hier avec une mine contrite, « c'est invraisemblable. Ça fait sept joueurs sur le carreau. » Hagui, Keita, Kanté, Devaux, Faty, Le Pen et Johansen : plus d'une demi-équipe est en effet sur le flanc. Boka, qui a écourté la séance d'hier pour un coup reçu, tiendra heureusement sa place. Par la force des choses, « Dugué » alignera ce soir une charnière biberon, composée de Habib Bellaïd et Yann Schneider, 38 ans à eux deux. Les deux jeunes stagiaires pèsent 6 matches de L 1 (5 pour Bellaïd, 1 pour son compère). Dans l'entrejeu, le trio Pontus Farnerud – Hosni – Arrache soulagera Alex Farnerud, chargé de l'animation offensive derrière le tandem Amara Diané – Mickaël Pagis. Le capitaine strasbourgeois, dispensé d'un voyage à Rome qu'il aurait aimé faire, a travaillé physiquement cette semaine, après s'être très peu entraîné avant Nice. Lui-même admet que sa douleur au genou gauche n'est pas totalement résorbée, mais se dit prêt à serrer les dents. Haikel Gmamdia, pas franchement convaincant en Italie malgré une passe décisive, retrouvera le banc. A Nantes, Serge Le Dizet déplore lui aussi quelques absences, notamment dans l'entrejeu où sa plaque tournante, Jérémy Toulalan, manque à l'appel, tout comme Emerse Faé. Keserü, bourreau du RCS l'an passé (un but, une passe décisive), devrait évoluer seul en pointe, avec le soutien actif de la triplette Diallo – Da Rocha – Capoue.

    Source l'Alsace
  • Dans [05-06] Nantes-RCS | Avant-match -
    gweilo
    Ligue 1 - Strasbourg: trois forfaits pour le match à Nantes
    sam 26 nov, 18h03

    STRASBOURG, 26 nov 2005 (AFP) - - Ricardo Faty, Pascal Johansen et Cédric Kanté sont forfait pour le match disputé dimanche soir à Nantes comptant pour la 16e journée de Championnat de Ligue 1 de football, a-t-on appris auprès du Racing Club de Strasbourg.

    L'entraîneur Jacky Duguépéroux est donc contraint de titulariser deux jeunes joueurs. Le défenseur central Yann Scheider, 19 ans, n'a disputé qu'un match en L1, la semaine passée face à Nice en remplacement de Jean-Christophe Devaux. Il sera associé à Habib Bellaïd, 19 ans également, et 5 matches parmi l'élite

    Source Yahoo
  • Au fait, ce n'etait pas cette semaine pendant laquelle on devait avoir une surprise sud-americaine de la part d'Afflelou? I-)
  • Dans [05-06] Nantes-RCS | Avant-match -
    gweilo
    Un réalisme à l'Italienne ?
    Après la qualification du Racing pour les 16e s de finale de la Coupe UEFA avant-hier à Rome (1-1), Jacky Duguépéroux annonce la couleur : prendre un point, au moins, demain à Nantes. Coûte que coûte.

    On leur promettait l'enfer à Rome. Ils y ont atteint le paradis. Comprenez : la qualification pour les 16es de la Coupe de l'UEFA dès le 3e de leurs quatre matches de poules. Les Strasbourgeois sont les premiers du groupe F à décrocher leur visa pour la double confrontation de février (aller les 15 et 16 février, retour le 23). Et qu'ils aient tenu en échec une Roma qui n'a « pas fait un grand match » (voir les propos de l'ex-Racingman Olivier Dacourt ci-dessous) ne gâte pas leur plaisir. Jacky Duguépéroux ne tient surtout pas à dévaloriser le nul décroché par ses hommes au stadio olimpico. « À la mi-temps, à travers les murs des vestiaires, nous avons entendu l'entraîneur (Luciano Spalletti) s'adresser à ses joueurs. Et même si je ne comprends pas l'italien, je peux vous dire qu'il ne leur a sûrement pas parlé du beau temps. Je ne crois pas que les Romains nous aient snobés. Ils ont simplement été surpris par la qualité de notre jeu. Certains ont dit qu'ils avaient fait tourner leur effectif. Ah bon ? Moi, je n'ai pas le sentiment, en affrontant une triplette offensive Totti — Cassano — Nonda, d'affronter une Roma dévaluée. » Qui oserait le prétendre après un résultat nul qui, dans l'absolu, mérite d'être rangé au rayon des plus beaux exploits européens à l'extérieur du club alsacien ? Ce nul, qui succède à un autre, convaincant, mais pas suffisamment rémunérateur contre Nice, confirme que cette équipe, coiffée du bonnet d'âne en L 1, n'a ni « l'étoffe », ni le – mauvais – esprit d'un cancre. Habib Bellaïd le garantit : « Le coach avait peur que nous regardions jouer les stars romaines. Quand tu as Totti, Cassano ou Nonda devant toi, tu sais que la moindre erreur de concentration se paie cash. Un match comme celui-là équivaut, en termes d'expérience engrangée, à une dizaine en L 1 pour nous les jeunes. Ce sont vraiment des matches intéressants à jouer. »
    Kanté et Faty forfait

    Des matches qui laissent des traces aussi, surtout avec la fatigue d'un retour à Strasbourg hier à 4 heures du matin bien tassées. Cédric Kanté, remplacé à la 71e pour un adducteur droit douloureux, ne jouera pas dimanche à Nantes. Il était déjà absent face à Nice pour les mêmes raisons. Ricardo Faty, contraint de céder sa place à la 81e, souffre d'une lésion du mollet gauche révélée par une échographie passée hier soir. Lui aussi est out. Plus d'inquiétude en revanche pour Alexander Farnerud, sorti à la pause au stade olympique pour un coup sur la cheville droite déjà résorbé. Par ailleurs, un espoir subsiste pour Yves Deroff, blessé à l'ischiojambier droit la veille de Nice. Le latéral droit s'entraînera cet après-midi pour se tester. « Toutes ces blessures (avec celle de Devaux au mollet), je sais d'où elles viennent », enrageait « Dugué » hier après-midi au décrassage, « il n'y a pas longtemps, on a « gratté » les escaliers comme des fous pendant deux jours. Voilà le résultat. » Sans le nommer, l'entraîneur fait référence au passage musclé du préparateur physico-mental Tiburce Darou. Une expérience ratée et écourtée qui fait dire à un joueur, sous couvert d'anonymat. « C'était du grand n'importe quoi. » Demain (18 h) à Nantes, le coach bas-rhinois devrait titulariser une inédite charnière Habib Bellaïd - Yann Schneider (19 ans chacun). Celle-là même qui a tenu la baraque contre Nice durant une heure et quart, puis à Rome pendant 20 minutes (malgré un but encaissé), lorsque Schneider a successivement remplacé Devaux samedi et Kanté avant-hier. Dès cet après-midi, après l'entraînement programmé à 15 h 15, les Bleus s'envoleront pour Nantes où le Racing n'a plus gagné depuis 1970-1971. Le futur président Alain Afflelou sera présent à la Beaujoire, lui qui n'avait pu se déplacer à Rome. « Oui, mais il nous a appelés avant le match pour nous encourager et après pour nous féliciter et nous dire qu'il avait passé un bon moment devant sa télé », dévoile Jacky Duguépéroux. « Au stade olympique, nous avons été très bien défensivement, mais nous n'avons pas complètement résolu notre problème offensif. En revanche, nous avons su être patients, développer un jeu bien conçu et évoluer en contre. » Accessoirement aussi, rapporter un résultat. « Nous irons à Nantes pour préserver au moins un point », annonce un « Dugué » qui entend avoir de la suite dans les idées. Et si le RCS se mettait en tête de donner des leçons de réalisme, lui qui en a si souvent et si cruellement manqué depuis le début de saison ?
  • Dans Habib Bellaïd -
    gweilo
    LE BUTEUR DU STADE OLYMPIQUE
    Bellaïd : «Une fierté pour ma cité»

