echouafni
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Commentaires
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Sur Décès de François Bracci -echouafniMerci Kitl pourt tes fantastiques articles qui non seulement font vivre et donnent de la substance à la Stub, mais nourrissent la culture club du Racing.
J’espère que tu as corrigé la fiche Wikipedia pour Beinheim. -
Je situe ce match comme le début de la fin, celle qui a conduit le club vers la liquidation judiciaire. La suite n’a été qu’une inexorable dégringolade. Ce match reste un cauchemar.
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Article excellentissime. Un grand merci.
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Le jeu peinait en effet à se développer au milieu de terrain. -
La 4 et la 6 pour ma part.
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Parfait. Bravo.
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Sans compter les banderoles insultantes et véhiculant des clichés éculés contre l'Alsace...
On ne va donc pas pleurer leur mort prochaine. -
C'est vrai que sur les derniers match, il a été absolument énorme. A tel point que je me suis dit qu'on n'arriverait pas à le garder la saison prochaine. Les prestations qu'il livre sont XXL.
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Très instructif ; merci.
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Magnifique article qui comporte pas mal d'hypothèses qui mériteraient des recherches d'historien et de sociologue pour les étayer.
Il me semble que le statut du Racing dans les années 1950 mériterait d'être creusé : j'ai toujours eu l'impression que le club était le porte étendard de la fierté blessée et humiliée des alsaciens de l'après guerre allant jouer dans la France de l'intérieur (indépendamment de la question de savoir s'il était ou non composé de joueurs alsaciens) : chaque victoire du Racing était une manière de redonner de la fierté aux alsaciens et de rendre la monnaie de sa pièce à une France post procès de Bordeaux qui ne la comprenait pas et qui continuait à ne pas la respecter (alsacien interdit dans les cours d'écoles, etc.). Et chaque défaite du Racing suscitait un rejet de dépit à l'égard d'un club qui n'arrive pas à leur redonner de la respectabilité.
Et encore aujourd'hui il y a ce comportement : en témoignent les réactions des alsaciens sur France Bleu Alsace ou à la Meinau après une victoire ou une défaite.
Voilà je lance un peu le débat, je serais curieux de connaître les opinions des anciens notamment. -
Excellent. Un vrai plaisir à lire.
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Je suis évidemment peiné par sa disparition. Mais son nom reste dans mon esprit à jamais associé à la renaissance du club, et cela par deux fois : une première fois après la gestion calamiteuse du club par les Américains de Mc Cormak et le rachat du club à ces derniers ; une seconde fois après le désastre de la liquidation judiciaire lorsqu’il fut l’un des premiers sinon le premier* à investir pour ressusciter le club.
À chaque fois son investissement affectif et financier a été récompensé par un trophée et une accession à la coupe d’Europe ; je suis content pour lui qu’il ait pu vivre cela par deux fois. Il le méritait.
De surcroît, Gindorf est à l’origine de la soupe éponyme qui compte désormais parmi les traditions du Club. Ce n’est pas rien. Il n’a donc pas disparu.
RIP
PS : * M. Keller ne l’a-t-il pas mentionné dans une interview comme étant la première personne à qui il a téléphoné pour réunir des investisseurs afin de faire repartir le club ? -
Parfait, tout simplement.
Y compris le titre ! -
Très bel article. L’accent mis sur l’approche socio-géographique est intéressante.
Elle est déjà présente dans le travail de Pierre Perny. Elle est accentuée ici sur certains aspects.
Si les sources le permettaient, il serait intéressant de développer dans le même esprit une approche comparée avec les autres clubs de foot évoluant à Strasbourg à cette période mythique (« FC Strasbourg », « Celeritas », « FC Donar », « Club universitaire », «FC Frankonia», « FC César de Strasbourg-Montagne verte », « FC Cronenbourg », « FC Markomannia de Strasbourg »...).
Félicitations à toi. -
Très bel entretien
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Super intéressant ; merci.
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Magnifique !
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J'adore le titre !
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Agréable à lire, didactique, intéressant ; ne change rien ! Et merci !
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Sympa de faire remonter à la surface toutes ces anecdotes.