    Avant-hier soir au stade olympique, l'ancien Strasbourgeois de l'AS Rome, Olivier Dacourt, est passé par le vestiaire strasbourgeois. Il y a discuté un moment avec Jacky Duguépéroux. Il y a, aussi, offert deux maillots à Habib Bellaïd. Car le jeune défenseur du Racing connaît bien Josh, le frère cadet du milieu de terrain international. « Josh m'a d'ailleurs appelé tout à l'heure pour me féliciter de mon but marqué au Stadio Olimpico », disait Habib Bellaïd hier après-midi. « Nous passons nos vacances ensemble à Tremblay-en-France, dans le quartier du vieux pays. L'un de mes amis d'enfance nous a présentés. Depuis, nous nous côtoyons. » Durant quelques minutes, Olivier Dacourt a félicité son jeune adversaire. « Il m'a donné deux maillots et m'a félicité, c'est vrai », confirme ce dernier, « Il a reconnu que La Roma n'avait pas été très bonne, qu'elle n'avait pas fait un grand match. Le coach m'a dit après qu'Olivier et moi nous ressemblions par notre caractère. J'espère le voir à Noël en région parisienne. » D'ici là, Habib Bellaïd aura eu le temps de redescendre de son nuage. Car le gamin du « vieux pays » a vécu, à Rome, l'un de ces moments de grâce que les jeunes joueurs, a fortiori défenseurs, connaissent rarement : à la 52e, il a ouvert le score et ainsi inscrit son premier but professionnel, en reprenant du pied gauche (« celui qui lui sert à monter dans le bus », charrie le gardien Nicolas Puydebois, « son meilleur pied, c'est... la tête ») un centre parfait de Haikel Gmamdia. « En fait, je suis à l'origine de l'action, je remonte le ballon, le donne à Amara (Diané) qui le transmet à Haikel. Je vois qu'il n'y a personne dans l'axe et je suis. Quand le ballon arrive, je m'applique. Après, c'est un autre monde. Si Pontus Farnerud ne m'avait pas arrêté, j'aurais fait le tour du stade. Marquer dans un match comme celui-là, dans un stade comme celui-là, c'est fabuleux. Sur les deux ou trois corners suivants en notre faveur, je n'y suis pas allé. J'avais besoin de retrouver mes esprits sur le plan émotionnel. Sur le moment, j'ai pensé à ma famille, mes amis. » Eux aussi ont songé à lui. « Je crois qu'ils ne doivent pas être plus de cinq à avoir vu le match sur TPS foot. Mais le téléphone a fait le tour du quartier. Et tout le monde m'a ensuite appelé. Au lycée, ma petite soeur a été assaillie de félicitations. Au quartier du vieux pays, ils étaient tous fous. Après ce qui s'est passé récemment dans les cités, ça me met du baume au coeur d'en avoir montré un autre aspect. Ça prouve que tous les gamins qui vivent là-bas ne sont pas des voyous et que certains peuvent s'en sortir. Malheureusement, tout le monde n'a pas la chance d'accéder au foot ou au show-business. Personnellement, j'ai eu la chance de quitter ma cité très jeune. Sinon, qui sait ce que je serais devenu... Je n'excuse pas ce qui s'est passé dans les banlieues ces dernières semaines. Mais je le comprends. Je suis bien placé pour. J'ai grandi avec ces gamins. En être aujourd'hui l'exemple est une fierté. »

    Source l'Alsace
  • Dans Tiburce Darou -
    gweilo
    « Toutes ces blessures (avec celle de Devaux au mollet), je sais d'où elles viennent », enrageait « Dugué » hier après-midi au décrassage, « il n'y a pas longtemps, on a « gratté » les escaliers comme des fous pendant deux jours. Voilà le résultat. » Sans le nommer, l'entraîneur fait référence au passage musclé du préparateur physico-mental Tiburce Darou. Une expérience ratée et écourtée qui fait dire à un joueur, sous couvert d'anonymat. « C'était du grand n'importe quoi. »

    Source l'Alsace

    C'est vrai que faire du foncier pur et dur en novembre, c'etait un peu bizarre non :-s
  • Dans Haikel Gmamdia -
    gweilo
    malag a écrit :

    Si kanté était blessé ok autant pour moi mais alors là dis moi d'ou tu sors cette info.


    (la sortie de ) Cédric Kanté, le roc de l'arrière-garde alsacienne, toujours en délicatesse avec ses adducteurs et suppléé par Yann Schneider.

    Source l'Alsace

    Bon apres une periode de debat sur la valeur du championnat et de ses internationaux tunisien et sur l'incompetence de Dugueperoux je crains que ce topic ne devienne vite une confrontation entre pro-Gmamdia et pro-Farnerud #-o
  • Tous les chemins mènent à Rome, dit le proverbe. Mais ils ne mènent a priori pas tous au stade olympique. Hier, le Racing a purement et simplement annulé l'entraînement et la conférence de presse programmés dans l'enceinte romaine en fin d'après-midi. Les Strasbourgeois, qui avaient atterri vers 13 h à l'aéroport de Fiumicino, ont été happés dans un embouteillage monstre sur le « grande raccordo annulare » (le périphérique) qui enserre la Ville éternelle. Une heure et quart de bouchon avant de rejoindre l'hôtel La Borghesiana, où ils ont élu domicile jusqu'à vendredi midi. Un lieu chargé d'histoire, puisqu'il abrite aussi le centre technique où la Squadra Azzurra vient préparer ses rencontres internationales.
    10000 spectateurs dans un stade de 80000 places

    De fait, Jacky Duguépéroux et sa troupe se sont entraînés sur l'un des terrains du centre. « Dans d'excellentes conditions », dira l'entraîneur bas-rhinois au sortir de la séance. « Quand nous avons vu dans quels embouteillages nous étions tombés, j'ai demandé aux joueurs ce qu'ils souhaitaient. Je ne leur ai rien imposé et ils ont tous choisi de rester à La Borghesiana. Ils n'avaient pas envie de passer la journée dans le bus, sachant que le Stade Olympique était, normalement, à une bonne heure de route. Alors, avec les bouchons... Là, ils ont pu se reposer tranquillement jusqu'à 17 h. » Le stade olympique, ses joueurs le découvriront donc ce soir.

    L'Alsace

    Et la version des faits par Pascal Coquis dans les DNA :-'

    Premier contre-pied
    Partis à Rome pour arracher au moins un point et donc leur qualification pour les 16es de finale, les Strasbourgeois ont pris tout le monde à contre-pied, hier soir, en ne se présentant pas au Stadio Olimpico pour l'entraînement.

    Le Racing Club de Strasbourg est un très grand club. Une entité supérieure dont la logique échappe parfois au commun des mortels, mais c'est bien normal après tout, sinon ça servirait à quoi d'être une entité supérieure, on se le demande un peu.
    Ainsi, dans le monde merveilleux du Racing, un voyage d'une heure et quart en avion est un effort surhumain. Un acte prodigieux qui provoque une fatigue insurmontable et empêche les joueurs d'enchaîner, trois bonnes heures plus tard, avec un trajet de 45' en bus.
    C'est en tout cas la version plus ou moins officielle qui a été donnée hier aux journalistes français et italiens médusés de voir les Bleus sécher au dernier moment le traditionnel entraînement au Stadio Olimpico et préférer faire la sieste à l'hôtel plutôt que de prendre un minimum de marques avant le match de ce soir.
    « Elle est si forte que ça votre équipe pour se permettre de ne pas venir ? », demandait un journaliste transalpin qui avouait « ne jamais avoir vu ça ».
    Il n'a peut-être jamais vu une équipe du calibre de celle-ci, c'est tout.

    Un manque de professionnalisme et un manque de respect

    Pas de Strasbourgeois sur la pelouse, donc, à l'heure prévue. Pas de Duguépéroux en conférence de presse non plus, comme l'exige pourtant l'UEFA qui, en cas de rapport, pourrait infliger une lourde amende au club.
    Mais un représentant du club, Thomas Azan, dépêché sur place en catastrophe. Un garçon adorable et plein de bonne volonté qui réalise d'ordinaire... le site internet du Racing. Et qui, là, se retrouvait propulsé en première ligne.
    C'est à lui, en effet, qu'on avait demandé de venir expliquer ce faux-bond devant la presse. De justifier l'injustifiable. De faire passer ce manque de professionnalisme et ce manque de respect pour un acte à portée sportive significative. Comme si c'était à lui de le faire ! On croit rêver et on nous prend franchement pour des trompettes !