Autre anecdote qui aurait pu être déterrée : lorsque Plessis avait organisé un diner avec JM. Aulas et Jafar-schloch et le dirigeant Lyonnais s’était alors offusqué qu’on lui ai fait rencontrer un moins que rien dans le monde du foot. -
Passionnant ; j’avais oublié l’existence de cette tourné.
Je me souviens de l’atonie qui se dégageait de la période de préparation de la saison qui a suivi : ouverte à la maison par une fessée 0 - 4 par le promu lillois... le ton était donné et la relégation déjà annoncée.
Et Martins laissé sur le banc, par ce triste personnage de Leroy, pour de mauvaises raisons... -
La Stub est un site exceptionnel ! Longue vie à la Stub !
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Félicitations ! Belle contribution à l'écriture de l'histoire du club.
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Le titre est excellentissime ! (+)
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Le auf wiedersehen! est à garder absolument ! D’une part j’adore ce genre d’ironie dans un stade d’autre part on ne l’entend dans aucun autre stade de Ligue 1 en France.
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J’ai lu l’article dès sa publication (article brillant comme d’hab’) mais ce n’est que maintenant que j’en saisis le jeu de mots dans son titre. Carol(a) Bleu !
Excellent. -
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Encore un article fantastique. Vraiment merci.
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Très bon article. Merci.
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Dans les DNA de ce jour Blayac affirme : « Mon club le plus marquant ».
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Jeremy, si tu nous lis : merci pour tout.
Tu resteras à jamais le premier footballeur que mon fils a admiré et dont il emprunte (encore aujourd'hui) le nom lorsqu'il joue au foot pour s'amuser dan sun match fictif ("moi je suis Jeremy Blayac" ; "but de Jeremy ? Blayac !")
Un grand merci. Tu rentres dans le panthéon des joueurs qui ont compté pour le Racing. -
Le titre de l'article résume exactement comment j'ai vécu le match et ce que j'en retiens.
Au moment où ne l'attend plus, soudain, incroyable, le coup de tonnerre, au moment où on s'est fait une raison, ces deux buts sortis de nul part (out of nowhere comme l'on très justement dit les commentateurs de la chaine anglaise sur laquelle j'ai revu les images) et soudain le délire, l'hystérie dans le stade, cette folie totale, ce bruit incroyable... -
Ils "ont su donner de la voix"... certes ; mais on a quand même eu droit à un "Strasbourg, Strasbourg, on t'enc*** "
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Fantastique. Quelle belle contribution à l'histroriographie du Racing. Tout simplement félicitations et merci.
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Bel article.
Le souvenir le plus marquant qui me reste, est que c'était la première fois que je voyais des supporters du Kop venir dans les autres tribunes (les tribunes assises classiques), pour venir y tenir le rôle d'un genre de kapo (inciter à applaudir, etc.). Le kop avait du envoyer des personnes de manière individuelle dans différentes tribunes, ou au moins celle en ouest où j'étais et qui n'était pas encore le mur bleu. Je ne sais plus si la personne avait ou non un tambour. Je suppose que cette organisation a grandement contribué à l'ambiance électrique de ce match.
Sinon, taper Marseille, quel pied... Rien ne m'insupporte plus que de voir des gens de l'Est de la France porter des maillot de Marseille. Bon maintenant ces mêmes personnes portent le maillot du PSG... -
Très bel article ; félicitations.
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Excellentissime comme d'hab' ; le problème, c'est qu'on va finir par trouver cela normal. Tout simplement merci.
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Encore en fois : quel bel article d'@athor ! On est dans l'excellence tout simplement. Je serais journaliste sportif aux DNA, je serais un peu honteux par comparaison.
Sympa les propos de @ALV -
Superbe article
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Sur-excellent. Juste merci.
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Sympa. Merci : c'est bien pour ceux comme moi qui n'ont pas pu y faire un tour.
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Le portrait au pochoir, on dirait Specht.
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Le titre parfait.
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Des articles comme ça, on en redemande. Pas-sion-nant "tout simplement". (+)
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Ex-cel-lent. J'y ai appris plein de choses. Et un pur régal à lire. Bravo.