    Rome est une ville où il y a des embouteillages. Il y en aura moins à Gueugnon

    « Les joueurs et l'entraîneur ont décidé d'annuler l'entraînement en raison des risques d'embouteillage, tentait pourtant de convaincre le messager du club qui ne faisait en l'occurrence que ce qu'on lui avait demandé de faire. Venir ici aurait supposé passer deux heures dans le bus, alors qu'il leur fallait plutôt récupérer du voyage ».
    Deux heures de bus plus une heure d'avion ? C'est vrai que c'est énorme. Les pauvres chéris. Heureusement que le tirage au sort les a gâtés et qu'ils n'ont pas dû se déplacer à Tromsö où il leur aurait fallu prendre deux avions et se taper cinq heures de route dans la foulée.

    La vérité est que le Racing marche complètement sur la tête

    Hier après-midi, le Racing a découvert que Rome était une grande ville et qu'il y avait des embouteillages. C'est sûr, il y en aura moins l'an prochain à Gueugnon et Amiens.
    Il n'y aura pas non plus cinq reporters des principaux journaux italiens pour les observer. Il sera alors temps de se plaindre et de supplier les supporters de revenir au stade.
    La vérité est que le Racing dilapide jour après jour le capital de sympathie chèrement acquis ces dernières saisons. Il marche complètement sur la tête et donne l'impression de ne plus être dirigé. D'avancer à la va-comme-j'te-pousse.
    Sa situation sportive est catastrophique, il reste sur un nul et quatre défaites en championnat, bat des records de médiocrité statistique et se permet de ne pas respecter ses engagements minimaux.
    C'est donc ce soir, que les Strasbourgeois découvriront l'incroyable architecture fasciste qui entoure le Stadio Olimpico, construit au début des années 30 et rénové avant les J.O. de 1960 puis le Mondiale de 1990.
    Un stade que se partagent la Roma et la Lazio, son ennemi héréditaire. Avec comme premier horizon l'obélisque à la gloire de Mussolini planté comme un glaive devant l'enceinte.
    Puis les mosaïques célébrant le Duce, représentant l'aigle et le salut fasciste encore apposées au sol. Les statues de Dieux en stuc qui veillent sur les nageurs de la piscine. Les Vespas qui s'arrachent dans un hurlement de moteur et s'extirpent du trafic aussi.

    Se transcender et oublier
    les tribunes vides

    Le reste, c'est à dire l'adversaire, ils connaissent. Au moins par la télé. Car si la Roma n'a pas franchement la tête à ce match et ne pense qu'au choc à venir samedi face à la Fiorentina après avoir été étrillée par la Juve, si elle fera tourner son effectif, cette équipe n'est composée que de grands joueurs.
    De Cassano à Totti, qui devrait ne jouer qu'un bout de rencontre, en passant par Mexès, Kuffour, Dacourt, Panucci, Montella, Taddeï, Nonda ou Tommasi, il y a là de quoi faire le bonheur de toutes les équipes du monde.
    On ne sait pas ce que Duguépéroux a prévu puisqu'il n'a pas daigné se déplacer pour expliquer, mais pour prendre un point, le Racing va devoir se transcender et oublier les tribunes vides (moins de 20.000 personnes sans doute) qu'on attend pour cette rencontre.
    Il va devoir aussi reléguer dans un coin de sa mémoire ses soucis domestiques, comme il a réussi à le faire jusqu'ici en coupe d'Europe. S'il y parvient ce soir sans Pagis, Haggui, Le Pen, Keita, Deroff, Devaux et Hosni , c'est qu'il est capable de soulever des montagnes et qu'il finira par y parvenir.
    Et accessoirement qu'il peut se permettre de snober entraînement in situ et conférences de presse.
  • STRASBOURG RELANCE ABOU MOSLIM. – Strasbourg se prépare un mercato très agité. « Cinq ou six joueurs vont venir », a répété Alain Afflelou, le futur président, samedi dernier. Il y aura donc du nouveau dans toutes les lignes, avec une priorité, résumée par Jacky Duguépéroux : « trouver des joueurs de tempérament ». Il est actuellement question du milieu de terrain défensif brésilien Everson, l'ancien Niçois, qui ne joue pratiquement jamais à Benfica. Par ailleurs, la piste Abou Moslim a été réactivée. L'arrière gauche d'Al-Ahly, le champion d'Égypte, est depuis longtemps sur les tablettes alsaciennes. Fin septembre, il avait passé une semaine d'essai très concluante au Racing. Abou Moslim ne devrait pas participer à la Coupe d'Afrique des nations, contrairement à l'Ivoirien Boka, ce qui pourrait accélérer sa venue en France. – J.-M. B

    Source l'Equipe
  • Dans Limoger Duguépéroux ! -
    gweilo
    conan a écrit :
    Diané, comme je l'expliquais dans un autre topic, les seules fois ou il a été bon, c'est quand il est rentré en cours de jeu. A chaque fois qu'il a été titulaire (et c'est arrivé un certain nombre de fois quand même) il a été la plupart du temps innexistant.


    Petite exception qui confirme la regle, sa titularisation et son bon match contre Lyon ;)
  • Il y a quand meme a boire et manger dans ses declarations.

    D'un cote il dit :

    Si le Racing est dans cette situation, ce n'est pas que de la faute des joueurs. C'est la faute de l'entraîneur, des dirigeants qui n'ont pas senti le truc venir, à la 11e journée, et qui continuaient à dire : « Pourtant, on joue bien... » Il ne faut pas invoquer la malchance. La réussite, ça se provoque. Ceux qui marquent, c'est ceux qui le veulent le plus. (Source l'Alsace)

    Et de l'autre :

    Je suis peut-être un doux rêveur, mais je crois effectivement que les choses sont en train de changer. A la mi-temps, je me suis demandé dans quelle galère j'avais mis les pieds tant l'équipe avait douté. Mais à l'issue du match, malgré le résultat, je suis résolument optimiste pour la suite. (Je croyais que la Methode Coue n'etait pas la bonne :-B ) D'autant que nous allons nous renforcer en quantité avec des joueurs de tempérament. Des joueurs de qualité qui ont envie de venir à Strasbourg, même dans notre situation, j'en croise tous les jours. (Faut que tu nous dises ou tu traines :O :-/ :^o) On explore de nombreuses pistes de qualité. Nous allons gagner à Nantes dimanche, car la vraie place de Strasbourg n'est pas la 20e (Source l'Alsace)

    Et malheureusement son discours assez habile de dire qu'on est deja en L2 et qu'on doit monter en L1 n'a pas vraiment porte ces fruits tant les joueurs ont ete apathiques pendant les 2/3 du match avant une revolte trop tardive.
  • Dans [Arrivée] Everson -
    gweilo
    On murmure en coulisses que le profil du milieu défensif brésilien de Benfica (et ancien Niçois) Everson, qui ronge son frein au Portugal où il est sous contrat jusqu'en 2008 (Ndlr : le Gym l'avait transféré en 2004 pour 1,5 million d'euros), plairait beaucoup à l'homme d'affaires. Dans « L'Alsace » du 8 octobre, celui qui est toujours le président strasbourgeoises, Egon Gindorf, avait déjà admis que l'ancien Aiglon figurait bien sur les tablettes

    Source l'Alsace
  • Dans Haikel Gmamdia - Modifié par gweilo
    gweilo
    ÉNIGME. - Haikel Gmamdia est décidément un joueur difficile à cerner. Complètement transparent au Racing, le jeune Tunisien brille dès qu'il revêt le maillot de sa sélection nationale. Auteur d'un doublé contre l'Égypte, mercredi soir, l'attaquant devait figurer dans le groupe strasbourgeois. Petit problème, le joueur a soi-disant :-/ raté son avion du retour. Fâcheux, non ?

    Source DNA
  • Dans [05-06] RCS-Nice | Avant-match -
    gweilo
    LE MATCH
    Gardiens : avantage Puydebois ?
    Le secret a été bien gardé, mais Nicolas Puydebois pourrait relayer Stéphane Cassard dans les buts du RCS et débuter ainsi en L 1 sous le maillot bleu.

    Jacky Duguépéroux n'a rien dit. Sauf aux intéressés qui ont reçu pour consigne de garder bouche cousue. Qui, de Stéphane Cassard ou Nicolas Puydebois, gardera les buts du Racing ce soir ? L'habituel titulaire, « Steph » Cassard, auteur de quatre erreurs - inhabituelles justement - ces dernières semaines et dont le statut de n°1 est d'autant plus fragilisé que l'équipe est en souffrance ? Ou son rival, « Nico » Puydebois, qui piaffe d'impatience et a montré, à l'entraînement ou en Coupe de la Ligue à Caen, lors de son unique rencontre officielle avec le RCS à ce jour, qu'il n'avait pas seulement l'étoffe d'une doublure ? « Mes gardiens savent depuis 48 h qui jouera », indiquait hier soir « Dugué » après l'entraînement, « mais je leur ai demandé de ne pas éventer ma décision pour rien ne puisse s'écrire avant le match qui puisse perturber l'un ou l'autre. »

    Deroff forfait

    Par souci de cohérence, le coach confiera-t-il la clef des cages à Puydebois, lui donnant pour mission de les verrouiller à double tour ? Possible, sinon probable. En marge de ce débat, il a enregistré hier après-midi deux mauvaises nouvelles : un, le retour trop tardif de Haikel Gmamdia, double buteur mercredi en Égypte (2-1) ; deux, la blessure (contracture à l'ischiojambier droit) d'Yves Deroff. Gmamdia, qui avait reçu de son entraîneur l'autorisation de faire un crochet par la Tunisie et n'avait donc pas pris le même avion retour que l'Égyptien Hosni (présent, lui, et qui s'est contenté d'un footing), était attendu à 15 h 30. Il n'est arrivé à la Meinau que vers 19 h. Et « Dugué », qui avait prévu de l'intégrer au groupe, a donc décidé de s'en passer. Pour compenser la blessure de Deroff, le technicien alsacien a rappelé le jeune Yann Schneider dans un groupe élargi à 18 joueurs. « J'ai besoin d'un défenseur sur le banc », a-t-il expliqué, en pestant contre le sort qui s'acharne. « Yves n'est jamais blessé. Il faut que ça tombe la veille d'un match aussi important. Pourvu qu'aucun autre défenseur ne se blesse... » Deroff out, Guillaume Lacour retrouvera un poste de latéral droit qu'il connaît parfaitement. Dans l'entrejeu, le quatuor Pontus Farnerud, Hosni, Johansen et Arrache devrait être aligné, Ulrich Le Pen héritant de la charge de tourner autour de Mickaël Pagis en pointe. À Nice, le forfait du Mulhousien de naissance, Anther Yahia, est venu s'ajouter à la déjà longue liste d'indisponibilités. Le Racing retrouvera dans les rangs des Aiglons quelques têtes bien connues : le jeune retraité José Cobos, désormais adjoint de Frédéric Antonetti, Olivier Echouafni, Mamadou Bagayoko, tous anciens de la maison bleue, mais aussi Baky Koné, le meilleur buteur de L 2 l'an passé (24 buts avec Lorient) que les dirigeants alsaciens auraient aimé enrôler cet été. Sans oublier un certain Marama Vahirua qui fait partie, avec le Toulousain Daniel Moreira, des bêtes noires du RCS. Le Tahitien a déjà frappé six fois en match officiel face au club alsacien.

    Source l'Alsace
  • Maintenant, gagner
    La quinzaine a été mouvementée au Racing. Afflelou est arrivé, d'autres n'ont fait que passer. Pour quel résultat ?
    Au moins, on n'enlèvera pas aux dirigeants alsaciens un don certain pour éviter la gamberge et occuper l'esprit de leurs joueurs à autre chose qu'à la rumination de leurs pitoyables performances. L'affaire était pourtant bien en place pour sombrer dans la dépression après la défaite concédée à Lille (0-2), il y a un peu moins de deux semaines : le Racing venait d'hériter de la dernière place au bout d'une huitième défaite et d'un quatorzième match sans victoire, autorisant à compter ses buts en L 1 (cinq au total) tout en gardant une main dans la poche. Et déjà, forcément, on n'excluait pas de mettre l'autre au portefeuille pour verser ses indemnités de licenciement à Jacky Duguépéroux.
    Le peuple alsacien (vaincra, dedicace a lenain2jard1 ;) ), qui aime pourtant bien son entraîneur, attendait donc, désolé, le nom du successeur. Il découvrit dans les journaux celui d'un nouveau président, Alain Afflelou, sans doute en même temps que les joueurs. Ensuite, chaque jour, ou presque, apporta son petit rebondissement. Quelques ombres se glissèrent dans le tableau. Tiburce Darou, d'abord, imposé par Marc Keller, le directeur général. Le préparateur physique et mental dura deux jours, jeudi et vendredi de la semaine dernière. À la demande de l'entraîneur, il ne réapparut plus le lundi. Ce même jour, déboula l'attaquant Fredi Bobic, une idée d'Egon Gindorf, le futur ex-président. L'international allemand fit un peu mieux : trois jours. Au motif d'une étonnante comparaison avec Pagis et de la crainte d'un double emploi, Bobic retraversa le Rhin dans l'autre sens. Dans ce rapide résumé d'une actualité déjà abondamment développée dans ces colonnes, il ne faut pas oublier l'apparition au générique de Michel Benguigui, l'ancien agent de joueurs et complice d'Afflelou à Bordeaux, aujourd'hui retraité et bénévole, assure-t-on, et d'Éric Lesieur, le bras droit du lunetier, qui doit venir le samedi jeter un coup d'oeil sur les dossiers avec Keller.

    Quel avenir pour Keller et Duguépéroux ?

    Avec tout ça, on ne voit pas comment les joueurs auraient eu le temps de se lamenter sur une pauvreté offensive presque unique dans toute l'histoire de la L 1 (voir page 4), ce qui est quand même la première des choses à changer. Cela rejoint la seule interrogation des supporters : Strasbourg va-t-il se maintenir ?
    En se lançant dans la bataille dans un moment aussi compliqué, Afflelou ne saurait en tout cas être soupçonné d'opportunisme. Contrairement à d'autres avant lui, et même s'il veillera particulièrement au prix de l'action avant de devenir actionnaire principal avec 51 %, il hérite d'unesituation sportive aux portes du désespoir. Et surtout, il semble décidé à tout faire pour provoquer le miracle. Afflelou, sous diverses formes, va injecter plus de quinze millions d'euros dans le club. Un tel investissement l'autorise à mettre le nez dans les affaires courantes, à donner son avis, et sans doute plusque ça, sur le recrutement voire lacomposition de l'équipe. Ses premières déclarations sont allées dans cette direction juste après que Duguépéroux a été confirmé dans ses prérogatives de patron technique.
    Les semaines à venir diront donc s'il s'agit d'une révolution ou non, si des changements en profondeur sont à attendre. Keller se sentira-t-il très longtemps à l'aise dans un environnement où la communication risque de lui échapper ? (direction Monaco :-/ ) Duguépéroux, très attaché à ses prérogatives, résisterat-il aux effets d'annonce ? Concernant Desailly, à qui Afflelou a téléphoné, il n'a pas émis le moindre avis. Pour Gmamdia, auteur mercredi des deux buts face au Maroc (2-1), son choix de titulariser ou non le joueur, ce soir, aurait de toute façon été interprété si celui-ci n'avait pas manqué l'avion du retour. #-o Afflelou a déjà laissé entendre qu'il faudrait faire confiance au Tunisien plusieurs matches de suite.
    Pour l'heure, chacun reste sur une prudente réserve. Les recruteurs, eux, sillonnent le Brésil à la recherche d'un attaquant. Il est question d'au moins un joueur par ligne. On évoque un Ivoirien, par exemple, en défense centrale. (qui partira a la CAN :-/ ) Mais, au croisement de plusieurs destins, Strasbourg aurait déjà la bonne idée de s'imiter lui-même. La saison passée, c'est contre Nice (3-1, 11e journée) que le Racing avait remporté son premier succès.

    JEAN-MARC BUTTERLIN

    Source l'Equipe
  • Dans Les Racingmen et leurs sélections -
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    Score et compte rendu du match en bas de cette page.
  • Dans Haikel Gmamdia -
    gweilo
    Coup double pour Gmamdia

    Le cas de Haikel Gmamdia est plus que jamais, de ce côté-ci des Vosges, une énigme à laquelle personne ne trouve ni explication, ni solution. Avant-hier en Egypte, en match amical face aux Pharaons de son coéquipier strasbourgeois Hosni (qui a joué tout le match), l'attaquant international tunisien, qui n'a pas réussi à s'adapter en Alsace, a inscrit en 2 minutes (57e et 59e) les deux buts du succès de sa sélection (2-1). L'ex-Marseillais Mido avait ouvert le score pour les Egyptiens. Gmamdia a ainsi porté son total à 6 buts en 9 capes. De quoi inciter Jacky Duguépéroux à le titulariser contre Nice, comme le lui avait suggéré la semaine dernière son nouveau président Alain Afflelou ? « J'ai appelé Haikel pour le féliciter, car il a vraiment marqué deux très jolis buts. Ça prouve que nous ne nous sommes pas trompés sur son recrutement. Il faut faire preuve de patience avec lui, lui permettre surtout de s'intégrer à la vie et au mode de vie strasbourgeois, qui lui posent au moins autant problème que le terrain. Malheureusement, du temps, je n'en dispose pas. Il doute. Mais quand on est joueur – et je l'ai été – on n'a pas le droit de laisser tomber. Le mental doit faire la différence. Il y a des efforts à faire de part et d'autre.» Ce doublé a en tout cas « boosté » Gmamdia, joint brièvement hier au téléphone, alors qu'il rentrait sur Tunis pour régler un problème personnel. « Je suis très content. Ça me fait du bien au moral. » « Dugué » qui lui a accordé ce crochet par son pays, attend Gmamdia à 15 h 30 à la Meinau. « S'il est présent, il fera partie de la liste des probables contre Nice. »

    Source l'Alsace
  • Dans Arthur Boka -
    gweilo
    ITALIE : 1-1 (0-0)
    Genève. Temps doux. Pelouse en bon
    état. 15 000 spectateurs environ.
    Arbitre : M. Bertolini (SUI). Buts. –
    CÔTE D'IVOIRE : Drogba (69e) ; ITALIE
    : Diana (86e). Avertissements. –
    Côte d'Ivoire : Boka (42e), Yaya Touré
    (60e), Zokora (90e+ 2).
    CÔTED'IVOIRE:Copa-Zoro,K.Touré,
    Meïté, Boka (Tiéné, 77e) - Yapi (B.
    Koné, 46e), Zokora, Y. Touré (Abdullaje,
    73e), A. Koné (Romaric, 73e) -
    Drogba (cap.) (K. Traoré, 82e), Aruna
    Dindane (Kalou, 46e). Entr. :
    H. Michel.
    ITALIE : Abbiati (Amelia, 71e) - Zaccardo
    (Oddo, 46e), Barzagli, Materazzi,
    Grosso (Zambrotta, 62e) - Barone,
    Pirlo (Diana, 46e), De Rossi (Gattuso,
    46e) - Gilardino (Toni, 46e), Iaquinta,
    Del Piero (Camoranesi,46e). Entr. :M.
    Lippi.
    HIER, À GENÈVE, les Ivoiriens ont longtemps cru tenir l'undes meilleurs résultats de leur histoire. En premièremi-temps, ils ont tenu tête à une équipe d'Italie bis, avant de dominer, en seconde période, une formation plus proche du onze type de Lippi. Drogba avait donné l'avantage aux Éléphants sur une frappe de près, à la suite d'une formidable ouverture de Boka de quarante mètres (69e). Mais les Italiens surent répondre à la 86eminute : Diana reprenait un centre de Zambrotta, dévié par Toni. L'équipe deLippi aurait même dû obtenir la victoire, un but étant ensuite refusé à Diana, dont la frappe avait bien franchi la ligne de but. Un qui nul pouvait toutefois satisfaire les deux équipes.

    Source l'Equipe
  • Dans [Arrivée] Fredi Bobic -
    gweilo
    Bobic, c'est non
    L'international allemand ne découvrira pas le championnat de France sous le maillot strasbourgeois. Jacky Duguépéroux s'est refusé à en faire son joker automnal.

    Au moins, les décideurs strasbourgeois n'auront pas réservé une nouvelle surprise dans le quotidien du Racing qui n'en manque pas depuis une dizaine de jours. S'il était apparu dans le coup, la veille, lors des exercices physiques qui marquent traditionnellement la matinée de mardi, l'opposition à 10 contre 10, organisée sur le terrain annexe de la Meinau, avait rapidement permis de lever les doutes quant au potentiel de Fredi Bobic. Le garçon, en manque d'aventure extra-germanique et néanmoins européenne, avait toutes les peines du monde à se défaire de la défense composée d'Habib Bellaïd, Yann Schneider et Steve Celestini. Amara Diané et Eric Mouloungui, pas toujours obsédés à l'idée de le trouver sur les rares centres qu'ils distillaient, n'apparaissaient pas franchement « synchro » avec le joueur mis à l'essai depuis le début de semaine. Et, en dehors du constat d'une certaine inspiration dans le placement sur corner, les observateurs, attentifs aux productions de l'équipe pourvue d'une chasuble grise, jouaient finalement plus souvent que de raison au jeu : où est Fredi ? On pouvait se poser la même question une fois la séance achevée. Tel un vol d'étourneaux affolés devant l'arrivée du chat, Bobic s'en allait illico le verdict prononcé, Jacky Duguépéroux en faisait de même. Et c'est sur la route le conduisant vers Genève, où se déroulait Côte d'Ivoire – Italie, concernant Arthur Boka, que l'entraîneur faisait part de sa décision.

    12 pros hier

    « Fredi ne sera pas conservé car il a le même profil que Mickaël Pagis », expliquait « Dugué ». « Cette décision n'a rien à voir avec l'entraînement de ce matin. C'est un joueur qui n'a pas disputé de match depuis sept mois. Il ressemble tout simplement trop à Mickaël ». Et sans doute pas assez à un joker. Le chapitre Bobic est donc clos du côté de la Meinau. A priori, il est même probable que celui concernant une nouvelle arrivée avec le marché d'hiver en soit de même. Mark Keller, le directeur général, repoussait au mois de janvier l'échéance des futures arrivées. « On travaille surtout sur le mercato désormais », synthétisait-il. « Avec Bobic, on a eu l'opportunité de mettre à l'essai un joueur qui n'avait pas de contrat et voulait tenter un essai. Mais il n'y en a plus beaucoup, voire plus du tout. Et les possibilités de recruter en France sont rares, voire inexistantes ». L'opération « survie en L1 », qui doit impérativement entrer dans une phase active à compter de samedi, face à Nice, se fera donc avec un groupe rigoureusement similaire à celui ô combien décevant à Lille. Dans l'attente des trois internationaux — Hosni, Gmamdia, Boka – et du rétablissement définitif de Pagis, le commando se comptait à 12 professionnels*, présents sur le pré hier.

    Source l'Alsace
  • Dans [Arrivée] Fredi Bobic -
    gweilo
    La raison invoquee est simplement diplomatique.

    Ni le site de Bobic ni celui du RCS ne vont dire que l'aventure ne se poursuit pas parce que le joueur n'a pas le niveau.
  • Dans [Arrivée] Fredi Bobic -
    gweilo
    BOBIC SAURA AUJOURD'HUI. - Fredi Bobic a bouclé hier sa deuxième journée d'essai au Racing. Le buteur allemand est apparu un brin perdu au milieu de ses partenaires strasbourgeois, lors des petits matches de fin d'après-midi.
    « On verra mercredi matin », dit Jacky Duguépéroux, qui se laisse encore une séance pour cerner les capacités physiques et la motivation de l'éventuel joker des Bleus.

    Source DNA
  • Dans Photo numérique -
    gweilo
    Je n'y connais pas grand chose mais ce test sur clubic.com peut t'aider dans ton choix.
  • Dans Les Racingmen et leurs sélections -
    gweilo
    Boka en tenue de gala

    Demain soir, à Genève, Arthur Boka disputera une rencontre amicale sous le maillot ivoirien face à l'Italie. Hosni et Gmamdia se croiseront eux en Égypte.

    Arthur Boka accumule les rencontres de prestiges. Après le match amical contre la France, qui marquait le retour aux affaires de Zidane, Thuram et Makelele, l'international ivoirien sera opposé aux stars transalpines. Jacky Duguépéroux sera présent dans les tribunes de Genève pour suivre la prestation du petit latéral droit. (qui joue a gauche :p )
    Haykel Gmamdia, autre futur « mondialiste » sous le maillot tunisien, sera lui opposé à l'Égypte de Hosni. « Mon souci est de récupérer tout le monde sans pépin », s'inquiète l'entraîneur du Racing.
  • NO COMMENT. - L'entraîneur alsacien n'est pas plus disert quand il s'agit de commenter les récentes déclarations du futur président Alain Afflelou. L'ingérence du lunetier dans le secteur sportif semble avérée, mais « Dugué » fait la sourde oreille.
    « Je ne peux pas en parler, puisque le futur président ne m'a rien dit à ce sujet, tente l'entraîneur. S'il venait à m'imposer des choix ? Pour l'instant, ce n'est pas le cas. Je n'ai vu monsieur Afflelou qu'une demi-heure. Il m'a simplement assuré que je restais bien le patron du secteur technique. Voilà. »

    Source DNA
  • Dans Grippe aviaire - Modifié par gweilo
    gweilo
    On va prochainement avoir la visite du ministre de la sante Xavier Bertrand a Hong Kong et en lisant sa biographie sur le site du ministere j'ai trouve ces informations issus de ce document.

    En esperant que ca repond a tes interrogations florian67 ;)

    Principaux symptômes (chez les oiseaux)
    Les symptômes sont variables et dépendent de la virulence du virus, de l'espèce hôte et des éventuelles infections intercurrentes.
    Ils sont indifférenciables de ceux décrits dans la maladie de Newcastle. On retrouve notamment
    les caractéristiques suivantes :
    • Formes graves d'évolution aiguë ou suraiguë qualifiées de « peste aviaire » :
    atteinte importante de l'état général, cyanose de la crête et des barbillons, oedème de la tête, sinusites, troubles digestifs marqués (diarrhée verdâtre), éventuellement troubles respiratoires et parfois nerveux, la mort survient en un ou deux jours et le pourcentage de mortalité est supérieur à 75%.
    • Formes subaiguës : atteinte général associée à des symptômes respiratoires et une chute de ponte avec un taux de mortalité pouvant atteindre 50 à 70%.
    • Formes frustres : légers symptômes respiratoires et des problèmes de ponte
    • Portage asymptomatique : fréquent avec les souches virales très faiblement pathogènes ou apathogènes.
  • Dans Maillots 2005-2006 - Modifié par gweilo
    gweilo
    [login=marc ] tu es vraiment doue pour les photos floues :p

    La couleur fait quand un peu delavee, non?

    PS: samh a ete plus rapide que moi sur tes talents de photographe :'>
  • Dans [Arrivée] Pierre Alain Frau -
    gweilo
    Dévaluation

    "Quadruplé pour Frau en CFA" (F365). En euros, ça fait combien?

    Source Les Cahiers du Football

    Bein en gros trop cher pour le Racing ...
  • Dans [Arrivée] Fredi Bobic - Modifié par gweilo
    gweilo
    FOOTBALL LIGUE1
    Bobic, en attendant
    L'attaquant allemand, à l'essai à Strasbourg, est la première nouveauté depuis qu'Alain Afflelou a pris la tête du club.

    UN RACCOURCI FACILE n'interdit pas d'écrire que l'arrivée d'Alain Afflelou à la tête du RC Strasbourg s'accompagne, pour commencer, d'une visibilité relative. Dans le court terme, cela donne l'impression d'un changement dans la continuité puisque aussi bien Marc Keller, au poste de directeur général, que Jacky Duguépéroux, dans l'habit de l'entraîneur, restent en place. L'arrivée, cette semaine, de Michel Benguigui, ancien agent de joueurs et compagnon d'aventures d'Afflelou à Bordeaux, aujourd'hui à la retraite, n'est pas présentée comme une marque de défiance vis-à-vis du staff en place. Duguépéroux se serait même réjoui de ce relais nouveau. Publiquement, il ne fait, cela dit, aucun autre commentaire que celuici : « Nous avons un match crucial contre Nice samedi et cela occupe tout mon esprit. J'ai rencontré M. Afflelou la semaine dernière. Il m'a dit que je restais le patron technique et j'agis donc en tant que tel. » La contribution, plus administrative, que doit apporter Éric Lesieur, le bras droit d'Afflelou, n'est pas non plus censée bouleverser les habitudes à la Meinau. Éric Lesieur est attendu les jours de match pour faire le point avec Keller, quoi de plus normal ? À plus longue échéance, il sera temps, cependant, de vérifier le degré d'implication des hommes d'Afflelou et du lunetier lui-même dans la gestion du club. Difficile d'imaginer en effet que l'investissement de l'ancien président de Bordeaux et de Créteil ne s'accompagne pas d'un caractère décisionnel rompant avec les coutumes collégiales du couple Gindorf (l'actuel président) - Keller.

    Bobic : « Éviter une relégation, ça vaut un titre »

    Déjà, Afflelou a indiqué qu'il interviendrait personnellement dans le recrutement et celui-ci s'annonce important au prochain mercato d'hiver. Comment en douter quand il se murmure que l'apport du prochain patron strasbourgeois se situerait au-delà des quinzemillions d'euros ? Quelques destins se dessineront selon les contours du nouveau mode de vie alsacien. Celui de Duguépéroux, bien sûr, dont l'espérance de vie est intimement liée aux résultats. Celui de Keller, également, moins redevable désormais vis-à-vis des autres actionnaires. Il est à observer comment le directeur général s'accommoderait d'un pouvoir qui serait rogné par quelque bout. Souvent sollicité, très récemment encore par Monaco, Keller pourrait se sentir plus libre aujourd'hui d'orienter son plan de carrière, du fait de la pérennité financière qu'assure la contribution d'Afflelou. Le temps dira donc si Strasbourg est à l'aube d'un nouveau bouleversement ou si la stabilité interne, qui s'est installée depuis cinq ans, se maintiendra.
    Côté terrain, en tout cas, la crise sportive – Strasbourg est lanterne rouge de Ligue 1 – n'a pas empêché de commencer la semaine dans une formidable bonne humeur. La séance d'hier matin, très ludique, a été pleine d'entrain, ponctuée même par des éclats de rire des joueurs regroupés autour de leur entraîneur. « Il faut croire qu'ils ne se sentent pas si mal que ça », lançait Duguépéroux. La fiche de présence indiquait un absent et un nouveau. Nulle trace, pour commencer, de Tiburce Darou, le préparateur physique et mental venu la semaine dernière. L'expérience n'aura donc duré que deux jours au lieu de la semaine annoncée. Duguépéroux a souhaité, dimanche, la fin de cette collaboration. Keller, qui avait initié la venue de Darou, n'a pas insisté. « C'est un non-événement », a commenté le coach, très laconiquement, hier matin.
    La venue de Fredi Bobic, l'attaquant allemand, pourrait s'inscrire dans un avenir plus lointain. L'international aux 37 sélections (10 buts), membre de la sélection de Rudi Völler lors du Championnat d'Europe 2004, est à l'essai. Dans trois jours, on saura si le test est concluant. Bobic, en tout cas, est gourmand : « Ce challenge m'excite beaucoup. J'ai encore envie de prouver quelque chose en Europe. Je me donne trois jours. Après, on verra si Strasbourg veut tenter le coup. » À trente-quatre ans, le joueur n'a pas de club. Il reste sur un passage mitigé au Hertha Berlin, où ses relations avec l'entraîneur, Falko Götz, ont été tourmentées. Vingt matches et un seul but peuplent la dernière saison de l'ancien canonnier du VfB Stuttgart (1994-1999), Dortmund (1999 - décembre 2001) et Hanovre (2002-2003) qui effectua un crochet de six mois à Bolton (Angleterre) en 2002. Bobic a refusé des offres du Japon et se montre toujours ambitieux : « Ce n'est pas moi, tout seul, qui vais tout changer. Mais mon expérience peut aider une équipe qui est jeune. J'ai assisté au match contre Tromsö (2-0) et j'ai vu beaucoup de talent. »
    Réticent dans un premier temps, Duguépéroux serait, à présent, tenté par la hargne et le sens du but du joueur né en Slovénie. Il aura peutêtre noté que Bobic a déjà participé au sauvetage de Hanovre (qui avait 0 point à son arrivée) et de Bolton.« Je ne suis jamais descendu, même avec des clubs en grande difficulté. Pour moi, éviter une relégation, ça vaut un titre », confie l'ancien adversaire de Keller lors des chauds derbies entre Stuttgart et Karlsruhe, où évoluait le directeur général du Racing. Comme Pagis est incertain pour affronter Nice, samedi, Bobic, s'il est retenu, pourrait faire ses débuts rapidement.

    Source l'Equipe
  • Dans [Arrivée] Pierre Alain Frau -
    gweilo
    Football: Pierre-Alain Frau vers Sochaux
    lun 14 nov, 17h27

    LYON (Reuters) - L'attaquant de l'Olympique Lyonnais, Pierre-Alain Frau pourrait rejoindre les rangs de Sochaux, son ancien club, dans le cadre d'un prêt, confirme le club champion de France.

    "C'est en effet tout a fait envisageable à partir du moment où le joueur lui-même demande à être prêté pour obtenir du temps de jeu" a indiqué Jean-Michel Aulas, le président de l'OL.

    "J'ai eu le président Plessis hier au téléphone et nous avons évoqué cette éventualité si jamais Gérard Houllier donne son feu vert.

    "Tout le monde à Sochaux appelle de ses voeux le retour de Pierre-Alain pour qu'il donne un coup de main au club afin qu'il se sorte de sa mauvaise position actuelle et, connaissant le joueur, je serais étonné qu'il ne soit pas insensible à cela", a ajouté l'homme fort de l'OL.

    Aulas a précisé que ce prêt serait "bien évidemment payant et que Sochaux prendrait en charge son salaire".

    Le FC Sochaux est actuellement 17e de la Ligue 1. Son attaquant brésilien Ilan s'est blessé au genou la semaine dernière à l'entraînement. Il sera indisponible pour plusieurs mois.

    Le Racing Club de Lens et Le Mans se sont également renseignés auprès de l'Olympique Lyonnais afin d'obtenir le prêt de Pierre-Alain Frau.

    Agé de 25 ans, l'attaquant est arrivé à l'OL durant l'été 2004 mais n'a été titulaire qu'à quatre reprises depuis le début de la saison, toutes compétitions confondues.
  • Dans Entraînements, rapports et photos -
    gweilo
    marc c'est quoi l'atelier "tir sur la transversale"? Un truc pour Nouma? Serieux faut viser la transversale #-o

    Et la poubelle, faut y foutre la belle avec le pied, une tete ou un controle? Ou c'est juste pour ramasser les ballons (un peu cheap)?
  • Dans [Arrivée] Fredi Bobic - Modifié par gweilo
    gweilo
    Ouais et le Fredi, on est sur qu'il est libere de ses obligations militaires parce que au point ou on en est :p
  • Dans [Arrivée] Fredi Bobic -
    gweilo
    Il faut combien de temps pour qu'un joueur soit qualifie aupres de la Ligue et de la Fede?

    Parce que pour l'aligner contre Nice, ca laisse peu de temps pour juger de son niveau, non?
  • Dans Tiburce Darou -
    gweilo
    Darou renvoyé chez lui

    A la différence de Fredi Bobic qui devrait arriver ce matin, Tiburce Darou ne reviendra pas en deuxième semaine. Jacky Duguépéroux ne souhaitait plus la présence du psychologue-préparateur physique à ses côtés.

    L'accalmie n'aura été que de courte durée. Après la valse-hésitation quant au maintien de l'entraîneur, l'arrivée d'Alain Afflelou au poste de président, le débarquement d'abord refusé puis programmé de Bobic, l'annonce d'un renfort psychologique pour les joueurs et le tourbillon qui s'en était suivi, ce week-end s'annonçait calme.
    Seulement voilà, au Racing, le calme ne précède ni ne suit la tempête. Il n'a qu'une valeur relative. On suppose qu'il existe dans quelques clubs, certains le disent, mais à Strasbourg, on ne goûte jamais ses vertus. Si ça se trouve, le calme ça n'existe pas près du Rhin, va savoir.

    Bateau ivre

    Arrivé jeudi à Strasbourg pour épauler Jacky Duguépéroux jusqu'au match de samedi face à Nice (« C'est mon idée puisque je l'ai acceptée, disait alors l'entraîneur strasbourgeois. J'ai beau être Breton et un peu buté, je ne suis pas rétif aux idées nouvelles»), Tiburce Darou sera ainsi absent de l'entraînement ce matin.
    Hier soir, Marc Keller, à la demande de son coach, l'a en effet appelé à Paris, où il était reparti pour la journée, pour lui dire que leur collaboration s'arrêtait là. Après deux jours et demi de travail au lieu de dix.
    Un épiphénomène sans doute dans la situation actuelle, mais dont le club aurait pu faire l'économie en cette période très tendue. Parce que là, une fois de plus, ça tourne au n'importe quoi. Et l'impression de bateau ivre qui s'est installée ces derniers jours s'impose de plus en plus. Comme un air de déjà vu finalement.

    « Une image de pagaille »

    « Je pense que le club manque de sérénité à tous les niveaux, disait Tiburce Darou ce dimanche soir. Moi, je ne veux la guerre avec personne. On m'a demandé de venir, je viens. On me demande de rester chez moi, pas de souci, mais je comprends que mon arrivée au lendemain de celle d'Afflelou puis mon départ rapide donnent une image de pagaille ».
    Pour lui, sa présence « posait un problème à Duguépéroux. Moi, je n'étais pas venu pour prendre sa place, mais pour l'aider. Je ne suis pas un Dr. Miracle, mais quand je suis là, j'existe. Et visiblement c'est déjà beaucoup pour l'entraîneur, ça devait peser dans sa tête ».
    « Maintenant, si j'ai pu en trois jours aider un peu les joueurs à sortir de la routine et de l'atmosphère pesante qu'il y a dans le club, tant mieux. Ça a l'air de leur avoir fait du bien. Je n'avais pas d'autre but que celui-là ».


    « Jacky n'était pas à l'aise »

    Également contacté par téléphone hier soir à ce sujet, Jacky Duguépéroux - lui-même nominé en début de semaine mais finalement sauvé par le public - s'est fendu d'un sec « je n'ai pas de commentaire à faire », mais Marc Keller, lui, confirmait les propos de l'ancien préparateur physique de la Star Ac'. En tentant évidemment de dédramatiser au maximum.
    « Oui, j'ai bien appelé Tiburce à la demande de Jacky, expliquait-il. Il ne se sentait pas à l'aise dans cette configuration et souhaitait revenir à son fonctionnement habituel. Mais franchement, il n'y a pas d'importance particulière à donner à ça. On cherche une solution pour sortir de la situation actuelle et nous pensions que la présence de Tiburce pouvait nous aider à y parvenir. L'important, c'est le match contre Nice ».
    On ne saurait dire mieux, effectivement.

    Source DNA
  • Dans Tiburce Darou - Modifié par gweilo
    gweilo
    Coherence et errance ... Quand le ridicule ne tue pas un RCS moribond #-o

    Du grand n'importe quoi en ce moment =D

    Allez mieux vaut en rire :o)

    Au fait qui a sollicite Darou au depart ?
  • Dans Grippe aviaire -
    gweilo
    Arf ... J'ai imprime des articles, mais je t'avoue que j'ai voulu faire un break ce week end :'>

    Au detour de quelques discussions au labo, j'ai appris que la grippe aviaire avait une virulence variable selon les especes d'oiseaux c'est-a-dire que certains en meurent alors que d'autres sont porteurs sains(quid des perruche collier d'Asie?).

    Le test en labo c'est d'inoculer 8 poules et de compter celles qui meurent de l'infection. La souche H5N1 la plus virulente fait un score de 8 sur 8 en 24h et 48h pour pour le canard.

    Sinon face aux discours alarmistes concernant une mutation ou un reassortiment genetique de la grippe aviaire, il faut tout de meme savoir qu'une modification genetique est le plus souvent silencieuse, et qu'on parle toujours d'un potentiel virus plus dangereux pour l'homme, mais qu'une forme attenuee est egalement fort possible.

    florian67 je te fais signe si j'ai des precisions concernant la sante de ton ami emplume.
  • Dans [Arrivée] Marcel Desailly -
    gweilo
    Haggui suite a sa blessure au pied a, il me semble decide de ne pas participer a la CAN par precaution.

    Il previlegie le RCS et a plus long terme sa participation a la CM 2006.
  • Dans Ulrich Le Pen -
    gweilo
    Apres Boka et son epaule qui lachera un jour, voici Le Pen et son genou douloureux ... Saison maudite ? :-w

    Le Pen: une faiblesse dans le genou.

    La séance matinale qui s'est déroulée dans une ambiance fort détendue a été marquée par une nouvelle alerte concernant le genou d'Ulrich Le Pen. Comme il y a quelques semaines, l'attaquant s'est bloqué le genou sur une action anodine ce qui l'a contraint à stopper son entraînement. L'intervention de François Piétra, le médecin du Racing, s'est révélée salvatrice. « Avec une manipulation, Lulu ne s'est plus ressenti de rien », a expliqué Piétra. « On sait désormais qu'il y a une faiblesse au niveau du ménisque. Mais cela ne présente aucune gravité. Beaucoup de joueurs du championnat évoluent sans aucun problème avec le même problème. La question se pose seulement si ce bloquage intervient trop souvent ». :-s

    Source l'Alsace
  • Dans Philippe Ginestet - Modifié par gweilo
    gweilo
    C'est pas possible, ce mec frequente le stub :p

    L'amertume de Ginestet.

    L'ex-successeur désigné pour la succession d'Egon Gindorf, Philippe Ginestet, a visiblement la plus grande difficulté à voir la présidence passée dans les mains d'Alain Afflelou. Ainsi, les premières déclarations de l'homme d'affaires amené à être le n° du Racing dans une quinzaine de jours lui a inspiré des propos plutôt amers. Par rapport aux méthodes annoncées, le patron d'Eurinvest parle notamment de sa surprise : « Je ne savais pas que l'on avait dressé un chapiteau à la Meinau avec dresseur , jongleur , préparateur , psychologue et autres surprises pour fêter la fin de la collégialité ». Le contact noué avec Marcel Desailly lui inspire une autre idée : « Pourquoi aussi ne pas contacter JPP pour notre problème de buteur tant qu'on y est ? ». Enfin, Ginestet espère toujours que le processus entamé n'est pas irréversible : « Tout cela n'est que gesticulation, je demande à Egon ainsi qu'a tous les actionnaires de ne pas vendre notre âme ». Il n'est pas sûr que son espoir se concrétise.

    Source l'Alsace

    Racing : Ginestet (re)monte au créneau

    Le moins que l'on puisse dire est que Philippe Ginestet a peu goûté les événements de ces derniers jours et l'intronisation d'Alain Afflelou. Il veut d'ailleurs croire que rien n'est irréversible.
    Dans un (long) communiqué envoyé hier dont nous publions des extraits, le toujours détenteur de 20 % des actions du club, explique que ce changement d'actionnaire majoritaire « donne un sentiment d'abandon et de renoncement à nos valeurs ».
    (...) « Même s'il est fait état d'un management alsacien, personne n'est dupe sur la détention réelle du pouvoir de décision à venir et la fragilité de ce management. Par ailleurs, on me reprochait principalement de détenir la majorité et d'être interventionniste, or , je vois aujourd'hui que l'on va probablement recéder la majorité à quelqu'un qui dès sa première interview veut faire l'équipe à la place du coach (...) Où est le respect pour notre entraîneur et pour ce qu'il a apporté au club ? ».
    Et de continuer, « mon cas n'est pas important et ne dicte pas mon appel, mais je demande à Egon ainsi à tous les actionnaires de ne pas vendre notre âme. C'est dans la difficulté que l'on voit le courage des grands dirigeants et leur conscience intérieure ».
    D'autant qu'il ne croit pas aux méthodes annoncées. « Je ne savais pas que l'on avait dressé un chapiteau à la Meinau avec dresseur, jongleur, préparateur, psychologue et autres surprises pour fêter la fin de la collégialité. (...) Tout cela n'est que gesticulation ».
    L'ex-futur président ne veut pas croire que les dés sont jetés. « Aujourd'hui rien n'est signé, de simples accords verbaux ont été pris, mais je (sais) être bien placé pour savoir que rien n'est irréversible. Je n'ai pas le pouvoir juridique de m'opposer, mais les autres actionnaires peuvent décider de faire marche arrière. Il vaut mieux être ridicule dans la presse trois jours que de faire prendre au club un pari sur un futur plus qu'incertain et renier ses valeurs ».

    Souce DNA
  • Dans [OFFICIEL] [Départ] Alexander Farnerud - Modifié par gweilo
    gweilo
    Fausse alerte pour Alex

    Intéressé par le cadet des frères Farnerud au point de proposer une somme proche de 5 millions d'euros pour son transfert, le VfB Stuttgart envisage-t-il de revenir à la charge lors du prochain marché d'hiver ? C'est ce que laisse à penser certains échos relayés par la presse nationale. Se consacrant à un peu de repos bien mérité après une semaine agitée, le futur ex-président strasbourgeois, Egon Gindorf, n'a pu masquer sa surprise à l'évocation de l'éventualité. « Il n'y a eu aucun contact depuis longtemps », a expliqué le dirigeant. « Peut-être les responsables de Stuttgart affiche-t-ils leur espoir de le recruter prochainement. Mais je n'ai pas du tout été sollicité ces derniers temps. Et je pense que j'aurais été au courant si le projet était vraiment à l'étude »

    Source l'Alsace
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Stammtisch
  • islay Geiss ©
  • il-vecchio Hein?? A 13h on mange! On ne passe pas d'exam! Verdammi la France n'est plus la France dans ce cas!
  • mediasoc si tu as ton brevet, le Racing risque de te recruter, attention
  • pando67 je suis en troisieme mdr je passe l'oral du brevet dans 2h
  • guigues hopla
  • il-vecchio Je pense au gamin en seconde qui explique les trois états de la matière simultanés au prof de physique-chimie.
  • il-vecchio et tu découvres 1) les trois états de la matière 2) les effets de la Hefeweizen
  • il-vecchio 'tin le matin, 30 secondes de Stamm avant de prendre le train
  • gibi68 Ou nous faire chanter
  • goldman Amir au Racing?? mdr il va chanté.??
  • murbleu Tout ça pour aller ch..r solide en écoutant les commentateur Amazon
  • takl amis de la poésie bonsoir
  • takl tu chies liquide/solide avec des gaz
  • takl ça c'est les chiottes le matin après trop de Hefeweizen
  • murbleu On a des gaz quand on prend un but de l'OL dans les arrêt de jeu
  • murbleu Comme quand on voit le Racing: on se liquifie quand on prend un but de Metz
  • murbleu voir diagramme de température - pression :)
  • murbleu liquide-solide-gaz
  • murbleu Il existe bien un point triple pour lequel une substance peuit se trouver en trois état simultanément
  • takl je crois que c'est impossible de bouillir et d'être en fusion en même temps mais je suis une quiche sidérale en physique

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